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 « I swear I did’nt want to hurt you in anyway. » II Jason et Brooklyn

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(#)Sujet: Re: « I swear I did’nt want to hurt you in anyway. » II Jason et Brooklyn  |   Lun 23 Nov - 22:41
« I swear I did’nt want to hurt you in any way. »
No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Alors que nous étions dans la voiture à la banquette arrière à s’installer, ce dernier me questionnait à propos du café, je m’étais un peu dévoilée il faut dire. « En mettant la musique ? » Demandait le jeune homme intrigué, je haussais mes sourcils en le regardant, avant de lui sourire, oui, je mettais de la musique et je dansais en attendant mon café, j’adorais danser, certes je n’étais pas une star mais j’avais une bonne voix, du moins je pense. « Hum, oui. J’aime bien mettre de la musique qui bouge dès le matin, ça te donne de la pêche. » Répondais-je, je n’allais pas lui dire que je dansais, sinon, je passerais pour une dingo de la musique. Il n’y avait que Sherlyn qui avait eu la chance de voir que je dansais le matin en faisant mon café, ou préparer un petit déjeuné pour elle, je m’ôtais de suite la pensée à propos d’elle pour me concentrer sur Jason qui semblait savourer son sandwich à grandes bouchées.
Peu de temps après, je ne sais pas que je faisais, mais une partie de mon café avait atterrit sur moi, et sur Jason car j’avais eu le réflexe d’éloigner mon thermos, mauvaise idée, très très mauvaise idée. Ce dernier avait sursauté, et avait levé ses deux bras par réflexe étant surpris, je m’étais précipitée d’attraper un paquet de mouchoirs dans la poche arrière du siège pour en prendre un et tamponner le short de Jason en m’excusant, j’étais complètement paniquée, je ne sais pas comment j’avais fais ça, j’avais tendance à être maladroite par moments. « C’est pas grave. » Disait-il pour me rassurer, mais ça me rendait un peu plus nerveuse. Il en profitait pour déposer son sandwich à côté pendant que je continuais à faire le même geste, mais en remontant. Je ne m’attendais pas à ce qu’il pose cette question, enfin, si mais quand on le dit à voix haute ça rend plus réel ce qui s’est passé entre nous deux, je ne pouvais pas nier l’attirance qu’on éprouvait tout les deux. « Tu m’as surprise c’est tout, excuse-moi ! » Dis-je en continuant à tamponner, puis je commençais à frotter assez doucement, jusqu’à ce que je me rende compte, si je montais légèrement, je commencerais à frotter son entre-jambe, soudainement je repensais quand il m’avait mit ma main dans son jean rentrant dans son boxer où pour la première fois je découvrais cette partie, voyant l’excitation que ça lui procurait. Alors que je me rendis compte de mon geste, je relevais ma tête vers Jason où j’étais assez près de lui, je n’étais pas consciente que j’étais aussi proche de lui, mes yeux s’abaissèrent rapidement sur ses lèvres pulpeuses. « Je ne voulais pas te gêner, désolé. » Disait-il, j’étais un peu hypnotisée par ses lèvres quand je me rendis compte qu’il me parlait, d’un coup je lui souriais un peu plus sérieusement. Je me rendais compte mon désir de l’avoir en moi s’accentuait, et ça me perturbait assez, ce n’était pas ses paroles qui m’avait perturbé, c’était lui tout entier, le pouvoir qu’il avait sur moi. « Non ! Tu ne m’as pas gêné, rassure-toi ! » Lâchais-je un peu nerveuse, je m’excusais encore, je ne sais pas pourquoi je passais mon temps à m’excuser, ça sortait naturellement, j’avais l’air débile sûrement, je baissais mon regard sur mon décolletée, où je soupirais en le regardant.. Il était tout neuf, ça m’embêtait, je n’avais aucun rechange. Je relevais ma tête, posant mon regard sur le sien qui souriait, j’avais toujours ma main à l’intérieur de sa cuisse. « Tu pouvais continuer. » Disait-il, soudainement mon coeur se mit à battre à forte allure, en réalité je ne demandais que ça, je ne demandais qu’à découvrir davantage, et je voulais calmer cette brûlure qui s’était réveillée en présence de Jason. Je ne voyais pas bien quoi dire, un tas de pensés me traversait l’esprit, que je pourrais faire avec lui, ou bien ne pas faire avec lui. « J.. Je.. » Bégayais-je en le regardant intensément, il avait ce pouvoir de séduction sur moi, je m’en voulais un peu de lui avoir succombé, c’était sûrement l’un des moments les plus durs que j’ai du faire face, où je ne savais pas quoi faire, où ça allait nous mené. Soudainement, il posait sa main sur mon cou pour diminuer l’espace entre nos lèvres, où on s’embrasse tendrement, le goût me dérangeait pas pour autant, j’avais encore le goût du café dans la bouche, il se reculait doucement en me souriant, tandis que je remarquais ses lèvres gonflées. Puis, ce dernier ce glissait dans mon cou, où il dépose certains baisers qui me procurent des frissons, je commençais à avoir de plus en plus de mal à me tenir comme il le fallait. Je l’entendis dire alors qu’il a le nez enfoui de mon