(#)Sujet: you just gotta let it go + bellannah | Mer 10 Juin - 0:05
i need some sleep, you can't go on like this, i try counting sheep but there's one i always miss, everyone says i'm getting down too low, everyone says "you just gotta let it go", "you just gotta let it go", i just gotta let it go... i need some sleep, time to put the old horse down, i'm in too deep and the wheels keep spinning around. i just gotta let it go.
J'avais complètement merdé avec Hannah. Je ne correspondais pas à ses attentes, du moins, elle n'avait pas pensé que je serais ainsi. Je la comprenais. Je n'avais fait que de la merde avec elle. Je lui avais mal parlé, pour commencer. Je l'avais traité comme une moins que rien, à cause de ma fichue impulsivité. Et puis j'étais trop têtu. Je refusais catégoriquement l'aide financière qu'elle me proposait avec bon coeur. Et surtout, je refusais de la laisser entrer dans ma vie. J'aurais adoré qu'elle fasse partie entière de ma vie. J'aurais été de dire que cette fille était ma copine, parce qu'elle est exceptionnelle. Mais justement. Elle était incroyable ; et qu'est-ce que j'étais, moi, à côté ? Une vermine. Un être de la plus vile espèce. Je lui briserais le coeur, j'en étais persuadé. Je lui avais fait beaucoup de mal, déjà. J'étais si impulsif, colérique, et surtout si... insensible que j'étais blessant sans même m'en rendre compte. Il y avait tellement de côtés de ma vie que j'aurais préféré qu'elle ignore... Mais elle avait insisté, et nous nous étions embrouillés. De quoi j'avais peur, au fond ? Qu'elle me laisse tomber. Qu'elle se rende compte que je ne suis, au final, qu'une sale bête. Un petit mafieux de mes deux qui traînait derrière lui ses souffrances passées. Nous étions si différents ; qu'est-ce qu'elle pouvait bien me trouver ? Elle avait tout chamboulé. Je m'étais fait le serment, après Andrea, de ne plus jamais recommencer. Ne plus m'attacher. J'avais bien vu comment ça s'était terminé. Mais non. Encore une fois, je n'avais pas réussi. Hannah, bordel, pourquoi il fallait que lui gâche la vie, à elle ? Parce que c'était presque scientifiquement prouvé, tout ceux à qui je m'attachais, d'une façon ou d'une autre, se retrouvait avec une vie en miettes. L'effet Bellamy, comme on dit.
Mais malgré toutes mes interrogations, il y avait une chose dont j'étais certain : Hannah, j'avais des sentiments pour elle. J'étais peut-être pas encore amoureux d'elle, mais bon dieu, qu'est-ce que je l'aimais. Et je l'avais rendue malheureuse, parce qu'à cause de mon indécision et de mon choix de ne pas m'attacher, elle avait l'impression de ne pas compter pour moi. Je devais me rattraper, je n'avais pas le choix. Je n'avais qu'un sac à dos, et j'avais rassemblé mes dernières économie du mois pour réserver un ticket pour New York. Hannah avait fuit la bas. J'avais presque retourné ciel et terre toute la journée pour trouver dans quel hôtel elle résidait. Je n'avais plus un sou en poche. Finalement, à vingt-deux heures, je me présentais devant sa porte. Bon, Bellamy, t'as compris ? Pas le droit de merder. Pas le droit de la faire souffrir une fois de plus. Je toquais. Hannah vint m'ouvrir quelque instant après. Je souris en la voyant. Elle avait les yeux rouges et les cheveux en pétards, mais elle était vraiment belle. Elle m'avait manqué. Avant qu'elle n'ait le temps de rien dire, je l'embrassai doucement et entrai. « Me claque pas la porte au nez, s'te plaît. J'ai trop, trop de trucs à te dire. Est-ce que tu veux bien m'écouter ? » demandai-je. Je jouais la carte de la politesse. Je portais ma veste en cuir, un bonnet et mon sac Eastpack dans le dos. J'étais hyper content de l'avoir enfin trouvée.
(#)Sujet: Re: you just gotta let it go + bellannah | Mer 10 Juin - 11:12
you just gotta let it go - Bellannah.
J'étais à New york depuis maintenant deux jours et pour dire je n'avais absolument pas vu le temps passer . De base je n'étais pas vraiment obligé à venir ici, il y a six mois j'avais engagé une assistante formidable qui avait réussi à faire des miracles. Mais j'avais eu besoin de partir, de m'évadé, de souffler car ce qui s'était passé entre le départ d'Eliam de nouveaux et la dispute avec Bellamy avait été de trop. Ah Bellamy ... Comment définir notre relation ? On c'était rencontré il y a six mois et demi à peu près dans un bar en ville, je venais à peine d'arrivée et mon arrivée en ville avait été plus compliqué que je me l'étais imaginé. Notre rencontre avait été banale, du moins c'était du déjà vu un gros lourd m'avais dragué je m'étais énervé et Bellamy était venu à mon secours, au début je l'avais envoyé balader puis on c'était revu quelques jours après à la plage et depuis on ne c'était plus quitter en quelque sorte. On était vraiment très proche, on passait beaucoup de temps ensemble et malgré§ notre différence de milieu social que je n'avais jamais vraiment fait attention, je trouvais Bellamy adorable avec moi il était toujours doux, prévenant et vraiment jamais brusque du moins ça ce n'était avant qu'on échange des texto assez horribles il y a deux jours de cela . Jamais au grand jamais il ne m'avait parlé ainsi, il avait été froid, odieux et cruel comme si à ses yeux je n'avais jamais été rien. Et pourtant il m'avait avouez-m'aimer, il avait des sentiments pour moi qui l'effrayais au plus au point. Parce que oui Bellamy avait une trouille énorme d'avoir ne serais qu'un semblant de sentiments pour une personne, pour lui c'était une marque de faiblesse mais avec moi il avait réussi à voir les choses différemment et je crois qu'il en avait peur. J'avais donc décidé de quitter la ville, et réfléchir à savoir où on en était vraiment. Cette nuit alors que je pleurais encore, car je supportais pas cette situation je lui avais téléphoné. Notre échange avait été à la fois dur et tendre à la fois, ses révélations m'avaient fait encore plus douter face à la situation et je lui avais donc demandé du temps, une certaine distance afin que je puisse réfléchir. Et pour toute réponse il m'avait dit ; qu'il me prouverait son amour et avait raccroché sans que je ne puisse dire quoi que ce sois et depuis je n'avais pas eu une nouvelle de lui. Bientôt quinze heures sans une nouvelle de lui, autant dire une éternité.
