Nicholas &
Paisley

Nos vies sont a présent totalement bouleversé avec ce bébé, si nous décisions de le garder ça sera un grand changement pour Paisley et moi et si nous décision de ne pas le garder nous risquons d'avoir des regrets, le regret de lui avoir ôter la vie, le regret ne pas avoir eu un avenir avec lui, se demande comment aurait était notre vie si il était la et moi je ne veux pas avoir ces regrets la, je sais parfaitement que un bébé ce n'est pas rien et que c'est beaucoup se responsabilités mais si nous sommes ensemble Paisley et moi, je sais que nous pourrons tout surmonter pour affronter cette épreuve et offrir à ce bébé la chance de vivre, la chance d'être entourer de ses deux parents, je me suis toujours promis le jour où j'aurais un enfant ça serait avec la femme que j'aime et qu'il grandirait auprès de son père et de sa mère et c'est le cas parce que oui je l'aime cette fille même si c'est trop tôt pour lui dire que le je t'aime ne viendra pas tour suite surtout que ça ne fait que trois semaines que nous deux C'est officiel et je ne veux rien vienne cacher que nous sommes en train de construire même si je sais que n'ai pas été à la hauteur lors de l'annonce de sa grossesse.

Cette froideur entre nous deux C'est moi qui l'es provoqué parce que j'ai été un vrai connard envers elle, je me suis comporter comme un vrai montre, j'ai laissé ma peur laisser prendre le dessus alors qu'elle avait besoin de moi plus que jamais, elle a eu besoin de mon réconfort, de ma sécurité, j'ai été incapable de lui donner tout ça ce jour parce que j'avais flipper à l'idée de devenir père. J'avais laisser ma cousine jouer mon rôle auprès de Paisley alors que c'était à moi de la rassurer en lui disant que tout irait bien et qu'on aller s'en sortir tous les deux avec ce petit être qui aller chambouler notre quotidien à tout a jamais, j'ai laisser ma cousine gérer tout ça alors que n'était pas son rôle mais le mien, je me suis comporter comme un lâche ce jour là clairement.

Aujourd'hui, je veux me rattraper, je veux faire comprendre à Paisley à quel point je m'en veux énormément d'avoir réagis comme ça, d'avoir était le dernier des connards avec elle alors qu'elle porte notre enfant, notre mini nous.
Je veux aussi lui faire comprendre que je viens m'investir dans cette grossesse et dans la vie de notre enfant, je la veux à mes coter parce que je l'aime tout simplement, le fait de la voir me rend heureux, je me sens bien à ses côtés, et lorsque nous nous disputons je ne suis pas bien mais les dipsutes dans un couple fait partie du quotidien ça prouve qu'on tien l'un à l'autre et que malgré nos caractères merde on s'aime et on veux que notre couple fonctionne. Je veux qu'elle vienne vivre avec moi, mais je ne veux en aucun cas la forcer si elle ne veut pas. Oui c'est vrai, elle se sentirai de trop, j'ai une idée on l'aide à trouver un appartement pas loin de notre maison, comme ça vous ne serait pas loin l'une de l'autre, je sais à quel point ma cousine compte pour toi et à quel point tu compte aussi pour ma cousine. Dis-je en penchant ma tête sur le coter en passent une main dans mes cheveux en plongeant mon regard dans le sien avec un sourire aux lèvres.

Je voudrais tellement la prendre dans mes bras, l'embrasser, lui faire l'amour mais je sais qu'elle a encore cette rancoeur envers moi à cause de mon comportement c'est donc pour cela que je lui laisse de l'espace, j'espère au fond de moi qu'elle me pardonnera le comportement que j'ai eu et que cette froideur entre nous disparaissent mais malgré tout je ne peux pas me résoudre à ne pas la toucher c'est plus fort que moi. Encore une fois, je m'excuse auprès d'elle de mon geste tendre que j'ai eu envers elle, mais au fond, je ne le regrette pas du tout j'aurais même voulu garder ma main contre sa joue, mais je ne voulais pas qu'elle me repousse, ça aurait été douloureux pour moi. J'avais lui avait proposé mon aide si elle voulait se trouver un travail, mais elle refusa catégoriquement mon aide ce qui était normal elle voulait rester indépendante même si elle était en couple, elle voulait avoir le choix de choisir ce que je comprends tout à fait, c'est pour cela que je n'insiste pas plus sur ce sujet.

C'est décider, elle voulait garder le bébé que je le veuille ou non elle le gardera, avec mon aide ou pas. Un sourire s'affiche sur mon visage sans me rendre compte lorsqu'elle m'annonce qu'elle était bien décidée à le garder. Je veux avoir ce bébé avec toi Paisley, je veux fonder ma famille avec toi, je sais que ça ne sera pas facile tous les jours, mais je te promets que quoi qu'il arrive, on trouvera une solution pour s'en sortir parce que toi et moi, on est une équipe et je sais que notre en sortira encore plus grand à chaque épreuve qu'on traversera. Lui confiai-je j'avais clairement confiance en nous, je sais qu'on pourra y arriver, à deux on est plus fort. La sonnerie de mon portable se fit entendre dans la pièce, je jette un œil vers le plan de travail ou mon portable était posé. Excuse moi, je reviens. Dis-je à l'encontre de la jeune femme puis me lève du canapé en me dirigent vers la cuisine. Je prends mon portable dans les mains, j'avais reçu un sms d'un inconnu, j'ouvre donc le message et le lis. Je deviens tout d'un coup tout blanc en lisant au fur à mesure le message, j'avais reçu un défi à faire et si je refuse de le faire, c'est mon passé qui me reviendra en pleine gueule et ferait beaucoup de mal à mon entourage.