cou, j’avais la respiration saccadée, je peinais pour la retrouver. « Brooke, tu me rends carrément dingue. » Disait-il, doucement, je ne savais pas ce qui m’arrivait, et ce que je ressentais, ce que mon corps réclamait me rendait encore plus dingue que je ne l’étais au départ. Je glissais ma main un peu plus où j’attrapais l’ourlet de son short de piscine, défaisant le noeud blanc en tirant bien dessus, alors qu’il était encore dans mon cou, je tentais de le distraire avec ma voix. « Vraiment ? Parce que j’arrive pas à m’arrêter moi non plus. » Dis-je doucement, avant de rentrer complètement ma main dans son short, où je caressais son boxer pour le surprendre. Je commençais petit à petit à prendre confiance en moi, et j’adorais avoir le pouvoir sur ce dernier à la finale. Je me déplaçais à de manière de me retrouver califourchon sur lui, gardant ma main dedans, commençant à masser doucement, je le regardais intensément. « Je trouverais bien un moyen de me rattraper je suppose, je dois dire que maintenant je suis bien réveillée. » Dis-je, oui, en effet, à ce qu’on dit parfois c’est le meilleur moyen de se réveiller, était de faire l’amour. Je n’avais jamais prévu de faire l’amour dans une voiture, mais supposons que je me surprenais encore moi-même. « Tu as le temps ? » Demandais-je doucement continuant mon geste qui devait le torturer. Je ne voulais pas penser à Sherlyn, je voulais juste faire disparaître cette brûlure qui ne demandait qu’à être comblée au fond de mon ventre, lui seul pouvait me le procurer, du moins pour le moment. Mais aussi quelque part, il m’avait manqué, ses touchés, ses baisers sur moi… Je voulais ressentir tout ça de nouveau, il était le seul à avoir connu mon corps, et j’en demandais encore plus.

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(#)Sujet: Re: « I swear I did’nt want to hurt you in anyway. » II Jason et Brooklyn  |   Ven 27 Nov - 15:58


   
   Brooklyn & Jason
   I swear I did’nt want to hurt you in anyway.
C
onfortablement installés dans sa voiture, nous prenions le temps de discuter de choses et d'autres et Brooklyn m'expliquait qu'elle aimait mettre une musique bien animée le matin pour avoir la pêche. Je devrais peut-être le faire aussi, ça pourrait m'aider. Je lui souriais légèrement puis dans un mouvement brusque, je recevais un peu de son café sur ma cuisse. Heureusement, il n'était pas bouillant et elle se mit à rapidement trouver de quoi m'essuyer. D'ailleurs, elle le faisait elle-même jusqu'à se rendre compte qu'elle était remontée un peu haut. Elle se sentit à nouveau gênée et s'excusait à nouveau pour la énième fois. Elle était le genre de personne à essayer de toujours tout faire bien alors quand ça n'allait pas comme elle l'avait imaginé et qu'elle faisait les choses de travers, elle s'excusait de tout. S'excuser de me rendre dingue ? Ce n'était vraiment pas la peine. Au delà de son physique, j'avais l'impression que tout pouvait me plaire chez elle, aussi bien sa maladresse que son caractère pas toujours évident à suivre. On pouvait croire que Brooke était une jeune femme comme les autres mais pour moi, elle avait un petit truc en plus que je ne saurais expliquer, et puis depuis que nous avions passé une soirée ensemble, je pensais beaucoup trop à elle pour que ce soit raisonnable. Elle m'avait comme hypnotisé et j'aimais ça.
Mon regard ne pouvait plus lâcher le sien et mon corps n'avait envie que d'une chose : le sien. C'en était trop, je ne me retenais plus et m'avançait vers elle pour l'embrasser. Sa réaction fut des plus réceptives et alors que je sentais mon rythme cardiaque s'accélérer, je lui avais murmurer mes pensées à voix haute. Je n'étais pas du genre à le faire mais là, je crois simplement que c'était nécessaire et j'avais envie qu'elle sache que mon corps ne désirait qu'elle et que j'avais extrêmement de mal à lui résister, surtout dans un petit endroit comme la banquette arrière d'une voiture. Elle me répondait alors dans le même sens et à peine avait-elle finit sa phrase que je sentais ma main entrer dans mon short et palper mon boxer qui fut instantanément un peu trop petit. Je pouffais légèrement de rire de fait que mon souffle chaud caresse la peau de son cou. Puis elle se mit à califourchon sur moi, laissant ainsi sa poitrine quasiment au niveau de mon visage et je me retenais secrètement pour ne pas aller l'enfouir dans son décolleté. Sa main commençait à masser mon sexe et ce geste ne me laissait clairement pas de marbre. Je commençais à soupirer assez fortement en fermant les yeux et penchant légèrement ma tête en arrière, la laissant simplement me maîtriser comme elle le voulait. Lorsqu'elle reprit la parole, je rouvrais les yeux pour la regarder et lui sourire ; oui, elle savait très bien se rattraper même si je n'avais rien eu à lui reprocher de notre première fois. On ne peut pas tout savoir et tout apprendre du premier coup et puis, ça n'avait quand même rien gâcher, bien au contraire.