Ce matin je m'étais levé, avec un mal de tête horrible. Je m'étais endormi le coeur lourd et ce matin je me demandais encore plus ou j'en étais avec le jeune homme . Mais je n'avais pas le temps de déprimé , dans deux semaines mon grand défilé allait avoir lieu et je devais absolument finir mais tenu au plus vite, et réglé les derniers détails. Je prenais une douche rapidement , enfilais une robe noire à fine bretelle et des talons et me m'étais en route pour l'atelier où étaient confectionner mes robes. J'étais vraiment excité à l'idée de se défiler, depuis huit mois je n'avais pas arrêté une seconde j'avais désigné douze robes tout originales les unes où les autres et j'avais eu la chance de trouver des investisseurs emballés par mon idée.
Après une journée vraiment très mouvements à courir à droite et gauche, je rentrais vers 21H30 à l'hôtel. Malheureusement la soirée n'était pas terminée j'avais encore du travail. En arrivant, je pris une longue douche et enfilais une nuisette noire assez légère la chaleur ici était encore plus étouffante qu'à Miami. Je m'installais sur le lit avait mon ordinateur portable quand on frappa à la porte, étrange je n'attendais vraiment personne. En ouvrant qu'elle fut le choc quand je découvris, Bellamy. Le jeune homme ne me laissa pas le temps de réagir qu'il m'embrassa et entra à l'intérieur de la chambre. Je fermais la porte derrière lui et le regardais, je pouvais pas nier le fait qu'il m'avait terriblement manqué et que j'étais vraiment très touché qu'il soit venu ici alors que je savais que sa coutait une fortune le billet d'avion " Trop de truc à me dire Bellamy ?? Tu as pourtant été claire tu ne veux pas être vraiment avec moi je pense avoir bien compris au téléphone mais va y je t'écoute " dit je en croisant les bras sur ma poitrine. C'était une véritable torture pour moi, de le savoir ici tout près de moi et de pas pouvoir l'embrasser encore et encore car je commençais a avoir de réel sentiment pour lui mais j'étais furieuse et s'il voulait me donner des explications j'allais l'écouté attentivement.
electric bird.
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(#)Sujet: Re: you just gotta let it go + bellannah | Mer 10 Juin - 13:37
i need some sleep, you can't go on like this, i try counting sheep but there's one i always miss, everyone says i'm getting down too low, everyone says "you just gotta let it go", "you just gotta let it go", i just gotta let it go... i need some sleep, time to put the old horse down, i'm in too deep and the wheels keep spinning around. i just gotta let it go.
En vérité, j'étais affreusement stressé de la revoir. Je savais que je n'avais pas le droit à l'erreur ; elle était déjà assez gentille de ne pas m'avoir repoussé à mon arrivée. Je m'étais vraiment mal comporté avec elle. Elle méritait tellement mieux que moi. Si je faisais tout cela, si je semblais la repousser en permanence, ce n'était que pour son bien. Je risquais de lui faire mal, ou alors, on risquait de lui faire du mal à cause de moi. Je m'étais fait tant d'ennemis en seulement vingt années de vie, que ce soit à Miami ou au Mexique. J'étais tellement bagarreur qu'il m'était plus facile de me faire des ennemis que des amis. Et je savais parfaitement que certaines personnes étaient prêtes à tout pour me blesser. À Tijuana, mes soeurs avaient été menacées à de nombreuses reprises, parfois même au sein du lycée. Lumen avait même été menacée au couteau, une fois. Et s'il arrivait cela à Hannah ? Je ne me le pardonnerais jamais. Il était hors de question qu'elle souffre à cause de mes conneries. En plus, nous n'étions pas du même milieu. Ce n'était pas quelque chose de grave, en soi, mais j'étais une petite racaille qui jouait les gros durs, qui galérait dans ses études et qui se faisait de l'argent en dealant, tandis qu'Hannah, au même âge, avait un travail sérieux et un compte en banque très rempli. Autant dire que je faisais un peu tâche, à côté.
