alexander & Paisley

dusk till dawn.

Elle ne l'avait pas quitté des yeux une seule seconde, ne perdant aucune miette du spectacle qu'il lui offrait, de ce corps dénudé auparavant collé au sien. Allongée confortablement sur le matelas, le drap sur sa peau, elle le laissa filer le temps d'aller chercher ce qu'il désirait pour poursuivre leurs échanges, de son côté, elle s'était contenté d'observer vaguement le plafond, sa lèvre inférieure emprisonnée par ses petites dents.Qu'est-ce qu'elle s'apprêtait à faire? Coucher avec Alexander bouleverserait sa vie toute entière elle le savait par avance. Ce n'était pas une décision prise à la légère pourtant, cet homme la, elle le voulait corps et âme et elle l'obtiendrait. Pourquoi s'entêtait-elle autant à vouloir coucher avec lui? Parce que contrairement aux autres hommes qu'elle ne choisissait que pour une nuit, Alexander était intéressant, intelligent, romantique, séduisant. Un homme presque parfait fait d'autant de qualités que de défauts mais parfait à ses yeux quand même. Est-ce le fantasme de le faire avec un policier? Est-ce le fantasme de le faire avec son colocataire comme dans ses séries américaines ou tout le monde couche avec tout le monde à partir du moment ou ils partagent le même appartement? Elle n'en sait rien. Alex l'intéresse et à partir de ce moment la, rien ne pourrait l'empêcher de s'offrir à lui en cette matinée automnale.

Rapidement, le jeune homme revient à elle, l'extirpe de ses pensées. Elle le regarde, ne peut s'empêcher de lui sourire avant qu'il ne se glisse à nouveau sous les draps, désireux de sentir à nouveau sa peau contre la sienne, de baiser chaque parcelle de peau qui se trouve sur son chemin. Au passage, elle retient que l'objet qu'il avait apporté avec lui était le dernier exemplaire, ce qui veut forcément dire qu'il a dû utiliser les autres qui s'étaient trouvés dans la boite, ce qui veut du coup dire que Alexander est loin d'être chaste et réservé au mariage. Il embrasse sa poitrine, elle lui caresse la nuque affectueusement, gardant un sourire un poil malicieux et amusé sur le visage. «Je suis chanceuse. Je suis le dernier petit coup de ta boite.» qu'elle ne peut s'empêcher de lui dire avant de rire doucement. «Vous me cacher des choses M'sieur l'agent..Moi qui pensais que vous aviez fait voeux de chasteté jusqu'au mariage.» de nouveau elle plaisante, vient poser ses deux mains de chaque côté de son visage pour le lever jusqu'au sien histoire de l'embrasser à nouveau, de mordre ses lèvres avec envie en se collant un peu plus à lui, déposant ses courbes contre sa peau pour qu'il sent ce corps féminin, fin et délicat contre lui, que ce corps nu éveille en lui d'avantage d'envies, celles de la prendre maintenant, de partager un moment intime avec elle qui pourrait durer des heures entières si ils en auraient l'envie.

Ses mains quittent finalement son visage, descendent sur son cou, sur son torse pour le toucher, explorer du bout des doigts ses abdominaux avant de se faufiler jusqu'à son dos pour lui offrir la même attention, les mêmes caresses tandis que ses lèvres se posent à nouveau sur son cou musclé pour de chauds baisers qui rapidement se transforment en un suçon qui serait bien visible quand il se regardera dans le miroir. Milles et un baisers se posent sur son corps, sur sa peau chaude et enivrante, elle a terriblement envie de lui et ce petit préservatif qu'il avait apporté servirait rapidement à cette allure. Doucement,elle courbait l'échine pour se rapprocher encore plus de son corps, pour le sentir contre elle. «Tu m'rends dingue..» Son cœur bondissait encore et toujours dans sa cage thoracique. Elle ne serait plus patiente longtemps. Avec une certaine force elle le fit pivoter pour qu'il se retrouve à son tour allongé sur le matelas pendant qu'elle s'installait sur lui, à califourchon, pendant qu'elle posait fiévreusement ses lèvres brûlantes sur sa peau, qu'elle collait son intimité à la sienne, pendant que ses baisers attaquaient sans honte son torse, ses abdominaux, ses aines. Ils se faisaient plus insistants ses baisers, démonstratifs de ses envies. Vivement elle reculait la tête, jette un oeil sur le petit paquet aux côtés d'Alex.« Je tiens plus Alex. J'te veux maintenant.» ses deux mains se posaient sur son torse et elle n'avait qu'une envie, Paisley, c'était s'unir à lui, ne faire qu'un avec lui, mais à défaut de forcer la chose et de réaliser son souhait, il fallait passer par l'étape "préservatif" que le garçon était parti chercher plus tôt. Bon, ce qui est sûr c'est que c'est bien meilleur sans, mais "la prudence" avant toute chose, et c'était le souhait d'Alexander que de prendre certaines précautions, après tout, il était comme ça Alex, même dans la vie de tout les jours: Prévenant, prévoyant, sérieux et ce n'est pas elle qui l'empêcherait de l'être. Elle n'était pas la pour le changer Paisley, elle le voulait aujourd'hui comme il était, sérieux comme maladroit, romantique, doux. Le Alexander qu'elle avait l'habitude de côtoyer jour après jour.
@Alexander T. Roberts     .

