Quand la jalousie prend le dessus (Lexie&Nate)

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Vous êtes deux petits coquins.

Nathaniel m’avait tout bonnement abandonné à la fête la veille alors que je venais spécialement pur lui tenir compagnie. Justin était devenu désagréable j’étais donc partis très tôt mais ça ne me dérangeais pas vraiment. J’avais bu qu’une bière et je me surprenais moi-même à avoir été en contrôle à ce point. Généralement quand je sortais, je me pétais la gueule littéralement au point où j’avais un mal de vivre. Là, tout était beaucoup quand j’avais ouvert les yeux. Du moins, j’aurais aimé me faire réveiller autrement que par un SMS de Nate mais ce n’était pas si terrible. Ce dernier voulait que je passe le chercher à l’hôtel en face de l’endroit où nous étions sortis. C’était bien louche, mais je ne posai pas de question. Je m’habillai puis entra dans mon VUS en direction pour repêcher mon meilleur pote. Il m’avait donné le # de la chambre et je me scionnai droit devant pour finalement klaxonner. Qu’est-ce qu’il fichait ici sérieusement? Ça foutait la chienne comme endroit. Je fus plus que surprise en le voyant en sortir en compagnie d’Alexie. Ok… j’avais manqué un bout et je ne pu cacher ma surprise. Je ne comprenais strictement rien, il s’était fait la guerre toute la soirée… et voilà qu’il avait baisé avec elle. Car, qu’est-ce qu’ils auraient pu faire d’autre dans un hôtel hein? Parler? N’importe quoi! Nate avait toujours pas de haut d’ailleurs, il s’exhibait le torse le coquin. Les deux entrèrent dans ma voiture, Alexie à l’arrière. Nate à mes côtés.

« Bon matin les copinos! Monsieur Parfait est là! » dis-je dans le but d’agacer un peu Alexie gentiment.

Cette dernière ne semblait pas trop à l’aise et s’excusai aussitôt de m’avoir traité ainsi. J’avais passé ma main à l’arrière pour qu’elle tape dedans.

« Sans rancune Lexie. J’ai bien aimé te voir éclabousser Natachou de bière. »

J’avais tourné la tête vers ce dernier avant de plisser un peu le nez.

« Mon dieu Nate, t’as dormi dans une poubelle ou quoi? Quoi qu’à regarder l’allure de l’hôtel, vous auriez pu trouver mieux. »

Nate me fit de gros pour me faire clairement comprendre que je devais me la fermer. Je replaçai donc mes lunettes sur mon nez en montant un peu le son de la radio. Je regardai la jolie rousse dans mon rétroviseur à l’arrière qui était bien silencieuse. D’ailleurs, j’avais presque l’impression d’être le seul en forme et à parler. Je commençai donc à rouler pour sortir du stationnement en tapotant mon volant au rythme de la musique.

« Belle Alexie, tu vas devoir me dire comment on se rend chez toi. »

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Quand la jalousie prend le dessus

Je ne pense pas que j'avais dormi beaucoup, mais au moins au petit matin, tout avait l'air paisible et heureusement qu'il y avait de la lumière. Je me sentais beaucoup plus rassuré. La belle Alexie était restée à mes côtés et maintenant on se réveillait dans une chambre de motel miteuse. Je me retournai sur le dos pour observer le plafond le temps qu'elle se réveille, mais elle l'était déjà puisqu'elle vint poser sa tête contre mon épaule. Je ne pu faire autrement que de passer mon bras autour d'elle. C'était difficile de résister à la tentation alors qu'elle était en soutien-gorge. J'avais encore du mal à réaliser qu'elle était bien là. En effet, il ne fallait pas penser aux trucs qu'il pouvait y avoir sur le lit, c'était dégueulasse. J'avais hâte de partir d'ici.

- On va se tirer d'ici! J'espère que tes vaccins sont à jour....

Alexie avait fait un saut à la salle de bain pendant que j'avais récupéré mon portable que j'avais laissé sur la table pour faire sécher pour envoyer un SMS d'abord à William s'il était debout et disponible pour venir me chercher.

"Salut Willou!
J'aurais un petit service à te demander... ne fait pas sembler de dormir!!!! Pourrais-tu venir me chercher au motel en face du MIami beach club...? Genre... maintenant? Je sais qu'il est tôt, mais tu m'aimes aussi matinalement!

Nate"

William me répondit presqu'aussitôt et il était disponible heureusement pour venir nous chercher. J'indiquai alors qu'on allait partir avec William à Alexie et elle semblait quelque peu troublée. Je compris vite que c'était parce qu'elle l'avait insulté hier soir. Je me demandais bien ce qu'elle lui avait dit alors... Parce que Will était pas du genre à dire des choses déplacées ou même être méchant.

- Mais non, t'as pas à t'en fait pas! Il a surement tout oublié!

Je lui fis un léger sourire sans essayer de comprendre ce qui s'était passé entre les deux avant de disparaître dans la salle de bain. Qu'elques minutes plus tard, Alexie m'indiqua que Will était déjà arrivé. Il avait fait drôlement vite. Nous quittâmes alors la chambre sans regret et nous montâmes à bord du VUS de Will. J'avais envie de rentrer en lui disant de ne pas émettre de commentaire, mais c'était une cause perdue ça.

