Derek aimait bien piqué son grand-frère, on aurait apprécié en savoir davantage sur ces petites aventures amoureuses, mais non, son frère ne releva même pas son commentaire sur sa petite rencontre. Une vraie tombe, à croire qu'il n'aura donc pas eut de sentiment? Bon pas si étonnant provenant de celui qui était surnommé l'archange. Petit haussement d'épaule pour faire passer qu'il était déçu. De toute manière, il avait plus important à gérer ou penser. Sa boutique se devait d'être prête, et là, il manqua d'étouffer en apprenant que Raphael s'en était personnellement occupé. Quoi? Ce mec qui devait faire ces achats de vêtement dans de vieille friperie? Qui ne connaissait rien dans les textures ou les couleurs, car outre le noir, Raphael ne semblait connaître rien d'autre. On allait s'étouffer, ou peut-être l'étrangler? Oui, l'étrangler était aussi une optique.

« - Laisse-moi me questionner... »

Et surtout aller arranger tout cela, il voulait constater les dégâts de ces propres yeux. D'un pas décidé, mais à la fois apeuré, il se dirigea vers le parking de l'hopital. Espérons au moins que les bonnes étiquettes avaient été apposé sur les produits? Tout était une question d’étiquetage et de marchandisage. Derek avait planifié tout un système qui n'aura sûrement pas été respecter, parce que Raphael l'avait fait seul et pas laisser les employés qui avaient été formé à le faire. Derek déglutit, même les meubles de présentation avaient été acheter et placer selon un planning préparer au poils prêt. Tel accessoire ou tel soulier devait aller avec tel vêtement, tout avait été planifié et mis sur un plan. Ce n'était pas qu'une question de bel présentation de couleur, toute la gamme était faite pour la saison et dans 2 mois, tout serait déjà réduit et la prochaine collection lancée. Il fallait donc que tout soit coordonné au poils prêt pour que les employés sache en tout moment, ou sera posé la nouvelle collection et les invendus. Sans parler, du système d'inventaire, qui justement avait été fait et préparer pour que tout soit facile à prendre chaque jour.

« - hmmm... »

Les dents de notre beau brun était en train de se faire limer tellement il se faisait du mourron et était en train de réfléchir à se désastre sans nom qui l'attendait. On l'attendait réfléchir à haute voix que certains diraient. Lui d'ailleurs ne faisait même pas attention au manque de sécurité de ce petit caneton qui ne devrait pas se retrouver sur les cuisses du tonton, si la police nous arrêtait cela était l'amende assuré. Mais non, rien n'arriva jusqu'à l'arrivée à la boutique. Derek arracha les clés des mains de son frère et courut à l'intérieur. À tout les coups, avec les conseils de Dominik, rien ne sera en place, selon les plans de la Watts. Derek n'avait pas ouvert une boutique standard, non la Watts fera sa renommée par son propre système d'arrangement, de planification et d'inventaire. Derek avait tout enregistré les changements et les installations à faire au poils prêt. Après tout, on souhaitait ouvrir plus de 500 boutiques, et toute celle-ci allait devoir être monter à l'identique, donc autant vous dire que tout avait été consigné dans les cartables de Derek, lui avait passé les deux dernières semaines à dessiner son plan. À indiquer ou tel produit devait être, selon la saison, le nombre de produit fabriqué et qui seront vendus.

À son entrée, il ne pourra pas dire que cela était laid, Raphael avait bel et bien réussit à présenter chaque comptoir de manière attrayante, sauf que ce n'était pas planifié selon Derek Watts, mais plutôt comme Domonik l'aurait fait.

« - Pffff... presque rien n'est à sa place... tu aurais dû te douter que tout était consigné dans mes cartables, je planifie tout... même là, tu as déplacé certains meubles. »

Derek avait des douleurs au ventre, mais bon, deux jours encore pour faire les correctifs, cela était possible, cela allait mettre justement son système de planning à l'épreuve. Tout les changements saisonniers devaient se faire en deux heures a deux employés et 1h a trois personnes. La pratique allait être mis en pratique plutôt et il pourrait ainsi voir si entre ce qu'on imaginait et voulait faire si cela était possible.

« - Bon... merci de m'avoir déposer... j'pense que je vais rappeler mon équipe... tu n'aurais pas dû les virer, il savait quoi faire... j'ai passé 1 semaine à les former pour ce moment... c'est beau ce que tu as fait... c'est juste pas... Watts... »

Être Watts, faire Watts, devenir Watts, ça c'était tout un concept marketing, et on ne pouvait pas juste ce dire ok, je monte tout, non la Watts allait devenir une immense entreprise ou chaque employés allaient trouvé sa place et … ou devenir une machine se devait de respecter chaque placement tel que les directives vous avez été donné.

« - Tu peux contacté Deborah et lui dire que je rentrerais plus tard? »

Derek se dirigea vers le troisième étage du bâtiment pour aller chercher ces plans. Il n'était pas fâché contre Raphael, ce dernier n'avait pas su, mais tout de même, on l'avait dit, Raphael se mêlait trop du propre travail de Derek.

@Raphaël Watts

Derek arriva au dernier étage du bâtiment, à peine avait-il entendu les propos de son frère qui semblait tout gaga de son neveu. En effet,voulait-il qu'il s’occupe de lui commander à manger? Derek ne devrait pas en avoir pour la soirée. Il devait faire quelques téléphones pour demander aux employées de rentrer tôt le lendemain pour refaire toute la mise en marché de la boutique. Cartable en main, Derek redescendit dans la boutique où son frère semblait être rester, nourrissant le petit à même une fiole de métal. De l’alcool? Espérons que ce contenant n’en avait pas à l’intérieur. Nous n’en dirons rien, mais on l’avait bel et bien penser.

« - t’inquiète. Je dois seulement contacter ma gérante de boutique pour que elle-même demande à tous les employés de nous rejoindre demain. J’espère seulement que tu ne les as pas toute faites fuir pour que tu ais été obligé de faire le placement seul. »

On le savait que notre frère pouvait faire flipper bien des gens, mais espérons qu’on aura pas trop d’excuse à faire. Le lendemain très certainement et nous allions ainsi prévoir un petit déjeuner pour l’équipe et des cafés frais. Espérons que demain, Deborah saura se passer du SUV, mais il présumait que oui.

« - j’en ai que pour quelques minutes donc, tu peux aller m’attendre dehors pour t’en fumée une. »

Le grand brun était déjà pencher sous le comptoir service pour attraper un cahier et juste après le combiner téléphonique. Quand il se redressa, il était rouge tomate, le souffle court et une main se tenant le haut du bras. Une belle et grande grimace de douleur lui deformait le visage.

« - rhouille mince… fait mal… »

Sa paume frotta la zone qui lui elancait, se demandant s’il était vraiment en état pour le mardi fatidique. L’idée de se blesser avant un tel moment.

« - tout va bien, aller va fumée. Je te rejoins dans 5 minutes. »