 

alexander & Paisley

dusk till dawn.

Faire l’amour est quelque chose de totalement humain. Il suffit de l’avoir fait une fois pour en avoir encore envie. Bien entendu, il faut que la première fois ait été désirée sinon cela change la donne. Alexander se souvient de sa première fois. Il a été un peu maladroit, ne savant pas trop comment agir, étant un peu gêné. Cela ne lui a toutefois pas enlevé le désir de le refaire. Plus les fois avançant, plus il y prenait goût et prenait une certaine expérience. Il a d’ailleurs beaucoup appris pendant les dix années de relation avec cette femme mariée, cette femme qui faisait croire à son mari qu’elle devait rester au commissariat pour terminer des dossiers alors qu’au fond elle était chez Alexander à profiter de son jeune corps musclé. Malgré tout, ce fut de belles années d’excitation.

Ils ont de la chance qu’Alexander ait trouvé un dernier préservatif parce que les choses n’auraient pas été toutes simples s’il n’en avait pas eu. Il aurait fallu qu’il aille en acheter à la pharmacie et d’ici là, peut-être que leur envie de vouloir partager ce moment se serait dissipée. Alexander rigole à la réplique de Paisley. Croire qu’il veut rester vraiment chaste jusqu’au mariage est faux. Il n’est plus vierge depuis longtemps et elle le sait parfaitement.
ALEXANDER : « On dit toujours que nous gardons le meilleur pour la fin alors oui je crois que tu es chanceuse. »
Il sourit et l’embrasse.
ALEXANDER : « Tu crois qu’une femme de près de vingt-cinq ans de plus que moi aurait pu résister pendant dix ans à un jeune corps fringant comme le mien? On oublie la connerie de chasteté. »
Il n’est pas malade à se point Alexander même si les gens peuvent le croire fou à ce point parfois avec ses idées folles.

Continuant à apprivoiser leurs corps, à se caresser, découvrir la douceur de la peau de l’autre, vient le moment où il est temps que les choses commencent pour vrai. Ils se veulent, ils veulent enfin ne faire qu’un, créer cette danse lascive avec leurs corps. Alexander offre un dernier baiser à Paisley avant d’attraper le préservatif avec sa main, d’ouvrir le sachet et l’installer comme il faut. Maintenant totalement prêt à passer à l’action en toute sécurité, les choses sérieuses commencent, leurs corps entrent en fusion. C’est le moment de donner le meilleur de soi pour que cet instant soit inoubliable.
 

alexander & Paisley

dusk till dawn.

Cette femme de vingt cinq ans de plus que lui. En avait-elle déjà entendue parler? Elle n'en a aucun souvenir et il faut dire que cela la perturbe assez. Comment un bel homme comme Alexander a pût s'éprendre d'une femme aussi âgée que son ancienne conquête. Difficile d'imaginer un corps pareil auprès de celui d'une femme mure et autant dire qu'à côté d'elle, Paisley faisait pâle figure. Cinq ans la séparait de Alexander. Elle en avait vingt cinq, il en avait trente et même si la différence d'âge n'était pas colossal, jamais elle n'avait fréquenté d'homme plus âgé ou plus mûr qu'elle. Un homme avec une situation, un emploi plus ou moins stable et qui devait certainement chercher une stabilité amoureuse. En général, les hommes qu'elle fréquente sont de sa tranche d'âge, n'ont aucun avenir et n'en cherche pas un, ils sont aussi paumés qu'elle et vivent au jour le jour, alors autant dire que de coucher avec quelqu'un de vingt ans de plus devait être quelque chose. D'ailleurs, cette femme, était-elle mariée? Alex était-il son amant? C'est généralement ce qui se passe avec une différence d'âge comme celle ci. Elle était habituée de voir des hommes tromper leurs femmes au bar ou elle travaillait, des hommes d'une cinquantaine d'années qui aimaient se "taper" des petites jeunes de vingt ans de moins qu'eux et bien qu'elle était libérée et ouverte au dialogue, Paisley ne comprenait pas cette lubie de tromper l'être aimé pour une nuit, autant être célibataire comme elle l'était depuis plusieurs mois maintenant.