- Salut!

Alexie s'excusa alors pour l'avoir traité de Mr. Parfait et de s'être énervée contre lui hier. Je dois dire que ça me faisait bien rire ça... Mr. Parfait! Il allait avoir la tête enflée bien longtemps avec ça. J'avais juste hâte de rentrer chez moi, mais WIlliam cru bon de me faire savoir que je puais comme un fond de ruelle. Je fis les gros yeux à mon ami parce que je ne voulais pas qu'il émette des commentaires au sujet de moi et Alexie dans ce motel miteux. Il avait compris, car il s'était tut un instant pour ensuite demander l'adresse d'Alexie... plutôt de la belle Alexie...

- Non.. pas la peine, elle vient chez moi!

William m'avait regardé avec un sourire en coin et j'avais aussitôt soupiré. Je n'avais même pas demandé l'avis d'Alexie en plus, c'était peut-être trop ce que je venais de dire, je ne sais pas. Au pire, j'allais aller la porter moi-même. Je me sentais tout mal d'être encore collant et puer la bière, j'avais hâte de prendre une bonne douche. William roula un bon moment avant de s'arrêter devant chez moi. ALexie descendit la première pendant que je restai dans la voiture.

- Merci Will et c'est pas ce que tu crois!!! Je t'appelle un autre soir, faut que tu me racontes la fête à Justin! Et je te raconterai alors ma soirée....

On avait encore bien des choses à se dire, mais là, je ne voulais pas faire attendre Alexie. Enfin chez moi! Je sortis mes clés de mes poches pour déverrouiller la porte et on entra chez moi. Il faisait frais, on était vraiment bien.

- Je pense qu'on a pas fini de se parler alors voici ce que je te propose... On prend une douche... pas en même temps... on mange, on discute et après je vais te porter chez moi.

Voici ce qui était mon plan. Il ne manquait plus qu'Alexie ne l'accepte et je l'espérais vraiment. On avait parlé qu'un peu ensemble hier et je savais qu'il fallait notre relation maintenant qu'elle semblait être de retour à Miami pour de bon. D'ailleurs, je ne savais même pas pourquoi elle était de retour en ville. Je dirais que j'avais plus de questions en tête la concernant maintenant qu'elle était devant moi. J'avais l'intention de laisser la douche du premier à Alexie pendant que j'irai au sous-sol dans mon autre douche.

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QUAND LA JALOUSIE PREND LE DESSUS

J’avais été un peu mal à l’aise d’entrer dans la voiture de William mais ce dernier me fit comprendre qu’il n’y avait pas de quoi être en froid. Il m’avait déjà pardonné de l’avoir traité de monsieur parfait et tout ça avait bien fait rire Nate. Puis, ce dernier me demanda mon adresse et je n’eus pas le temps de répondre que son meilleur ami affirma que j’allais chez lui. Je n’étais pas du tout au courant mais ça m’allait. En même temps, je me voyais mal rentrer à la maison et que ma sœur me voit dans cet état. Nous arrivâmes bien rapidement devant chez Wilson et je sortis la première après avoir remercié William. J’attendis Nate devant la porte et ce dernier vint me rejoindre rapidement pour débarrer le tout. Mon compagnon de motel miteux me proposa alors un plan de match. Il avait donc tout penser à ça lui.

« Ça me va. Mais j’aimerais bien pouvoir sécher mes vêtements si ça ne te dérange pas trop. »

Ça ne le dérangeait pas. Il allait donc me montrer comment faire fonctionner sa sécheuse et je le remerciai avant de m’enfermer dans la salle de bain dans le but de me laver le corps et les cheveux. Bon, ce n’était pas mon savon, ni mon shampoing mais ça faisait parfaitement l’affaire pour le moment. C’était même juste agréable de sentir l’eau chaude sur ma peau. J’avais l’impression d’être frigorifiée depuis trop longtemps. En sortant, je me brossai les dents avec la brosse à dents à Nate. Il n’allait pas le savoir et puis, je la passai plusieurs fois sous l’eau chaude. Il fallait absolument que je le fasse car je ne supportais pas de ne pas avoir l’haleine fraiche. Maintenant propre de partout, je sortis en simple serviette pour mettre mes vêtements au sèche-linge puis me diriger ensuite dans sa chambre où j’ouvris son placard pour prendre une simple chemise bleu ciel. Je me souviens de cette chemise car je l’avais trouvé tellement beau dedans lorsqu’il était venu à Londres. Bref, c’était un détail à ne pas penser. Je l’enfilai simplement en ramenant la serviette à la salle de bain et revenir ensuite à sa chambre. Nathaniel n’étant pas revenu, je m’installai sur son lit pour me reposer un peu. Le confort de ce dernier n’était clairement pas comparable à l’autre.

Je croyais bien avoir tombé endormi puisque c’est une pression sur le matelas qui me fit ouvrir les yeux. Nate était assis et me regardait. Je me passai aussitôt une main sur le visage en me redressant en position assise J’ignorais depuis combien de temps je dormais d’ailleurs.

