(#)Sujet: Re: dusk till dawn | Alex. | Sam 21 Déc - 11:47
alexander & Paisley
dusk till dawn.
Ce monde hostile est parvenu à lui arracher son bonheur autrefois, sans aucun scrupule ni remord. Elle avait tout pour être heureuse, pour avoir un bel avenir. Elle est loin la petite fille fragile, vêtue de belles robes, coiffée proprement, sagement. Elle est loin cette belle rêveuse, envieuse de devenir pianiste, d'être reconnue à travers le monde pour sa musique, pour ce talent que bien du monde pourrait applaudir. Cette petite fille et son image ont étaient brisées et encore aujourd'hui, il semble impossible d'en recoller les morceaux. Ils se sont dissipés à travers le monde, ses cadets en ont emportés avec eux quand ils sont partis, ses parents aussi. Aujourd'hui, elle n'est qu'une coquille vide, une simple enveloppe charnelle au trou béant dans la poitrine, qui craint de souffrir un peu chaque jour d'un manque d'amour. Non. Elle souffre du manque d'amour. Elle ne sait pas aimer Paisley, elle est maladroite avec ce sentiment. Elle a peur de s'attacher, peur que le bonheur ne se dérobe à nouveau sous ses pas. Elle ferme les yeux, une larme perle le long de son œil, s'écrase contre le torse du policier. Elle a mal au fond d'elle Paisley mais jamais elle ne serait capable de le montrer au monde, de peur d'être pointée du doigt. Elle est beaucoup trop fière. On lui a toujours dit de garder la tête haute quoi qu'il arrive, alors elle gardera cette même tête haute, jusqu'à sa mort.
Seulement voilà, aujourd'hui, la carapace qu'elle a tant eu de mal à se forger commence à s'effriter dans les bras d'Alexander, en même temps qu'il lui parle, qu'il l'embrasse, qu'il la serre contre lui, comme ci justement il souhaitait la briser cette carapace par la seule force de ses bras. Oui, tout le monde a le droit au bonheur, tout le monde a le droit à une seconde chance, encore faut-il être capable de la saisir au moment opportun. Comme une petite fille a la recherche de réconfort, elle se blottie un peu plus contre le policier, enfouie le bout de son nez contre sa peau pour sentir son odeur, pour se sentir rassurée par sa chaleur. Son ouïe est attentive à la moindre parole qu'il pourrait lui dire.
Moi, je pourrais la décrocher pour toi la lune si tu m'en donnais la chance un jour.Il venait vraiment de dire ça? Doucement, elle leva la tête pour croiser son regard une nouvelle fois. «Répète ce que tu viens de dire.» Elle le fixe avec son regard humide, elle s'en fou qu'il remarque qu'elle a osé lâcher une larme, elle a envie, besoin qu'il lui répète ce qu'il venait de lui dire parce que jamais personne n'avait osé lui dire une telle chose, jamais personne ne se serait donné la peine de décrocher la lune pour elle. «Tu penses pas ce que tu dis. Tu pourrais pas décrocher la lune à une fille comme moi Alex. J'aurais trop peur de te créer des ennuis, je t'en ais déjà créé si tu te rappelles bien.» Déjà par ce vol de voiture. Alexander l'avait aidé, il avait été la pour qu'elle n'ait pas d'ennuis, pour lui éviter de gros ennuis même. Il a toujours été la pour la protéger, pour la préserver, comme un ange gardien le ferait. Il méritait de trouver une femme stable qui lui rend l'appareil. Est-ce qu'elle serait capable de faire ça? Elle n'en sait rien. Elle ne peut pas prédire l'avenir, elle n'a jamais été capable de le faire, si elle savait par avance ce qui arriverait, elle aurait certainement empêcher ses parents de monter dans cet avion. «J'aimerais pouvoir te dire que je t'apporterais la stabilité que tu souhaites mais ça serait te mentir, parce que si je le fais, je suis même pas sure d'arriver à tenir ma promesse. Je suis trop maladroite Alex.» Doucement, elle leva son visage pour déposer son front contre le sien , pour fermer les yeux l'histoire de quelques secondes, d'apprécier le souffle chaud du garçon contre ses joues, ses lèvres, son visage. Cet instant, elle l'appréciait, même que si elle le pouvait, elle aurait certainement figé le temps pour qu'il dure éternellement. «Tu m'rends véritablement dingue..» parce que oui, à ses côtés elle sentait son cœur battre un peu plus vite, un peu plus fort comme ci il cherchait à se faire entendre par le sien, de battre avec lui à l'unisson, mais sa raison la poussait encore et toujours à croire que Alex finirait par se lasser d'elle, de ses conneries, de ce qu'elle était, à moins que ça ne soit pas le cas, à moins qu'il l'accepte comme elle est elle, entière. Qu'il accepte sa personnalité, ses fous rires débiles, ses instants de folie, ses envies, ses désirs, son passé, tout. Il fallait qu'il l'accepte pour pouvoir songer à quelque chose avec elle, comme elle devait accepter ce qu'il était, l'homme différent d'elle.