Enfin soit. L'heure n'était plus aux pensées, elle ne voulait pas réfléchir sur ce qu'il venait de lui dire, ni même connaître celle qui avait pût partager ses draps et qui, certainement avait dû être l'un des nombreux préservatifs de la boite du policier.  Elle, de son côté, était le dernier. Le meilleur pour la fin. En voilà un beau de compliment. Elle lui souriait doucement avant qu'il ne reprenne place à ses côtés pour échanger un nouveau moment de tendresse et de douceur avec elle. Elle ne se lassait pas de l'embrasser, de le toucher, d'explorer son corps tout entier, désireuse de plus en plus au fil des secondes d'être sienne entièrement. Bientôt elle le serait, très bientôt.Elle échangea sa place de nouveau avec lui, venant par la suite baiser son corps, son torse, le parsemer de chauds baisers jusqu'à n'en plus tenir, jusqu'à le supplier presque d'être prise. Son souhait finirait par se réaliser quand il s'immisça finalement en elle, lui décrochant un râle de plaisir. Ses yeux se fermaient alors qu'elle commençait à mouvoir son bassin, ses hanches lentement dans un premier temps contre lui. Bon sang ce que ça pouvait être bon. Cela faisait un petit moment qu'elle ne prenait pas autant son pied lors d'un rapport intime, peut-être parce qu'ils ont prit leur temps, le temps de s'apprivoiser, de se découvrir l'un l'autre, à défaut de se sauter dessus comme des animaux. Sur lui, elle continuait de s'agiter, onduler ses hanches sensuellement, les deux mains sur son torse chaud.

L'instant était précieux, presque magique, comme ci le monde autour d'eux n'existait plus, qu'ils étaient les seuls survivants d'un monde en déclin. Il n'y avait plus personne, juste Alexander, son corps, son plaisir, sa présence, sa chaleur emmêlée à la sienne. A de multiples reprises, plusieurs gémissements glissaient de sa bouche rosée en même temps qu'elle accélérait un peu plus la cadence. C'était divin et pour rien au monde elle ne regretterait cet instant passé avec lui, bien au contraire. Il resterait la, dans un coin de sa tête, ancré en elle pour toujours. «Alex..» Elle soufflait son prénom sans cesser de se mouvoir, désireuse de le sentir en elle un maximum de temps. Elle s'était mise à brutaliser ses lèvres, à les mordre tant le plaisir était la, à son paroxysme, puis doucement, prise par la folie de l'instant, elle avait planté ses ongles sur son torse, sans rien contrôler, se perdant dans la magie du moment, un moment qui ne serait pas éternel et elle le savait bien qu'elle aurait aimé qu'il le soit. En attendant, elle profitait, laissait son corps parler à sa place pour faire comprendre au policier qu'il lui plaisait. En attendant elle continuait de s'agiter, gémissant de plaisir, le corps bientôt en sueur.
@Alexander T. Roberts     .

 

alexander & Paisley

dusk till dawn.

L’amour et les sentiments ne s’expliquent pas. Alexander aimait follement cette femme, tellement qu’il était certain qu’elle quitterait tout pour lui un jour. Malheureusement, elle n’a rien quitté et leur relation a pris fin. Alexander est passé à autre chose après avoir vraiment réalisé qu’il a gâché dix ans de sa vie à être aveuglé par l’amour. Dix ans c’est toute sa vingtaine! Aujourd’hui, elle n’est plus dans sa vie et il s’en porte assez bien. Cela dit, il ne lui souhaite rien de mal, juste qu’elle soit heureuse. Alexander ne cherchera plus à la retrouver puisque tout cela est derrière lui.

De retrouver en compagnie d’une jolie femme sera plaisant. Aucun homme se plaindra d’une telle chose, à moins de ne pas aimer les femmes, mais ça c’est une autre histoire. Alexander est heureux d’être désormais aussi proche de sa colocataire qui n’est pas uniquement une belle femme. Paisley est beaucoup plus que ça et ça Alexander le découvre un peu plus chaque jour. Elle a de belles qualités et cache sans aucun doute de lourds secrets. Alex aimerait connaître ce qu’elle cache, mais il sait qu’elle ne veut pas en parler alors jamais il ne la forcera à parler.

Nus, l’un contre l’autre, ils ont pris le temps d’user de préliminaires. Les préliminaires changent une situation, ça rend le sexe moins sauvage, plus doux, plus humain... du moins d’après Alexander qui, peut-être, vit trop dans un monde rose lorsqu’il est question de couple. Ils s’apprivoisent donc avant de se laisser aller dans le vif du sujet. Alexander lui fait l’amour usant parfois de douceur et d’autres fois d’un peu plus de force.

C’est en entendant la respiration saccadée et les gémissements de Paisley qu’Alex se dit qu’il fait bien son "travail". Il veut lui offrir tout ce dont il est capable, le meilleur de lui. Ayant les ongles de sa colocataire dans la peau, il accélère la cadence émettant lui aussi quelques gémissements plutôt silencieux pour ne pas alerter tout le voisinage. Les personnes qui crient trop fort font souvent semblant. Il y a quand même beaucoup de femmes qui simulent, ce n’est pas un secret pour personne.
ALEXANDER : « Tu es belle. »
Dit-il sans s’arrêter, la regardent dans les yeux pour rendre ce moment encore plus magique.
 

alexander & Paisley

dusk till dawn.