Brooke, en continuant ses mouvements qui ne faisait que réchauffer l'atmosphère déjà bouillante, me demandait si j'avais le temps, sous-entendant pour passer un moment intime. Je posais mes lèvres contre les siennes puis lui répondis : Même si je ne l'avais pas, je n'ai vraiment pas envie que tu recules. Mon regard se remplissait de désir pour elle et mes mains allèrent soulever son haut pour se placer dans son dos et ainsi le caresser. Je sentais encore ces imperfections qui la complexaient beaucoup alors je faisais en sorte que mes mains ne s'arrêtent pas dessus pour éviter qu'elle y pense. Et puis ainsi, je pouvais rapprocher son buste du mien et enfouie mon visage dans sa poitrine volumineuse pour profiter pleinement de ce moment. Lorsque les caresses s'intensifièrent et que je sentais que nos corps n'en pouvaient plus, je tendis le bras pour attraper mon porte-feuilles et en sortir le nécessaire pour prendre toutes nos précautions mais malheureusement, je n'avais plus rien. Je soupirais en montrant à Brooke, l'air désolé. Et puis merde ! On ne pouvait pas s'arrêter à ça. Tu prends la pilule au moins ? demandais-je et comme si j'avais déjà la réponse, je descendais légèrement mon short et mon boxer pour libérer mon anatomie et fit de même avec ce qu'elle portait. Je n'en pouvais plus, son corps m'appelait tellement et alors je posais mes mains de chaque côté de ses hanches pour la soulever légèrement et la placer de façon à ce que mon sexe s'insère en elle comme ça avait été le cas déjà quelques jours auparavant. Par ce geste, mes yeux se fermèrent et je soupirais lentement puis la regardais droit dans les yeux, en essayant de lui prouver que ça me faisait véritablement beaucoup de bien. Elle commençait doucement à faire des mouvements et comme c'était la première fois qu'elle devait être dans ce rôle, je lui dis doucement : C'est parfait comme ça, continue. Elle se mit à accélérer un peu plus et clairement, l'ensemble de mon corps s'échauffait beaucoup. De la buée n'allait pas tarder à apparaitre sur les vitres de sa voiture mais ça n'avait pas grande importance car je ne voulais qu'une chose, c'était profiter d'elle et faire en sorte qu'elle fasse de même. Surtout, ne t'arrête pas. Mais si elle faiblissait, j'espérais qu'elle me demande de changer de position pour la soulager. En la regardant toujours intensément, je me rapprochais pour l'embrasser fougueusement et lui faire toujours plus comprendre qu'avec elle, j'étais bien. Avec mes mains, je l'aidais dans ces mouvements et en même temps, je la caressais en passant sous ses vêtements.
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(#)Sujet: Re: « I swear I did’nt want to hurt you in anyway. » II Jason et Brooklyn  |   Ven 27 Nov - 18:47
« I swear I did’nt want to hurt you in any way. »
No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Jason et moi, on se trouvait à l’arrière de la voiture à discuter du café, si il était primordiale pour moi le matin, je lui avais dis que c’était le cas, avec une petite touche de musique. « Je devrais peut-être le faire aussi, ça pourrait m’aider. » Disait-il en me souriant, je lui lançais un regard intrigué, de mettre de la musique comme moi ? En même temps je ne connaissais pas aussi bien Jason que je ne le souhaiterais. « Eh bien, souvent ça rend grognon les personnes le matin… Mais si tu sens d’attaque de le faire, fait-le ! » Dis-je avant de lâcher un petit rire. Je commençais à me faire un petit film dans ma tête, où je voyais Jason danser en préparant le petit déjeuné en boxer avec la musique à fond dans ma cuisine, cette pensée me fait sourire bêtement.