Nicholas &
Paisley

Son choix était fait désormais. Peu importe l'avenir, peu importe ce que le monde aura à lui dire, ce bébé, elle comptait bien le garder histoire d'assumer ses erreurs jusqu'au bout. Elle savait pertinemment que la vie ne serait pas si simple avec un enfant sur les bras, et un changement de profession, de cadre de vie s'imposait. Elle prendrait le temps qu'il faut pour cela, tentant au maximum de faire les choses biens, comme il faut. Sa présence au sein de la demeure de Nicholas s'expliquait pour la simple et bonne raison qu'il était le père de cet enfant quoi qu'elle en dise, quoi qu'elle en fasse, et que si justement elle venait à le garder, ce dernier voudrait certainement la présence de son paternel à ses côtés. Elle ne pourrait priver son enfant d'un père, il était aussi, si ce n'est plus, important que la mère. Elle se tenait la aujourd'hui, assise sur ce canapé, à discuter avec Nicholas sur l'avenir, à lui donner son avis sur la question, et elle avait finit par lui avouer qu'elle comptait bel et bien le garder. Nicholas s'était mis à sourire, il semblait presque heureux de son choix. Il était prêt à tout pour se rattraper, prêt à tout pour rendre heureux celle qu'il avait longtemps convoité et qui, malencontreusement deviendrait la mère de son enfant. Ce dire "mère" n'était pas encore facile pour elle, pire encore, cela lui foutait des frissons sur tout le corps. Comme la présence de cet embryon en elle, Paisley devra apprendre ce qu'est la maternité, et heureusement, de nos jours, tout un tas de bouquins traitent sur le sujet. Il faudrait aussi qu'elle prenne des cours en cuisine pour connaître "la base" comme cuire un plat de pâtes sans que ça ne soit trop cuit ou pas assez, ou faire une omelette sans qu'elle n'ait l'air fade et sans saveurs. Des petites choses banales et simples qui amélioreraient son quotidien. «On a tout nôtre temps pour ça..» Former la famille parfaite, idéale. Elle n'était pas pressée d'être pointée du doigt par les autres qui la qualifieraient de "maman", alors, elle comptait bien profiter de ses huit prochains mois pour vivre pleinement son indépendance, faire le maximum de choses sans se priver, profiter de sa solitude qui lui manquera certainement quand son bambin se mettra à pleurer à chaudes larmes. Et au pire, elle ne serait pas seule. Nicholas comptait assumer sa paternité, alors elle ne se gênera pas pour lui confier leur enfant quand elle se sentira à bout de force et de patience pour s'en occuper.

«Wow.. Ça fait quand même bizarre de se dire qu'ont va avoir un enfant..Qui l'eut crû.» qu'elle venait dire en baissant ses yeux sur ce ventre bien plat qui prendrait forme bientôt. Une jolie petite boule se formerait signe que bébé grandit et s'épanouit à l'intérieur, il puiserait bientôt sur ses forces, lui donnerait des hauts de cœur plus puissants, son estomac sera sur les talons et elle n'était pas prête psychologiquement à assumer cet ensemble de symptômes désagréables. Personne n'est vraiment prêt à supporter ce genre de choses, quand ont à l'habitude d'être le seul acteur du fonctionnement de nôtre corps et que ce dernier disjoncte soudainement sous la présence d'un nouvel occupant en son sein. Cet occupant, elle ne l'aimerait pas tout de suite, ça c'est sûr, mais tout comme le fait qu'elle avait dû apprendre à digérer la nouvelle, elle allait devoir apprendre à l'aimer au fil du temps, à préparer son arrivé en achetant toutes ses minuscules petites choses qui lui donnerait d'avantage de frissons et qui rendraient la chose plus concrète.  

Nicholas finit par s'excuser lorsque son téléphone portable s'était mit à retentir. Il se leva, partit en cuisine quelques minutes, laissant la brunette seule, assise sur ce canapé, à observer vaguement la décoration des lieux, à boire son verre d'eau qu'il lui avait apporté plus tôt. Ce fût lorsque ce dernier fut vide qu'elle se leva à son tour pour le rapporter en cuisine. Le visage de Nicholas était dur, blanc, comme un linge. C'était certainement ce bébé qui devait encore le tracasser, il se disait prêt à l'assumer, mais peut-être que tout cela n'était qu'un mensonge de plus pour la rassurer, pour tenter de se la mettre à nouveau dans la poche. «Est-ce que ça va?» qu'elle lui demanda en inclinant la tête sur le côté pour chercher son regard. Non. Elle ne jouerait pas les curieuses à chercher à savoir qui aurait pût lui envoyer ce message, de toute manière ça ne lui regardait pas.«T'as l'air.. pâle d'un coup. Si tu veux j'peux partir, j'comprendrais que tu veuilles te reposer.» Elle était à milles lieux d'imaginer ce qui se tramait, sa réaction était tellement bizarre, si soudaine, elle sentait qu'encore une fois, Nicholas lui cachait des choses, et qu'il serait, de ce fait, peut-être temps pour elle de partir, de lui laisser du temps à lui aussi d'appréhender les choses. Après tout, ils ont huit mois pour parler de cet enfant, il n'était encore qu'un minuscule embryon dépourvu de forme humaine.

Nicholas &
Paisley

C'est décider nous gardons le bébé, même si tout cela lui fait grandement peur à moi aussi ça me fait peur parce que au fond je me demande si je serais un bon père ou bien je serais comme mon propre père qui en a rien à foutre de sa progéniture, je sais ce que sais ne pas se sentir désirer puisque mon très cher père je le fou en plein gueule à chaque fois qu'on se croise, pour lui je suis pas plus gros erreur et ça je ne veux pas que mon fils ou ma fille subise la même chose que moi alors non je ferais tout en mon pouvoir pour ne pas être le père horrible que l'était mon père avec moi, il est hors de question de mon enfant souffre parce que il n'a été désirer. Cet enfant, on le veut et on l'assumera jusqu'au bout, même si je ne m'étais pas imaginé être père tout suite en tous cas, mais j'avais encore quelques mois pour bien m'y préparer.

Je ne veux en aucun cas bousculer et ni faire flipper Paisley en allant trop vite, je sais qu'elle tien énormément à son indépendance et que cette grossesse ne lui faire guère plaisir puisque elle aussi ne voyaiq pas mère maintenant, elle qui pensais qu'on aller profiter à fond tous les deux, à faire la fête jusqu'au bout de la nuit, à boire de l'acool à flot et bien non dans quelques mois nous serons là à changer des couches et à donner des petits pots à notre enfant. Je sais que tous ces changements peuvent lui faire peur, ce que je redoute le plus c'est qu'avec tout ces changements elle ne veuille plus de moi auprès d'elle comme étant son petit ami, honnêtement, je garde cette peur au fond de moi de la perdre à cause de cette grossesse. Je ne veux voulais en aucun cas allez trop vite avec non, je voulais simplement lui faire comprendre dans mes paroles que quoi qu'il arrive, je serais présent pour elle et pour le bébé, j'assumerai jusqu'au bout cet enfant qui est le nôtre. Oui, tu as raison, on a tout le temps pour ça. Ajoutai-je à la suite de sa phrase.