« C’était pas prévu de tomber endormi. » Ce dernier m’informa qu’il avait fait à manger. J’avais donc écarquillé les yeux. J’avais donc dormi relativement longtemps. « Wow, ok j’te suis. Ah oui… et je t’ai emprunté ça… j’espère que ça pose pas de problème? »

J’avais passé mes mains sur sa chemise pour lui montrer. C’était mieux ça que rester en serviette d’après moi. Nous nous rendîmes à la salle à manger. Ce dernier avait faire des grilled cheese. Il savait clairement comment me prendre par les sentiments Je ne cachai pas ma joie en prenant place à la table. Il y avait également des fruits et du café. Je m’empressai de croquer dans le pain en levant un pouce dans les airs tout en secouant positivement la tête.

« Je ne sais pas si c’est parce que je suis affamée mais c’est le meilleur grilled cheese que j’ai mangé depuis longtemps. »

Maintenant, s'il voulait parler... on pouvait parler.

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Quand la jalousie prend le dessus

Je ne sais même pas pourquoi j'avais dit à William qu'Alexie venait chez moi... En fait, je m'étais trouvé une explication dans ma tête que c'était pour continuer notre discussion... mais la vraie raison c'était sans doute que je n'étais pas prêt à la laisser filer si vite. N'avait-elle pas dit qu'elle n'était plus amoureuse de moi? Que je n'étais plus quelqu'un d'important pour elle? J'avais donc proposé à Alexie de prendre une douche et qu'ensuite nous mangerions. Je lui montrai alors comment fonctionne ma sécheuse avant de disparaitre au sous-sol pour prendre ma douche. Je n'aimais pas vraiment cette douche, mais elle faisait l'affaire. Ça me fit un immense bien que d'avoir de l'eau chaude qui me coule dessus et j'avais assez hâte de me débarrasser de cette odeur de bière. Je pris une longue douche avant de sortir et de me mettre une serviette autour de la taille. J'avais oublié de me sortir des vêtements. Quand je remonta, j'allais à la salle de bain pour me brosser les dents et me mettre du déodorant. Puis, quand j'allai voir ce que faisait Alexie dans ma chambre, je la retrouvai endormie... Je décidai donc de la laisser dormir et je restai alors en serviette pendant que j'allais aller nous faire à manger. Je ne voyais pas trop ce que je pouvais lui préparer... pas de la haute gastronomie parce que je devais faire les courses. Je lui préparai donc un grilled-cheese, du café et j'ajoutai quelques fruits. Je pense que ça allait lui plaire. Quand tout fut prêt, je décidai alors d'aller me chercher des vêtements pour m'habiller... un boxer, un short et un débardeur. J'allai me changer dans ma salle de bain et je revins m'asseoir sur le lit pour la réveiller tout doucement.

- Hello princesse! Je voulais pas te réveiller, mais j'ai fait à manger... et je n'aurais pas voulu tout faire ça pour rien....

Elle avait l'air vraiment bien et je m'en voulais de la réveiller, mais bon. Je remarquai immédiatement qu'elle avait mis une de mes chemises et je ne pouvais faire autrement que de la trouver sexy. Je lui mentionnai alors qu'il n'y avait pas de problème. Je pense que j'avais des choses à me faire pardonner de toute façon. Elle me suivit jusqu'à la cuisine où je lui servit un grilled cheese et du café bien chauds. Elle avait l'air ravie même si c'était pas grand chose.

- Je crois que tu te moques de moi, mais ce n'est pas grave, ça va nous remplir l'estomac! Je dois bien l'avouer, c'était super bon aussi.
- Je veux pas qu'il y ait d’ambiguïté entre nous... ni de malaises... ni de de tensions... Je sais que j'ai fais du mal à India et je m'en veux beaucoup d'ailleurs, j'aurais dû réfléchir plus...

Le fait est que je n'arrivais pas à réfléchir avec elle, je voulais l'embrasser encore, savourer son corps sentir cette chaleur, ce désir qui ne cessait de me submerger quand elle était auprès de moi. J'avais du mal à me concentrer et je savais que je ne pouvais pas passer à autre chose. Je l'avais dans la peau même si ça faisait des mois que nous nous étions pas vus. Ça avait été plus facile en ne la voyant pas... mais là, je savais que j'allais vivre un vrai enfer. Nous terminâmes de manger et je desservis la table tout en disant à Alexie de rester assise. Une fois que les assiettes fut mises au lave-vaisselle, je ne pouvais plus me contenir... J'avais été à la hauteur d'Alexie pour lui tendre ma main qu'elle avait saisi sans hésiter.

- Arrête-moi si t'en as pas envie, mais j'en peux plus!

Je l'avais embrassé sans plus attendre posant ma main derrière sa nuque pour lui offrir un baiser enflammé. Mon autre main remonta la long de sa cuisse pour se faufiler sous ma chemise qu'elle portait. Je savais que ce que j'étais en train de faire allait certainement me détruire encore plus, mais c'était plus fort que moi.

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QUAND LA JALOUSIE PREND LE DESSUS

« Non, tu as bien fait, je meurs de faim. »

Je m’étais redressée pour finalement lui faire remarquer que je portais sa chemise mais ça ne semblait pas lui déranger. De toute manière, c’était qu’en attendant que mes vêtements sèchent complètement. Je m’étais finalement levé du lit pour suivre Nate jusqu’à la salle à manger où je trouvais un bon grilled cheese, du café et des fruits. C’était en plein ce que j’avais de besoin et en plus de ça, c’était délicieux. Mon petit commentaire laissa perplexe Nate puisqu’il me fit part qu’il ne me croyait pas sérieuse.

