(#)Sujet: Re: I can't help but want you || Eliam #4 | Mer 20 Mai - 16:14
“I can't help but want you” Lorsqu’il a confié à Elias la responsabilité de commander pour tous les deux, Liam ne s’attendait pas vraiment à devoir suivre un cours entier sur la cuisine japonaise. Quand Elias se met à parler de choses qui l’intéresse, en tout cas, on ne peut pas dire qu’il le fasse à moitié. Liam a du mal à se retenir de rire, mais il écoute passionnément ce petit exposé qui lui passe totalement au-dessus de la tête. Il a vraiment du mal à se sentir tout aussi excité que l’homme assis face à lui à la simple de tous ces suhis et toutes ces informations, mais… Il est prêt à découvrir ce qu’il y a de si différent de l’autre côté du monde et de le faire de toute bonne foi. Même s’il ne doit pas trop en donner l’impression, vu la façon dont Elias met fin à son petit monologue endiablé. “Tout ça m’a l’air… parfait.” assure-t-il lorsqu’Elias lui propose de commander autre chose s’il n’est pas convaincu par cette expérience culinaire. Il comprend cependant, à l’entente de sa propre voix, pourquoi l’homme le pense nerveux. Il ne l’est pas, pas vraiment en tout cas, c’est juste… Elias n’a peut-être vraiment aucune idée de ce qui se passe, après tout il ne sait rien de tous ces rituels. “Et je ne suis pas nerveux.” dément donc Liam en se redressant, pour se donner un air un peu plus assuré.
D’ordinaire, il en resterait probablement là, balancerait une petite remarque pleine de sarcasme pour prouver qu’il n’y a aucun problème, et surtout cacher le véritable fond du problème. Il hésite sincèrement à ne rien changer à ses habitudes, mais ça ne dure que quelques secondes avant qu’il décide de faire plutôt le pari de l’honnêteté. “Ok, je suis peut-être un peu nerveux…” admet-il en levant les yeux au ciel. “On approche du moment de la soirée où l’un de nous deux dit un truc d’apparence totalement innocent, mais qui crée un petit drame et met une fin précipitée au rendez-vous, alors…” Il ravale difficilement un sourire et détourne le regard une seconde, le temps de retrouver pleinement le contrôle de sa personne. “Je n’ai vraiment pas envie que cette soirée se termine encore mal. Même si j’adore tout ce que tu peux inventer pour me récupérer à chaque fois, je…” C’est fou ce qu’il a du mal, on dirait un ado, c’en est désespérant. “Je me sens vraiment bien avec toi. Ça ne m’était pas arrivé depuis un bon moment.”
Ça lui semble suffisamment sobre pour convenir à l’état actuel de leur relation et il décide de se satisfaire de cette explication mesurée d’un sentiment beaucoup plus complexe. “Ça m’inquiète un peu. C’est peut-être stupide, mais j’avais oublié ce que ça fait de vivre librement. Je m’attends toujours à ce qu’Aiden débarque soudainement et vienne tout foutre en l’air. Ou de ne plus savoir comment me contenter de profiter sans passer mon temps à trop réfléchir.” Et la preuve, il est tellement perdu dans ses pensées que même Elias arrive à voir que quelque chose cloche. Alors qu’on ne peut pas vraiment l’accuser d’être très intrusif. “Mais tout va bien, c’est promis. Si je peux passer le reste de la soirée à t’écouter parler de tout et n’importe quoi, je serais le plus heureux des hommes. Alors, oublie mes bêtises et dis moi tout ce qu’il y a à savoir sur Elias Kaneki. Depuis le premier jour de sa vie jusqu’à aujourd’hui !”