Soudainement, bien-sûr, il fallait que je fasse une gaffe en renversant du café sur moi, et sur Jason, je me rendais compte que tout de même ma voiture était petite. Puis je me mettais à m’excuser tout le temps sous la nervosité, je m’en voulais énormément d’être aussi maladroite… Puis je me mettais à nettoyer le short de Jason avec un mouchoir que j’avais trouvé dans la voiture, j’étais gênée, mais ça semblait de faire rire ce dernier qui ne semblait pas être aussi gêné que moi. Il me déstabilisait, il y avait de l’attirance entre nous que je ne pouvais pas nier, et j’allais sûrement tomber dans piège où je me ferais encore avoir. Jason semblait être un garçon qui était toujours ses gardes, mais qui adorait prendre soin des autres, il était solitaire comme gars, à la fois mystérieux puisque je n’en savais pas beaucoup sur lui. Je ne savais pas dans quoi je m’engageais, mais j’étais persuadée que je me perdrais encore comme j’ai tendance à le faire. Puis pendant un moment, j’avais relevé ma tête pour le regarder, où on s’échangeait un regard intense qui en disait long, ce dernier plaqua ses lèvres contre les miennes, où je ne repoussais pas son geste, c’était agréable, je ne me contrôlais plus, j’oubliais tout ce qui se passait dans ma tête, avec lui, j’étais libre de mes complexes. Je posais l’une de mes mains sur son épaule en savourant le baiser qu’on échangeait depuis un bon moment, avant de reculer, mais je ne voulais pas rester là, j’en demandais davantage. Je me mettais rapidement à califourchon sur lui, en glissant ma main dans son short afin de masser par-dessus son boxer son sexe qui réceptionnait mes touchés, je massais sensuellement en espérant que je le faisais bien, je prenais un peu plus d’assurance. Je sentais mon corps se réchauffer, surtout mon bas-ventre qui criait à demander la sensation que j’avais ressenti la première fois avec lui. Ce dernier s’appuyait sur le pose-tête en fermant les yeux, tandis que moi je mordais la lèvre doucement en savourant le pouvoir que j’avais sur lui, puis je m’étais mise à dire que je me rattraperais de ma petite bêtise où il rouvrait ses yeux avant de me sourire. Pendant un long moment je massais, je sentais sous ma main que son sexe grossissait et devenait dur, où il posait de nouveau ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser pour la énième fois. « Même si je ne l’avais pas, je n’ai vraiment pas envie que tu recules. » Disait-il, ses paroles me font sourire doucement, puis je me remettais à l’embrasser plus passionnément en mettant ma langue où j’entremêlais sa langue contre la mienne. Puis je sentais ses mains rentrer dans mon haut afin de relever ce fin tissu, il caressait doucement mon dos, soudainement je me crispais, mais petit à petit je me détendais, ça faisait un peu mal qu’il les touches, mais j’avais confiance en lui, donc je prolongeais mon baisser en gémissant, puis je reculais doucement, où ce dernier plongeait son visage dans ma poitrine où il profitait, tandis que je continuais à masser à l’intérieur de son short. Je ressentais des frissons à travers moi, où ça devenait de plus en plus douloureux vers mon bas ventre, je glissais ma main de libre sur sa nuques avant d’attraper ses cheveux pour le masser, puis se dernier glissait ses mains pour attraper mon portefeuille, je retirais en même ma main qui était dans son short, où je reculais de lui, je m’empressais de retirer mon t-shirt pendant qu’il fouillait dans son portefeuille, où je dévoilais mon soutient-gorge rouge en dentelle, je balançais mon t-shirt où je me trouvais il y a quelques-minutes. « Tu prends la pilule au moins ? » Demandait ce dernier, je n’y avais pas pensé, je n’avais pas prévu de recoucher avec lui, j’en concluais qu’il n’avait plus de préservatifs, et j’en avais pas sur moi.. « Je prendrais la pilule du lendemain tout à l’heure au pire des cas. » Dis-je doucement, puis on commença à se déshabiller, je me mettais sur le côté pour pouvoir ôter mes habits comme je le voulais, avant de replacer devant Jason, posant mes genoux entre son bassin, posant également mes mains sur ses épaules dénudées, où on se partageait un regard doux, où je sentis ses mains se posés sur mes hanches pour me soulever, et de me placer au dessus de son sexe, que je pris en main pour pouvoir l’insérer de façon délicate en moi, je sentais une nouvelle brûlure agréable, un petit gémissement s’échappait, où je commençais à balancer mon bassin pour faire des vas-et-viens, mon souffle se diminuait petit à petit, j’avais du mal à respirer, on se regardait passionnément comme si nous étions seuls au monde. Je me rendais compte que je prenais énormément de plaisir, ça tapait dans mes reins, de plus en plus fort à chaque fois. « C’est parfait comme ça, continue. » M’encourageait-il, puis j’enroule mes bras autour de sa nuque où je me serre contre lui, où j’accélérais le mouvement, avant de ralentir, mon souffle chaud caressait doucement son cou, où je décidais de déposer de petits baisers, avant de mordiller son lobe, ses mains venaient de caresser mon dos avant de se poser sur mes fesses et de les pincés. Puis je chuchotais : « Tu me dis si jamais. » Si jamais je lui faisais du mal, je ne voulais surtout pas faire un geste brusque comme j’avais fais avec mon café, rien à voir, mais j’étais maladroite, je ne voulais pas lui faire du mal, mais j’espérais que je m’en sortais bien. Toujours collée à lui, d’un bras enroulé à son cou, où son visage se trouvait dans ma poitrine, de ma main libre, je décidais de glisser mes ongles sur son torse jusqu’en bas, avant de remonter en appuyant plus fort pour lui montrer mon désir pour lui. « Allonge-toi. » Ordonnais-je, où ce dernier s’allongeait sur la banquette, où je pouvais mieux le chevaucher, j’adorais cette position, elle semblait provoquer plus de plaisir, puisque cette fois-ci, il ne portait pas de préservatif, je me rendais compte, que ça faisait plus du bien que la fois dernière. Je me penchais pour l’embrasser langoureusement en passant mes ongles sur ses côtes, où ce dernier souriait sur mes lèvres. « T’aimes pas ? » Demandais-je avant de continuer mon bassin doucement, en essayant de ralentir la cadence pour savourer ce plaisir qui s’accentuait.

