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 begging you please don't go

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(#)Sujet: begging you please don't go  |   Ven 7 Aoû - 12:50

   
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In silent screams, in wildest dreams, I never dreamed of this. This love is good, this love is bad. This love is alive back from the dead these hands had to let it go free & this love came back to me. ⊹ Je claquais la porte de l'appartement. Je venais de passer la pire heure de ma vie, même la prison n'était rien comparée à ce que je venais de ressentir en un laps de temps assez court. J'ai désiré, j'ai aimé, j'ai repoussé. Tout cela en un rien de temps. Je méritais même un prix pour ça. Pourtant, revoir la scène me déchirait. Dès que je fermais les yeux, elle me hantait. Je ressentais tout ce qu'elle avait pu me faire ressentir en moins de vingt quatre heures et je ressentais le déchirement de son éloignement. Je n'en pouvais plus. J'avais du mal à respirer, j'avais l'impression de la voir partout où je regardais, chaque mot, chaque objet me faisait penser à elle. J'étais énervé, énervé de ne plus pouvoir avoir de contrôle sur ça. Énervé d'être triste, énervé d'être déchiré. J'avais les larmes aux yeux, je sentais la rage prendre le dessus comme elle sait si facilement le faire. Je m'avançais vers mon bureau, pleins d'ébauches de ses yeux, je le retournais dans l'appart. Je criais, je hurlais toute la douleur d'intérieur. Je tapais dans les murs, dans les meubles. J'explosais, j'implosais, tout à la fois. Je me jetais contre un mur, j’atterrissais assis, genoux contre moi par terre, je me prenais la tête dans les mains, j'essayais de faire le vide, en vain. Je voulais me contrôler, en vain. Je décidais alors d'aller prendre une douche rapide, je manquais de la détruire d'ailleurs et j'allais travailler. Peut-être que ça m'occuperait, et je prendrais de l'avance pour un autre jour, puisqu'il ne voulait plus que je fasse d'heures supplémentaires des supplémentaires non payées. Je travaillais sans relâche, je ne lâchais pas des yeux, j'essayais de défaire ces yeux pleins de larmes, en vain. Mon patron, qui est comme un deuxième père pour moi, essaya de me calmer, en vain. Je jetais par delà le garage mon outil et je le regardais. Je ne pouvais pas faire ça à lui, qui m'a tant soutenu, tant aidé. Il m'ordonna presque de partir, de me reposer, de me calmer. Non pas que je travaillais mal, non, mis juste pour moi. Son côté parental me perturbait souvent, surtout là. Je n'avais pas l'habitude que quelqu'un de plus âgé prenne soin de moi. J'acceptais, de toute façon je n'avais pas le choix et je rentrais. Mais une fois accompagne la deuxième, alors que j'essayais de ranger mon bordel, je repartais au bout de cinq minutes.. Mais là, je n'étais pas fier de où j'allais. Je replongeais, j'avais besoin d'une taffe, mais pas de tabac. J'allais craquer, j'allais voir mes compagnons de la fumette, j'étais sur le chemin. Je regardais notre case, j'hésitais. Je me rendais compte de ce que je faisais. Je ne pouvais pas faire ça. L'image d'Alayna me voyant le faire arrivait sans attendre. Je me claquais la tête contre le volant, elle me hantait, y'avait rien à faire. J'allumais une cigarette de tabac, je reprenais le volant pour rentrer. Là, je décidais de faire face à mes envies, je rangeais l'appartement. Puis, tout de même, j'allais prendre un comprimé d'un truc un peu fort mais pas grave, juste pour m'endormir sans avoir le temps de penser. Le problème c'est qu'une fois endormi, on rêve. Ce n'était pas de tout repos. Je la voyais, très clairement, aux lueurs du soleil. Elle était belle, parfaite, mais elle reculait. Au plus j'avançais vers elle, au plus elle reculait. Elle ne souriait pas, elle était même plutôt triste et je voulais savoir pourquoi. ELle ne me répondait pas, elle reculait. Puis, elle regarda ailleurs, faisant apparaitre son sourire. Automatiquement, le mien se leva, et elle tendit la main vers la source, non vers moi. Un homme, de dos, la prit. Je ne voyais pas son visage mais elle partait avec lui, me lançant un dernier regard, qui ressemblait trait pour trait à celui que m'avait lancé Nessa avant d'être prise par les services sociaux. Elle me haïssait. Je voulais avancer, lui voler cette main et tuer cet homme mais je ne pouvais plus bouger mes pieds. J'essayais de toutes mes forces en vain. Je ne pouvais rien y faire. Elle m'avait échappé. Je ne l'avais plus. J'étais seul au milieu de nul part. Je me réveillais en sursaut, relevant le buste sur le canapé. Automatiquement, je portais la main à mon visage et sentais quelque chose d'humide. Une larme. Une seule. Mais elle était là. Mon dieu. Je l'effaçais aussi vite elle était apparue et je décidais de me bouger le cul.