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(#)Sujet: Re: I can't help but want you || Eliam #4 | Lun 25 Mai - 8:47
Bon, j'étais peut-être pas si bon que ça pour lire les émotions des autres car il m'affirma ne pas être nerveux. C'était peut-être moi qui l'était alors... Ca ne serait pas impossible, j'étais bien ici, avec lui, mais avec la discussion de toute à l'heure, j'étais peut-être un peu plus nerveux à l'idée de devoir avouer, dire que ce que je vivais, ce que j'avais ressenti avec un homme était réel. Commençant à stresser et à me prendre la tête, je fus presque soulagé qu'il finisse par avouer qu'il était nerveux, la raison en revanche... Il était vrai qu'on avait jamais fini une soirée normalement, il était parti du bar la première fois. Il m'avait mis dehors après la première nuit et il était finalement partie quand je l'avais invité chez moi. C'était vrai, aucun de ces moment ne s'était bien fini, mais en en sachant un peu plus à présent, je ne m'inquiétais pas plus que ça. Je me sentais aussi bien avec lui et si pour lui ça ne lui était pas arrivé depuis un bon moment, ça ne m'était tout simplement jamais arrivé. Avec Lucy j'étais bien, mais j'avais pas cette chaleur, les battements irrégulier de mon coeur pour rythmé ma soirée.
Il avait peur qu'Aiden ne finisse par arriver, qu'il mette tout en l'air. Il avait finalement oublié ce que ça faisait de vivre librement, de profiter. Mais il allait bien, et si il pouvait continuer à passer la soirée à m'écouter parler il serait le plus heureux des hommes et à ce sujet, j'allais devoir commencer maintenant. Souriant, je me redressais donc, évitant de reparler d'Aiden et du fait qu'il ne pourrait plus nous atteindre. Du moins pas sans que cela n'implique que je me défende, car il m'avait forcé à faire quelque chose que j'aurais pu évité, car il m'avait trahis, il avait fait de ma vie un enfer et je refusais de le laisser faire à nouveau. « La véritable nourriture Japonaise ce n'est pas n'importe quoi ! » soufflais-je faussement sérieux, « Et si ca peut te rassurer, je me sens bien aussi avec toi. », sinon je ne reviendrais pas à lui continuellement, je ne ferais pas autant d'effort pour avoir une seconde chance. Je ne battrais pas autant pour lui.
« Du coup mes parents sont tous les deux Japonais, ils se sont expatrié ici avant ma naissance, mon père tient une petite entreprise, qui n'est plus si petite et ma mère était avocate et maintenant elle s'occupe de faire de notre famille une haute famille de San Francisco. », enfin aux dernière nouvelles c'était ça. Elle organisait des réceptions et tout un tas de connerie pour qu'on se fasse bien voir. « Je t'avoue que mon enfance a rien de spéciale, j'étais tiré à quatre épingles, pas franchement muni d'une personnalité et j'étais le bon fils, c'est à l'adolescence où ça a commencé à merder. » déclarais-je dans un rire, « Mais je peux te dire que j'ai fait de la danse, ça sort un peu de l'habitude comme info ! », mais soyons honnête parler en continuer de moi était assez atypique pour moi et je n'étais pas forcément à l'aise, « T'as pratiqué un sport d'ailleurs ? », demandais-je donc avec intérêt.
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(#)Sujet: Re: I can't help but want you || Eliam #4 | Lun 25 Mai - 11:43
“I can't help but want you” Quelques mots d’une sobriété inquiétante, un sourire et c’est terminé. Elias est tellement… Différent de Liam. Jamais ce dernier ne pourrait se contenter d’une petite déclaration pour rassurer l’autre et passer à autre chose. Il trouve fascinant cette faculté qu’a l’ancien soldat à ne jamais se montrer trop intrusif. Fut un temps, pourtant pas si lointain, où rien ne le blessait plus qu’un homme n’ayant aucune question à lui poser. Pourquoi perdre son temps à tout savoir de quelqu’un qui ne veut pas vous connaître ? Il n’a pas ce sentiment avec Elias, c’est même assez perturbant de voir comme il est persuadé, sans l’ombre d’un doute, que l’homme ne fait ça que pour lui. Alors, sans perdre son sourire, Liam appuie sa tête sur ses mains et écoute tranquillement Elias parler de ses parents, légèrement déçu tout de même que l’histoire prenne fin bien avant le moment présent. Apprendre qu’il a fait de la danse étant enfant parvient tout juste à apaiser la déception. “Tu te rends compte que ta vie est beaucoup plus longue que ça, pas vrai ?” demande Liam, sourcil arqué, pour bien faire comprendre à l’homme qu’il n’est pas satisfait de ce résumé loin d’être exhaustif. “Enfin bon, mettons qu’il ne te soit jamais rien arrivé d’intéressant avant de me rencontrer…” ajoute-t-il, un poil plus dramatique que nécessaire, dans le seul but de flatter son propre ego.