Hannah me laissa entrer. Bon, c'était déjà ça. Je ne pouvais pas m'empêcher de remarquer à quel point elle était petite, et moi immense à côté d'elle. J'étais déjà grand, de base, mais ma maigreur me faisait paraître encore plus haut. Rah. J'avais envie de la serrer dans mes bras, comme on le faisait avant. Avant que je ne fasse tout merder avec mon caractère à la noix. Avant, oui, on pouvait se câliner et s'embrasser tranquillement, mais maintenant… C'était comme si on ne pouvait plus trop. Parce que j'avais foutu le bordel dans son coeur, elle n'avait plus l'impression que je tenais à elle. Son raisonnement était fondé ; vu comment je lui avais parlé, comment je l'avais agressé, on pouvait facilement croire que je ne tenais pas à elle. Mais c'était faux. Et j'allais devoir lui prouver, désormais. Maintenant, j'allais assumer et réparer mes conneries. " Trop de truc à me dire Bellamy ?? Tu as pourtant été claire tu ne veux pas être vraiment avec moi je pense avoir bien compris au téléphone mais va y je t'écoute " Ouais. Bon, d'accord. Je pris une grande bouffée d'oxygène et réfléchis rapidement. Pendant l'avion, et pendant le temps que j'avais mis à la trouver, j'avais largement eu le temps de préparer ce que j'allais lui dire, mais je n'étais plus trop sûr désormais. Putain. Y'avait bien qu'elle sur Terre qui arrivait à me faire douter de moi. D'habitude, je ne me remettais jamais en question. « Je suis vraiment désolé. Je sais que je te l'ai déjà dit, mais ce n'était que des messages. Des mots, sans aucune portée. Mais là, là je suis en face de toi, je te regarde droit dans les yeux et je te le dis : je suis désolé » J'espère qu'elle comprenait à quel point cela me coutait de m'excuser. Je ne le faisais jamais. Mais j'étais sincère. « Je t'ai mal parlé. Aucune femme au monde ne mériterait qu'un homme lui parle sur ce ton, aucune. Surtout pas toi. Je ne te demande pas d'accepter mes excuses, parce que je comprends très bien que tu sois en colère contre moi. Mais sache que j'ai conscience que je me suis mal conduit et je te présente aujourd'hui des excuses sincères et véritables ». Je savais plutôt bien parler, quand je m'y mettais. « Je me devais de te dire ça en face. J'espère que je ne t'ai pas dérangé » concluait-je.
(#)Sujet: Re: you just gotta let it go + bellannah | Mer 10 Juin - 14:40
you just gotta let it go - Bellannah.
J'avais eu un seul homme dans ma vie . Un seul que j'ai aimé de tout mon coeur, un à qui j'ai tout donné. Mais tout était différent avec Bellamy, notre histoire était différente. On ne venait pas du même milieu mais c'était une chose qui m'était complètement, j'adorais passer du temps avec lui. Mais Bellamy avait beaucoup problème, des problèmes qui me dépassaient complément et ceux qui ne voulaient pas que je me mêle. Alors à chaque fois que j'abordais le sujet, il se braquait me fessant comprendre que je ne pourrais jamais l'aider que c'était un milieu trop dangereux pour moi et par conséquent qu'on ne pourrait sans doute jamais être ensemble car je serais constamment en danger. Je comprenais ses craintes mais je ne pouvais pas comprendre qu'il ne puisse pas me faire suffisamment confiance pour lui prouver que pour lui je ferais n'importe quoi. Au début tout avait claire entre nous, pas sentiments, de l'amusement beaucoup d'amusement. Mais le temps nous avait vite rattrapés et tout c'était beaucoup trop compliqué et Bellamy n'était pas genre de garçon à s'étendre sur ce sujet là. On n'avait pas la même vie, mais je voulais qu'il fasse partie de la mienne et pas seulement de temps en temps.
J'étais surprise de le savoir ici New York , dans ma chambre d'hôtel. C'était fou quand même pour un mec qui ne voulait rien de sérieux alors qu'il avait fait 2000 kilomètres pour me voir et s'excuser, non se prenais pas avec moi je n'allais pas lui ouvrir les bras et lui dire que je le pardonnais il m'avait blessé et j'allais pouvoir lui dire en face ma façon de penser que cela lui plaise ou non. Je l'écoutais donc attentivement, sans dire un mot je voulais entendre jusqu'au bout ce qu'il avait à me dire. Il avait l'air tellement angoissé, jamais je ne l'avais vu comme cela et je me sentais mal à l'aise pour lui. En temps normal je l'aurais pris dans mes bras et je l'aurais embrassé encore et encore mais cette fois-ci c'était différent " Désolé . Désolé de quoi Bellamy ? de m'avoir parlé comme de la merde alors que j'ai juste voulue t'aider car on m'a appris cela aide un ami dans besoin et ne lui tourne jamais le dos quelque que sois son problème ou bien parce que je te clairement dis que j'avais des sentiments pour toi oui Bellamy je t'aime je n'ai pas peur de le dire à voix haute depuis qu'on se connais-j'i toujours été là pour toi quand tu ma raconter ta vie je n'ai pas fui je n'ai pas changé avec toi-même si parfois j'ai eu peur qu'il puisse t'arriver quelque chose je suis resté et toi tu me traites comme si j'étais une simple fille que tu avais ramassée dans un bar alors je mérite donc cela Bellamy ? " dis-je en haussant la voix, j'étais épuisé mais j'avais encore la force de lui dire ma façon de penser" Je ne suis pas en colère contre toi je suis furieuse contre toi tu passe ton temps à me repousser Stop Bellamy tu veux jouer à ce petit jeu alors on va jouer à partir de maintenant les choses vont changer " dit je les yeux plein de larmes " Putain tu sais combien j'ai souffert par le passer j'arrive pas à comprendre à quoi tu joues ... " dit je en sanglotant, j'étais à bout de nerf entre le manque de sommeil, mon défilé qui arrivait et cette dispute je n'arrivais plus a tout assumé et pourtant je n'étaient pas du genre à m'effondrer pour rien. Je n'allais pas le chasser de la chambre, je savais qu'il avait dû prendre toutes ses économies pour venir ici et même si j'étais furieuse contre lui je ne serais pas égoïste " Tu peux dormir sur le canapé " dit je en le regardant droit dans les yeux, j'avais mal pour le coup car malgré ses excuses j'étais incapable de pouvoir lui pardonner.