Ca fait drôle de se dire que dans quelques mois nous serons plus deux, mais trois d'ailleurs, je n'étais pas le seul pour qui ça fait drôle quand on y pense parce que Paisley avait la même sensation que moi. C'est clair, je ne pensais pas qu'il arriverait aussi vite moi qui pensais qu'on aller profiter d'abord de l'un et de l'autre. Dis-je en ajoutant avec un rire qui sort ma bouche. La sonnerie de mon portable retentit dans la cuisine apparemment, je viens de recevoir un sms, avant d'aller dans la cuisine, j'avais levé mon visage vers le plan de travail en fonçant les sourcils comme si mon portable aller venir jusqu'à moi.

Je m'excuse auprès d'elle pour mon absence en me levant du canapé et me dirige vers le plan de travail en prenant mon portable dans les mains, je perds bien vite le sourire que j'avais eu sur mon visage y a quelques instants lorsque j'avais lu ce message qui ne me plaisait guère, j'aurais mieux fait de rester assis sur ce canapé. Paisley me rejoint aussitôt dans la cuisine en me rapportant son verre qui était vide, elle a vite vue mon changement de mon comportement et se pose sûrement des questions dû à ce changement. Euh, je viens de recevoir une nouvelle pas très bonne. Dis-je en gardant mes yeux fixés sur mon portable qui était poser sur le plan de travail. En voyant que je n'allais pas très bien la jeune femme se propose de s'en aller en me laissant me reposer. Non, je veux que tu restes. Dis-je lui en attrapent sa main qu'elle avait poser sur le plan de travail, je pose mon regard vers le sien et l'attire à moi et je fais le premier en approchant mon visage près du sien lui capture ses lèvres pour lui offrir un langoureux baiser, à ce moment-là, j'avais tellement besoin et je sais que j'aurais toujours besoin d'elle.

Nicholas &
Paisley

Prendre le temps de digérer l'information, d'accepter l'évidence, voilà ce qu'il fallait, dans un premier, qu'ils fassent tout deux. Elle lui avait confié vouloir garder ce bébé quoi qu'il advienne, et cela semblait être également son choix à lui. Ça ne veut pas dire qu'en un claquement de doigt, ils formeraient la famille parfaite et heureuse, avec le père responsable, la mère aimante et le bébé heureux, elle sait bien Paisley que ça sera plus complexe que ça en réalité, mais elle se sent prête à en assumer les responsabilités. Le simple fait d'imaginer qu'un petit embryon s'était niché en elle, qu'il grandissait d'heure en heure la rendait nerveuse et à la fois curieuse. Elle voulait le voir, qui sait, entendre même son cœur battre, elle voulait voir cette présence intrusive en elle, apprendre à le connaître avant de pouvoir l'aimer. Elle l'avait renié dès l'instant ou elle avait apprit qu'il était la, et comptait bien se rattraper à travers les mois à venir en tentant, de lui offrir une vie un peu plus stable que ce qu'elle pouvait avoir à l'heure actuelle. Elle parlerait à Mackenzie du potentiel changement de logement qui s'imposait, mais aussi à Alexander, elle trouverait LE travail idéal pour cette stabilité qu'elle recherche, qu'en à l'amour.. C'était une autre chose.

Nicholas se levait du canapé à l'instant ou son téléphone portable s'était mit à retentir. Il l'avait abandonnée quelques secondes, le temps qu'elle termine son verre d'eau et, qu'à son tour, elle vient le rejoindre jusqu'à la cuisine pour mettre ce même verre dans l'évier. Elle avait bien remarqué que l'expression faciale de Nicholas avait changé du tout au tout. Il fixait cet écran d'un air grave, comme ci il était la cause de son soudain mal être. Elle ne cherchait pas à savoir quel genre de message il avait pût recevoir, ça ne la regardait pas après tout, mais, elle était prête à le laisser un peu seul pour le laisser digérer certaines choses, pour pouvoir se reposer car il semblait d'un seul coup avoir bien mauvaise mine. Il était aussi blanc qu'un linge. Il lui avoua avoir reçu une "mauvaise nouvelle". «Ah..» qu'elle répondit avant de vouloir partir récupérer sa veste pour rentrer chez elle et lui laisser de l'espace le temps que cela serait nécessaire. Elle n'en aurait pas le temps.

Il l'a rattrapait avant qu'elle ne fasse quoi que ce soit, venant saisir sa main avec la sienne pour la retenir auprès de lui. Non, je veux que tu restes.Son regard se tournait vers le sien, silencieusement, alors que son corps s'était rapproché du sien comme un aimant. Ses yeux s'étaient éteints lentement en même temps qu'il rapprochait son visage pour déposer ses lèvres sur les siennes. Elle aurait pût le repousser, elle aurait dû le repousser, mais elle n'en avait pas la force, son cœur désireux de vouloir battre aussi vite, aussi fort, à l'unisson avec le sien. Docilement, elle l'embrassait jusqu'à en manquer de souffle, jusqu'à ce que son cœur soit pleinement satisfait de l'échange. Lentement, elle détacha sa bouche de la sienne, recula son visage pour croiser son regard, ne sachant au départ quoi lui dire, quoi faire désormais. «C'est trop tôt Nicholas..» qu'elle soufflait finalement. Elle restait cette femme blessée par son comportement quelque part. Pourtant, son cœur lui dictait de lui offrir un second baiser, en désaccord total avec sa conscience.  Ses lèvres se posaient à nouveau sur les siennes, ses mains contre ses joues. Elle aimait beaucoup trop ce contact entre eux pour y échapper, mais il fallait, intérieurement qu'elle se ressaisisse.. ou pas. «J'ai besoin de temps..» ou pas. Elle continuait à lui offrir une pluie de baisers sur les lèvres, lèvres qu'elle désirait secrètement déguster pleinement. Son battant semblait avoir prit le contrôle de la situation, et elle n'aimait pas ça.

Alors, elle avait finit par se détacher de lui, avait reculé de quelques pas pour que le creux de son dos heurte le rebord du plan de travail derrière elle. Elle avait gardé ses yeux clos, et s'était mise à souffler un bon coup. «J'dois vraiment y aller.. T'as plus urgent à gérer je crois..» Elle finit par ouvrir les yeux pour les poser sur son téléphone portable ou traînait encore un message qui l'avait mit dans un état pas possible. Une partie de sa curiosité rêverait que Nicholas se confie à elle sur ses problèmes bien qu'il ne le ferait certainement pas, lui qui préférait se concentrer sur la femme qui portait à l'heure actuelle son bébé.