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(#)Sujet: Re: dusk till dawn | Alex. | Sam 21 Déc - 21:16
alexander & Paisley
dusk till dawn.
Parfois, la vie est injuste, la vie fait vivre des choses difficiles à certaines personnes alors que d'autres ont une vie beaucoup plus facile, beaucoup plus simple, beaucoup plus rose. Pourquoi est-ce que la vie s'acharne parfois sur certaines personnes? C'est quelque chose à quoi nous ne pourrons jamais répondre malheureusement, même si nous voudrions tant y répondre. Alexander n'a pas eu une vie toujours facile, mais il sait qu'il y a des gens qui vivent des choses milles fois pires que lui. Il ne faut pas se comparer aux autres parce que nous ne serons jamais heureux si nous faisons une telle chose. Alexander a longtemps cessé de se comparer à ces hommes, ces personnes avec lesquelles il a été à l'école qui sont maintenant mariés et qui ont déjà leur petite famille. Il sait que sa vie pourrait être meilleure, mais il sait aussi qu'elle pourrait être pire.
Le but d'Alexander n'est pas de faire craquer Paisley. Son but est uniquement de lui montrer qu'elle n'est pas seule et qu'elle ne sera jamais seule tant qu'ils seront des amis tous les deux. Paisley a une carapace, une carapace dure, mais quand même fissurée à certains endroits. Il ne veut pas la briser parce qu'il n'est pas un homme qui désire qu'elle se mette à nue devant lui si elle n'en a pas envie. Il cesse d'ailleurs de lui caresser les cheveux alors qu'elle relève la tête pour le regarder. ALEXANDER : « Je pourrais décrocher la lune pour toi. » Répète-t-il comme demandé par Paisley.
Comment peut-elle dire qu'il ne pense pas ce qu'il dit? Elle lui répond sans doute une telle chose parce qu'elle ne croit pas un instant qu'un homme puisse avoir envie de la rendre heureuse. Alexander ne peut pas lui en vouloir parce qu'elle est ainsi, elle a visiblement un manque de confiance en elle, un manque de confiance qu'elle pourrait résoudre si elle s'en laissant la chance. ALEXANDER : « Tout cela est de l'histoire ancienne, c'est tout oublié. Je n'y pense même plus. » Il faut passer par-dessus les choses négatives. Paisley a appris de ses erreurs et plus jamais elle ne refera la même chose parce qu'elle sait qu'Alexander ne pourra pas lui venir en aide une deuxième fois. Alexander l'aime, mais il n'est pas pour mettre sa carrière en jeu une autre fois.
Caresse doucement sa joue avec sa main, il la regarde toujours droit dans les yeux tout en l'écoutant s'expliquer sur le fait qu'elle ne peut pas lui offrir ce qu'il désire. Alexander ne lui demande rien, juste d'être heureuse et d'être fière d'elle. Est-ce qu'elle pourrait comprendre et croire une telle chose? ALEXANDER : « Je ne te demande pas de changer. Ta maladresse est charmante. Un homme qui t'aimera vraiment ne te demandera jamais de changer. Lorsque nous aimons quelqu'un sincèrement c'est avec ses qualités et ses défauts. » Paisley fait des erreurs tout comme n'importe quel humain sur cette terre. Paisley a peut-être besoin de faire toutes ses erreurs pour se sentir exister, Alex ne peut pas l'affirmer ni l'infirmer. Tout ce qu'il sait c'est qu'il a beaucoup de respect et d'amour pour elle. ALEXANDER : « Attends-moi, je reviens. » Il sort du lit, met son boxer et se rend à sa chambre pour finalement revenir avec une livre sur l'espace. Il s’assoit sur le lit, le dos contre la tête de lit. ALEXANDER : « Tu ne veux peut-être pas que je décroche la lune pour toi, mais peut-être que tu préférerais que je décroche les étoiles pour toi. Il y a plusieurs sortes d'étoiles. » Il ouvre son livre pour lui montrer les différentes étoiles. ALEXANDER : « Toi, tu es celle-là, l'étoile Sirius. Elle est dans la constellation du Grand Chien. » Il lui montre l'étoile en question. ALEXANDER : « C'est l'étoile la plus brillante après le soleil. On l'observe plus en hiver, ce qui veut dire que tu illumines nos vies par les temps plus froids et la noirceur qui arrive tôt. Donc si tu ne veux pas de la lune alors j'irai chercher Sirius pour toi. »
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(#)Sujet: Re: dusk till dawn | Alex. | Dim 22 Déc - 23:22
alexander & Paisley
dusk till dawn.