« Non, j’te jure. Je suis une fine connaisseuse de grilled-cheese et celui-là est clairement dans mon top 5. »

J’avais croqué aussitôt dans le pain de suite après. Ça faisait tellement du bien sachant que la dernière chose que j’avais mangé était une salade la veille. Je me régalais en écoutant Nate m’expliquer qu’il ne voulait pas de tensions entre nous, pas d’ambiguïté ni de malaises Je ne comprends pas trop s’il voulait parler du fait qu’il ne voulait pas qu’on soit en froid, ou bien s’il ne voulait pas qu’il y ait d’ambiguïté dans le sens qu’il ne voulait plus me toucher. J’avais froncé les sourcils en avalant ma fraise.

« Il n’y aura rien de tout ça. Comme je t’ai dit hier, je suis passée à autre chose. »

Faux, continuellement faux mais je n’y pouvais rien. Après tout, j’étais qu’une grosse menteuse alors aussi bien continué comme ça. C’était mieux pour moi en fait de lui dire ça et peut-être qu’à force de le dire, j’allais finir par me croire. Nous terminâmes donc de manger à toute tranquillité et je vins pour aider Nate à débarrasser la table mais il ne voulait pas. Je restai donc assise à la table en le regardant faire. Je faisais vraiment une fixation à ses bras, surtout quand il portait un débardeur comme ça, c’était difficile pour moi de regarder ailleurs. Une fois le tout ramassé, ce dernier s’était retrouvé devant moi pour me prendre la main, je me levai donc en le regardant droit dans les yeux. Mon cœur s’emballa aussitôt dans ma poitrine suite à ce qu’il m’avait dit. C’était assez imprévisible mais seigneur… juste qu’il me dise ça, c’était totalement excitant.

Voilà que ses lèvres avaient rencontrées les miennes et je ne pu faire autrement que de mettre du mien. Sa main gauche longeait ma cuisse jusqu’à se frayer un chemin sous la chemise que je portais, relevant également cette dernière. J’avais glissé mes mains sous son débardeur, dans son dos pour le caresser bien doucement tout en lui rendant ses baisers bien passionnés. Les mains à l’arrière de mes cuisses, il me souleva d’un coup pour me poser sur la table derrière nous, mes cuisses écartées, il se positionna entre ces dernières et je ne perdis pas de temps pour soulever le bas de son débardeur dans le but de lui retirer. Il avait levé les bras pour pour m’aider à lui retirer. J’avais croisé son regard à ce moment. Je croyais bien qu’on débordait de désir l’un pour l’autre, ça pouvait ce voir dans ses yeux en tout cas et ce petit regard m’avait tellement manqué.

« Je ne compte pas t’arrêter, la seule chose que je veux c’est continuer. »

Son front s’était posé contre le mien, je me mordillai la lèvre inférieure en soutenant son regard, venant glisser mes deux mains sous son short et son boxer pour venir caresser ses fesses et les serrer. Nate m’avait aussitôt prit au niveau du bas du dos pour m’attirer tout contre lui d’un coup. Nos bassins maintenant l’un contre l’autre, je pouvais clairement sentir son membre à travers ses vêtements venir se frotter contre mon intimité, à peine camoufler par ma petite culotte. Le feu m’avait monté aux joues. Je croyais bien que je m’étais mise à trembler tellement le désir devenait incontrôlable et pourtant, je continuais car je voulais juste le sentir contre moi encore et encore. Du moins, pour le moment car ce que je désirais encore plus, c’était de pouvoir le sentir en moi et pouvoir vivre ça à nouveau avec lui car c’était tout ce que je voulais, il était la seule personne à pouvoir me procurer autant de sensations, à me donner autant de papillons.

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Quand la jalousie prend le dessus

Qu'est-ce qui se passait dans la tête de Nathaniel Wilson en ce moment? Il était fou de désir pour la belle Alexie qu'il tenait contre se corps pour l'enlacer et l'embrasser à sa guise. Ils s'étaient quittés trop longtemps et maintenant c'était des retrouvailles explosives. Je l'avais éviter pendant un certain temps depuis son retour à Miami et il n'aurait fallut qu'une soirée pour tout ramener le passé devant. Je voulais Alexie à nouveau sans la blesser comme je l'avais fait, c'est pourquoi je m'étais assuré qu'elle ne m'aimait plus... Sur le coup, ça m'avait fait un pincement au coeur, parce que le fait qu'elle dise qu'elle ne m'aime plus, ça me détruisait. Je ne sais pas où était la logique, mais eu importe, je la désirais ardemment comme à chaque fois que je la voyais. C'était physique, c'était fort, je me sentais bouillir de l'intérieur. Cette jolie rousse me plaisait beaucoup trop! Je ne pouvais tout simplement pas lui résister. Mes mains se faufilèrent sous ma chemise qu'elle portait et je la trouvais tellement sexy.

- Miss Anderson, on dirait que vous avez soudainement de la fièvre!