Nicholas &
Paisley

Dans quelque mois, notre vie sera totalement bouleversé par l'arrivée de notre bébé, Woh ça fait bizarre de dire cela, notre bébé... C'est fou qu'on aille réussir à faire ce petit être aussi rapidement. Je sais que nous avons été imprudents durant notre séjour à Venise, je prends ma responsabilité parce que je n'avais pas tout le temps mis la capote alors que j'aurais dû, mais voilà maintenant fallait qu'on assume jusqu'au bout ce que nous avons fait, on aurait très bien pu décider qu'elle avorte, mais ni elle et ni moi nous voulions cela, certes ce bébé n'est pas désiré, mais ça nous donne pas le droit de lui enlever sa vie, il est pour rien dans notre erreur. 

Nous avons à peut près huit moi pour se faire à l'idée que nous allons être parents, durant ces mois je verrais son ventre s'arrondir en en me disant qu'elle porte notre enfant enfin si elle désire que je reste à ses coter durant sa grossesse parce que je sais qu'elle m'en veux encore énormément du comportement que j'ai eu envers son égard, durant notre échange je n'avais pas arrêter de lui dire à quel point j'étais désoler que je m'en voulais terriblement mais il faut que je comprenne qu'elle avait besoin de temps pour me pardonner parce que je lui est fait beaucoup de mal s'en me rendre compte. Je suis un parfait crétin que voulez vous.

Le message que j'avais reçu à m'a fait changer totalement mon humeur, y a quelques minutes  j'étais content d'apprendre que Paisley voulais aussi garder le bébé puis ce message venait de foutre ma journée en l'air enfin ma soirée plutôt et ça Paisley l'avait bien remarquer lorsqu'elle avait fait son entrée dans la cuisine, j'aurais voulu lui dire pour ce message mais j'en avait pas le droit, je ne voulais pas qu'elle pense que mon changement d'humeur était du à elle ou bien au bébé. Je ne voulais pas qu'elle ça non, je veux qu'elle reste, je la veux auprès de moi ce soir et les soirs, les jours avenir, ça me tue cette distance entre elle et moi, j'aime pas ça. Et sans me retenir davantage, je l'avais attiré dans mes bras et l'avais embrassé langoureusement sans ce baiser, je voulais qu'elle comprenne à quel point, je l'aime, à quel point, je la désire. Un soulagement se créer en moi lorsque elle ne me repousse pas dû à mon baiser au contraire on continuer à s'embrasser, mais si elle marmonnait entre deux baisers comme quoi s'était trop tôt pour elle ou bien qu'il lui fallait du temps, mais je l'écouter et continue de l'embrasse.

Mais c'est plus fort que nous, nous tellement attiré par l'un et l'autre, on ne peux pas se passer de l'un et de l'autre ce n'est pas possible, à besoin de l'un et de l'autre c'est inévitable, je sais que moi j'ai besoin d'elle, j'ai besoin de la toucher, de l'embrasser, de sentir sa présent auprès de moi, elle sait à quel point combien mon coeur bat à chaque fois qu'elle se blottie dans mes bras puisque elle le sens en ce moment même. Je continue de l'embrasser de plus en plus fougueusement, mais elle mit à terme à notre baiser qui devenait un peut trop entreprenant puis y avait aussi le manque de souffle aussi, elle se laisse coller sur le plan de travail en gardent quelques instants les yeux fermés. Je pose également mes yeux sûr ce fichu portable, je m'avance vers elle en poussant ce téléphone loin de nous, je veux qu'elle se concentre sur nous deux, je pose mes mains sur ses deux jours tout en posent mon front contre le sien. Je veux que tu restes, j'ai besoin de toi bébé, reste si te plais. Dis-je en fermant les yeux et d'une voix un peut caser.

Nicholas &
Paisley

Il fallait absolument qu'elle parte, au plus vite, au plus loin pour ne pas succomber une seconde fois. Dans la cuisine, aux côtés de Nicholas, elle l'observait, il était d'une pâleur soudaine effrayante, son expression faciale était devenue beaucoup plus dramatique que celle qu'il avait abordé plus tôt dans le salon. Il ne fallait pas être bien intelligente pour faire le rapprochement avec ce message qu'il avait reçu sur son téléphone portable. Cela devait être une bien triste nouvelle pour qu'il en perd son sourire. Que pouvait-elle faire si ce n'est le laisser tranquille. Nicholas, tout comme elle, avait besoin de se retrouver avec lui même, de réfléchir encore un peu, de réaliser les choses, de souffler un peu, et ce n'est pas en restant à ses côtés qu'elle l'aiderait à se reposer. Il fallait qu'elle partes, elle s'apprêtait d'ailleurs à le faire quand il l'avait retenu pour poser ses lèvres sur les siennes. Elle n'avait pas eu la force de le repousser, parce qu'au fond d'elle, elle était en train de réellement tomber amoureuse de lui. Cet amour qui l'effrayait tant pourtant. Qu'est-ce qu'elle pouvait aimer cette sensation de se savoir contre lui, à sentir son cœur au bord de l'explosion. Elle n'aurait jamais quitté ses lèvres si son souffle ne lui aurait pas tant manqué.

