Comme dans le bon vieux temps

Nous marchions toujours en direction du bureau alors que je l’avais traité de Don juan. Bah oui, j’avais bien remarqué le petit sourire en coin tout mignon qu’il faisait lorsqu’il essayait de plaire aux dames. Il l’avait fait tout au long de son discourt aux stagiaires. Bref, j’avais toujours aimé rigoler avec lui et c’était pourquoi nous étions restés ami même après notre relation. Je lui avais donc dit que je le trouvais bien mignon en docteur. Celui-ci enchainant en me demandant si c’était de la seule façon que je le trouvais beau. Je rigolai un ainsi avant de rouler des yeux. ‘’ Mais non, tu es mignon… tous nu aussi ‘’ Dis-je en baissant le ton afin que personne ne nous entendre. J’éclatai de rire immédiatement par la suite. Il fallait dire que ce n’était pas faux en faite. Bref, je continuais de marcher tranquillement alors qu’il me demanda ce qu’il y avait de bon dans ma vie si je m’étais enfin posée. Je soupirai grandement en le regardant me répondre ce qu’il en était pour lui. Bien sur, il n’était pas encore posé et il avait toujours le même style de vie, tout en diminuant sa consommation d’alcool. Évidemment, en étant médecin, il était facile de trouver des proies faciles. Lorsqu’il eu terminé, je le regardai tout en continuant de marcher. ‘’ Oh tu sais, je suis toujours plus ou moins la vieille bonne Jazzlyn. Je ne me suis pas posée, je n’ai pas envie pour l’instant. J’essais de diminuer tous le reste. Dans l’armé, il n’y a pas de place pour les vices tels que ceux-ci. ‘’ Dis-je d’une voix amusée. C’est alors que son bipeur sonna. Je fronçai les sourcils. J’espérais que ce n’était pas déjà eux qui disaient avoir terminé, c’était impossible. C’est alors qu’il me montra le message après qu’il est eu un énorme sourire. A la vue de celui-ci, je roulai des yeux en soupirant. ‘’ Les hormones…. Je vais leur dire deux mots à ceux-là plus tard ! ‘’ Non mais oh, pour qui elles se prenaient ces jeunes ? On est pas dans Grey’s anatomy ou dans Scrubs !

Comme dans le bon vieux temps

Je lui avais alors expliqué comment je vivais ma vie à présent. Il n’y avait pas beaucoup de chose qui avait changé depuis le temps. En faite, je m’étais seulement calmé sur l’alcool et la drogue puisque cela me faisait faire de mauvaises choses. Il me répondit alors que celui qui allait réussir à me poser allait être chanceux puisque j’étais complètement cinglée. Je fronçai les sourcils en rigolant. ‘’ Je dois le prendre comme un compliment c’est ça ?’’ Dis-je d’une amusée. Je savais bien sur ce qu’il voulait dire par là. J’avais toujours été du genre à ne pas me casser la tête avec des problèmes. La vie semblait facile avec moi… Semblait, j’ai bien choisis le mot en faite… Bref, pensons à autre chose. Nous avions rit un instant de ma stagiaire qui semblait complètement obnubilée par Joran. Bien sur, cela me fit rigoler un peu, mais il fallait dire que je trouvais cela bien décourageant en faite. Elle avait quoi, 19 ans cette gosse et déjà elle bave devant les docteurs. Lorsqu’il comprit que je trouvais seulement complètement absurde et que j’allais leur en glisser un mot, il me dit dans un rire, que me voir en colère pourrait être assez excitant. Je ne pu m’empêcher de rigoler à ce propos. Il avait toujours eu le don de me faire rire celui-là. ‘’ Garde tes fantasmes pour toi Keating ‘’ Dis-je suivis d’un clin d’œil. Bien sur, je rigolais et il le savait très bien. Nous étions enfin tout près de son bureau. Avant d’ouvrir la porte, il me demanda si cela me tentais d’aller prendre une verre avec lui, en ami question de parler plus longuement. Je souris pleinement tout en le regardant droit dans les yeux. ‘’ Avoue que je t’ai manqué Joran ‘’ Dis-je en rigolant. ‘’ C’est d’accord pour le verre, si c’est toi qui invite. Avec un salaire de médecin tu peux très bien me l’offrir. ‘’ Dis-je suivis à nouveau d’un clin d’œil. Je n’avais jamais été du genre timide et réservé. Cela, Joran le savait très bien.