C’est sûrement un peu malsain, quelque part, mais ça lui fait du bien de se dire qu’il est là parce qu’Elias a besoin de lui plus qu’il n’a besoin d’Elias. Bien sûr, il veut tout savoir de cet homme et il est sérieux, il pourrait passer le reste de la nuit, de plus que ça même, à l’écouter parler, mais… c’est tellement rassurant d’avoir le contrôle, pour la première fois depuis si longtemps. De se dire qu’il n’est pas en danger. Ça lui fout une trouille monstre, tant il peine à croire que ce soit réel, mais c’est vraiment agréable. “J’ai pratiqué beaucoup de sports.” souffle-t-il en se forçant à retrouver le contrôle. “Basket, football, natation, escalade, tir à l’arc…” énumère-t-il d’un petit ton presque désespéré. “Mes parents se sont toujours assurés que je sois très occupé, même si je ne suis jamais devenu vraiment bon dans aucun de ces domaines. J’aimais l’idée de découvrir une nouvelle activité, mais une fois que j’avais assimilé les règles et les possibilités, je voulais faire autre chose.” Il hausse les épaules, comme si ça n’était rien de très important et ça ne l’a jamais été à ses yeux. Il est juste comme ça… Volage. “J’ai plus ou moins arrêté tout ça à la fac, je continue de faire le minimum pour entretenir mon corps, mais c’est tout. Et ce n’est pas par plaisir, juste pour m’envoyer en l’air.” Ce qui n’a rien de très reluisant, malgré le petit air fier sur son visage. “Cela dit, je ne sais pas du tout danser.”
En revanche, il n’a aucun mal à imaginer Elias en danseur. Quoique ce qu’il imagine n’a sans doute aucun rapport avec la réalité. “Tu danses toujours ?” demande-t-il en s’extirpant tant bien que mal d’un autre petit fantasme qui lui fait dire que l’abstinence n’est vraiment pas fait pour lui. Alors que franchement, on ne peut pas dire qu’il soit resté sage ces temps-ci. “On devrait sortir quelque part, après manger. J’ai envie de voir ce que tu sais faire… Même si ça risque de me coûter une fortune en alcool d’être dans le bon état d’esprit pour danser avec toi.” Ce qui n’était pas au programme d’ailleurs, il n’a aucune envie d’être complètement ivre quand il pourra enfin ramener Elias chez lui et en même temps, il n’a aucune envie non plus d’attendre le reste de sa vie pour tout découvrir. C’est presque une dernière chance, il veut profiter de chaque seconde au maximum avant que ça ne tourne mal, parce que c’est toujours comme ça que ça se termine. “Est-ce que tu travailles demain matin ? J’ai bien envie de t’embarquer dans une folle aventure qui durera vraiment toute la nuit, cette fois.”
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(#)Sujet: Re: I can't help but want you || Eliam #4 | Mer 10 Juin - 9:12
Je savais que ma vie ne se limitait pas qu'à ça, mais je préférais vraiment l'option ou il ne m'était rien arrivé d’intéressant avant lui. La guerre, ce genre de chose, ça continuerait sans doute à me hanter, mais je ne devais pas arrêter de vivre pour ça. Alors à la place je ris tandis que je lui demandais si il avait fait du sport. On pouvait au moins se trouver quelques points commun, que ce soit pour le basket que je pratiquais toujours en passe temps, comme le tir à l'arc que j'avais pratiqué en compétition. Ce qui était assez surprenant d'ailleurs chez lui c'était qu'il n'avait pas le gout de la compétition, il se limitait à maîtriser, sans doute à exceller, mais pas à tout donner pour être reconnu de tous comme le meilleur. C'était fascinant, mais cette fascination prit rapidement fin lorsqu'il affirma avoir arrêter pour se limiter au strict minimum, à savoir s'entretenir pour s'envoyer en l'air. C'était... Efficace, clairement, n'ayons pas peur des mots. « Je confirme que tu as ce qu'il faut là ou il faut... » et pourtant jusqu'à ce qu'il ne me pousse dans son lit, je n'avais pas vraiment eu conscience de ce qu'il fallait. Simplement, il était évident qu'il était taillé dans le marbre, évident aussi que j'étais faible face à lui.