Le ciel ne peut pas toujours être ensoleillé au dessus de nos têtes. Il arrive parfois que les nuages gris prennent entièrement place, que la pluie et les orages grondent. La tempête ne part jamais sans conséquences, sans séquelles mais quoi qu'il arrive, quoi qu'elle puisse faire, il y a toujours des courageux pour affronter l'avant, le pendant et l'après, prêts à ramasser les morceaux de leur existence pour tenter de les recoller et de redonner un sens à leur vie. Paisley n'a jamais sût se remettre de la mort de ses parents, elle n'y arrivera certainement jamais même. Des parents ça ne s'oublient pas, ils sont nos guides dans ce monde, des modèles dont ont prend exemple pour avancer dans le droit chemin. Paisley avait hérité de la beauté de sa mère et du tempérament de son père, elle était têtue, obstinée, ambitieuse, à croire qu'elle a toujours sût ce qu'elle ferait dans la vie jusqu'à ce que cette même vie lui arrache brutalement ses repères, qu'elle se retrouve plongée dans l'obscurité la plus totale, sans lumière pour la guider jusqu'à ce précieux droit chemin. Et dans ce noir, ce chaos, il y avait cette petite voix qui voulait lui accorder une seconde chance, une petite voix qui était la pour lui rappeler qu'elle n'était pas ce qu'elle pensait être. Elle n'est pas qu'une espèce de courtisane qui aime plaire , ni une créature de la nuit qui ne se soucie que peu des lendemains. Elle était Paisley, une artiste dans l'âme, une rêveuse qui rêve par dessus tout d'exposer son talent au monde entier. Elle était Paisley, une femme qui méritait qu'un homme se bat pour elle, qu'il lui décroche la lune?
En écoutant les propos de Alexander, ses yeux s'ouvrent un peu plus, humides. Elle peine à garder son émotion pour elle, parce qu'aucun homme ne lui a jamais dit tout cela, parce qu'elle le trouve tellement adorable, tellement gentil avec elle et ce malgré tout les problèmes qu'elle avait pût lui créer. Des problèmes qu'il semble avoir oublier depuis au vu de ses dires. Alexander, il l'aime pour ce qu'elle est. Il sait qu'elle n'est pas la plus honnête des filles de Miami, qu'elle est un peu maladroite, qu'elle a du mal avec pas mal de choses, mais il sait surtout, qu'en dépit de tous cela, elle reste une femme avec un cœur énorme, une femme sensible, fragile, difficile à atteindre. Elle est un peu comme le cristal, joli à observer avec les yeux mais fragile quand on pose les doigts dessus. Silencieuse, elle observe le jeune homme à ses côtés, elle ne trouve pas les mots, elle ne sait pas quoi lui dire et se contente simplement de le regarder, de lui sourire légèrement. Et soudainement, il se lève, il enfile son bas, sort de ses draps, s'en va. Elle le suit du regard, elle a peur qu'il s'en ailles, mais il lui a promit de revenir alors elle sait qu'il lui reviendra, et pas seul.
Intriguée, elle observe l'ouvrage qu'il tient entre les mains, elle se demande bien ce que ça peut être. Rapidement, elle aurait le droit à une réponse. Ce livre était un ouvrage sur l'espace, l'astronomie. Un livre illustrée, magique pour tous ceux qui rêvent d'avoir la tête dans les nuages. Comme une petite fille elle observe ce qu'il lui montre, fait attention à ce qu'il lui explique, les lèvres retroussées. Il lui parle d'étoiles, d'une en particulier. Sirius Il la compare à cette même étoile, et ses explications sont si belles qu'elle se laisse envoûter par son univers. «Sirius hein..» Elle sourit, relevant de temps en temps les yeux vers Alex lorsqu'il lui parle. Il a l'air si passionné par ce qu'il dit, par ses explications, comme un vrai petit professeur qui donnerait un cours à un élève. Il est persuadé de pouvoir lui décrocher cette belle étoile brillante dans le ciel, elle se met à rire, un rire presque trop adorable. «T'es vraiment en train de me parler d'étoiles Alex?» Rapidement elle rapproche ses lèvres, lui offre un doux baiser sur la joue. «D'accord, je te met au défis alors de m'attraper Sirius. Tu te sens capable d'y arriver?» Elle penche la tête, cherche à capter son regard avant de poser sa main sur la sienne, toujours posée sur ce livre. «C'est qu'elle a vraiment l'air belle cette Sirius, ça me donne vraiment envie de l'avoir rien que pour moi. » qu'elle rajoute en ne détournant pas un seul instant son regard du sien. «Mais en attendant, je ne vais pas te cacher que je meurs de faim. Je crois que je serais pas contre un bon petit déjeuner bien calorique pour me donner des forces. Celles qu'un certain policier m'a méchamment volées. » Elle se mit à nouveau à rire en venant s'installer à califourchon sur lui pour lui déposer milles baisers sur le visage , venant par la suite se pencher pour récupérer sa lingerie histoire de ne pas sortir nu pour se rendre dans la salle de bain et dans la cuisine ou elle pourrait enfin déjeuner. @Alexander T. Roberts .