A son tour, elle s'était mise à lui offrir une pluie de baisers sur les lèvres avant de reculer jusqu'au plan de travail derrière elle. A nouveau, elle répétait qu'elle devait partir, que Nicholas avait bien plus urgent à régler que de s'occuper de son cas à elle. Il fallait certainement qu'il arrange le "nouveau petit soucis" qui s'était affiché sur son écran de téléphone. Elle voulait qu'il soit raisonnable et qu'il accepte son choix, mais cela ne lui ressemblait tellement pas au final. Nicholas, il était autant tête brûlée et borné qu'elle. Quand une idée germait dans sa tête, il n'était pas prêt à l'abandonner. Il s'était rapproché, encore une fois, s'était mit à poser ses deux mains sur ses joues, elle tournait les yeux, la tête dans l'espoir de ne pas croiser son regard, mais c'était beaucoup trop dur. Il s'adressait une nouvelle fois à elle d'une voix totalement brisée, presque trop prise par l'émotion et son cœur se déchirait à son écoute.«Nicholas..» Sa conscience se voulait forte, imperturbable, résistante, tandis que son cœur lui, voulait à tout prix rester auprès de Nicholas, si triste d'un coup. «Qu'est-ce qui se passe Nicholas? Dis le moi..» qu'elle finit par lui souffler sur le visage en fermant à son tour les yeux, inspirant profondément de l'air à plein poumons. Il fallait qu'elle lui demande, c'était plus fort qu'elle parce qu'elle ne comprenait pas pourquoi il semblait si heureux quelques secondes plus tôt et que d'un seul coup il s'était mit à paniquer littéralement, qu'il s'entêtait à la retenir comme ci quelque part, il craignait de la perdre, de ne plus jamais la revoir. Elle ferait peut-être la plus belle erreur de sa vie, c'était peut-être trop simple au final de lui pardonner, mais elle ne pouvait résister au jeune homme, pas à lui qu'elle apprenait à aimer depuis ses trois dernières semaines et bien plus encore depuis qu'il lui avait avoué éprouver des choses à son égard. Le souffle de Nicholas s'était mit à lui chatouiller le visage, et elle sentait cette envie irrésistible de l'embrasser à nouveau, mais à défaut de le faire, elle s'était contenté de glisser ses mains jusqu'aux siennes pour les saisir.«Aller.. Viens.» qu'elle finit par lui dire en l'incitant à se décaler pour le guider jusqu'à sa chambre à coucher, la ou ils pourraient tout les deux s'allonger sur ce lit, histoire qu'elle se blottisse innocemment dans ses bras.

Ce n'était pas la meilleure idée, elle se sentait faible aux côtés de Nicholas, vulnérable, il avait ce pouvoir sur elle de la rendre un peu trop sensible, un peu trop "femme", elle qui s'entêtait en temps normal à jouer les fortes têtes, les femmes solides comme un roc. Aux côtés de Nicholas, elle perdait ses repères, elle perdait sa raison, préférant juste profiter de l'instant présent à ses côtés plutôt que de songer à l'avenir. Elle avait prit soin de lui demander ce qui le tracassait autant et Nicholas restait libre de le lui dire ou pas. Certaines personnes lui dirait qu'elle était bête de le faire, de rester la, dans ce lit, contre lui après le mal qu'il lui avait fait, mais elle s'en foutait éperdument. Cela ne voulait pas dire qu'elle lui pardonnait totalement, elle gardait une certaine rancœur en elle, mais de la à disparaître de la vie du brunet c'était plus que de la folie, de l'extrême, surtout qu'elle portait une partie de lui en elle, un bébé qui n'avait rien demandé, ni même à être la, ni même à supporter ses deux "parents" qui se déchiraient pour des conneries.«J'te demanderais rien d'autre Nicholas..Je respecte ton mutisme mais si tu ne veux pas parler, prend au moins le temps de te reposer. Je restes la.. Promis.» qu'elle l'assura en levant les yeux sur les siens, alors que sa main gauche s'était mise à caresser son bras affectueusement. De l'affection c'est ce qu'il avait besoin, elle le sentait. Plus que jamais il avait besoin d'elle, malgré tout, malgré les événements passés, malgré sa colère envers lui.

Nicholas &
Paisley

Je ne voulais en aucun cas qu'elle ne partent, je ne voulais pas qu'elle quitte cette maison, j'avais tellement besoin d'elle surtout aujourd'hui plus que jamais avec ce fichu sms que j'avais reçu qui m'a totalement retourner l'estomac, à ce moment là je me dit dans ma tête que je risque de la perdre à tout moment, que j'avais une corde autour de mon cou, j'étais totalement prisonnier depuis que j'ai ouvert ce sms. Mais quel con je suis, j'aurais dû l'effacer en sachant que je ne connais absolument pas ce numéro, je n'aurai pas dû l'ouvrir. La peur de la perdre grandi en moi à chaque minutes lorsque je pose mon regard sur elle, si je la perds, je deviens quoi moi ? Parce que oui, je suis tombé amoureux d'elle, depuis trois mois, je lui ai fait la cours sans relâche parce que je savais que s'était elle et pas une autre et ça fait trois semaines que nous sommes en couple, certes nous sommes pas me meilleur des couple mais on apprend à se connaître et puis on fait fort à peine ensemble que nous voilà déjà parents dans quelques mois.

Mais voilà que ce sms pourrait tout changer, il pourrait l'éloigner encore plus de moi au point de la perdre et ça je m'y refuse, je ne veux surtout pas la perdre, il en est hors de question. Je me sens tellement vulnérable face à elle alors que je me suis promis que plus jamais je serais vulnérable face à une fille la preuve qu'il ne faut jamais dire jamais. Je me sens comme un crétin, un pauvre type avec ma voix casser la, je laisse clairement ma peur de la perdre et de ne plus jamais la revoir prendre le dessus, mais qu'est qui m'arrive je ne me reconnais plus la, je me laisse totalement aller, je laisse clairement mes sentiments pour elle s'exprimait. Par les baisers, par les caresses, par mes mots aussi je lui fait comprendre que je voulais qu'elle reste que j'avais besoin d'elle ne devait pas me laisser seul comme elle l'avait suggérer plutôt, nous avons besoin de l'un et de l'autre c'est comme ça est pas autrement, nous étions deux aimants coller l'un à l'autre.

Me voir dans cette état dois la chambouler ou lui faire peur, parce que je suis vraiment pas un mec viril en ce moment, à ce moment précis je lui fait découvrir mon coter vulnérable, et je dois dire qu'elle n'a pas besoin de ça surtout en ce moment, elle a besoin soin que je m'occupe d'elle, que je m'occupe de notre enfant, pas que je pleurniche pour un con pour un sms qui pourrait foutre en l'air ma vie mais aussi certaines personnes de mon entourage. Je ne peux pas de le dire Paisley, mais sache que je tiens énormément à toi plus que tu le crois, je tombe totalement amoureux de toi. Lui confiai-je avec une craindre de ce dont je viens de lui dire la fassent encore plus flipper et la fassent fuir, surtout que nous sommes pas des exemples pour un couple idéal.