« Oui, je pourrais t'apprendre, y'a rien de bien compliqué. » répondis-je donc quand il fut question de danser. Certes je ne dansais plus comme j'avais pu le faire, c'était plus des moments de folie sur une musique plus entraînante qu'une autre, mais c'était toujours dans mon sang. Il proposa alors de sortir après mangé, il voulait voir ce que je savais faire et ce même si ça allait lui coûter cher en alcool pour être dans le bon état d'esprit. Était-il de ceux qui étaient si raide que les faire bouger relever d'un miracle ? « Je travaille en fin de matinée, donc je te suis pour cette nuit de folle aventure. » soufflais-je sans me défaire de mon sourire, « Et... Rassures moi, tu sais bouger ce corps que tu entretiens pas par plaisir, mais pour du plaisir ? », ça pourrait être amusant, vraiment de peut-être réussir à le pousser, « T'as quand même déjà... "Dansé" pour un mec ? Non parce que moi, l'handicapé social, j'en ai fait quelque uns des strip tease... » j'avais parlé plus bas, pour éviter de potentiellement attirer les regards, « Et bien au delà de ça, tu sors souvent non ? Dans des boites et des bars... Je peux pas croire que t'as jamais été flirter sur la piste, et quand je dis flirter, c'est danser collé serré contre ta cible dans un rythme qui rappellerait presque ce qui se passe en privé. », ce qui pouvait faire perdre la tête très rapidement, « Ok je fais le malin car il y a un truc vraiment très intéressant que je maîtrise, mais je suis un bon professeur, du coup je vais me dévouer pour t'apprendre toutes les ficelles ! » avouais-je alors. Je ne roulais pas souvent des mécaniques, mais je savais que quelque chose de déjà bien couplé à lui... Çà exploserait forcément dans le bon sens.
« Ça a été le seul moyen que j'avais de me vider la tête pendant très longtemps la danse. Je passais parfois pour un fou, surtout en Afghanistan, mais le lâché prise était plus efficace que rester assis à se morfondre. Alors je roule un peu des mécaniques, excuses moi. », c'était pas toujours agréable de tomber face à ce genre de comportement, alors je ne voulais pas qu'il me prenne pour ce que je n'étais pas. « Et j'ai était champion de Tir à l'arc, enfin champion de la Californie et médaille d'argent au niveau nationale, mais si ça t’intéresse, je connais un endroit sympa ici pour faire quelques cibles. C'est pas du tire classique, c'est en mode parcours, y'a plein d'activité, mais le passage Tir à l'arc était plutôt sympa ! C'est sur le thème des Zombies, y'a un mec assez baraquer, genre Maori sous stéroïde qui te confie la survie de son camps de réfugié, c'est immersif et ça te prend une journée, mais je m'étais bien amusé ! » j'étais pas en train de me projeter un peu trop loin ? L'inviter pour des activités physique hors d'un lit pouvait être précipité, mais je n'avais toujours pas comme objectif de camoufler celui que j'étais, je voulais qu'on m'apprécie pour moi, pas pour une image. C'est à ce moment là que les premiers Sushi arrivèrent et après avoir remercier la serveuse, je pris mes baguette dans mes mains fermé pour m'incliner et dire « Itadakimasu » et après un sourire, « Ça veut dire bon appétit. », ça faisait longtemps que j'avais pas autant parlé.