Ils n'ont pas besoin d'en rajouter plus, de dire quoi que ce soit. Les gestes et les regards suffisent à cela. Leurs deux corps s'agitent, s'embrasent l'un contre l'autre, l'un sur l'autre et la sensation qui en ressort est divine. Loin de ses nombreuses coucheries sans lendemain, Paisley savoure celle ci pleinement. Auprès de Alexander elle se sent belle, elle se sent femme, désirable. Elle n'est pas juste un "morceau" de chair avec lequel ont s'amuse avant de passer au suivant. Ses mouvements sont doux, délicats, et chacun d'entre eux lui arrache un gémissement, un souffle de plaisir. Elle n'a pas honte de profiter de cet instant, de planter ses ongles dans sa chair pour l'agripper, le retenir de peur qu'il ne lui échappe. C'était divinement bon et la brune n'hésitait pas à le faire comprendre à son amant. Ensemble ils pivotaient pour que l'autre prend les devant et si c'était elle auparavant qui s'était trouvé par dessus lui, cette fois elle lui laissait la place, se retrouvant à son tour dos contre le matelas. Ses jambes se retrouvent enroulées autour de sa taille pour le garder contre elle, ses ongles, eux, s'étaient faufiler jusqu'à son dos pour le malmener comme ils avaient pût le faire avec son torse. Les caresses devenaient quelques griffures qui disparaîtraient certainement aussi rapidement qu'elles avaient pût être faites. En cet instant de sensualité, elle en oubliait tout, leur situation à tout les deux, leur relation qui évoluerait certainement au vu de ce qui était en train se passer entre eux. Tout lui passait par dessus la tête, il n'y avait plus que lui et elle, et personne d'autre.

Tu es belle. Un compliment qu'elle remercia d'un sourire radieux alors qu'elle ouvrait les yeux pour croiser son délicieux regard. Lui aussi l'était, beau. Non il était plus que ça en réalité. Irrésistible serait le mot juste. Une de ses mains quitta son dos pour venir se poser contre sa joue qu'elle caressa d'une extrême douceur du bout des doigts. «Tu l'es tout autant..» qu'elle lui susurrait au visage, le corps en sueur.Non pas belle mais magnifique, jamais il ne lui avait parût si beau qu'en cet instant, alors qu'elle le découvrait totalement nu, qu'elle appréciait le bien être qu'il était en train de lui procurer à travers ses gestes, ses caresses, ses baisers. Un nouveau baiser lui fût d'ailleurs volé, plus long, plus passionnel alors qu'elle continuait de bouger ses hanches, son corps pour qu'il soit en symbiose avec celui du policier par dessus elle. La sensation était indescriptible, même qu'ils auraient très bien pût restés coller l'un à l'autre durant des heures entières, à s'échanger de multiples caresses, de multiples baisers et coups de reins que cela ne la dérangerait absolument pas mais elle savait que l'instant, bien qu'il soit précieux et délicieux, était court et que bientôt leur plaisir arriverait à son apogée. Bientôt elle devrait se mordre à nouveau la lèvre pour ne pas littéralement hurler de plaisir face à ce flot de sensations nouvelles qui ferait trembler son corps tout entier. Ses doigts vinrent agripper le drap housse recouvrant le matelas sous elle alors que son corps se soulevait, son bassin se déchaînait sous des coups de reins plus vifs, plus rapides. Elle soufflait à nouveau son prénom, encore et encore pour qu'il sache à quel point c'était lui qui la rendait dingue à l'heure actuelle. Lui et aucun autre. Ses yeux à demi ouverts croisaient les siens, son front se posait au sien, l'instant était parfait, il ne manquait de rien , tout y était et jamais elle n'aurait crû qu'une telle douceur, qu'un tel romantisme lui ferait autant de bien, lui plairait autant. Comme quoi la vie est parfois faites de belles surprises et Alexander en est une de belle des surprises.  

Le temps filait, les minutes passaient sans qu'elle ne s'aperçoive de quoi que ce soit, son corps, son intimité se crispait pour laisser exploser par la suite son plaisir orgasmique. C'était dur de ne pas gémir lourdement face à cela, alors, elle l'embrassait sulfureusement pour contrôler ses râles, ce corps en ébullition qui se laissait aller dans cet ébat de cette chaude matinée. Oui. De cette coucherie elle s'en souviendra et ce très bien, elle continuera de se la remettre, encore et encore en tête jusqu'à ce qu'un jour, elle ait la chance de recommencer, de sentir une nouvelle fois cette sensation qu'elle avait pût éprouvée grâce à Alexander, en espérant bien entendu qu'il la désire encore toujours autant, et qu'elle n'était pas pour lui qu'un fantasme qu'il rêvait d'assouvir.
@Alexander T. Roberts     .