A ma grande surprise je dois bien l'avouer, elle rester face à moi sans bouger, sans qu'elle me repousse, nos regards se croisent à nouveau, j'ai tellement envie de l'embrasser, de lui faire l'amour même mais je pense que c'est trop tôt pour elle et cela je le comprends tout à fait, la seule chose que je lui demande c'est qu'elle reste avec moi ce soir et cette nuit. Je sens ses mains glissées dans les miennes et me poussa un peut pour que je l'a laisse le champs libre pour qu'elle se dirige vers un endroit où elle m'emmène avec elle, et cette endroit est ma chambre et sans un mot nous nous aallongeont tous les deux dans mon lit, je me redresse un peu en collant ma tête contre la tête de mon lit, j'ouvre mes bras pour qu'elle y retrouve refuge et lorsque ce fut le cas, je l'entoure de mes bras comme pour là protéger puis je me perdis dans la vie qui s'offre à nous. Je ne veux pas me réveiller en sachant que tu n'es pas à mes côtés. Dis-je en plongeant mon regard dans le sien. Tu dois me prendre pour un faible à réagir comme ça, j'en suis désolé. Dis-je à nouveau en fuyant son regard j'avais un peu honte de lui montrer se coter là de moi alors je dois être un homme fort pour elle et notre enfant.

Nicholas &
Paisley

Je ne peux pas te le dire Paisley. Il ne pouvait pas être plus clair que ça. Cette nouvelle qu'il avait eu, ce message qui s'était affiché sur son téléphone portable ne la regardait pas, et elle pouvait totalement concevoir cela. Elle aurait été la première oreille attentive si il s'était confié à elle, mais comme ce ne fût pas le cas, elle n'en dirait pas plus. Le seul élément qu'elle se devait de prendre en compte était l'amour qu'il lui portait. Récent mais puissant. Cette fille la, il l'avait dans la peau, dès l'instant ou son regard avait croisé le sien. Elle était différente des autres à ses yeux, quand la plupart écartent bêtement les cuisses, Paisley, elle, avait cherché à le connaître, à lui parler. En même temps, leur rencontre n'avait pas été des plus banales, elle lui avait littéralement renversé son plateau dessus, lui avait bousillé une chemise. En y repensant, jamais elle n'aurait crût que sa relation avec ce "bel inconnu" irait aussi loin aujourd'hui. Nicholas était devenu au fil du temps quelqu'un d'important pour elle. Il était le quatrième membre de son minuscule groupe d'amis formé par Mackenzie, Gabriel et elle. Nicholas, c'était le cousin de Mackenzie, le meilleur ami de Gabriel, comme le monde est petit. Nicholas, c'était celui avec qui elle aimait par dessus tout déconner, celui qu'elle appréciait charmer, elle bien au courant de son pouvoir de séduction sur lui. Aujourd'hui, Nicholas prenait un peu plus de place dans son existence, et deviendrait, huit mois plus tard, le père de l'enfant qu'elle avait décidé d'assumer envers et contre tous. Qui l'eut crût. Que elle, Paisley Warren accepterait la présence de cet être minuscule en elle. En temps normal, elle l'aurait certainement fait disparaître avant qu'il n'ait le temps d'avoir un cœur, mais cette fois, c'était différent.

Cet enfant, il avait été fait, maladroitement par amour, il était le résultat de l'affection qu'elle portait à Nicholas alors qu'elle acceptait enfin de lui accorder la place de "petit ami" dans sa vie. C'était officiel, elle était prête à lui donner une chance, à leur donner une chance. Elle voulait voir jusqu’où cette amour récent pourrait les mener, bien qu'elle ne s'attendait pas à ce que leur histoire démarre avec un enfant sur les bras. Trois semaines qu'ils étaient officiellement ensemble, elle s'était vue découcher le soir pour se blottir dans ses bras, dormir des nuits entières contre sa peau chaude, s'imprégner un peu plus de son odeur, de sa présence, prendre le temps aurait dû être leur maître mot, mais leur imprudence avait prit le dessus sur tout. Nicholas lui avoua être amoureux et son cœur s'était mit à battre un peu plus à cette révélation. Elle se doutait bien du passé du Don Juan qui se tenait face à elle, elle le savait volage, libre de ses faits et gestes, le genre à coucher avec n'importe qui sans penser à rappeler les dites demoiselles au lendemain. Elle avait été l'exception à la règle ou presque. Quand il avait sût qu'elle était enceinte de lui, qu'elle portait son enfant, il lui avait littéralement tourné le dos, faisant d'elle "une conquête de plus" à sa liste. Elle en avait souffert, elle qui avait eu tant besoin de lui à ce moment la. Au final, elle restait la, à ses côtés pourtant, l'écoutant se confier à cœur ouvert alors qu'elle avait saisit ses mains pour le guider doucement jusqu'à la chambre à coucher ou ils pourraient tout deux s'allonger.