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(#)Sujet: Re: I can't help but want you || Eliam #4 | Jeu 18 Juin - 10:26
“I can't help but want you” Parler de danse avec un habitué est une idée vraiment stupide. Bien sûr qu’Elias veut en parler, bien sûr aussi qu’il veut tenter de convaincre Liam qu’il peut danser sans problème. Ça n’arrivera jamais, qu’on se le dise. Quoique depuis qu’il connaît ce type, tous les “jamais” de Liam se sont envolés assez rapidement. Sur ce coup-là, pourtant, il arrive presque à se convaincre tout seul qu’il saura tenir ses résolutions. “Je maîtrise quelques mouvements, je crois que t’en sais quelque chose.” se flatte-t-il quand même, “mais ça n’a rien à voir, dans un lit personne ne me voit vraiment. J’imagine que sur une piste de danse, personne n’a le temps de s’intéresser à moi non plus, mais va dire ça à mon cerveau !” Quant à un strip-tease, mieux vaut ne pas commencer à en parler… Il existe finalement quelques domaines dans lesquels Liam n’excelle pas, mais loin de s’en vexer, un sourire continuer de flotter sur ses lèvres tandis qu’il écouter Elias se vanter tranquillement. Un petit côté compétitif le pousse tout de même à ajouter : “On ne peut pas être parfait dans tous les domaines. Tu as la danse, et moi tout le reste.” Il doit bien y avoir des tas d’autres choses qu’Elias maîtrise mieux que lui, mais pour le principe… Surtout que visiblement, même à l’ar, l’ancien soldat se révèle meilleur que lui. Ça en deviendrait presque trop pour le fragile ego de Liam. Il est partagé entre l’envie de montrer toute l’étendue de ses talents dans ce parcours dont lui parle l’homme, et l’envie beaucoup moins acceptable de ne plus jamais tenir un arc pour s’éviter une humiliation face à monsieur le champion.
De toute façon, ils n’ont pas tellement l’occasion d’en discuter beaucoup plus longtemps que la serveuse revient déjà avec un plateau incroyablement coloré. S’il prend ses baguettes et lance un “bon appétit” en retour à Elias, Liam ne fait pas le moindre geste pour se servir quoi que ce soit, légèrement dépassé par l’excès de choix qui s’étale devant lui. “Félicitations, je crois que je ne me suis jamais senti si désoeuvré devant un plateau de sushis.” lance-t-il à l’adresse d’Elias avant de faire enfin un choix. C’est un pari risqué que de manger le premier, non pas qu’il ait peur de ce qu’il va avaler, mais plutôt de le faire de façon trop… américaine ? Il secoue la tête à cette pensée, ravalant un petit rire. “Si je survis à ta leçon de danse de ce soir, peut-être bien que tu pourras m’emmener à ce camp de zombies.” Il se décide enfin à manger, après ça, et découvre un tout nouveau monde à chaque nouvelle tentative. Il demande des explications à Elias et essaye tant bien que mal de répéter quelques mots en japonais - sans grand succès. Il ne passe certainement pas à côté de l’humiliation légère, mais passe malgré tout une excellente soirée. Bien meilleure que ce qu’il espérait en rentrant chez lui, en tout cas.
Quand ils sortent du restaurant - après que Liam ait échoué à payer la moitié de la note - il est toujours sur un petit nuage, malgré les différents échecs de ce dîner. Il fait quelques pas dans une direction choisie plus ou moins au hasard - n’allant simplement pas vers son appartement - avant de s’arrêter assez brusquement dans un endroit un peu plus calme. Il ne dit rien de spécial quand il attrape Elias par le bras. Le temps d’un mouvement d’une fluidité incroyable et l’homme se retrouve plaqué contre le mur d’un bâtiment, Liam pressé contre lui, les lèvres de l’ingénieur prêtes à lui arracher son souffle. C’est bien la seule chose qui parvienne à convaincre Liam de s’éloigner, d’ailleurs : le besoin vital de respirer. Il a toujours une main posée à plat sur le mur près du visage d’Elias, l’autre sur sa taille et son visage baissé vers lui. “Emmène-moi danser.” murmure-t-il, à bout de souffle. C’est probablement la dernière chose dont il ait envie en ce moment, on peut difficilement ignorer la tension dans tout son corps, la façon dont il regarde Elias qui en dit long aussi.
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HRP:
Sorry je suis pas dedans On relance un autre rp quand tu veux, si tu préfères
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(#)Sujet: Re: I can't help but want you || Eliam #4 |