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(#)Sujet: Re: dusk till dawn | Alex. | Lun 23 Déc - 23:48
alexander & Paisley
dusk till dawn.
Ma vie n'a pas été facile ces derniers mois, mais je me suis relevé et maintenant tout se passe bien dans ma vie. Mon ciel s'est éclairci tranquillement. Je sais qu'il sera toujours nuageux parce qu'une vie parfaite n'existe pas. L'important est de se relever à toutes les fois où nous tombons au sol. La terre n'arrêtera pas de tourner pour nous. La vie continue, le temps continue à avancer. Je suis maintenant prêt à me battre aussi longtemps qu'il le faudra pour que ma vie reste belle le plus longtemps possible. Je ne suis pas un lâche, je suis un combattant même si j'ai déjà baissé les bras. Tout cela est derrière moi, plus jamais je ne vais me laisser faire comme un débutant.
Si Paisley ne veut pas de la lune alors peut-être qu'elle voudra une étoile, la plus belle, la plus brillante dans le ciel. Je ne sais pas pourquoi, mais je mets mon bas et je me sens obligé d'aller dans ma chambre pour y récupérer l'un de mes livres sur l'astronomie. C'est une sujet qui me passionne même si je ne le dis pas tout haut. Cette vie ailleurs dans le monde m'intrigue plus que tout au monde. J'y crois, je crois qu'il y a de la vie ailleurs. Je ne sais pas où, mais je refuse de croire que nous sommes les seuls êtres vivants dans l'univers.
De retour et installer sur le lit, j'explique des choses à Paisley en lui montrant des choses dans mon livre. Je ne sais pas si ça l'intéresse vraiment, mais elle m'écoute et ça ça vaut tout l'or du monde. Elle est Sirius, elle est la plus brillante, celle qui se démarque le plus. ALEXANDER : « Oui... tu n'aimes pas? » Peut-être qu'elle me trouve con de lui parler d'étoiles. Peut-être qu'elle me trouve dépassé de parler ainsi, d'essayer de la séduire de cette manière. Je suis peut-être trop romantique, je ne sais pas. ALEXANDER : « Tu devras la cacher parce que tu feras des jalouses. » Dis-je en souriant avant de fermer mon livre. ALEXANDER : « Je suis un voleur, je m'excuse. » Je l'embrasse avant de la regarder faire, c'est-à-dire s'habiller. ALEXANDER : « Je m'occupe du petit-déjeuner. Qu'est-ce que tu aurais envie de manger? »
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(#)Sujet: Re: dusk till dawn | Alex. | Mar 24 Déc - 6:49
alexander & Paisley
dusk till dawn.
Rien n'est plus envoûtant, étincelant que les étoiles dans le ciel. A chacun sa définition. Certains pensent à de minuscules planètes peuplés d'êtres non identifiés, d'autres s'imaginent que ce sont tous ceux qui nous ont quittés et qui, de la haut, nous observes à chaque fois que la nuit a pointée de le bout de son nez, d'autres, plus scientifiques, pensent qu'il s'agit de corps célestes plasmatiques. Paisley, elle, opte pour la seconde option, parce qu'elle veut croire, que d'en bras, de cette ville, ses belles étoiles qui brillent chaque soir, brillent pour elle. Avec attention, elle écoute le jeune homme lui parler de ses fameuses étoiles, de sirius qu'elle ne connait pas mais qui semble être la plus belle de tous. Elle se perd dans ses explications, se déconnecte du monde l'espace de quelques secondes pour voler haut dans le ciel, puis elle rit doucement parce qu'aucun garçon ne lui a parlé d'astronomie après une coucherie. «Non.Non. Continue de me parler de Sirius.» Elle ne voudrait pas qu'il pense qu'elle se moque de lui, ou qu'elle le trouve ringard, car ce n'était pas ça du tout. Alexander cultivé cette différence qu'il pouvait avoir vis à vis des autres et cela ne le rendait que plus séduisant à ses yeux. Un parfait gentleman qui séduit les femmes à sa façon et bête serait celle qui n'apprécierait pas sa façon de faire, même Paisley, habituée à une toute autre cour en temps normal en est séduite. Elle lui demande de voler Sirius pour elle, il lui conseille de la cacher pour éviter que des petites jalouses sans scrupule ne la lui subtilise. Elle fera attention, qu'il soit sans crainte la dessus.