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(#)Sujet: Re: you just gotta let it go + bellannah | Ven 12 Juin - 17:00
i need some sleep, you can't go on like this, i try counting sheep but there's one i always miss, everyone says i'm getting down too low, everyone says "you just gotta let it go", "you just gotta let it go", i just gotta let it go... i need some sleep, time to put the old horse down, i'm in too deep and the wheels keep spinning around. i just gotta let it go.
M'excuser était pour moi quelque chose de très difficile. Dans ma tête, j'avais toujours raison ; c'était les autres qui avaient tort, vous voyez ? J'étais assez narcissique, et admettre que c'était moi qui était en tort, c'était quasiment impensable. Je ne me remettais jamais en question. Généralement, on me disait que je n'étais qu'un gamin immature. Peut-être que oui. En même temps, je n'avais que vingt ans. Mais quand il fallait faire des choix, je les faisais, qu'importe si j'avais tort ou pas. Je ne préoccupais jamais des conséquences, et surtout, je n'étais pas du genre à regarder derrière moi pour me lamenter sur mon sort. Non, moi j'allais de l'avant. Dans cette logique, m'excuser sur mon comportement passé était impossible. Je n'avais pas m'excuser de la moindre chose passée ; je l'avais fait, point barre, que ça plaise ou non. Mais Hannah, c'était différent. Cette fille avait foutu le bordel dans ma tête, mais au plus haut point. Toute cette carapace que je m'étais forgée depuis Andrea, elle l'avait fait volé en éclat. Fini mes promesses de "je ne m'attacherais plus". Elle était arrivé, avec son sourire, et tout s'était effondré. Avec elle, mon comportement était différent. Je me sentais faible, voyez ? J'aurais pu faire n'importe quoi pour elle tellement j'étais aveuglé. Je savais que ces sentiments étaient réciproques ; alors, allez vous me dire, pourquoi n'étions nous pas ensemble ? Parce que je n'étais qu'une brute épaisse et un être insensible. Je lui avais parlé de façon odieuse, et pour la première fois de ma vie, je regardais derrière moi et je me disais que tout aurait pu être différent si je lui avais parlé plus gentiment. Elle serait peut-être dans mes bras tandis que maintenant, nous tenions une froide distance entre nous.
" Désolé . Désolé de quoi Bellamy ? de m'avoir parlé comme de la merde alors que j'ai juste voulue t'aider car on m'a appris cela aide un ami dans besoin et ne lui tourne jamais le dos quelque que sois son problème ou bien parce que je te clairement dis que j'avais des sentiments pour toi oui Bellamy je t'aime je n'ai pas peur de le dire à voix haute depuis qu'on se connais-j'i toujours été là pour toi quand tu ma raconter ta vie je n'ai pas fui je n'ai pas changé avec toi-même si parfois j'ai eu peur qu'il puisse t'arriver quelque chose je suis resté et toi tu me traites comme si j'étais une simple fille que tu avais ramassée dans un bar alors je mérite donc cela Bellamy ? " Oui, elle avait raison. Entièrement et complètement raison. Mais qu'est-ce que je pouvais lui dire de plus ? J'me sentais particulièrement con, là. Je me contentais de ne rien dire. Je ne suis pas en colère contre toi je suis furieuse contre toi tu passe ton temps à me repousser "Stop Bellamy tu veux jouer à ce petit jeu alors on va jouer à partir de maintenant les choses vont changer. Putain tu sais combien j'ai souffert par le passer j'arrive pas à comprendre à quoi tu joues ... " Reste calme, Bellamy, reste calme. Plus facile à dire qu'à faire. Putain de caractère à la noix. J'étais énervé contre moi, évidemment, vu que tout cela était de ma faute ; mais j'étais aussi franchement agacé par Hannah. Pourquoi ? Aucune idée. Mais j'étais comme ça : impétueux, colérique, et souvent injuste. " Tu peux dormir sur le canapé " Je me calmai quelque peu. Heureusement qu'elle m'offrait le gîte, même si je devais me contenter du canapé, parce que sans cela, j'aurais du dormir dans la rue. Je n'avais plus un sou en poche et j'ignorais même comment j'allais faire pour tenir jusqu'à la fin du mois. Doucement, je m'approchais d'elle et l'embrassai sur le front. Je reculai un peu, et la regardai. Elle était foutrement belle, même en colère. Comme une déesse vengeresse. Je remarquai aussi qu'elle avait un peu grossi. Mais je me retins bien de lui dire, c'était vraiment pas le moment. Je m'approchai du canapé et posai mon sac dessus. J'enlevai mon bonnet ; mes cheveux, ébouriffés, me tombaient dans les yeux. « J'm'excuse d'être moi. D'être comme ça. Mais Hannah, s'il y a une chose dont tu ne peux pas douter... c'est que j't'aime ». Bordel, c'était encore plus dur à sortir que des excuses.
(#)Sujet: Re: you just gotta let it go + bellannah | Sam 13 Juin - 9:24
you just gotta let it go - Bellannah.