 

alexander & Paisley

dusk till dawn.

Il y a longtemps qu’Alexander ne s’est pas retrouvé avec une femme, avec laquelle il partage un moment intime. Un moment comme celui-ci c’est un moment personnel, un moment privé. Ce n’est pas quelque chose qu’il pourrait partager avec n’importe quelle femme. C’est avec Paisley qu’il a décidé de partager cet instant et il ne regrette absolument rien. Ils sont différents mentalement et pourtant il semblerait qu’ils aient des points en commun sexuellement parlant. Alexander ne veut pas changer pour quelqu’un, il veut rester lui-même et juste se faire accepter tel qu’il est.

Ensemble, ils ne font qu’un, ils sont totalement connectés l’un à l’autre. Plus rien autour d’eux existe, ils sont totalement seuls au monde. Alexander aime ce genre de moments, ces moments où il le pense à rien, ces moments où il oublie ses soucis, ses problèmes personnels, la société dure dans laquelle il vit. Cela ne fait pas de lui une mauvaise personne, ça fait de lui un homme peut-être plus humain parce que se soucier sans arrêt des autres comme il le fait n’est pas nécessairement normal. Bref, l’excitation est à son comble aux côtés de Paisley qui a tout pour plaire, tout pour lui plaire en tout cas.

Au-dessus de sa compagne, c’est avec un peu plus de férocité qu’il lui fait l’amour. Rien n’est éternel, l’acte tire à sa fin tranquillement. Alexander veut donner un dernier coup pour terminer le tout en beauté. Il l’embrasse la laissant lui égratigner le dos autant qu’elle le désire. Un dernier coup de rein et il enfouit sa tête dans le cou de Paisley pour reprendre son souffle ainsi que sa respiration. Il croit d’ailleurs avoir fait un bon travail, un travail qu’il aimerait bien recommencer si elle lui en laisse la chance.
 

alexander & Paisley

dusk till dawn.

L'instant était magique, divin. Le monde semblait s'être dissipé autour d'eux pour les laisser ensemble, dans leur bulle. Eux qui se cherchaient, qui se sont trouvés et découverts. Ils offrent le meilleur d'eux même à l'un l'autre, cherchent à s'exprimer, à dire ce qu'ils ressentent à travers leurs caresses, leurs baisers, leurs mouvements. Ils sont en accord parfait avec leur désir et rien ni personne ne pourrait les empêcher d'aller jusqu'au bout. Paisley ne regrette rien de ce qui est en train de se passer, bien au contraire, elle se demande comment elle avait pût passer ses derniers aussi proche d'Alex sans jamais vouloir le toucher, l'embrasser. Jamais elle n'aurait pensé qu'il soit aussi bon amant, aussi féroce dans ce cadre intime, lui qui semble si sérieux, si propre dans sa vie contrairement à elle. Il s'est avéré être une surprise de taille, une très belle surprise même. Il était parvenu à lui offrir tout le plaisir qu'elle cherchait à avoir. De longs frissons lui parcourait le corps, l'échine et plus elle le sentait en elle et plus elle le retenait à elle, malmenant au passage à l'aide de ses ongles inconsciemment son pauvre dos.

Puis vint ce moment ou tout s'arrêta après que leur plaisir orgasmique à tout deux vint exploser. Elle s'était retint de ne pas hurler tant cela lui faisait du bien. Elle s'était retint à l'aide d'un baiser, un baiser passionnel qui s'éteint quand Alex cessa ses coups de reins pour venir nicher sa tête au creux de son cou. Un léger sourire satisfait vint étirer ses lèvres avant qu'elle ne se met à embrasser son front, caressant cette fois sa nuque, sa joue. Elle aussi semblait avoir du mal à récupérer son souffle, un semblant de respiration correct après leurs chauds ébats.Les yeux rivés au plafond, elle inspira profondément à pleins poumons en tentant de garder sur leurs deux corps nus le drap qui les avait recouverts tout deux. «C'était.. wow.» Elle articulait difficilement, souriait bêtement en se remettant la scène, l'acte dans la tête et maintenant que ce dernier était fini, elle s'était mise à penser à la suite, à ce qu'en penserait Alex lui aussi, mais surtout à la discussion qu'ils auraient certainement tout les deux.