En attendant, Mademoiselle semble avoir une toute autre idée en tête. Elle rêve de pouvoir se manger un bon petit déjeuner calorique pour se redonner des forces. Même si elle rêverait de pouvoir rester la journée entière au lit, blottie dans les bras du jeune homme, il fallait qu'ils se lèvent tôt ou tard. Elle ne travaillait pas aujourd'hui, mais elle en profiterait certainement pour faire d'autres choses. Il y a toujours quelque chose à faire quand ont tient un appartement. Les courses, le ménage, les comptes, la cuisine. Quoi que, à ce niveau la, elle préférait largement laisser faire son colocataire, bien plus doué qu'elle pour mijoter quelques plats. Rapidement, elle rattrapait sa lingerie pour l'enfiler sur elle, histoire de ne pas sortir totalement nue et se balader de la sortes dans tout l'appartement. Alexander, lui, souhaitait savoir ce qu'elle désirait prendre pour le petit déjeuner, elle eut un moment d'hésitation avant d'enfiler une robe de chambre en soie et de revenir vers lui pour se pencher à ses lèvres. «Hum.. je meurs d'envie de manger des pancake avec plein de sirop d'érable et un bon verre de jus d'orange en accompagnement..» Elle en demandait peut-être trop, alors, à défaut d'avoir ses pancakes, elle s'était contenté de déposer un baiser sur les lèvres du policier pour ensuite lui souffler quelques derniers mots au visage. «Improvise..quoi que tu fasses de toute façon je suis persuadée que ça sera délicieux.» Puis elle s'éloignait, doucement, lui laissant le privilège de déambuler dans leur appartement à sa guise, de faire ce qu'il veut le temps qu'elle de son côté ne se dirige jusqu'à la salle de bain pour se doucher, profiter de l'eau chaude sur sa peau, qu'elle se délecte de ce moment en repensant à ce qui s'était passé plus tôt.
Elle ne sait pas ce qu'il lui a prit, elle se demande bien pourquoi elle avait succombé au garçon qui partageait le même appartement qu'elle. Certains penseraient "Le fantasme du policier", d'autres "Un moment d'égarement, de faiblesse" mais elle, que pensait-elle réellement? Les yeux clos sous let jet d'eau chaude, elle repense aux mains d'Alexander sur son corps, à ses lèvres sur sa peau, à l'extrême douceur dont il avait fait usage pour lui faire l'amour et un sourire vint automatiquement illuminer son visage. Elle avait aimé cela dans le sens ou aucun garçon ne s'était montré aussi tendre amant qu'il ne l'avait été lui et pour une fois depuis longtemps, elle s'était sentie respectée, aimée même. @Alexander T. Roberts .
(#)Sujet: Re: dusk till dawn | Alex. | Mar 24 Déc - 14:30
Ca chauffe par ici !
On s'amuse bien par ici à ce que je vois, y a une ambiance muy caliente comme diraient les hispaniques Voyons si je trouve de quoi m’amuser un peu … Oh la chaudière qui alimente en eau chaude et en chauffage votre appartement ne semble pas être en très bon état. OUPS ! J’ai peut-être appuyé sur un mauvais bouton … La voilà qui s’emballe dans des températures encore plus hot que celles sous la couette. Paisley, l’eau de ta douce se met à t’ébouillanter comme une écrevisse dans une casserole tandis que tous les chauffages s’empressent de réchauffer l’atmosphère. Alexander, arrivera-t-il à gérer la situation ? Je conseillerais un avis médical concernant les brûlures de ta dulcinée, mais ce n’est qu’un humble avis Bisous bisous mes amours, Nightmare
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(#)Sujet: Re: dusk till dawn | Alex. | Mer 25 Déc - 21:30
alexander & Paisley
dusk till dawn.
Je ne regretterai jamais ce que je viens de partager avec Paisley. Nous avons partagé ce qu'il y a de plus intime entre deux personnes. C'était, à mon humble avis, tout simplement parfait pour une première fois. Je n'aurais pas pu espérer mieux tellement que tout était synchronisé entre nous. C'est comme si nos corps étaient tout simplement créés pour que nous soyons tous les deux ensemble et complices. Je ne sais pas ce que cette relation donnera. Je ne sais pas ce que ressent Paisley. Je ne sais pas si elle pense que cet acte est le possible début d'une histoire entre nous. J'ose espérer que je ne suis pas con d'avoir espoir en nous. Ce n'est pas un sujet facile à aborder parce que je ne veux pas que cela crée un certain malaise.