Tout était tellement compliqué avec lui. Au début tout était tellement facile et il y a quelques semaines s'était devenu compliqué, beaucoup plus compliquer que chacun voulait le laisser paraître. Je voulais l'aider à tout prix car je savais cela le tourmenter, ne pas pouvoir aider sa famille comme il le voulait et ne pas pouvoir voir sa magnifique petite princesse le tourmenter je le savais même s'il ne voulait pas me le dire. En huit mois de temps j'avais appris à connaitre le jeune homme, et j'étais de nature assez curieuse donc je tentais à chaque fois d'avoir la moindre petite information de sa part. Malheureusement il était très secret, il ne parlait que très rarement se sont passé et parfois j'avais cette impression qu'il me cachait quelque chose c'était désagréable. Avec lui c'était vraiment totalement différé, je n'avais connu qu'un seul homme dans ma vie et pour le coup il était vraiment très différé d'Eliam. Mais j'aimais cette différence, j'aimais notre relation elle avait quelque chose d'unique et même si on était vraiment l'opposer on arrivait à se compléter. Pour lui s'excuser était une chose je pense horrible, il avait un caractère très dur et c'était l'homme le plus têtu qui m'est donné de rencontrer. J'étais vraiment toucher par ses excuses, il s'ouvrait un peu plus à moi et je pouvais voir dans son regard qu'il était sincère mais j'étais vraiment très en colère contre lui. Aucun autre homme ne m'avait jamais parlé de cette façon et savoir que lui l'avait fait état encore plus dur pour moi et ma première réaction était de me braquer.
Bellamy avait fait tout ce chemin pour moi. Il avait sans doute utilisé toutes ses économies pour venir me voir et je savais qu'il s'en voulait de m'avoir aussi mal parler. Je lui confiais donc combien j'étais blessé, combien sa façon d'être n'était pas acceptable et que je n'avais plus la force de jouer à ce petit jeu qui devenait ridicule. Il avait toujours ce petit regard doux qu'il avait tellement l'habitude d'avoir à mon égard, je me montrais odieuse et lui il restait le plus calme du monde. Ce mec me rendait complètement dingue. Je l'invitais à rester ici à dormir sur le canapé, je ne pouvais pas partager mon lit avec lui-même si j'en avais quand même terriblement envie. Il s'approchait doucement de moi, et déposais un tendre baiser sur mon front. J'étais incapable de bouger. Je croisais des nouveaux sont regards et gardaient mes bras croiser sur ma poitrine, j'avais pris un peu de poids depuis la dernière fois qu'il m'avait vue aussi dénudé. Décidément rien n'allait comme je le voulais en ce moment . Il déposais sont sac sur le canapé et enlevait son bonnet et tentait une nouvelle fois de se justifier pour finir par me dire qu'il m'aime et que je devais pas douter de cela. C'était ou je continuais de l'accabler je prenais une seconde pour me calmer et tenter d'être moins en colère contre lui. J'approchais doucement de lui dégageais doucement les quelques mèches qui lui tombait sur les yeux " Je t'aime Bellamy ... et je ne compte pas partir et quoi que tu face pour me repousser ne marchera pas " dit je en caressant doucement sa joue, il m'avait terriblement manqué et ma colère avait diminué en l'espace de quelque seconde. Ce mec me rendais complètement dingue. Je me mettais sur la pointe des pieds et déposais un baiser sur ses lèvres " Tu dois mourir de faim on pourrait commander au room service et regarder un film et peut être poursuivre cette conversation plus tard " dit je avec petit sourire sur les lèvres . Tout n'était pas réglé, c'était vraiment loin d'être le cas mais je pouvais me montrer froide alors qu'il avait pris la peine de venir me voir.
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(#)Sujet: Re: you just gotta let it go + bellannah | Ven 19 Juin - 22:18
i need some sleep, you can't go on like this, i try counting sheep but there's one i always miss, everyone says i'm getting down too low, everyone says "you just gotta let it go", "you just gotta let it go", i just gotta let it go... i need some sleep, time to put the old horse down, i'm in too deep and the wheels keep spinning around. i just gotta let it go.
J'étais terriblement sincère quand je m'excusais d'être moi. J'avais bien conscience que j'étais un horrible con. Je le savais. J'avais un sale caractère, un vrai caractère de merde, excusez moi l'expression. J'avais je ne sais quel traumatisme qui m'empêchait littéralement d'accepter l'amour qu'on me portait. J'avais du mal à accepter le fait qu'Hannah puisse m'aimer. Et savoir que moi aussi, je l'aimais, me foutait encore plus mal. Je me sentais tellement… bête. L'amour, ça rendait faible. L'amour, c'était une connerie. Y'a pas de place pour les émotions. Ouais, c'est cela que l'on m'a appris toute ma vie durant. Pourtant, j'étais tombé amoureux, une fois. Et j'avais bien vu que ceux qui me disaient que l'amour était stupide avaient raison. J'avais bien failli y passer. Et puis, je faisais du mal à Hannah. Je le savais parfaitement. Ses remarques étaient fondées ; je l'aimais, oui, elle n'aurait pas du en douter. Mais je faisais tout, en même temps, pour lui prouver le contraire, et ce inconsciemment. Je n'arrêtais pas de mettre des distances entre nous, de façon involontaire. Je la rembarrais. Après tout, c'était mon caractère, c'était dans mes gênes de m'énerver comme ça pour rien, même envers elle. Elle allait devoir s'y habituer, parce que je ne pouvais pas lui garantir que ça ne se reproduirait pas. C'était sûrement ça, qui me bouleversait le plus : j'étais incontrôlable. J'avais conscience que j'avais merdé, et j'avais dépensé tous mes sous pour venir lui faire des excuses, mais je ne pouvais même pas lui assurer que ça ne se reproduirait plus. J'étais tellement impulsif, lunatique même par moments ! Un rien pouvait suffire à me faire exploser. Même venant d'Hannah, bordel. J'étais pas croyable.
