Cet européen était bien critique, ne trouvant qu'à parler que du danger que la caviar pouvait causer si on en abusait, ce qui en effet, les riches sans tête le faisaient trop souvent. Mais n'en restait pas moins, que le caviar avait des bienfaits importants si on savait en usé avec parcimonie. Devait-on le surligner au monsieur ou se taire ? Après tout, Derek n'aimait pas trop le caviar, trop riche en cholestérol, et on le prendrait pourquoi si on vantait les mérites de l'aphrodisiaque ? Déjà qu'au final, on se fit rapidement rembarrer d'avoir parler de drague. Lui réceptif ? C'est avec honte qu'il baissait légèrement les yeux, il doit avouer que Brukner avait un certain charme non négligeable, ou plutôt un genre de charme qui venait toujours le chercher aux tripes. Il dû se mettre en garde de ne pas tomber si rapidement dans de tel filet et détourna la tête, quand on l'empêcha encore une fois de répondre. Lui ne voulait que vous dire qu'il n'était pas intéressé, mais devra le garder pour lui. Soupirant quelque peu, il finit par vous regardez en haussant un sourcil.

"- Hélas, désolé, mais je crains que votre conférence tombe en même temps que celle sur le climat. Non, pas que vous écoutez m'aurait été pénible, mais il me sera plus instructif que j'aille discuter des futurs réglementations des émissions popullantes permises dans les pays du tier-monde."

S'il avait bien quelque chose de plus importante que ces hormones, s'était bien son travail. Il devait aller voir et discuter de ce qui pourrait être possible de faire sans diminuer le rendement de ces usines.

"- Je vais donc choisir le climat et la caviar que d'entendre parler de petit soucis de bactérie, de virus et d'autres. J'ai mes priorités... et mieux, de soyez pas si gourmand de ma personne, nous nous verrons déjà pour le dîner."

Était-ce un affront ou bien un acte de respect envers un Roy ? Surtout que les lèvres de l'autre homme caressant le métal froid de bague en acier, et on viendra de toucher de ces lèvres, le W en onyx. Autant dire que Derek était loin de trouver cette scène comme un signe de dominance, bien au contraire. C'est surtout Joachim qui viendra à se soumettre à la dictature du Roy. On aura un doux sourire qui signifiait, merci mon enfant de respecter votre roy. Tout n'était que question de perception.

"- Oh, mes employés sont forts bien traités, ne vous inquiétez pas pour eux. Ils ne connaissent pas la faim, ni la soif. Leurs enfants sont aussi éduqués, enfin pour peut que l'école s'arrête au primaire."

Sourire de connard, fier de ne pas leur avoir construits d'école supérieur, mais après tout, on ne voulait pas tous que les villageois quittent, car nous en avions besoin à l'usine.

"- Oui ! Oui ! Ne vous en faites pas à plus tard."

Nous laissons l'autre homme aller donner sa conférence pour nous même aller rejoindre les sujets qui touchaient nos activités professionnels. Peut-être au coup de la semaine, acceptera-t-il de venir vous écoutez pendant des heures, mais pour le moment, le premier jour, on se devait de traiter les sujets qui nous touchaient notre secteur d'activité.

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La matinée passa sans qu'on ne s'en rends compte. A 10h, il avait bu le smoothie à la pistache, remerciant le serveur, sans son nom. Désolé, Derek ne l'avait pas retenu.

Vers 12h, le voilà de retour dans le petit salon, pieds croisés au-dessus de l'autre, petit rappel de son audace et de sa manière grossière de vous avoir fait la discutions durant la matinée.