Paisley a faim, je vais donc lui préparer un petit repas pour qu'elle puisse manger. J'ai toujours aimé faire la cuisine alors pour moi ce n'est certainement pas une corvée de faire une telle chose. Ça me fait plaisir de cuisine, encore plus pour elle. Elle mérite tout l'or du monde et même qu'elle mérite qu'on lui décroche Sirius ou la lune. Bref, je suis désormais à la cuisine et je vérifie si nous avons tout le nécessaire pour faire des pancakes. À première vue nous avons tout ce qu'il faut, alors elle aura ses pancakes. Il n'y a rien de plus simple à faire. Je sors les ingrédients et je me rends à l'évier pour pouvoir remplir la cafetière puisque j'ai besoin d'un bon café ce matin. En ouvrant le robinet pour l'eau froid, celle-ci est chaude... Je ne peux pas me poser trop de questions que j'entends Paisley qui crie dans la salle de bain.
Étant maintenant devant la porte de la salle de bain, je cogne deux petits coups et je demande : ALEXANDER : « Paisley? Ça va? » Je sonde la poignée de porte et comme celle-ci n'est pas barrée, j'entre à l'intérieur sans plus tarder, voyant toute cette boucane, cette buée que l'eau chaude crée. ALEXANDER : « Paisley? »
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(#)Sujet: Re: dusk till dawn | Alex. | Jeu 26 Déc - 8:09
alexander & Paisley
dusk till dawn.
Rien de tel qu'une bonne petite douche pour se remettre en forme et se replonger dans de bons vieux souvenirs qui nous ont fait du bien. Les siens ne datent que d'à peine une heure et encore. Ceux du policier à ses côtés, de ses mains sur elle, de ses chauds baisers sur ses lèvres, son corps, de la façon dont il avait eu de lui faire l'amour. Ses images défilent dans sa petite tête encore et encore, sans qu'elle ne s'en lasse. Un sourire instinctif étire ses lèvres alors que l'eau continue de couler sur son corps nu. Dans sa tête, elle se demande déjà comment seront les prochaines heures, les prochains jours, les prochaines semaines. Elle se pose trop de questions, ne devrait pas, elle qui vit habituellement au jour le jour. C'est à l'instant présent qu'elle devrait penser, à ses pancakes que Alexander serait capable de lui préparer, de cette eau chaude qui coulait un peu trop vite, un peu trop fort. Son sourire s'efface peu à peu alors que l'eau s'écoulant de la douche commence à devenir de plus en plus chaude. Elle n'a pas le temps d'appréhender la chose que cette dernière commence à lui brûler la poitrine, lui décrochant un cri de douleur. Rapidement, elle fait un pas en arrière en se tenant instinctivement sa poitrine douloureuse, rouge vif, écarlate. Son but premier est de sortir de la douche après avoir fermé l'eau, fuir cette eau bouillante qui rapidement créée un nuage de vapeur dans la salle de bain. Sa main attrape la serviette de bain non loin pour recouvrir le reste de son corps tandis que l'autre tente d'allumer une eau froide pour soulager la brûlure. Mais rien. Ce n'est que de l'eau chaude qui s'écoule des robinets, tandis qu'une chaleur étouffante commence elle aussi à prendre place au sein de l'appartement.