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(#)Sujet: Re: « I swear I did’nt want to hurt you in anyway. » II Jason et Brooklyn  |   Sam 28 Nov - 15:42


   
   Brooklyn & Jason
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N
ous ne pouvions plus nous arrêter, ni reculer. Nos corps se désiraient l'un et l'autre et même si je n'avais pas trouvé de capotes pour éviter quelque risque que soit, on continuait de se toucher et se caresser en suivant nos envies. J'avais quand même essayer de m'assurer que Brooke prenne la pilule mais visiblement, ce n'était pas le cas. En même temps, vu qu'elle était encore vierge jusqu'à quelques jours auparavant, elle n'avait pas forcément la nécessité de la prendre. Alors, comme solution de recul, elle me dit qu'elle prendrait la pilule du lendemain. On éviterait ainsi une grossesse mais ce n'était pas forcément une bonne chose de se lancer dans une relation sexuelle alors que de mon côté, je couchais à droite et à gauche et que de son côté, elle n'avait sans doute pas encore pris le temps de faire des tests de maladies sexuellement transmissible. Sur ce coup, je restais totalement inconscient et fonçais. J'avais juste envie de lui faire l'amour et rien ne pourrait m'arrêter. Si j'avais pris le temps de réfléchir cinq secondes, j'aurais pu me dire qu'elle ne risquait rien vu que je me protégeais toujours, excepté aujourd'hui.
Rapidement après cet échange, elle prit doucement les choses en main pour que je la pénètre en douceur et ainsi laisser échapper quelques soupirs de plaisir dans ce premier geste concret dans l'acte que nous commencions. Les mouvements qu'elle faisait étaient plaisants et je ne pouvais pas m'en plaindre. En fait, j'avais l'impression que nos corps s'accordaient parfaitement et ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. C'est sans doute aussi pour cette raison que l'attirance que nous avons l'un pour l'autre n'est clairement pas négligeable. Au bout d'un certain temps et tandis que je laissais mes mains se balader sur l'ensemble des parties de son corps qui m'étaient accessibles, elle me demandait de lui dire si jamais elle s'y prenait mal, ou si je sentais une gêne par exemple. Sincèrement ? Elle se débrouillait parfaitement bien et ce que je ne voulais surtout pas, c'est qu'elle s'arrête. Je te le dirais mais pour l'instant, tout est agréable, lui murmurais en retenant certains cris de plaisir qui pourraient s'échapper de ma bouche. Pour les éviter d'avantage, je plaquais mes lèvres contre les siennes et la laissais lier sa langue à la mienne. L'une de ses mains se plaça sur mon torse et elle descendait puis remontait en effectuant une légère pression qui, clairement, me fit comprendre qu'elle appréciait le moment que nous étions en train de vivre. De mon côté, mes caresses sur ses hanches se firent également plus intenses, au point que je les saisissais à pleine main et ainsi, je pouvais l'aider dans ses mouvements de bassin. Finalement, elle me demandait de m'allonger, ce que je fis et elle se remise sur moi pour que mon sexe rejoigne à nouveau le sien et qu'elle reprenne des mouvements différents et bien plus amples ce qui ne faisait qu'augmenter mon plaisir, et sans doute le sien aussi. Pour cette fois, c'était différent de la première car c'est elle qui menait la danse et elle découvrait sans doute des sensations différentes où elle pouvait bouger en fonction de ce qui lui faisait du bien. Pour moi aussi c'était différent car sans préservatif, les sensations étaient bien plus intenses et la peau de mon anatomie en elle contre des parois qui s'humidifiaient de plus en plus me faisaient bien plus d'effet. Je reposais mes mains sur ses fesses pour les masser et apprécier leur douceur et leur fermeté. Mon corps commençait à rentrer en ébullition et je me forçais à me retenir pour ne pas abréger la séance et pour aussi éviter de faire trop de bruit. Brooklyn devait remarquer quelque chose car elle me demanda si je n'aimais pas ce qu'elle faisait. Alors je décidais de laisser échapper un souffle rauque pour lui prouver que si, j'aimais totalement. Tu es parfaite, continue. Vas plus vite, lui demandais-je alors en saisissant ses flancs pour l'aider dans ses mouvements et ainsi la guider en accélérant la cadence. Après de nombreux vas-et-viens, je ne pouvais plus me retenir et sentais que mon sperme fut éjecter en elle ; l'extase fut atteint. Lentement, il fallait que je reprenne mon souffle et que je reprenne aussi mes esprits car jusque là, j'étais uniquement avec Brooklyn, dans notre monde à nous. Je réitère ce que j'ai dit avant, lui dis-je en la regardant intensément. Tu me rends carrément dingue. Tu as juste été parfaite, la complimentais-je en lui lançant un léger sourire.