Le Suisses avait passé la matinée entière a faire une conférence très complexe et pointue sur les virus, bactéries, le taux de mortalité mondiale et la surpopulation ciblé sur des continents bien précis. Autant dire qu'il y avait de la matière et que son public devait s'accrocher pour ne pas soit ne plus rien n'y comprendre, soit s'endormir. Dans tous les cas, lui en ressortira en pleine forme contrairement a son public affamé car il n'avait pas fait de pause a 10h pour ne pas perdre de temps. Le temps était quelque chose d'important et ainsi, il ne gâchait jamais le sien inutilement. D'ailleurs il regardera sa montre. Midi pile. Il terminera ainsi sa conférence en souhaitant un bon appétit a tous et surtout dans sa tête, du cholestérol. Après cela, il prendra la route du salon pour voir Monsieur Watts déjà a sa place en mode mauvais garçons. Il n'en haussera même pas les sourcils. Il s'était attendu a cette audace du soumis qui aimait la provocation pour obtenir punition. En tout cas, il renvoyait la belle image d'un polisson en chaleur qui attendait de se faire croquer par le grand méchant loup. C'était fou comme son langage corporel parlait pour lui. Enfin, lui viendra s'installer sur le siège avant que son serviteur n'arrive pour dire que tout était prêt et qu'il n'attendait que son autorisation pour servir. Autorisation qu'il donnera avant d'offrir son attention a Monsieur Watts.

"- Alors Monsieur Watts, votre mousse de lait d'avoine fut a votre goût dit moi ?"

Et alors qu'il évoquait le sujet avec son invité, Frédérick s'occupait de servir les deux menus dans de la vaisselle de luxe, sortant du vin haut de gamme pour Joachim, ainsi qu'un plat très spécial : du coeur de boeuf farci avec du haché d'abat et du pruneaux et des marrons cuit au vin. Pour l'Américain, il aura son menu diététique comme commandé avec une salade de mâche avec des noix concassées pour obtenir une présentation parfaite avec le maïs qui dévorait la purée de patate douce sans mettre a l'eau la teneur de ce menu. Les deux blancs de poulet rôtis furent présenté avec tout autant de raffinement.

D'ailleurs après la réponse de Monsieur Watts, il enchaînera directement sur autre chose :

"- sinon vous avez droit a votre séance de mise au normes anti pollution pour vos usines ? Personnellement j'ai eu droit a un public toujours aussi peu respectueux. Enfin... C'est l'avancé du monde. On n'y peut rien"

Il prendra son verre de vin pour en déguster quelques gorgées et en apprécier toute la saveur et les senteurs.

L'homme d'affaire aurait pu se lever pour venir reluer le conférencier, mais Derek resta assis bien confortable dans son siège, faut dire que c'était un réconfort pour notre dos après une matinée tenu sur une simple chaise de plastique. On aura un petit rire quand on lui demanda s'il avait apprécier son déjeuner pendant la pause.

"- Oui, très, mais dommage qu'on ne puisse s'asseoir dessus, son côté mousseux aurait sûrement été fort confortable."

Pas pour se plaindre de notre mauvaise matinée, mais nous n'aurions pas dit non à quelque chose de bien plus moelleux, que voulez-vous, les riches ont tant besoin de leur petit confort habituel.

"- Et vous, de ce que j'ai compris, vous êtes un bon serpent capable d'endormir vos victimes, pas mécontent d'avoir été suivre les nouvelles réglementations pour les normes environnementals, bien que je commence a croire que je devrai délaisser le textile pour me lancer dans l'énergie verte et renouvenable."

Et encore, on le critiquait encore d'avoir causer la déforestation pour implanter davantage barrage hydroélectrique, pourtant une énergie pure et non polluante. Enfin, si cela continuait, il allait commencé a regretter son choix du Cambodge comme pays d'implantation, mais à l'époque justement cela relevait être tout un défi et peu d'usine s'y était installé, et donc, là, il était l'une des plus grosses compagnies dans le pays.

"- Enfin, trop de centrales au charbon et cela commence a me nuire, je vais devoir trouver des investisseurs voulant implantés des éoliennes, mais encore là, coupe d'arbres et tout, choix difficiles.... et General electric et toshiba qui font encore des investissements dans le charbon, de quoi bien me mettre en rogne."

En gros, c'était se battre contre une marée ou des gens ne voulaient rien comprendre.

"- Si seulement le solaire n'était pas si dispendieux pour les pays... enfin bref... je vais devoir réfléchir a tout cela, et trouver une aide pour le pays pour réduire leur émission de fumée blanche."

Et dire que cela n'était même pas sa faute, mais peu importe, il était un gros joueur dans le pays et maintenant on devait l'aider dans ces émissions de carbone rejetter. Mais trêve de bavardage et goûtons plutôt cette belle assiette aux ingrédients si commun, mais il les trouva fort délicieux.