Je lui fis un léger sourire parce qu'elle avait les joues déjà toutes rouges. J'attrapai ma belle rouquine pour que ses jambes s'enroule autour de ma taille et je l'emmena dans ma chambre pour que nous soyons beaucoup plus confortable et à l'aise. J'étais content de lui avoir résisté la veille dans ce motel dégueulasse. Mes lèvres ne voulaient plus quitter les siennes, je les adorais... J'adorais tout ce qu'était Alexie en fait. Mes mains se faufilèrent à nouveau sous la chemise et cette fois je lui enlevai sa petite culotte. Je dois bien l'avouer, elle m'excitait grandement et mon sexe qui était bien dur le montrait entièrement. Mes doigts se faufilèrent tout doucement dans son intimité qui était déjà bien humide. J'avais tellement envie d'elle! Je n'étais pas calme du tout, même que je mettais beaucoup de vigueurs dans mes baisers et mes caresses. J'étais pressé de retrouver son corps et de soulager toute cette tension. Je grognais un instant parce que je devais aller attraper un préservatif et le fait de la quitter ce temps m'énervait. J'avais ramassé la boite pour la mettre sur le lit comme ça, il serait à ma portée.

- T'es tellement belle Alexie... tu ne peux pas savoir comme tu m'as manqué!

Il y avait une réelle alchimie entre nous deux et pourtant je ne pouvais qu'avoir un peu de remord pour ce qui était arrivé avec ma soeur. J'avais d'un côté Amber qui me sermonnerait, mais j'avais aussi d'un autre côté ce que je désirais vraiment. Je m'étais débarrassé de mon short avant de regagner ma place auprès de la jeune femme. Mes doigts allèrent appuyer de nouveau sur son bouton de plaisir pour la faire réagir davantage. J'aimais voir cette petite bouche gémir. Je voulais voir sa poitrine dénudée, c'est pourquoi je me permis de déboutonner sa chemise (plutôt la mienne) Lui embrassant la peau à chaque bouton défait et je l'ouvris complètement pour découvrir le corps nu d'Alexie. Que ce corps était parfait. Mes yeux remarquèrent quand même une ancienne blessure où elle avait une ecchymose qui tournait au vert dans le haut des cuisses.

- Tu t'es blessée?

Je m'étais arrêté pour la regarder. Je ne savais pas trop ce qu'elle avait fait ces dernières semaines, donc je me demandais si c'était parce qu'elle avait transporté quelque chose de lourd ou bien qu'elle s'était cogné. Mes doigts passèrent dessus son ancienne blessure, mais je ne m'y attarda pas bien longtemps. Il y avait mieux à faire que s'inquiéter pour quelque chose qui semblait anodin.

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QUAND LA JALOUSIE PREND LE DESSUS

C’était tout simplement incontrôlable ce qui se passait entre nous. Je n’avais jamais ressentis autant d’attirance pour quelqu’un d’autre. Je ne comprenais pas encore ce qu’il me faisait. Est-ce que c’était normal? Je ne savais pas… il faudrait peut-être que lui demande… mais comment? Est-ce qu’il avait déjà eu ce genre d’attirance incroyable pour quelqu’un d’autre, ou peut-être que je n’étais pas la seule avec qui ça se passait comme ça mais MON DIEU. De mon côté, c’était unique et j’avais du mal à vivre avec ça car la seule chose que je voulais quand je l’avais devant moi, c’était de le toucher. Pas particulièrement coucher avec lui, bien que ma libido touchait le plafond aussitôt qu’on se trouvait dans la même pièce, mais juste de pouvoir le sentir contre moi, que ça ne soit que de le toucher. Son contact m’électrifiât et mon cœur s’emballait toujours. Comme là d’ailleurs je sentais bien le feu me monter aux joues et Nathaniel me fit un commentaire. J’avais laissé échapper un petit rire en faisant de gros yeux, baissant quelque peu la tête.

« C’est que tu me donne chaud… »

Je laissai mes jambes s’enrouler autour de ce beau corps que j’aimais tant avant de me faire porter jusqu’à cette chambre que je connaissais presque aussi bien que la mienne maintenant. Assise sur le lit, je regardai Nate qui m’enleva ma petite culotte sans gêne, ses lèvres toujours contre les miennes alors qu’il était toujours debout devant le lit. Une fois le morceau de vêtement retiré, il se laissa tomber vers l’avant pour me faire tomber sur le dos, et se retrouver au-dessus de moi. Nous nous embrassâmes avec envie et je laissai mes jambes bien ouverte pour le laisser me toucher à sa guise. Ça me plaisait et il savait comme s’y faire. Je savais maintenant que ce n’était clairement pas tous les yeux qui avait ce talent d’ailleurs donc j’allais en profiter alors que ses doigts jouaient en moi. Je le désirais tellement, que je n’aurais même pas eu besoin de préliminaire. Depuis la veille que j’attendais uniquement ce moment. Nos mouvements étaient presque saccadés tellement nous avions du mal à garder le contrôle. Je le laissai se lever pour prendre un préservatif. J’aimais pas ça… j’aurais aimé ne pas en mettre, car on en mettait pratiquement jamais avant et j’adorais le sentir à bout de l’acte en moi mais bon… c’était mieux de se protéger maintenant qu’il n’était plus le seul avec qui je couchais. Je devais être responsable. Ce dernier se mit à me dire qu’il me trouvait belle, et que je ne savais pas à quel point je lui avais manqué. Est-ce qu’il disait ça uniquement pour m’allumer encore plus car il savait que c’était quelque chose que j’aurais aimé entendre de lui? Je ne voulais pas tomber dans son jeu. C’était du sexe pour du sexe. Et ça, je devais me le répéter.