On ne fait pas l'amour à quelqu'un sans chercher à comprendre la raison qui nous a pousser à le faire, et même si Paisley avait l'habitude d'aller d'homme en homme pour chercher à combler son appétit sexuel, cette fois il ne s'agissait pas de n'importe qui, il s'agissait de son colocataire, cet homme qui constamment cherchait à la protéger du mal environnant. Un homme qui disparaîtrait pas au petit matin, qui serait la tous les jours de sa vie maintenant, et parce que, dans un premier temps, ils partageaient l'appartement ensemble. «Alors, officier Roberts, a t-on aimé faire l'amour à sa colocataire?» qu'elle demandait doucement avant de rire en appréciant toujours autant sentir sa chaleur contre elle. Une chose est sûre, ses draps s'en souviendront de cette matinée tout comme la propriétaire de ce lit s'en souviendra elle aussi. «Merci pour ce délicieux moment Alex.» qu'elle soufflait cette fois un peu plus sérieusement sans se défaire de ce sourire bête sur ses lèvres. Elle était sincère cette fois, elle ne lui mentait pas comme elle pouvait le faire parfois. Elle avait véritablement aimé cette coucherie, cette façon qu'il avait eu de la toucher, de l'embrasser, de lui faire l'amour, qu'elle soit douce ou féroce, elle avait aimé chacun de ses gestes, de ses baisers, de ses mouvements. Alex était véritablement un merveilleux amant auquel elle n'hésiterait pas à revenir chercher de l'affection, un peu d'amour quand d'autres hommes , eux ne lui en ont jamais apportés. «Je crois que c'est le meilleur petit déjeuner de toute ma vie.» Un petit déjeuner qu'elle pourrait dévorer, encore et encore. D'ailleurs, elle n'hésita pas à venir croquer sans mal une de ses épaules non loin de sa bouche. Elle était impatiente de pouvoir le regarder à nouveau, les yeux dans les yeux, qu'il puisse lui aussi s'exprimer sur ce qui venait de se passer, qu'il donne des mots cette fois à ses précédents gestes, en espérant qu'elle ne soit pas déçu par ce qu'il irait lui dire.

Alex était différent des autres hommes, et jamais elle ne penserait n'avoir été qu'un fantasme à assouvir à ses yeux. Non,il devait certainement y avoir plus qu'une attirance charnelle envers elle, il ne lui aurait jamais fait l'amour sinon. En attendant une réaction de sa part, elle se contenta d'humer son odeur, son parfum, d'apprécier la chaleur de son corps nu contre le sien. Deux corps en sueur, consumés par l'un l'autre, qui en l'espace de quelques instants ont sût s'apprivoiser, s'épouser sans grande difficulté, à croire qu'ils ont fait ça depuis toujours, qu'ils sont destinés l'un à l'autre.
@Alexander T. Roberts     .

 

alexander & Paisley

dusk till dawn.

Pour Alexander, il ne pouvait pas avoir un meilleur moment. Ce moment, il l'attendue même s'il ne le dira pas tout haut puisqu'il a une image à préserver. Il ne veut pas que les gens le pensent comme son frère parce qu'ils sont totalement différents tous les deux. C'est malheureux à dire, mais ils n'ont rien en commun, ils sont différents au point où ils ne se sont jamais vraiment entendus tous les deux. Leurs caractères sont différents, leurs visions sont différentes, leurs buts dans la vie ne sont pas les mêmes... bref nous pourrions croire qu'ils n'ont pas été élevés par les mêmes parents. Contrairement à son jeune frère, Alexander veut du sérieux, il rêve d'avoir une famille à lui et même de se marier. Il n'a malheureusement jamais rencontré cette femme qui partage les mêmes rêves que lui. Peut-être qu'un jour il la rencontrera cette femme, mais pour l'instant ce n'est absolument le cas.

Toute bonne chose a une fin, comme cet échange de tendresse qu'il vient de partager avec sa colocataire. Il n'aurait jamais pensé faire une telle chose un jour. Il ne pensait pas qu'elle pouvait le trouver de son goût. Il voit cela comme une sorte de miracle. Ce moment était tout simplement parfait aux yeux d'Alexander qui ne s'attendait pas à autant de connexion avec cette femme qui dégage tellement d'assurance. Une fausse assurance en soi sans doute, mais ça les hommes qui ne la connaissent pas personnellement ne peuvent pas s'en douter. Alexander s'est donne totalement comme si sa vie en était en jeu et visiblement il a très bien fait les choses.

Le tête dans le cou de Paisley, il respire et il sourit. S'il n'avait pas assuré, elle ne lui dirait pas tout ça en ce moment. Il doit d'ailleurs lui répondre avant qu'elle pense qu'il regrette. Regretter une telle chose est totalement impossible pour lui parce qu'il en avait vraiment envie. Elle lui a toujours donné l'envie, surtout hier soir. Il aurait pu craquer et faire l'amour alors qu'elle était dans un état d'ivresse, mais cela ne se faisait pas. Il voulait qu'elle s'en souvienne et non qu'elle se réveille sans aucun souvenir ce qu'ils ont fait et de ce qu'ils se sont dits.
ALEXANDER : « Je n'ai pas vécu une telle chose depuis tellement longtemps. Je pourrais même dire que c'est un moment unique pour moi d'être là, avec toi. »  
Dit-il finalement en la regardant dans les yeux.
ALEXANDER : « Tu vaux beaucoup plus que tu le penses Paisley. Tu mérites qu'on t'aime pour ce que tu es au fond de toi. Tu mérites d'être heureuse. Tu mérites qu'on aille décrocher la lune pour toi. »
Ajoute-t-il en s'allongeant à ses côtés.
 

alexander & Paisley

dusk till dawn.