Le cœur de Nicholas semblait lourd de sentiments, douloureux. Ses plus grosses craintes s'éveillaient en lui, et si elle n'était plus la les lendemain? Sérieusement, elle leva les yeux pour croiser les siens. C'était comme ci un nouveau Nicholas lui faisait face, différent de l'impulsive tête brûlée qu'il était en temps normal. Un Nicholas plus sensible, plus craintif. Un Nicholas chamboulé, perturbé, effrayé. «Arrête. Dis pas ça.» qu'elle soufflait en posant le bout de son index sur sa joue opposée pour l'inciter à croiser à nouveau son regard.«Tu m'crois si méchante pour croire que je pourrais penser ça? Avoir peur ne veut pas dire que tu es quelqu'un de faible.. Moi même j'ai peur Nicholas.» qu'elle se confia à son tour sans se défaire une seule seconde de son délicieux regard clair.  Prenant une grande inspiration par la suite, elle daigna en dire un peu plus à son sujet, des choses sérieuses qu'elle ne confiait, à la base, pas à grand monde et qui aujourd'hui devait être dites, pour apaiser son âme et sa conscience, mais surtout pour qu'il apprenne à connaître lui aussi la véritable Paisley. «J'ai perdu mes parents quand j'avais dix ans. Ils sont morts lors d'un accident d'avion..» qu'elle commença. Elle s'était promise de ne pas pleurer, comme à l'époque, quand elle s'était retrouvée face à ses tombes. «Mon frère, ma sœur et moi, on est presque devenus orphelins à cette époque la.. J'ai du jouer les bonnes mamans auprès d'eux, parce que j'étais l'aînée et eux les cadets, parce que c'était mon devoir en grande sœur de les préserver tu vois?» En y repensant, elle avait échoué car au final, aujourd'hui, elle était la, et pas eux. «On a étaient confiés à ma tante, la pire erreur que la vie a faîtes.» Et elle sentait cette petite rage en elle, cette petite pointe de colère envers le compagnon de celle qui était censée faire partie de sa famille, celle qui était censée la protéger, aimer ses nièces et neveu. Elle ne lui a jamais pardonné de ne rien avoir dit, de ne pas avoir empêcher les choses de se faire.«Le compagnon de ma tante.. Il-..Il me battait Nicholas. Tout les jours. Sans exception. Il passait ses nerfs sur moi sans que je ne sois en mesure de l'en empêcher et j'en ai souffert, tellement, en silence. Mon but était de ne pas affoler mon frère et ma sœur, mon but c'était qu'ont restes ensemble à trois.» Pourquoi elle lui disait tout ça au juste? Il devait s'en foutre royalement. Peut-être pour lui prouver qu'elle n'était pas juste la jolie Paisley au fort tempérament, et qu'elle avait du vécu elle aussi, qu'elle aussi pouvait être faible et fragilisée parfois. «Un jour, il a essayé de me violer.. c'était beaucoup trop pour moi. J'ai étais le dénoncer à la police et ont m'a séparée de mon frère et ma soeur.. Au final, j'ai pas tenu mon rôle de grande sœur, j'ai faillis à la promesse que j'avais faites à mon père qui était de les protéger quoi qu'il advienne. J'ai étais faible moi aussi ce jour la Nicholas..Enfin, je le pensais.» Et sa voix commençait à se briser elle aussi, l'émotion la submergeait plus que le reste, elle avait mal au fond de son cœur, et elle était tellement en colère contre la gamine qu'elle était à l'époque.«Tout ça pour te dire qu'être fragile et sensible parfois ne veut pas dire qu'ont est faible. J'ai perdu les êtres que j'aimais le plus sur terre, et je ne sais pas au final si je serais une bonne mère pour ce bébé, tout ce que je sais c'est que j'ai envie d'essayer, j'ai envie d'être forte et de rattraper mes erreurs. J'ai peur Nicholas, peur de l'avenir mais je sais que je suis bien entourée, et toi aussi tu es bien entouré. Si les gens t'aimes pour ce que tu es, alors tu ne nous perdras jamais.» qu'elle vint conclure en les yeux humides, la gorge toujours plus nouée. La voilà Paisley au final, celle que tout le monde pense folle et intrépide qui au final est aussi sensible que n'importe qu'elle nana à Miami.

Nicholas &
Paisley

J'étais totalement paniquer à l'idée de la perdre, depuis ce message, ces peurs et ces craintes que j'avais enfouis au fond de moi depuis toute ces années commençais à se réveiller petit à petit, j'aurais tellement aimé lui dire ce que contenait ce message mais j'en avais j'en avait pas le droit, je déteste devoir lui cacher des choses mais la je n'avais pas aucunement le choix, il fallait que la protége, mon instinct protecteur et l'amour que je ressens pour elle avait pris le dessus. Oui, je l'aime cette fille depuis que j'ai posé mes yeux sur elle ce soir-là au bar en me renversent son plateau sur la chemise que j'avais porté ce soir-là. C'est la deuxième fois de ma vie que je tomber réellement amoureux, les autres filles ne comptait pas puisque qu'avec elles ça été purement sexuel et n'y avait pas eu de sentiments juste du plaisir et rien d'autre.

Paisley n'était pas que de passage dans ma vie oh ça non, elle est bien plus que ça, elle est celle qui partage ma vie désormais , elle est celle qui va me donner mon premier enfant, pour moi elle est mon présent et mon futur, je ne vois clairement pas mon avenir sans elle, pour moi elle en fait partie, pour moi elle sera ma future femme, même si nous prendrons notre temps pour cela, nous avons déjà notre bébé  pour commencer c'est déjà bien. Je lui avoue avec sincérité combien j'étais amoureux d'elle, ce ne sont pas des paroles en l'air, jamais je m'amuserai à dire cela si je n'en penserai pas un mot et ce n'est pas le cas j'aime Paisley et je crois bien que je l'aimerai toute ma vie, elle est celle qui ma redonner goût à l'amour, qui me fait croire que tout est possible entre nous deux même si je reste tout de même maladroit avec elle comme mon comportement que j'ai eu à l'hôpital à l'annonce de sa grossesse et je compte bien me rattraper pour cette bêtise.

C'est la première fois que Paisley me voient dans cet état la, peu sur de moi, j'avais cette en moi qui se voient clairement, je me sens tellement faible face à elle, j'ai l'impression de ne pas me comporter comme quelqu'un de fort, je lui montre totalement mes faiblesses à cet instant. Même si nous étions allongées dans les bras de l'un et de l'autre, je n'étais pas autant tranquille pour autant, ce sms me bouffer mon esprit, c'est dingue comme un message peux vous zapper le moral en un clin d'œil. Je m'excuse auprès de la jeune femme pour me montrer aussi faible face à elle, elle avait ne s'en doute pas prévu cela, mais elle confia qu'elle-même avait peur et le rassura en quelque sorte qu'elle ne me voyait pas comme un faible, mais comme un homme qui avait peur, c'est vrai les hommes ont aussi leurs peurs, la preuve.

Nos yeux plonger dans l'un et l'autre nos doigts s'entremêle ensemble, je lui depose quelques fois des bisous sur sa main puis commence petit à petit a me confier une partie de son enfance, la partie la plus difficile de sa vie, je découvre donc qu'elle avait perdu ses parents à l'âge de dix ans, qu'elle avait un frère et une soeur qu'elle ne voyait plus aujourd'hui, elle continua son récit douloureux ce qui l'a fait éloigner de son frère et de sa soeur. Je ferme les yeux j'ai mal pour elle lorsqu'elle me confia qu'elle été battue par cet oncle étant enfant, une colère monte en moi contre ce type que je ne connais pas, il a fait du mal à la femme, j'aime, je l'aurais eu en face de moi, je lui aurait foutu mon poing dans la gueule. Je la sers un peu plus contre moi et lui dépose des bisous sur le front comme la rassurer et lui faire comprendre qu'elle ne craint plus rien, je suis la, lorsqu'elle m'avoue que ce type a voulu aller plus loin avec elle en tentent de la violer, quelle ordure ce type. Mais tu es forte bébé, même si tu dit le contraire, je te vois te battre comme une lionne lorsque tu veux quelque chose, tu l'obtiens, je suis persuadé que tu feras une très bonne maman, et puis tu n'est pas toute seule, je suis la, mon rôle et de vous protéger et de vous rassurer je vais tenir ce rôle, je veux protéger ma femme et mon enfant. Lui confiai-je lui en dépose mes lèvres sur ses deux mains, puis pose mes yeux sur son visage qui était face à moi. Je me sens tellement ridicul avec ma peur alors que tu as vécu bien pire que moi, je suis désolé que tu aies traversé tout cela toute seule, j'aurais aimé te connaître à cette époque pour pourvoir te protéger. Ajoutai-je par la suite en lui déposent une main sur sa joue.