« Allez, reviens ici. »

Il retira son short et je pouvais voir son sexe bien gonflé à travers son boxer. Mon vœu fut exaucé lorsqu’il reprit place par-dessus moi, ne se gênant pas pour continuer à toucher mon intimité, m’arrachant quelques gémissements bien sentis. Je n’avais pas besoin de me forcer à faire semblant avec lui, c’était naturel et il arrivait à me combler largement. Nate se mit ensuite à détacher la chemise que je portais, lui donnant accès à ma poitrine qu’il s’empressa d’embrasser. Je glissai ma main dans ses cheveux alors qu’il s’y attardait un moment. Puis, lorsqu’il s’arrêta, mon ami remarqua une blessure de Sébastian sur le dessus de ma cuisse et me questionna à ce sujet tout en y passant doucement des doigts. NON! Il ne devait pas me faire penser à ce monstre, pas là… pas maintenant. De quoi me refroidir.

« Ouais… en faisant du ménage, j’ai déplacé des meubles et je me suis cognée. » Je vins lui voler un rapidement baiser sur les lèvres. « Couche-toi. »

Je lui poussai les avant-bras pour qu’on inverse les positions et il m’écouta bien sagement. Si seulement il pouvait être aussi docile dans la vie de tous les jours qu’au lit! Je me reculai jusqu’à ses pieds pour tirer son boxer vers le bas et lui retirer, laissant son membre rebondir devant moi. Je lançai son sous-vêtement hors du lit pour venir vers son entre jambe que j’embrassai tout autour avant de le prendre entre mes lèvres et lui offrir une fellation. On m’arrêta après un petit moment et je compris que si je continuais ainsi, il allait venir à bout avant même qu’on puisse en profiter. Je pris donc un préservatif que je lui enfilai avant de m’installer à califourchon sur lui et diriger son membre avec mon intimité, nous ne fîmes qu’un. Je poussai un petit soupire de bien être avant de commencer des va-et-vient. Les mains de Nate sur mes hanches, il me regardait droit dans les yeux et c’était bien sexy comme moment. Je ramenai mes cheveux sur le côté pour venir l’embrasser puis me redresser à nouveau et commencer à donner des coups plus rapidement, nous faisant gémir sans retenu. D’un coup, Nathaniel inversa les positions, se retrouvant par-dessus moi. Toujours en moi, il ne faisait que bouger bien doucement, nous laissant le temps de reprendre sur nous avant de continuer. Je tremblais, je ne savais pas trop pourquoi, probablement parce que j’étais heureuse et ce n’était pas arrivé depuis longtemps, j’avais du mal à le gérer. Je pris le visage de mon beau policier à deux mains pour le regarder dans les yeux.

« Je t’… » Je me stoppai, il n’y avait que nos respirations qui servaient de fond sonore. Mon bassin se soulevait toujours doucement pour venir à la rencontre du sien. C’était doux, mais tellement agréable. Mon pouce passa contre ses lèvres avant de venir l’embrasser, laissant ma langue venir caresser la sienne.

« C’est tellement bon de te retrouver…. Je veux plus te laisser filer. » Soufflais-je à son oreille au moment où il recommençait une pénétration plus forte, plus profonde et plus intense.

J’en avais le souffle coupé, mes yeux se fermaient et mes ongles s’enfoncèrent dans son épaule. Je sentais mon orgasme monter en moi, un orgasme, je n’avais pas eu ça depuis tellement longtemps!!!! Je n’avais jamais été criarde mais là, je me surpris moi-même. Pauvres voisins de l'autre côté du mur, mais pour l'instant, je m'en moquais. J'étais au 7ième ciel.

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Quand la jalousie prend le dessus

Alexie me mentionna qu’elle avait une blessure dû à un déplacement de meuble, c’est pourquoi je m’empressai de lui embrasser sa blessure qui était en train de guérir tout doucement.

- Appelle-moi la prochaine fois que tu veux déplacer des meubles.