Comme dans le bon vieux temps

J’avais oublié à quel point j’aimais passer du temps avec Joran. Lui et moi avions à peu près le même sens de l’humour et c’était pour cette raison que sa compagnie était agréable. Je n’avais pas besoin d’être une autre personne lorsque j’étais avec lui et il me connaissait très bien. Après tout, nous avions été amis avant de sortir ensemble. Bref, il me dit qu’il fallait que je prenne ces paroles comme un compliment et d’en profiter car cela était plutôt rare venant de sa part. J’eus un certain petit rire face à cette phrase. Effectivement, il n’était pas du genre à lancer des compliments aux passants dans la rue. Bref, après qu’il m’ait dit qu’il était presque excitant de voir une infirmière en colère, je lui avais répondu qu’il ne fantasme pas sur moi. Bien sur, il avait comprit que je rigolais puisqu’il se mit à rire immédiatement par la suite en me disant qu’il ne fantasmait pas sur moi et il me traita, en même temps, de petite vicieuse. Je rigolai de nouveau en roulant des yeux. ‘’ Bien sur…. À d’autres…. ‘’ C’est alors qu’il m’avait invité à prendre un café entre amis. Je lui avais alors dit qu’il allait devoir m’inviter. Il me répondit alors qu’il était évident qu’il allait m’inviter. Il poursuivit en disant que je n’étais pas obligée de venir car je n’avais pas de couteau sous la gorge. Je me mis à rigoler puis je le vis se lever afin de quitter de son bureau. Il allait sans doute retrouver les stagiaires. Avant qu’il ne quitte son bureau, je pris la parole. ‘’ Je dois tout de même écouter les ordres de mon patrons ‘’ Dis-je en rigolant tout en me levant pour aller retrouver mes stagiaires aussi. Arrivé devant eux, je regardai les deux filles d’un regard désespéré, mais sévère. Elles comprenaient immédiatement pourquoi je les regardais ainsi.

Comme dans le bon vieux temps

Je m’étais dirigé rapidement vers la salle de réunion pour pouvoir faire les gros yeux à mes stagiaires. Même moi, Jazzlyn Atkins, je n’avais jamais fait les beaux yeux au docteur lors de mes stages. Bien sur, à des stagiaires, mais à de vrais médecins, jamais. Quoi qu’il en soit, Joran remarqua rapidement mes yeux et n’hésita pas deux secondes à me narguer. Il me dit alors de ne plus faire ces yeux car il pourrait croire que j’étais jalouse. J’étouffai un rire en poussant subtilement Joran avec mon épaule. Il savait très bien que ce n’était pas de la jalousie. Si je ne voulais pas que le tout devienne un énorme soap américain, il fallait que je calme les choses. Avant que je ne dise quoi que ce soit, il se mit alors à sermonner les stagiaires en leur disant qu’il ne fallait pas qu’elles le dérangent pour des pacotilles. Il termina en disant qu’elles allaient devoir attendre d’être en dehors du boulot pour les questions plus privées. J’eu un soupire. Évidemment, il ne se ferma pas complètement à leur drague. Il n’avait pas changé ce Joran. Après ce moment, la journée se passa sans embûche. Je fis le rapport à mon infirmière remplaçante et je quittai vers mon vestiaire en suivant toujours mon ex qui devait prendre sa douche. Je fis bien sur de même afin de retirer les bactéries de l’hôpital. Cela me prit quelques temps, mais je le fis le plus rapidement possible pour ne pas le faire trop attendre. J’arrivai vers son vestiaire et je le vis devant mes stagiaires. Je roulai des yeux au loin en m’approchant, sac à main sous mon bras. En m’approchant, j’entendis Joran dire qu’il ne pouvait pas ce soir, car il sortait avec moi. J’eu un énorme sourire sur mes lèvres. Non pas par jalousie, seulement car je détestais cette stagiaire qui se croyait tout permis. Afin d’en ajouter, seulement pour rigoler, je m’approchai de Joran en passant mon bras dans le sien en souriant aux stagiaires. ‘’ Je suis prête, tu viens ? ‘’ Oui… J’aimais bien être garce parfois… c’était plus fort que moi. Je me mis alors immédiatement à rire en me mettant à marcher bras dessus, bras dessous avec Joran.

Comme dans le bon vieux temps

Je vis très bien le regard que Joran me portait lorsque j’arrivais vers lui un énorme sourire sur les lèvres. Celui-ci était seulement dû à la satisfaction qu’il ait rembarré cette fille qui se la joue à la Grey’s Anatomy. Je détestais ces filles qui semblaient avoir choisit le métier d’infirmière pour les mauvaises raisons. Celles-ci faisaient rarement de très bonne travailleuses. Quoi qu’il en soit, avant même que nous soyons mit en marche, celui-ci vint déposer un léger baiser sur le coin de mes lèvres. Il pouvait lui aussi être assez méchant quand il voulait. J’eus un sourire amusé en jetant un subtil coup d’œil à la stagiaire qui semblait réellement déçu de ce revirement. Bref, nous partions, toujours avec mon bras dessous celui de Joran. Il me dit alors qu’il ne m’avait jamais vu aussi chipie. J’eus alors un sourire en regardant droit devant moi. ‘’ Mais elle me méritait. Je n’ai pas envie qu’elle soit en soin infirmier seulement pour les romances avec les médecins ‘’ Je continuais toujours à marcher vers la voiture de Joran en souriant toujours de l’œuvre que j’avais accomplie. Il me dit alors qu’il avait cru que j’avais été jalouse en me voyant près du vestiaire. Je rigolai un peu encore une fois en levant les yeux au ciel. ‘’ Ne t’accorde pas autant d’importance. Tu sais que je n’ai jamais été jalouse. ‘’ Dis-je suivis d’un clin d’œil. Bah oui, lorsque nous étions en couple, je savais très bien qu’il avait toujours envie d’aller ailleurs et qu’Il l’avait sans doute fait, tout comme moi d’ailleurs. La jalousie n’a jamais réellement été en moi. Nous étions alors rendus à sa voiture dans le parking de l’hôpital. J’attendis qu’il déverrouille celle-ci avant d’entrer à l’intérieur. Je sentais que j’allais passer une excellente soirée en sa compagnie.