Je ressentais un truc qui me faisait dire qu'elle me manquait. C'était ça, j'avais besoin d'elle. Je ne pouvais plus passer d'elle. Il fallait que je la vois, il fallait que j'empêche ce cauchemar de se réaliser. Je ne pourrais pas le supporter. Je décidais de me faire face, voilà. Ma propre peur, c'était moi-même, et il fallait que je fasse face. Du coup, j'allais me changer, mettant un jean, des chaussures propres, un tee shirt blanc et une veste noire. Je mettais du déodorant et du parfum légèrement. Je faisais tout ça sans réfléchir, il ne fallait plus que je réfléchisse. Quand je réfléchis, je fais des conneries. C'était fini tout ça, je n'en pouvais plus. Je faisais barrage, et j'agissais vite. Il était assez tard dans la journée maintenant, il devait être près de l'heure de dîner. Mais tant pis. Je me regardais dans le miroir. « Si tu foires encore comme ça je te tue, Tate. » me dis-je avant de prendre mon porte feuille et mes clés, je sortais. Je prenais le chemin pour aller chez sa demi-soeur, mais je m'arrêtais en route. Des fleurs. Il me faut des fleurs. Je ne savais pas quoi prendre alors je babillais à la vendeuse, ayant du mal moi-même à le dire que c'était pour une princesse. Une princesse. Ma princesse. Cela la faisait légèrement rire, en même temps je m'imaginais dire ça moi-même et c'était à se traîner le cul par terre. Mais adorable, elle me prépara un bouquet. Je demandais de ne pas l'emballer pour ne pas montrer que j'avais payé ça exprès pour elle, et faire croire que je l'avais moi-même piqué dans un jardin public ou que sais-je - chose improbable d'ailleurs. Elle accepta mais laissa la carte, que je n'avais pas vu. Je reprenais la route jusque chez elle. Je me garais, et là, blanc. Je ne savais pas ce que j'étais censé faire. Je restais là bien dix minutes, à regarder la porte. J'étais perdu. Qu'est-ce que les hommes sont censés faire dans ces cas là? J'avais peur à nouveau, je fermais fort les yeux, j'essayais de me calmer. Je n'en pouvais plus, je prenais mon souffle en expirant et inspirant, pour calmer la pulsion de ma poitrine. Je rouvrais les yeux et la porte fit un bruit, elle s'ouvrait. Rien que de la revoir me créait une bouffée de vie, de chaleur, je me sentais revivre. Mais je remarquais son visage effacé, sa valise en main. Je décidais de ne pas faire attention à ça. Il fallait que j'y remédie. Je ne dis rien en premier lieu, je m'avançais vers elle. Elle avait le maquillage coulant, la peau triste, elle avait perdu son éclat de vie. Je déglutissais et je vins prendre sa valise des mains, je lui offrais les fleurs et de l'autre je caressais sa joue. Je pris toutes mes forces qui étaient contre moi-même et je réussis à prononcer, faiblement, près de son visage : « Pardonne-moi Alayna. » Les larmes remontaient aux yeux, comme ce fut le cas toute la journée. « Je n'ai pas survécu à cette journée sans toi, je voudrais que tu me laisses me rattraper, que tu viennes avec moi.. » lui soufflais-je. J'avais peur de la brusquer, peur que je ne la vois pleurer en live, chose qui me briserait de l'intérieur, encore une fois. « Je.. j'espère que les fleurs ce n'est pas de trop.. Je ne savais pas trop.. Enfin, j'ai besoin de toi. » dis-je, complètement perdu. Je voulais qu'elle revienne, je ne savais pas comment faire, je ne savais pas quels mots employer.