Alexie me fit basculer sur le dos et ça me mit vite le sourire aux lèvres. Elle s’occupa de libérer mon sexe et pour m’offrir une fellation. Oh mon dieu, ce que je pouvais aimer ça! Elle faisait glisser ses lèvres sur mon membre bien dur pour me donner des sensations des plus vibrantes. Sa langue était en plus de la partie et je dois dire que j’avais du mal à me contenir tellement c’était bon. Tout ça m’avait manqué de sa part, elle était tellement douée sinon plus que je me rappelais. Je me cambrai un instant et elle compris qu’il fallait qu’elle arrête parce que j’allais exploser. Elle attrapa un préservatif dans la boite à nos côtés et elle déchira l’enveloppe pour me l’enfiler par la suite. Alexie était sur moi, j’adorais la regarder comme ça, elle était tellement belle, tellement sexy. Elle frotta son sexe contre le mien avant de se faire pénétrer tout doucement. Nous continuâmes de nous embrasser tout en s’offrant une danse assez intense avec nos bassins. Je dois dire que c’était fort et intense, je ne pouvais m’empêcher de laisser sortir des gémissements pour déclarer à quel point c’était bon. Pendant un instant, alors qu’elle me regardait dans les yeux, je cru qu’elle allait me dire qu’elle m’aimait, mais elle se désista pour m’embrasser très fort à nouveau. L’entendre dire qu’elle ne voulait plus me laisser filer, me faisait me sentir important et surtout doué! Je lui souris un instant avant d’y ajouter plus de vigueur dans mes coups de bassin. Ses ongles s’enfoncèrent dans mon épaule et je sentis la chaleur la submerger et ainsi elle laissa échapper un long gémissement plutôt intense, c’est pourquoi je ne pus pas tenir plus longtemps tellement ça avait l’air bon. La chaleur me submergea aussitôt et je me sentis me vider en elle. Je ne pus m’empêcher de gémir à mon tour. Je me laissai tomber sur le côté tout en enlevant le préservatif pour le jeter à la poubelle et revenir à ses côtés. Il faisait tellement chaud et j’avais tellement soif. Je ris tout en la regardant parce que ça avait été super bon et l’attirai vers moi pour l’embrasser à nouveau.

- Ho putain! Je sais… je ne dis pas souvent de gros mots mais là… c’est de circonstances!

J’avais envie de recommencer tout de suite pour retrouver ce moment où l’orgasme nous envoie tout droit dans un rêve. On ne pense à rien, on a que du plaisir et c’est tout ce qui compte. Pourtant, je me sentais quand même coupable d’être encore avec Alexie de cette façon! Amber et moi c’était déjà compliqué et je savais que lorsqu’elle le saurait, elle allait désapprouver. J’avais eu beau essayé, j’avais échoué, je ne pouvais pas résister à Alexie. Elle me plaisait trop et le fait qu’elle veuille encore de moi m’enchantait beaucoup. Je me levai de mon lit pour aller chercher deux verres d’eau à la cuisine. J’étais vite de retour pour lui en offrir un. J’espérais qu’elle ne parte pas immédiatement… Bien au contraire, j’espérais qu’on pourrait dormir elle et moi ensemble. Après avoir bu une bonne gorgée, je m’installai derrière elle pour fermer ensuite les yeux.

- J’espère que tu n’avais pas l’intention de filer parce que j’ai envie de te kidnapper plus longtemps.

Je dormais tellement mieux en compagnie d’une autre personne et là c’était encore mieux, c’était Alexie.

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QUAND LA JALOUSIE PREND LE DESSUS

Je ne voyais pas comment je pourrais être plus comblée. Je venais de vivre une fois assez inoubliable. Je courrais toujours après mon souffle et j’avais vraiment trop chaud. Mon orgasme avait été quelque chose, j’étais gâtée pour toutes les autres fois où je n’en avais pas eu avec d’autres hommes. Là… j’avais juste envie de rester avec lui et lui demander s’il pouvait me faire l’amour comme ça à chaque matin et à chaque soir. Je serais bien partante mais ce n’était pas vraiment possible. Je regardai Wilson retirer le préservatif et venir vers moi. Il me fit rire à son « Ho putain. » Je m’étais passée une main au visage en secouant positivement la tête. Ça avait été quelque chose et je n’étais pas la seule à le penser.

« J’aime nos retrouvailles. »

Je le regardai quitter la chambre et j’eus un petit sourire en voyant ses fesses passer le cadrage de la porte. Je me retrouvai seule quelque instant à fixer le plafond. Je me mis à bouger rapidement dans le lit et à tourner sur moi-même tellement j’étais heureuse, tellement ça m’avait fait du bien tout ça. Et pourtant, ce n’était qu’un bonheur passager. Nate revint vers moi en me tendant un verre d’eau. Je me redressai dans le lit pour en prendre quelques gorgées après l’avoir remercié. Puis, je me recouchai et il vint me prendre en petite cuillère. Ce que je pouvais aimer quand il faisait ça.

« Me kidnapper? Pour combien de temps? Je ne sais pas si ça peut rentrer dans mon horaire. Je suis une femme occupée! »

J’avais souris, il m’avait fait sourire et pourtant… je ne savais pas si c’était la bonne chose à faire que de rester ici. Je me tournai finalement pour lui faire face. Je jetai un rapide coup d’œil au réveil matin qui annonçait les deux heures de l’après-midi. Déjà? Je me recouchai sur l’oreiller, face à Nate que je trouvais vraiment trop beau avec ses cheveux en bataille et ses joues encore légèrement rosés. J’avais remarqué ça… il avait un teint très foncé mais après avec fait l’amour, il avait le haut des pommettes un peu plus rouge, les lèvres aussi d’ailleurs. Mais ça… c’était qu’une enflure à force de s’embrasser un peu intensément je pensais bien.

« T’es fatigué? T’as envie de faire une sieste? »

Car nous n’avions pas eu la meilleure nuit de sommeil non plus. Je fis glisser le bout de mes doigts du dessus de son épaule jusqu’à son bras en regardant ma main répéter cette caresse à quelques reprises. Nate vint replacer une mèche qui me tomba au visage à l’arrière de mon oreille. J’avais redressé la tête pour le regarder.