J'ignorais si elle savait ce que faire des excuses et lui dire comme ça que je l'aimais représentaient pour moi. C'était deux choses qu'habituellement, je ne faisais jamais. J'étais beaucoup trop mesquin et sûr de moi pour demander pardon, et j'étais trop fier pour avouer mes sentiments, en général. Parce que je restais quand même persuadé que l'amour rendait faible, et je détestais paraître faible. Je ressentais généralement le besoin de me sentir fort, autant que celui de me faire remarquer. Bon, ce dernier point s'estompait un peu quand j'étais avec Hannah. Avec elle, je n'avais pas besoin de faire le fanfaron. Ouais, j'avais l'impression que je pouvais être moi-même. Au fond, c'était peut-être ce qu'elle attendait de moi. Que je me dévoile autant qu'elle s'était dévoilée à moi. Que je fasse enfin tomber mon masque, que je la fasse complètement entrer dans ma vie. Mais il ne fallait pas qu'elle se fasse trop d'espoirs là-dessus. J'avais eu une vie si compliquée, et tellement remplie d'éléments peu brillants que je n'avais pas du tout envie qu'elle apprenne qui j'étais réellement. Un voyou. Cela faisait dix ans que je baignais dans l'univers de la drogue ; je n'avais même pas de diplôme, j'avais juste miraculeusement réussi les SATs. J'avais le statut d'immigré, en plus. Parce que oui, ma mère étant anglaise, son statut était celui d'étrangère ; mais comme moi j'étais mexicain, j'étais un immigré. Aucune différence entre nous deux, mais cela était révélateur d'un certain problème racial dans la société américaine. J'appréhendais la réaction d'Hannah face à mes excuses. Si elle me rembarrait encore une fois, je n'étais pas sûr de pouvoir retenir longtemps ma colère et ma frustration. " Je t'aime Bellamy ... et je ne compte pas partir et quoi que tu face pour me repousser ne marchera pas " me répondit-elle tandis qu'elle me caressait la joue. Putain. Elle était vraiment adorable. Chacun de ses gestes me faisait fondre et ça me rendait fou. Elle m'embrassa, ensuite. " Tu dois mourir de faim on pourrait commander au room service et regarder un film et peut être poursuivre cette conversation plus tard " Je lui souris. « J'avoue, j'ai rien avalé depuis hier soir » souris-je. Je n'avais vraiment plus un rond. Je m'approchais du téléphone de l'hôtel. « Pizza, ça te va ? » demandai-je en tapant le numéro. Bien sûr que ça lui allait, tout le monde aimait la pizza ! Je passais la commande, et revint vers elle. « Écoute, si je mets des distances entre nous, ce que je ne fais pas volontairement, crois-moi, c'est qu'il y a des raisons. Vraiment. Tu ne voudrais pas connaître ce que je suis vraiment, si tu savais de quoi il en retournait… J'suis pas… Disons que tu mérites beaucoup mieux que moi et que j'me sens… tout retourné à l'idée que malgré nos différences, tu puisses m'aimer, moi, le petit con que je suis ».
(#)Sujet: Re: you just gotta let it go + bellannah | Dim 21 Juin - 17:42
you just gotta let it go - Bellannah.
Sa venue m'avait vraiment surprise. Je ne m'attendais vraiment pas cela de sa part. Depuis le début on ne c'était jamais vraiment disputer du moins pas comme cela, on avait décidé tous les deux que notre histoire resterait simplement physique. Et maintenant tout était beaucoup trop compliqué entre nous. Je n'avais pas du tout apprécié sa façon de me parler, jamais au grand jamais un homme de m'avais parlé de cette façon alors que mon but n'avait juste été de l'aider. Je tenais à lui, tellement que cette histoire était en train de me faire souffrir plus que je ne voulais me l'admettre. Je n'étais pas vraiment une experte en amour, j'étais tombé amoureuse une fois et j'avais eu tellement mal quand tout c'était terminer que je m'étais promis de plus jamais re et faire confiance en un homme, et pourtant avec Bellamy j'avais vraiment envie d'y croire alors que lui ne croyait croyais pas du tout. Il doutait sans arrêt, il avait toujours peur qu'il puisse m'arriver quelque chose et par conséquent il me repoussait sans vraiment sans rendre compte. Il passait son temps à me rembarrer, plus je m'approchais de lui et plus il reculait et je ne savais vraiment plus quoi faire. Il pouvait parfois se montrer tellement adorable avec moi et changer en quelques secondes et devenir froid, colérique, impulsif et quand c'était comme cela je ne savais plus vraiment comment lui parler. Et c'était ce qui était arriver, nos messages avaient mis un énorme froid entre nous et je lui en voulais de cette montrer aussi cruel envers moi et j'étais obligé de lui faire savoir. Il devait assumer ses dires, et sa venue m'avait prouvé qu'il le regrettait.