Une grimace étire ses traits de visage, la douleur est presque insupportable. Elle gémit en s’éventant la poitrine à défaut de pouvoir passer une eau fraîche contre. Il y aurait bien quelques glaçons qui pourrait la soulager, mais sur l'instant elle n'y pense pas, la brûlure l'en empêche, prend entièrement place dans sa tête. Elle a mal et c'est à peine si elle ose la regarder. Heureusement, et tel un preux chevalier, son colocataire s'était empressé de la rejoindre, certainement après avoir entendu son cri de détresse. Il entre, elle a honte qu'il la voit dans cet état, même que si elle aurait pût camoufler cette rougeur sur sa poitrine, elle l'aurait déjà fait depuis longtemps. «Je me suis brûlée avec l'eau de la douche..C-C'est rien. C'est rien du tout.» dit-elle, douloureuse en tentant de ravaler sa souffrance en se mordant l'intérieur des joues. Non, clairement ça n'allait pas. Elle avait mal, sa peau était aussi chaude que l'eau qui s'était écoulée de la douche. Heureusement, elle avait eut le réflexe de reculer de suite dès lors qu'elle avait sentie cette eau bouillante sur elle ce qui avait "minimiser" les dégâts, mais cette même eau avait eu le temps de l'atteindre, d'embraser sa peau sensible, de la consumer presque. Il fallait certainement qu'elle montre cela à un professionnel car ce n'était pas la qu'une simple petite brûlure, sa poitrine entière semblait touchée.«Merde! Ça brûle! .» Elle fermait les yeux, se mordait cette fois les lèvres pour s'empêcher de crier une seconde fois. Elle s'était mise à chercher de la fraîcheur autrement que par l'eau ou quelque chose de gelé, grâce à l'air qu'ils avaient l'habitude de respirer dans l'appartement mais même ça c'était impossible. Elle étouffait littéralement.«Il fait une chaleur ici..» le radiateur lui aussi s'embrasait alors qu'il lui semblait ne pas l'avoir réglé de la sortes. Cette fois, c'est son visage qu'elle s'éventait pour chercher de l'air respirable. C'était comme ci l'appartement tout entier était prit dans les braises. Sa main toujours contre sa poitrine, elle sortit de la salle de bain sans une parole de plus pour constater les dégâts. C'était bien ce qu'elle pensait, il faisait une chaleur monstrueuse chez eux. Les radiateurs s'étaient tous empresser de chauffer les lieux sans qu'ils ne soient capables de les contrôler, de les arrêter. «Alex y'a un problème! C'est pas toi qui as touché la chaudière? Il fait une chaleur insupportable ici! On étouffe! » Et en même temps, si tout les radiateurs ont décidés de jouer les rebelles, il y avait de quoi étouffer. «C'est pas possible, on doit avoir un problème avec la chaudière.» Elle continuait de s'éventer, en cherchant l'origine du problème, tentant au maximum d'oublier le mal qui lui rongeait la peau, d'ailleurs, maintenant qu'elle était sortie de la salle de bain, il serait préférable d'aller vite chercher de la glace pour apaiser ses souffrances. «Tu peux jeter un œil? Je vais tenter de.. enfin, de soulager ma brûlure. » qu'elle avouait en se dirigeant cette fois jusqu'au congélateur ou se trouvait les glaçons en question. Elle en avait attrapé plusieurs qu'elle avait emprisonné dans un simple torchon de cuisine pour ensuite les déposer contre sa peau écrevisse mais même ça, ce simple contact suffisait pour raviver la douleur. «Putain de m..» Elle ravalait ses mots en levant les yeux au plafond .«Du calme Paisley, ça va aller. Calme.. C'est rien, ça va aller.» Elle soufflait l'air, ou du moins le peu d'oxygène respirable dans l'appartement, pour éviter de penser à la fraîcheur de la glace contre la chaleur de sa peau.«Ça fait mal.. ça fait mal. CA FAIT MAL!» qu'elle hurlait cette fois en balançant les glaçons au sol. C'était bien pire que mieux, elle avait carrément l'impression qu'une lame était en train de lacérer sa peau. C'était de l'eau qu'il lui fallait, une eau fraîche sans être glacée, une eau qu'elle ne trouvera malheureusement pas dans cet appartement qui semblait lui disjoncter littéralement. @Alexander T. Roberts .
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(#)Sujet: Re: dusk till dawn | Alex. | Jeu 26 Déc - 12:06
alexander & Paisley
dusk till dawn.
C’est une très belle manière de commencer cette journée de congé pour Alexander. Nous lui aurions dit une telle chose hier après-midi, il ne l’aurait pas cru. Après tout, ils sont tellement différents tous les deux, ils se "disputent" souvent que c’est impossible qu’une telle chose puisse se produire et pourtant c’est bien ce qui est arrivé un peu plus tôt ce matin. Alexander lui a parlé avec son cœur, il a découvert chez cette femme une facette qu’il ne pensait jamais découvrir un jour. Tout était tellement naturel, tellement simple, comme si leurs destins se devaient de se croiser l’un de ces jours. Alexander avoue avoir profité de ce moment parce qu’il ignore si le tout aura une suite.
C’est tout sourire qu’il se rend à la cuisine dans le seul et unique but de concocter un petit-déjeuner délicieux à Paisley qui le mérite plus que n’importe qui. Tout se passe d’ailleurs merveilleusement bien, Alex s’en sort haut la main. Ce bonheur n’est finalement que de courte durée puisqu’un cri provenant de la salle de bain fait monter la panique chez Alexander qui ne s’en y attendait strictement pas. C’est alors qu’il entre dans la salle de bain et qu’il voit Paisley qui lui explique qu’elle s’est brûlée. Tout se passe tellement vite qu’il ne sait pas par où commencer. Il prend une grande respiration pour avoir les idées plus claires. ALEXANDER : « Ok euhhhh, va voir dans le congélateur, il y a des glaçons. Je m’occupe du reste. » Parce qu’il est vrai qu’il commence à faire chaud ici. C’est comme s’ils vivaient une canicule dans leur appartement en plein mois de décembre. ALEXANDER : « J'étais dans la cuisine, je n’ai pas touché à ça. » Il n’est pas méchant à ce point quand même. Il n’aurait jamais fait une telle chose. Pourquoi pense-t-elle qu’il a touché à la chaudière? Elle ne lui fait pas confiance?