C'est un moment unique pour moi d'être là, avec toi. Le plaisir et le bonheur était partagé. Etre la, aux côtés de Alexander, à savourer quelques instants de tendresse et de douceur était tout simplement magnifique. Elle n'avait pas besoin de plus pour être satisfaite, bien dans sa vie, ce petit instant pourtant simple lui suffisait. Il semblait tout autant qu'elle heureux d'avoir partagé un tel moment, et cela la fit sourire d'avantage. Lui qui était si sérieux, si droit et correct dans sa vie, elle craignait d'être la coucherie de trop pour lui, celle à qui il se serait bien abstenu de faire l'amour. Mais non.. Lui aussi souriait, lui aussi semblait être en joie et rien n'était plus beau et précieux que ses sourires qu'ils s'offraient mutuellement. Son regard croise à nouveau le sien, il est aussi délicieux que lui. Jamais elle n'avait été aussi captivée par le regard d'un homme, celui la pétillait, brillait, comme un enfant découvrant son cadeau un soir de Noel. Durant de longues secondes, elle l'observait, ne sachant se défaire de sa présence à ses côtés, de ce beau regard qu'il lui lançait. Puis, il vient s'allonger, à ses côtés, tout en lui parlant, une nouvelle fois.

Tu vaux beaucoup plus que tu le penses Paisley. Son sourire se dissipait peu à peu. A vrai dire, elle ne s'est jamais vraiment posé la question de ce qu'elle pouvait mériter dans la vie. Est-ce qu'elle était faites pour être aimé pour ce qu'elle était et non pas pour ce qu'elle avait à offrir? Est-ce qu'elle était faites pour un seul homme, que ce même homme se bat corps et âme pour la préserver, la protéger, "lui décrocher la lune"?  Elle n'en savait rien. Elle a toujours pensé que les hommes ne s'intéressaient en temps normal qu'à sa plastique de rêve et à ce qu'elle pouvait faire avec ce même corps, mais sont-ils capable de l'aimer? Doucement, elle tourna la tête vers l'officier de police à ses côtés, sans sourciller, sans émettre une seule parole, juste un regard, le temps d'une réflexion. Pauvre petite Paisley, comment en est-tu arrivée la? Il avait suffit d'un seul départ pour que sa vie bascule du tout au tout. Quand ses deux parents, les êtres qu'elle chérissait le plus sur cette planète ont disparus de la surface de la terre, que leurs âmes se sont envolées dans le plus haut des cieux. Elle se rappelle très bien de ce jour, ou son corps de petite fille s'était retrouvée face à ses deux tombes l'une à côté de l'autre, que ses deux mains agrippaient celles de ses cadets qui eux ne s'étaient pas gênés pour laisser exploser leur tristesse. Elle, elle ne pleurait pas. Elle semblait inerte, les yeux humides, le cœur à l'arrêt. Elle n'a même pas fait attention à toutes ses mains qui se sont posées sur ses épaules, elle s'en foutait royalement du soutien que certaines personnes, hypocrites, pouvaient lui apporter en ce jour de deuil. Tous ce dont elle avait besoin c'était de revoir une dernière fois les yeux de sa mère, son sourire, qu'elle lui murmure doucement que tout ira bien pour elle. Mais cela n'était jamais arrivé.. Elle était partie, pour de bon. Alors, elle avait attendue d'être seule Paisley, pour que ses jambes se mettent à faiblir, flancher, que ses genoux se retrouvent sur le sol et que ses larmes ne commencent à couler. Elle avait attendue d'être seule pour appeler sa mère en sanglot, parce qu'elle avait besoin d'elle plus que jamais. Elle avait besoin que cette dernière soit la pour elle, qu'elle la guide dans le droit chemin. Sans elle, la vie ne serait plus jamais la même, sans elle Paisley est devenue Paisley, cette femme volage, un peu perdue, qui cherche encore aujourd'hui un repère dans ce monde. «Je sais pas si je mérites tout ça Alex.. En fait, je me suis jamais posée la question si je le méritais.» qu'elle lui avoua sérieusement la gorge nouée.