Bellamy se tenait devant moi et me présentais ses excuses. Il regrettait vraiment de m'avoir aussi mal traité et je voyais dans son regard qu'il était sincère. En temps normal , je l'aurais rembarré et lui aurais dit que ce n'était pas possible, que je ne pouvais pas accepter qu'on puisse me parler comme cela mais je voulais lui prouver que je resterais même s'il était odieux avec moi. Je savais qu'il me cachait beaucoup de choses, parfois il lui arrivait de quitter la pièce ou de s'éloigner de moi pour pouvoir répondre au téléphone et puis il n'avait pas l'air d’apprécier que je vienne chez lui à l'improviste. Je ne voulais pas d'une relation où il y avait que des secrets entre nous , je voulais une vraie relation avec lui j'avais besoin qu'on se montre sincère et lui n'était vraiment pas encore prés pour cela. Notre différence était parfois un problème entre nous , lui venait d'un milieu vraiment difficile et moi j'avais toujours eu tout ce que je voulais et pourtant pour moi rien n'était un problème je savais qu'on pourrait surmonter tout cela si on le voulait vraiment, car notre passer ne devrais pas définir notre futur. Je lui proposais qu'on commande au room service et regarder un film, il accepta et commandait des pizzas. Il revint vers moi quelques secondes après, en m'expliquant pourquoi il m'était des distances entre nous " Bellamy tu passe ton temps à me cacher des choses comment tu veux que je croie quand tu me dis que tu m'aimes , moi je t'aime et moi je sais que notre différence devrait pas définir notre relation . Oui on n'a pas vécu les mêmes choses, oui j'ai de l'argent mais cela ne veut pas dire que moi aussi je galère pas dans la vie alors cesse de dire que je mérite mieux je veux être avec toi maintenant à savoir si toi tu veux cela " dit je froidement , on passait du chaud au froid en quelques secondes c'était vraiment perturbant . Je le contournais et ouvrais la porte et tendais un billet au garçon du room service et fermais derrière lui. Je déposais le tout sur la petite table et nous servais chacun une part de pizza et m'installais sur le canapé . Une larme coula le long de ma joue, cette situation n'était vraiment plus vivable et plus on tentait de comprendre les choses et plus sa nous éloignais.
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(#)Sujet: Re: you just gotta let it go + bellannah | Jeu 25 Juin - 14:46
i need some sleep, you can't go on like this, i try counting sheep but there's one i always miss, everyone says i'm getting down too low, everyone says "you just gotta let it go", "you just gotta let it go", i just gotta let it go... i need some sleep, time to put the old horse down, i'm in too deep and the wheels keep spinning around. i just gotta let it go.
Putain. Je m'étais promis que plus jamais je me laisserais prendre au piège. Plus jamais je n'allais m'attacher à quelqu'un. Et puis Hannah avait débarqué dans ma vie et elle avait tomber toutes mes certitudes avec son sourire. Ma vie était un bordel sans nom depuis qu'elle y était entrée, mais un bordel qui me plaisait, je devais l'admettre. J'étais sans cesse en train de me battre contre de délicieux sentiments. L'amour, l'amour, mais quelle belle connerie. Ça m'avait rendu tellement heureux, autrefois. Sur un autre monde. Cette unique personne, celle que vous avez envie de voir tout le temps, qui fait battre votre coeur plus fort. Celle là qui occupe vos pensées, celle dont vos yeux ne peuvent se détourner. Vous pensez à elle et vous souriez. Je n'avais connu ça qu'une fois, mais ça avait été génial pendant un temps. Pourquoi est-ce que je me battais contre tout ça ? Pourquoi je m'empêchais d'être heureux ? J'étais pas du genre à réfléchir, d'habitude, mais là, toutes ces questions m'embourbaient l'esprit. Je ne pouvais plus penser à autre chose, surtout maintenant que j'étais là avec elle. J'avais toutes les cartes en main, mais je ne savais que faire. Je pouvais être tellement maladroit parfois. Hannah avait raison, je devais d'abord faire le point avec moi-même sur ce que je désirais. Pour moi, il était clair que je voulais être avec elle. Tout le temps, même. Mais je ne parvenais pas à me contenter de cette idée. Je n'arrêtais de penser à toutes ces choses, à mon passé… Bordel, j'arrivais pas à tourner la page. Mon coeur était encore meurtri et il était clair que je ne m'étais pas remis de ma rupture avec Andrea. Une autre partie de moi me disait aussi que je n'étais pas fait pour elle, que j'allais finir par lui briser le coeur de manière définitive. Je n'étais bon qu'à ça, de toute façon. Faire mal à toutes les personnes qui s'attachent à moi.
Est-ce qu'un jour j'allais arrêter d'avoir peur, bon dieu ? L'amour, c'est comme aux jeux ; ça fait peur, il y a beaucoup à perdre, mais aussi beaucoup à gagner. Le jeu n'en valait-il pas la chandelle ? De plus, Hannah m'avait dit qu'elle était consciente des dangers qui m'entouraient et qu'elle était prête à les affronter, par amour pour moi. Elle voulait entrer dans ma vie, me connaître. Elle ne semblait pas effrayée, mais moi je l'étais. J'avais tellement peur de la faire entrer dans ma vie ! Et la peur était pour moi un sentiment inconnu. Je n'avais jamais peur, moi. C'était un sentiment pour les faibles. Or, il fallait admettre qu'avec Hannah, je me sentais faible. L'amour que j'éprouvais pour elle me rendait terriblement faible ; elle avait une totale emprise sur moi. Je n'étais plus le même, en sa présence. Dire je t'aime, m'excuser, c'était tout nouveau. Une partie de moi me disait de me reprendre, de ne pas dire des choses comme ça, de ne pas révéler mes émotions. Je ne savais même plus qui j'étais, avec elle, je perdais toute mon identité. Est-ce que j'étais un gros dur ou un petit être sensible ? Elle remettait tout en question et cela me perturbait. " Bellamy tu passe ton temps à me cacher des choses comment tu veux que je croie quand tu me dis que tu m'aimes , moi je t'aime et moi je sais que notre différence devrait pas définir notre relation . Oui on n'a pas vécu les mêmes choses, oui j'ai de l'argent mais cela ne veut pas dire que moi aussi je galère pas dans la vie alors cesse de dire que je mérite mieux je veux être avec toi maintenant à savoir si toi tu veux cela " me dit-elle assez froidement. Notre relation était un savant mélange de hauts et de bas. Et l'on pouvait passer de l'un à l'autre en quelques minutes. Je n'en pouvais plus de tout cela, mais au lieu de m'énerver, je pris quelques inspirations histoire de me calmer. Tout cela ne tenait qu'à moi. Je n'avais qu'une phrase à dire et tout serait fini. Mais cela me faisait terriblement peur. Oui, j'avais peur de me lancer. « Ce que je te cache ne sont pas des choses importantes. Ce ne sont que des détails de ma vie, mais pas forcément des détails très glorieux. Tout ce qui est important, tu le sais » dis-je doucement. Allez, Bellamy, il était temps de te le lancer. « Je sais ce que j'veux, oui, je le sais même très bien. J'veux être avec toi, Hannah. J'en ai marre qu'on passe notre temps à s'engueuler pour des broutilles et surtout j'en ai marre d'être le responsable. J'en ai par dessus la tête de mes états d'âmes et de mes conneries. Je te le dis sincèrement. Fini, les engueulades. J'veux être avec toi. ».