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(#)Sujet: Re: « I swear I did’nt want to hurt you in anyway. » II Jason et Brooklyn  |   Sam 28 Nov - 20:18
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Je n’aurais jamais pensé faire l’amour dans une voiture, dans MA voiture surtout, non pas que ça me déplaisait, mais c’était très étroit comme endroit. Il fallait que je pense à prendre la pilule du lendemain à pharmacie, je prenais énormément de risques, mais je ne voulais pas m’arrêter avec lui, j’en avais beaucoup trop envie pour m’arrêter, si je pouvais j’en demanderais sans cesse, mais il fallait que j’arrête, ce n’était pas bon pour moi. Ce n’était pas le moment d’y réfléchir, ni le moment de se poser des questions sur ce que je faisais, je voulais simplement profiter du moment avec Jason.
J’essayais de prendre de l’assure, pour la première fois, c’était moi qui menait la danse, je le chevauchais depuis plusieurs minutes, cette fois-ci je pouvais lâcher des gémissements comme je le voulais sans avoir peur qu’on m’entend, à la base une voiture c’est tout de même bien isoler. Je balançais mon bassin en sentant le sexe de ce dernier me taper aux reins, ce qui faisait douloureusement du bien, je m’accrochais à sa nuque en glissant ma main pour garder l’équilibre pendant que ce dernier baladait ses mains sur mon corps, je fermais mes yeux pendant un petit moment pour savourer ces frissons qui parcouraient sur mon corps, j’y prenais facilement goût, je ne pourrais pas m’arrêter à la finale. Je lui chuchotais à l’oreille que si jamais je faisais quelque chose de travers, qu’il puisse me le dire, je voulais faire les choses biens comme toujours. « Je te le dirais mais pour l’instant, tout est agréable. » Me murmurait-il difficilement, où je souriais, ça me rassurait, puis soudainement il plaqua ses lèvres contre les miennes où on échangeait un baiser langoureux, je glissais ma main sur son crâne en caressant les cheveux avant de les prendre en poigne, tirant doucement dessus, où j’accélérais le mouvement en balançant mon bassin, je sentais le plaisir monter de plus en plus, ça devenait de plus en plus incontrôlable, je sentis les mains de mon partenaire caresser mes hanches avant de les prendre en plein poigne pour faire comprendre son désir. Puis je décidais de lui donner un ordre, plus ou moins, où il devait s’allonger sur la banquette arrière, je me remis facilement sur lui insérant son sexe de nouveau en moi qui était un pure délice, c’était encore une nouvelle sensation, ça tapait plus fort mes reins douloureusement, mon plaisir était presque à l’extase. Je continuais à chevaucher sur lui, je pouvais admirer la vue qui s’offrait à moi, je posais mes mains sur son torse dur et chaud, le creux de mon ventre tremblait doucement, ce qui annonçait je touchais bientôt mon orgasme, je ralentissais un peu avant d’accélérer à plusieurs reprises, ça devenait difficile quand on est dessus et qu’on veut se laisser aller. « Tu es parfaite, continue. Vas plus vite. » Demandait-il, je laissais plusieurs gémissement s’échapper, je me redressais en m’appuyant sur les sièges pour bouger davantage plus vite. Soudainement, je senti une sensation forte dans mon ventre qui se crispait et qui tirait, très agréable à ressentir. Je refis un dernier balancement avant de crier doucement et de me laisser tomber sur lui, en âge. J’étais à bout de souffle, le torse de Jason bombait tout qu’autant le mien, je glissais ma main sur les reliefs de ses abdos en regardant, au moment où j’entendis sa voix, je posais mon menton sur son pectoraux en souriant. « Je réitère ce que j’ai dit avant. » Dit-il, je fronçais les sourcils en le regardant, plongeant mon regard dans le sien. « Tu me rends carrément dingue. Tu as juste été parfaite. » Complimentait-il en me faisant un petit sourire. Je posais doucement ma main sur sa joue, afin de la caresser à l’aide de mon pouce, je l’admirais un peu. « Toi aussi. » Lâchais-je dans ce moment intime entre nous deux. Il avait été super comme toujours, grâce à lui j’apprenais plus dans ce domaine, mais n’empêche, je ne savais plus où j’en étais, et j’ignorais pourquoi il avait une tel emprise sur moi.