Si il le disait, c'était peut-être parce qu'il avait raison. N'importe quel être humain sur cette planète à le droit au bonheur, celui d'un jour construire un avenir avec un homme ou une femme, d'avoir de beaux enfants, de vivre un beau mariage, d'avoir une belle maison. N'importe qui rêverait d'une telle situation, autant faut-il trouver la personne adéquate qui sera la pour vous pousser vers le haut et non pas l'inverse. «Tu penses sérieusement tout ce que tu dis? Tu crois sérieusement que quelqu'un se donnerait du mal pour me décrocher la lune? J'en doutes.» qu'elle continuait sans se défaire de son regard, sentant rapidement une certaine émotion lui grimper aux yeux. Alors, pour ne pas flancher devant lui, pour ne pas être cette petite Paisley gamine et sans repère, elle s'était rapprochée à nouveau du corps du policier pour s'y blottir contre, la tête et le nez contre son torse très vite accompagné de sa main. Elle pourrait l'agripper de toutes ses forces tant elle avait besoin de réconfort et d'un peu d'amour et comme ci ses souvenirs ne lui suffisaient pas, une petite larme s'était échappée de son œil droit pour venir s'abattre contre la peau du garçon sous son visage. Alexander était réellement le seul qui avait été capable de lui faire raviver ses souvenirs douloureux, des souvenirs qu'elle allait devoir affronter durant le reste de sa vie pour avancer, continuer sa route et tenter d'apercevoir à travers les nuages sombres et gris, un peu de lumière. «Mais tu sais.. j'y crois en ce bonheur, secrètement mais j'y crois.» qu'elle avouait la voix étouffée par le torse du garçon qu'elle humait envieusement. Ca aussi, aucun autre homme n'était au courant, à croire qu'il était beaucoup plus simple et facile de se livrer à Alex qu'à quelqu'un d'autre, en plus de jouer le rôle de l'amant, voilà qu'elle le prenait pour le confident, celui à qui n'avait pas peur de tout dire, de tout avouer, quitte à fissurer un peu plus cette carapace qu'elle portait difficilement sur le dos dans sa vie de tout les jours.
@Alexander T. Roberts     .

 

alexander & Paisley

dusk till dawn.

Alexander a beaucoup d'amour à donner, à offrir à la personne qui voudra bien lui laisser sa chance. Ce n'est pas pour rien qu'il a fait une demande d'adoption il y a plus d'un an déjà. Il ne sait quand il aura une réponse mais il espère que celle-ci sera positive. Il sait pertinemment qu'il est capable de s'occuper tout seul d'un enfant. Alexander croit avoir les qualités nécessaires pour pouvoir prendre soin d'un enfant, lui offrir tout ce qu'il a besoin pour grandir. Les femmes ne semblent pas vraiment vouloir de lui alors il va de l'avant avec ce rêve d'avoir sa petite famille. L'adoption est un long processus, ce n'est pas quelque chose de rapide. Alexander est patient alors il est prêt à attendre tout le temps qu'il faut... tant que la réponse est positive à la fin du processus.

Paisley est pleine de vie, elle est drôle et charmante, elle vaut plus que de simples aventures sans lendemain. Elle est peut-être bien dans cette vie, elle est peut-être heureuse ainsi. C'est peut-être Alexander qui s'en fait trop pour elle. Lui, il ne serait pas bien au milieu d'une telle chose mais il ne doit pas s'imaginer que tout le monde se sent mal. Tous les goûts sont dans la nature... Alexander doute uniquement que ce soit la vie que Paisley désire. Elle mérite le respect de la part des autres, elle mérite de l'amour sincère.
ALEXANDER : « Tout le monde le mérite Paisley, tout le monde mérite le respect. La question ne se pose même pas. »
Dit-il sincèrement en la regardant pour qu'elle sache qu'il est sincère, que ses mots sont vrais. Jamais il ne parlerait à travers son chapeau. Alexander sait qu'il n'a pas toujours raison, mais en ce moment il a totalement raison.

Pourquoi douter sans arrêt? Pourquoi n'a-t-elle pas confiance en elle? Pourquoi tant de questionnements de sa part? Alexander le dit parce qu'il le pense. Un jour, elle rencontrera un homme dont elle tombera sincèrement amoureuse et ce sera l'amour fou entre eux. Cet homme est mieux de lui décrocher la lune parce qu'il ne sait pas tout ce qu'il perdrait sans elle. Il perdrait son beau sourire, ses yeux émotifs, sa vision de la vie unique et ses blagues charmantes. Pourquoi un homme ne voudrait pas lui décrocher la lune? Toutes les femmes méritent de rencontrer un homme qui prendra soin d'elles.
ALEXANDER : « Moi, je pourrais la décrocher pour toi la lune si tu m'en donnais la chance un jour. »
Répond-t-il simplement alors qu'elle vient finalement se "camoufler" contre lui. Il sent d'ailleurs sa peau de mouiller légèrement au niveau du visage de Paisley. Il entend ses mots très bas et lui caresse les cheveux en guise de réponse, de soutien.