(#)Sujet: Re: you just gotta let it go + bellannah | Ven 26 Juin - 14:46
you just gotta let it go - Bellannah.
Je n'étais pas une experte en relation amoureuse et surtout en relation intime avec les hommes, je n'avais connu que trois hommes dans ma vie avec qui j'avais eu des relations et Bellamy fessait parti de l'un d'eux. Mon premier amour avait été ma première fois, et cette relation avait duré trois ans . Avec lui j'avais tout appris et quand tout c'était terminer je m'étais juré de plus jamais aimer, de plus jamais tomber amoureuse car l'amour m'avais rendu triste horriblement triste et ne m'avait pas laisser un très bon souvenir . En deux ans de temps, je n'avais connu aucun garçon je m'étais vraiment concentré sur mon travail et cela avait payer . Mais Bellamy avait tout chamboulé, depuis notre rencontre dans ce bar il y a six mois tout avait changé dans ma vie. Au début on avait appris a se connaitre, puis notre premier baiser était vite arrivé et notre premier n'avait pas suivi longtemps après, mais aucun de nous n'avaient prévu tout cela pour nous il n'était pas question de sentiments . Le problème était que Bellamy n'avait confiance en personne, il avait l'impression que le monde entier était contre lui et qu'il ne méritait pas qu'on puisse l'aimer à sa juste valeur et moi j'avais vraiment envie de lui prouver que je voulais être avec lui et que je me fichais se sont passés et que la seule chose que je voulais c'était un avenir avec lui. J'avais réfléchi à tout cela assez longtemps et j'étais sur de moi, ce n'était lui et aucun autre.
Mon voyage à NY était une façon de m'échapper. Avant partir tout c'était beaucoup trop compliquer entre nous , on avait commencé à aborder nos sentiments, nos problèmes respectif qui nous empêcher d'être heureux, heureux tous les deux ensemble. Je m'étais vite rendu compte qu'être loin de lui avait été un déchirement, il me manquait vraiment beaucoup mais après nos messages ainsi que notre appel assez froid j'étais incapable de lui dire. Et puis sa façon de me parler m'avait vraiment brisé le coeur , je n'étais pas du genre à m'arrêter sur des petites broutilles comme cela mais je ne l'avais jamais vu aussi méprisant, j'avais voulu l'aider et je m'étais pris une bonne claque dans la figure enfin du moins au sens figuré. Le savoir ici m'avait vraiment surpris, je crois personne n'avait fait une telle chose pour moi. Il avait pris presque toutes ses économies pour ce voyage, et il est vrai que je culpabilisais pour cela car il refuserait mon aide financièrement pour l'aider à boucler le mois. Pour l'heure on avait autre chose à penser, j'avais écouté ses excuses avait attention et lui avait dit le font de ma pensée et ce que j'avais réellement sur le coeur. Je ne voulais plus de cette relation entre nous , j'avais besoin de plus , je voulais beaucoup plus. Mais lui voulait-il la même chose que moi ? Était-il capable d'avoir une vraie relation de couple ?. C'était la première fois qu'on abordait ce sujet-là, je ne pouvais pas attendre de lui qu'il accepte quelque chose de durable. Je ne savais pas vraiment comment il allait réagir, allait-t-il se braquer, m'envoyer balader ou s'énerver je n'en savais rien mais j'avais vraiment eu besoin de lui dire que j'étais tombé amoureuse de lui. Bellamy s'approchait et s'installais à côté de moi, au début j'étais incapable de croiser son regard mais plus il parlait et plus j'étais captivé. Était-il vraiment entrain de me dire qu'il voulait être avec moi ?. Je croisais son regard " Je veux pas de secret entre nous , j'ai besoin qu'on se fasse totalement confiance " dit je en posant ma main sur la sienne " On va avoir besoin de temps pour ce faire à tout cela mais j'ai confiance en toi. Tu as raison arrêtons nos conneries. " dit je en déposant un tendre baiser sur ses lèvres, c'était un baiser différent que d'habitude. On était ensemble à présent, tout ne serait pas facile mais on pouvait le faire et je ferai absolument tout pour que notre histoire marche . Je reculais doucement " Combien temps tu restes ? " j'avais beaucoup de travail dans les jours avenirs mais j'aimerais beaucoup lui faire partager mon monde, et lui montrer mon travail.
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