Nicholas &
Paisley

S'ouvrir à Nicholas était certainement la chose la plus compliqué qu'elle ait faîtes depuis qu'elle est à Miami. Ce n'est jamais bien évident de parler de ses choses la. Elle n'était pas bien fière de lui avouer tout ça, et encore, elle avait passé les détails de sa corruption, des drogues consommés, de l'alcool qui avait un peu trop coulé dans ses veines, de toutes ses conneries qu'elle avait pût faire pour oublier sa misérable vie. L'homme qui accompagnait sa tante à l'époque, elle ne le considérait pas comme son oncle, il n'était que "l'accompagnant", le "petit ami", le "copain". Un homme qu'elle avait apprit à mépriser en même temps qu'il s'était mit à la ruer de coups. A terre, les mains sur le visage pour éviter qu'il ne la défigure, elle s'était mise à mordre aussi fort que possible l'intérieur de ses joues pour s'empêcher de crier, pour ne pas attirer l'attention de son frère et de sa sœur, dormant à l'étage. L'idée qu'ils puissent la voir à terre, à subir ses coups de pieds violents sur le thorax et le corps tout entier lui était détestable. Alors elle souffrait, en silence, priant intérieurement qu'il cesse de s'acharner sur elle. Priant que les secondes ne soient pas des heures et que la torture se termine. Non, elle ne pourrait pas oublier les nombreuses fois ou il l'avait tenu par les cheveux, savourant de la voir pleurer à chaudes larmes, douloureuse. Les nombreuses fois ou ses os étaient broyés sous ses semelles, ou ses muscles ne répondaient plus à rien. Il aurait pût la tuer. Jamais elle ne pourrait oublier cette tante derrière lui, qui observait toute la scène sans même l'interdire de faire ce qu'il faisait. Elle ne s'est jamais interposée pour protéger sa nièce, à croire qu'elle aurait préféré la voir morte. Face à ses révélations, Nicholas s'était mit à resserrer son petit corps fragile contre lui, et lui avait offert à son tour une pluie de baisers réconfortants sur le front pour apaiser ses souffrances internes. Malgré tout, sa présence lui faisait un bien fou.

Elle continuait de lui parler, de tout lui dire, jusqu'à cette fois ou cet homme s'était approché d'elle. Il lui avait effleuré l'épaule à coups de baisers, il avait pressé son corps, son érection contre elle, contre cette gamine de quinze ans de moins que lui. T'aurais pas envie de te faire pardonner des fois? Se faire pardonner? C'était à elle de se faire pardonner? Qu'elle belle blague. Elle en était tétanisée, effrayée à l'idée qu'il puisse la toucher, s'immiscer en elle. Ce fût la goutte de trop qui fit déborder le vase. Cette fois, elle ne pouvait supporter une telle chose. A toute hâte, elle était partie, tremblante, jusqu'au commissariat le plus proche ou elle porterait plainte pour tout les sévices qu'elle avait subit. Sa tante et cet homme ont bien entendus étaient arrêtés et condamnés, et la garde des trois orphelins Warren accordées à différentes familles d'accueil. Ils ont étaient séparés ce jour la, mais au moins, Paisley pouvait partir l'esprit tranquille. Cet enflure ne toucherait jamais sa petite sœur comme il avait pût le faire avec elle. L'histoire était triste, sordide. Jusqu'à présent, elle s'était entêtée à la garder en elle, jusqu'à ce que Nicholas lui révèle se sentir si faible, et si vulnérable, si fragile aussi. Comme ci sa vie lui échappait, comme sa vie à elle a pût lui échapper à cette époque.

Nicholas la rassura. Il serait présent pour elle et pour l'enfant qu'elle portait, pour ce bébé qui était en parti le sien. Elle n'en demandait pas tant en réalité tant qu'il soit la pour ce bébé qui, tôt ou tard, à l'avenir, réclamerait certainement la présence de son père dans son existence. Elle le laissa parler alors qu'il lui confia cette fois se sentir bien misérable d'avoir pût éprouvé une telle peur pour si peu alors que la femme qu'il tenait contre lui avait vécu tellement pire.Etre prise en pitié n'était pas son objectif,  toute peur était justifiée d'après elle et pas une n'en valait plus qu'une autre, tout dépend juste de l'être humain qui la ressent. «Ce que j'ai vécu à cette époque.. je peux pas l'oublier ça c'est sûr, encore aujourd'hui, je peux pas m'empêcher d'avoir peur de l'avenir, et que mes anciens démons se réveillent soudainement, brutalement. Pour te dire, je ne sais même pas ce qu'est devenu cet homme.. ni même ma tante d'ailleurs.» qu'elle vint dans un premier temps lui dire en gardant son regard dans le sien alors que lui avait posé sa main contre sa joue dans l'espoir de lui offrir un peu de réconfort. «Ne te sens pas ridicule, tu as peur et cette peur est justifiée. Elle n'est pas plus faible que celle que j'ai ressenti à cette époque. Toute peur mérite d'être prise en considération. C'est à nous d'y faire face et de tenter d'y remédier..» qu'elle continuait avant d'incliner la tête contre sa main chaude.«Même si aurais été la à l'époque, le mal aurait été fait dans tout les cas. Ce qui est arrivé, est arrivé..» Malheureusement pour elle oui.«Ce qui compte c'est "aujourd'hui".. Toi et moi, et .. lui.» C'était bizarre à dire ouais, parce que techniquement parlant et à ce stade de relation si précoce il n'y aurait du y avoir que elle et lui. Lentement, elle vint saisir sa main pour la diriger jusqu'à son ventre, sans le quitter des yeux, comme ci elle attendait son autorisation pour la poser contre son abdomen ou un petit être, minuscule, microscopique s'était installé.  C'était encore impensable de croire qu'ils seraient parents bientôt mais c'était leur choix désormais et ce peu importe ce que les autres en pensent, en disent, son choix était fait, elle ne reproduirait pas la même erreur, ce bébé, elle l'assumerait envers et contre tous.