« Je pensais à ça tout à l’heure et…tu crois que c’est normal ce qui se passe entre nous quand on se retrouve ensemble? Est-ce que ça t’ai souvent arrivé? Je n’arrive pas à garder le contrôle… » Mon regard descendit de ses yeux jusqu’à ses lèvres où je me permis de glisser une main à sa nuque pour mieux l’embrasser. Sa main vint se poser sur mes fesses et il me tira à lui de cette façon afin que nos corps entre en contact. Ma jambe se glissa entre les siennes. Je me décollai doucement de lui en ouvrant les yeux bien lentement. « Qu’est-ce que tu me fais? »

Je le fixai quelques secondes dans les yeux. J’avais beau me dire que je devais être forte, que je ne devais pas me montre fiable devant lui, que je devais faire comme si je ne l’aimais plus mais j’avais juste envie de lui dire je t’aime. Pas forcément pour l’entendre me le dire en retour, car je savais que ça ne serait pas possible, mais juste parce que j’avais besoin d’extériorité ce que mon cœur me criait. Nathaniel avait cette place dans ma vie, celui qui avait réussie à me voler mon propre cœur, à prendre le contrôle de mes sentiments et même malgré le temps et le distance, je n’avais qu’à reposer mes yeux sur lui pour retomber amoureuse de lui. C’est frustrant, je le détestais pour ça, pour avoir ce contrôle sur moi alors que moi, je n’avais aucun contrôle sur lui.

« Je crois pas que je devrais rester… » me contentais-je de dire, simplement.

Invité

Quand la jalousie prend le dessus

Alexie s'était tournée pour me faire face à la mention du kidnapping. Elle se dit femme occupée, mais je pense qu'elle pouvait bien faire l'effort de rester avec moi plus longtemps. Faire une sieste avec elle, je ne dirais pas non.

- Une toute petite!

Je savais qu'elle avait dormi un peu toute l'heure, mais bon, notre exercice du moment avait été assez intense et je dirais que je ne pouvais pas faire autrement qu'avoir les paupières lourdes. Je mis une mèche de ses cheveux qui tombais dans son visage derrière son oreille tandis qu'Alexie était en train de me caresser le bras. Elle me mentionna quelque chose qui m'amena à réfléchir.

- Je sais pas trop ce que tu me fais non plus, je perds totalement le contrôle aussi... En fait... je pense que je ne peux pas te résister.

C'était impossible et j'avais bien beau essayer bien fort de la détester, c'était impossible. Même ma soeur n'était pas venue à bout de nous séparer. Je dois dire que j'étais soit con... ou soit accro. Ou les deux? Elle m'embrassa de nouveau et je sentis ce bien-être m'envahir à nouveau. Ça semblait si facile au moment présent d'être avec elle. "Qu'est-ce que tu me fais?" avait-elle demandé entre deux baiser pour ensuite me fixer. Je dois dire qu'elle avait le don de m'allumer également. Je la sentais totalement sous mon emprise et j'adorais ce sentiment. C'était peut-être mauvais... mais en même temps c'est ce que je désirais... Qu'elle me désire, qu'elle ne me lâche pas. Je sentis son regard s'éloigner de moi ce qui me fit me questionner du regard. Elle voulait partir. Non! J'allais regagner son regard et essayer de la faire changer d'avis.

- On fait rien de mal! Reste... s'il te plaît! Je sais me montrer convaincant Miss Anderson!

J'avais esquissé un sourire coquin avant de l'amener plus vers moi et la tourner sur le dos. Ma bouche se perdu à son cou, pour descendre le long de sa poitrine et son ventre. Je lâchai un petit regard vers la fille qui semblait apprécier ses baisers fougueux. Vu qu'elle ne m'arrêtait pas, je me suis mis à continuer mon chemin pour descendre vers son sexe. J'écartai alors ses cuisses pour glisser sous la couette et sortir la langue pour sculpter son clitoris. Je sentis alors les jambes d'Alexie se raidir quelques peu et je sentis alors ses mains se tenir aux draps et je continuai à danser avec ma langue dans son intimité de façon à ce qu'elle puisse avoir de nouveau du plaisir. J'espérais que ça serait assez convaincant pour qu'elle reste. Il commençait à faire de plus en plus chaud là-dessous c'est pourquoi je me permis de retirer cette couverture pour pouvoir respirer convenablement et reprendre mon boulot. La respiration d'Alexie monta d'un volume... Je sentais déjà que ça allait arriver... sa respiration monta encore plus et enfin, elle se laissa complètement aller dans un gémissement des plus satisfaisant. J'essuyai alors ma bouche avant de regagner ma place à ses côtés.

- Orgasmes gratuits à volonté si tu veux!!!

Elle était tellement belle avec ses joues enflammés, ses cheveux emmêlés, son corps nu, son rire de petite gamine... Et j'en passe! Je déposai un dernier baiser sur son épaule avant de poser ma tête contre l'oreiller. Tout ça m'avait bien excité, mais je savais que je devais bien me tenir quand même. Je ne voulais pas qu'elle croit que j'avais juste voulu profiter d'elle.

» 8: Quand la jalousie s'installe
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Quand la jalousie prend le dessus (Lexie&Nate)

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