Arrêtant de se poser des questions, Alexander se rend à la boite électrique pour fermer les disjoncteurs qui alimentent les radiateurs ainsi que le chauffe-eau. Il devra téléphoner au propriétaire après s’être occupé de sa colocataire, après s’être assuré qu’elle se porte bien. En chemin vers la cuisine, il ouvre toutes les fenêtres de l’appartement. Il retrouve ainsi Paisley à la cuisine. ALEXANDER : « Montre-moi pour voir. » Et ce n’est pas par voyeurisme, loin de là même. Il veut juste voir par précaution puisqu’ils devront peut-être passer la journée à l’hôpital.
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(#)Sujet: Re: dusk till dawn | Alex. | Jeu 26 Déc - 15:30
alexander & Paisley
dusk till dawn.
Pourquoi faut-il qu'il se passe toujours quelque chose quand tout semble aller pour le mieux pour elle? Non. Dans la petite vie de Mademoiselle Warren, y'a des galères, y'en a toujours eu de toute façon, à croire que le destin, la vie ne supporte pas son sourire. Il faut qu'elle soit triste, qu'elle soit malheureuse pour que le monde continue de tourner "normalement". Cette fois, elle n'était pas triste non, elle avait mal, une souffrance extérieure et non pas intérieure comme elle a l'habitude d'avoir. L'eau bouillante sur sa peau avait fait quelques dégâts. Une rougeur qui pourrait même donner naissance à des cloques si elle ne prenait pas soin tout de suite de sa peau. Elle avait tenté la glace. Mauvaise idée. Ça avait été bien pire, la douleur semblait s'être ravivé et pire encore, elle semblait encore plus douloureuse que précédemment, comme si une lame s'était amusée à transpercer son poitrail. Ses pauvres glaçons avaient finis au sol, accompagnés du torchon qui les retenaient captifs jusqu'à présent. La situation lui échappait clairement, comme ses radiateurs qui s'étaient affolés sans qu'aucun des deux locataires de l'appartement ne fassent quoi que ce soit. Heureusement, Alex avait prit la situation en main, il s'était empressé de régler l'affaire et d'ouvrir les fenêtres de l'appartement pour aérer l'endroit mais aussi pour qu'ils puissent tout deux retrouver un semblant de souffle.
Pendant ce temps, la petite serveuse s'était assise sur le carrelage de la cuisine, adossée à un meuble, la main sur sa poitrine douloureuse, attendant que le policier lui revient pour se préoccuper de sa situation à elle cette fois. Il lui demandait clairement de montrer sa blessure, et elle avait tellement honte de la lui montrer. Sa poitrine, il l'avait vu il y a quelques heures à peine, alors qu'ils échangeaient tout deux plusieurs baisers et marques de tendresse. Cette fois, c'était différent. «Alex je-.. » veux laisser tomber? Non. Elle n'y arrivera pas. Elle savait dans sa petite tête qu'il fallait qu'elle aille voir quelqu'un, un médecin qui panserait ses blessures, qui lui donnerait de bonnes directives à suivre pour se remettre de ce malheureux accident. Alors, doucement, elle s'était relevée pour faire face au policier. Ses doigts agrippaient la serviette, comme ci elle ne voulait pas se mettre à nue devant lui. Ironique n'est-ce pas? Gênée, elle tira légèrement sur le tissu sans pour autant se dévoiler entièrement pour lui montre l'étendue de la plaie rougeâtre. «C'est moche hein? Je sais que c'est moche!» Elle détourna la tête en se retenant toujours de crier tant sa poitrine s'embrasait, brûlait littéralement. «Qu'est-ce qu'ont fait?» Finalement elle tourna de nouveau la tête, les yeux vers lui, inquiète à l'idée que sa plaie empire au fil des heures. Elle savait pertinemment qu'il fallait qu'elle aille à l'hôpital, aux urgences et rapidement, et ce même si ce n'était pas cas de vie ou de mort. «.. Je vais me préparer.» et sans plus attendre elle partit aussi vite dans sa chambre pour se trouver une tenue convenable qui ne lui collerait pas à la peau et qui ne raviverait pas la douleur sur sa poitrine. Une tenue simple suffirait pour se rendre à l'hôpital. Il fallait également qu'ils fassent appel à la propriétaire de l'appartement pour lui expliquer la situation, en espérant que tout serait réparé suffisamment vite pour que les fêtes se passent sans encombre. @Alexander T. Roberts .