Je me redressais en m’appuyant sur son torse, en me retirant de lui, et de m’asseoir sur ses cuisses pour attraper les habits, je rattrapais mon soutient-gorge rouge que j’enfilais de suite, puis je vis mon t-shirt qui était tâché, je soupirais. « Bon.. Tant pis. » Dis-je doucement, avant de passer la main devant le siège pour attraper mon sac où je tirais mon t-shirt blanc, où je l’enfilais de suite, et remettant ma culotte, ainsi que mon leggings noir, j’avais un peu mal vers mon sexe, sûrement parce que je n’étais pas habituée à avoir des relations sexuelles. Puis Jason se rasseyait sur la banquette pour faire la même que moi, se rhabiller. « Tu fais quoi ce soir ? » Demandais-je curieuse, en lui souriant timidement.

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(#)Sujet: Re: « I swear I did’nt want to hurt you in anyway. » II Jason et Brooklyn  |   Dim 29 Nov - 18:04


   
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   I swear I did’nt want to hurt you in anyway.
A
près ce moment bien agréable à l'arrière de la voiture de Brooke, on se rhabillait le plus rapidement possible. Il me restait encore un bout de sandwich qui était visiblement tombé sur le tapis au sol de son véhicule et je ne l'avais pas remarqué. Je le ramassais rapidement pour le poser à côté de moi et éviter de l'oublier car je n'avais plus envie de manger pour le moment. Brooklyn se retrouvait embêtée avec son t-shirt sale mais elle n'avait pas le choix et devait le porter au moins jusqu'à rejoindre son casier et en mettre un autre pour aller donner ses cours. Alors que j'étais en train de remettre mon boxer en réalisant que l'espace était plutôt restreint, elle me demandait ce que je faisais ce soir. Je tournais alors mon visage pour la regarder et lui sourire légèrement, en coin. Tu y a tellement pris goût que tu veux recommencer ce soir ? lui demandais-je pour la taquiner. Si tel était le cas, je n'étais pas gêné de la voir ce soir mais connaissant les femmes, je supposais qu'elle imaginait autre chose. Je reprenais alors plus sérieusement : Je ne fais rien. On peut aller au cinéma après le boulot, et je te fais à manger chez moi ensuite ? Je lui proposais cela pour qu'on se retrouve plus dans notre amitié bien qu'actuellement, je me demandais si on ne commençait pas à dépasser un peu ce stade. Je la regardais avec attention, me laissant aller à mes pensées en observant ses courbes et le fait qu'elle était en train de les cacher avec ses vêtements. Et puis je secouais brièvement la tête pour reprendre mes esprits et continuer à me rhabiller.
Après plus d'une heure passée dans sa voiture, on en ressortait avec nos affaires respectives et on se dirigeait vers l'entrée de la piscine vu qu'il fallait bien reprendre le travail. Devant la porte d'entrée, on croisait un autre maître nageur avec un gars de l'entretien qui nous regardaient arriver. Ne sachant pas trop quoi leur dire sachant que je les avais déjà vu ce matin, je leur demandais simplement : Ca va ? Prêts pour cet après-midi ? Et c'est alors que mon pote maître nageur prit la parole pour parler assez fort : Hé Dwight, pas la peine de faire genre. On l'a bien vu tanguer, la bagnole. C'était bon ? Je soupirais alors franchement et puis, pensant à Brooklyn qui n'assumerait peut-être pas forcément que des travailleurs de la piscine puissent croire qu'on couche ensemble juste pour le plaisir de s'amuser au travail, je m'avançais jusqu'au maître nageur et lui dis : Ne fais pas ce genre de remarques dégradantes, mon gars. Et puis, garde ça pour toi, s'il te plait. Je venais d'avoir une idée qui permettrait peut-être de le faire taire, au moins pour un temps. On n'a pas vraiment envie que tout le monde sache que .. qu'on est ensemble. Je retournais mon visage pour observer Brooklyn et lui fis un petit clin d’œil discret et complice. T'en fais pas mon pote, tu peux compter sur moi, me dit alors le jeune homme en plaçant son poing en avant pour qu'on se "tschek". Le gars chargé de l'entretien acquiesçait simplement d'un signe de tête pour me faire comprendre qu'il n'en parlerait pas non plus, ce que j'appréciais et puis, il n'était pas très bavard comme mec. Après ça, Brooke et moi rentrions dans la piscine pour aller se diriger vers nos vestiaires respectifs. Je n'avais pas envie qu'il s'imagine des choses sur toi alors, j'ai dit ça comme ça. Dans une semaine, je leur dirais qu'on a rompu et ça sera réglé, lui dis-je l'air un peu embêté en espérant qu'elle ne m'en veuille pas trop. Si on s'était laissé aller comme ça dans sa voiture, c'était surtout à cause de moi et je ne voulais pas que sa réputation en souffre.