"- hmmm... il a mis quoi comme épice pour les patates douces ?"

Derek écouta la recette de patate douce, cela lui donnait l'eau à la bouche. La purée était des plus délicieuses et dignes de grand chef étoile. Ce Frédérick n'avait rien à jalouser aux autres, sauf peut-être le fait que Derek peinait encore à retenir son nom. Une chance que son homologue l'allait dit, car lui l'avait entièrement oublier.

"- Oui, faites-moi parvenir par courriel, je verrai ce que ma petite mammy en pense."

Petit côté chaleureux et familiale chez les Watts, même la cuisinière était considéré comme étant la grand-mère de la famille.

Puis, il écouta le plan de ce "manipulateur", ce détournement des gens n'étaient pas vraiment sa tasse de thé. Oui, la solution était bonne, mais ce qui différenciait Derek du monde des affaires, était son côté plus authentique. Il ne cherchait pas à cacher ces actions aux yeux des autres. Dans la vie, il fallait assumer nos actes, pas tenter de trouver mille et une manière de détournement. On aura un petit soupire.

"- Sauf, que je ne procède pas ainsi. La plupart des gens diront que ton plan est excellent, mais je ne me cacherai pas derrière des organismes ou des gens seulement car il sera question de couper quelques arbres. Dans la vie, tu assumes, jouer les sournois n'a jamais été dans les décisions de l'entreprise."

Ou rien qui n'était publiquement connus, mais justement, n'était pas non plus connu du directeur, ou alors, il jouait vraiment bien l'autruche qui ne parlait jamais des activités de son frère.

"- hmm ? Venir chez vous ? Désolé, mais ce soir, j'ai plusieurs choses de prévu. Je dois répondre à mes mails et m'entraîner, je n'ai pas le temps de faire quelques balivernes et discuter."

Pas le premier soir, Derek n'irait pas se mettre dans votre piège si rapidement, et puis, justement il avait trop envie de s'entraîner qu'il le ferait jusqu'à l'épuisement, ensuite un bon bain au spa, travail et dodo.

Qui a parlé de tourmente ? Derek fronça le sourcil de gauche, pendant que le droit lui se haussait. Il était légèrement outré qu'on puisse semble-t-il croire qu'il voulait se cacher derrière divers procéder malveillant ou manipulateur. Dans la vie, il fallait se battre pour ces ideaux, et si cela ne plaisait pas à certain, tant pis pour eux. S'il les voulait ces éoliennes, ce n'étaient pas quelques teneurs de pancarte qui allaient l'arrêter.

"- Écoutez, ma besogne, je la fais. Le sale boulot et les commérages ne m'ont jamais fait peur."

Bien loin de là, la presse sale ou mauvaise ne lui faisait pas du tout peur. Il s'en moquait même royalement. Il s'assumait et prenait ces responsabilités dans chaques décisions même si elles pouvaient en être blessante.
On l'écouta lui dire que le repas du soir allait lui être apporter et il ne changea toujours pas de regard. C'était qui ce mec ? Vouloir lui servir le moindre petit repas ? Derek n'en était pas à sa première fois loin de chez lui, et s'il avait souhaité se faire bordé, on aurait emmener notre propre majordome ou notre propre cuisinier.

"- Je vais être direct avec vous, mais pouvez-vous cesser de vouloir me materner de la sorte ? Mes repas, je sais très bien les gérer seul. Même si j'apprécie ce dîner du midi, je n'ai pas envie de vous être redevable pour le reste de la semaine. Je sais très bien ou aller et comment me nourrir selon mon régime. Certes, ces meilleurs que ce que j'aurais pu manger comme poulet, mais je n'ai guère envie que vous vous occupiez ainsi de mes repas. J'aurais voulut qu'on le fasse, je me serai arranger pour avoir ma propre équipe de cuisinier en ville. "

Sauf, que lui n'avait pas eut envie d'avoir Alexander dans ces bagages toutes la semaine, et avait eut pour seul souhait de se tenir loin de cette vie de château qui était la sienne. Il faut avouer que depuis quelques semaines, il se tapait aussi une jolie déprime amoureuse.

"- Et désolé, je ne prends pas de désert."

Sa dose de calorie était déja fort dépasser comparer ce qu'il dépenserait aujourd'hui.