WILDBIRD
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(#)Sujet: Re: « I swear I did’nt want to hurt you in anyway. » II Jason et Brooklyn  |   Dim 29 Nov - 20:16
« I swear I did’nt want to hurt you in any way. »
No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Venais-je de recoucher avec le même homme que pour ma première fois ? Ça me mettait dans tout les états, je n’étais pas dans une relation engagée avec lui, la première fois pouvait se comprendre, je n’avais jamais connu ça, mais la seconde fois, j’en avais besoin, je m’en voulais car je me servais de lui quelque part, et je ne voulais pas lui faire de faux espoirs. Et je décidais de mettre les choses au clair si ce soir on se voyait, au moins éclaircir la situation qu’on avait, je l’appréciais énormément et je ne voulais pas que ça ai un impact sur notre amitié. « Tu y a tellement pris goût que tu veux recommencer ce soir ? » Demandait le jeune homme, je me retournais surprise alors que j’enfilais mon t-shirt, réarrangeant ma bretelle, et mes cheveux au passage. Je lui donnais une tape sur son épaule, en fronçant les sourcils comprenant qu’il blaguait. « Hé ! » M’exclamais-je, avant de l’entendre plus sérieusement. « Je ne fais rien. On peut aller au cinéma après le boulot, et je te fais à manger chez moi ensuite ? » Proposait-il gentiment, je n’étais pas trop tentée par le cinéma, ça faisait trop rencard à mon goût pour ce qui venait de se passer. J’étais en train d’enfiler mes chaussures que j’avais pris dans mon sac de sport quand il me proposait ça, je me penchais en avant pour chausser ma chaussure à l’aide de mon pouce. « Et si je te rejoignais simplement chez toi ? Ça été mouvementé tout à l’heure, et je préfère me poser calmement si ça ne te dérange pas. Et je dois aller à la pharmacie... » Demandais-je à mon tour, tandis qu’il enfilait son t-shirt sur ses épaules, je venais de finir de m’habiller, je soupirais, j’étais satisfaite, je ne m’étais jamais sentie comme ça et je ne le devais qu’à Jason.
Une heure après, on décidait de sortir de la voiture, j’étais bien dans mes baskets, Jason me suivait de près, on allait reprendre le travail même si j’en avais pas spécialement envie, je mis la bande de mon sac de sport sur mon épaule étant prête. On rejoignait la porte d’entrée, où on croisait l’un de nos collègues avec un autre employé, je leur souriais gentiment. « Ça va ? Prêt pour cet après-midi ? » Demandait Jason en s’adressant à eux, j’étais à côté de lui, bizarrement j’étais mal à l’aise. « Hé Dwight, pas la peine de faire genre. On l’a bien vu tanguer, la bagnole. C’était bon ? » Dit-il le collègue en parlant assez fort, je déglutissais difficilement en fronçant mes sourcils, mais d’où il se permettait de dire ça ? Je m’apprêtais à dire quelque chose quand Jason s’avançait vers lui, assez sérieux et énerver. « Ne fait pas ce genre de remarques dégradantes, mon gars. Et puis, garde ça pour toi, s’il te plaît. » Répondit le jeune homme face à son collègue, je le regardais parler avec assurance, il fut un peu déstabiliser par la situation, es-ce-que j’étais considérée comme une… pute ici ? Ça allait ruiné ma réputation. « On n’a pas vraiment envie que tout le monde sache que.. Qu’on est ensemble. » Dit-il, je le regardais avec de gros yeux, il était rempli de surprises finalement, mais j’étais quand même mal à l’aise, il fallait vraiment qu’on mette les choses au clair avant que ça aille trop loin. Je relevais ma tête en regardant sévèrement son ami, puis Jason retournait son visage pour me faire un clin d’oeil discret et complice, où j’affichais un petit sourire dans le coin. « T’en fais pas mon pote, tu peux compter sur moi. » Dit-il tout simplement, c’était trop simple, mais d’une manière ou d’une autre, ça allait rapidement se savoir. J’avais pas confiance aux collègues, quand on est au travail, ça parle souvent de petits potins. Il fit un geste amical avec son collègue, où je m’avançais doucement en attendant Jason qui me suivait. Il jetait un oeil avec l’employé, puis se mit à me suivre où on se dirigeait vers nos vestiaires du travail, où je balançais mon sac par terre assez agacée, je me retournais lorsque j’entendais la voix de Jason. « Je n’avais pas envie qu’il s’imagine des choses sur toi alors, j’ai dit ça comme ça. Dans une semaine, je leur dirais qu’on a rompu et ça sera réglé. » Tentait-il de me réconforter, j’appréciais, je n’avais pas apprécier ce qui venait de se passer à l’instant, ça m’agaçait en réalité, j’avais horreur qu’on se mêle de nos affaires, en particulier des miennes. Je levais mes doigts pour me pincer l’arrête du nez en soupirant, j’étais vraiment agacée et un peu confuse de la situation, puis je regardais Jason dans ses yeux. « Ne t’en fait pas, ça me passera. J’apprécie ok ? Maintenant, on se met au boulot. » Dis-je assez froidement à ce dernier, j’avais rien contre lui loin de là, mais la situation m’avait énervé, j’avais repris mon sérieux, et je commençais à me préparer en partant dans une cabine pour me changer.  

S C E N E C L O S E D.

acidbrain
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