   
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Ven 7 Aoû - 19:57
Je restais bien silencieuse devant le choix qu'il avait fait. Une partie de moi s'y attendait alors je ne pouvais pas lui en vouloir tant que cela. Cependant mon cœur n'était pas d'accord, il saignait. Il cognait fortement contre ma poitrine. Je ne disais mot, sur la route du retour. Je rentrais le cœur lourd. Je sentais qu'il allait sortir de ma poitrine. Je cherchais Aloysia, elle était dans sa chambre, j'allais vers elle et la prise immédiatement dans les bras, je voulais qu'elle me soulage en me donnant un peu d'affection. Je restais muette , j'étais incapable d'ouvrir la bouche et de lui dire ce qu'il se passait pour le moment, d'ailleurs je ne lui avais rien dis sur mon coup de cœur envers lui, elle ne connaissait même pas son prénom. Je la serrais fortement, je reniflais. Je sentais que ça montait en moi, je sentais que j'allais faire quelque chose d'incroyable. Et ça arriva.. Je sentais des larmes naitre dans mes yeux rouler et perler sur mes joues, pour venir mourir en s'écrasant contre mes lèvres. Je pleurais à chaud de larmes. J'étais brisée intérieurement. Je me sentais tellement ridicule d'avoir choisis de prendre ce chemin là. Je me suis sentie repoussée, recalée comme jamais. Je me haïssais de pouvoir ressentir cela envers lui. Je voulais que ça parte, je voulais pas que ça reste en moi, mais ce n'est pas quelque chose que l'on peut prendre et enlever. Je voulais savoir ce que c'était d'aimer, et maintenant je commençais à le regretter. Je pensais pas que ce sentiment pouvait vous changer autant. Je ne pensais pas que je pourrais en devenir folle, et me perdre. Je ne savais pas qu'aimer c'était regarder l'un l'autre dans la même direction, de pouvoir frémir pour ses caresses, de pouvoir se perdre dans son regard, de pouvoir se soulever à quelques centimètres du sol rien qu'en une étreinte. Je ne savais que c'était atterrir dans un nouveau monde, où le centre est l'être de notre cœur. Je ne pensais pas que mon cœur s'envolerait, pour atterrir près du sien, pour ne suivre que le rythme du sien. Je ne pensais pas devenir accro à ses lèvres, à son sourire, à l'odeur de sa peau. Je pensais que je devenais folle, je perdais la tête, j'aurais pu tout abandonner rien que pour dormir à ses côtés. Il me hantait, je voyais les flashs de tout nos beaux moments magiques, et ça m'attristait encore plus. Je sentais que j'explosais , j'aurais eu envie d'hurler ma douleur, mon chagrin.

Je restais contre aloysia et je tentais de parler, en serrant les dents: Je me déteste. Je le déteste Aloysia. Je veux plus jamais le revoir. Je veux plus aimer, plus aimer comme ça, je veux que ça part, je veux que ça sorte de moi, que ça me laisse tranquille, je t'en supplies aides moi Aloysia, Je veux plus souffrir comme ça, j'ai l'impression on m'ouvre le cœur, qu'on le prend, qu'on le maltraite, en le torturant dans tous les sens. Je veux plus de ce cœur, il est empoisonné, j'étais été ensorcelée, c'est ça, il m'a tout pris, Aloysia, il m'a dépossédé de tout, et maintenant je n'arrive plus à l'oublier, dis moi comment l'oublier, Dis moi que ça se soigne, qu'on y guéris que ça peut partir comme s'est venu... Dis moi n'importe quoi mais ne me dis pas que je l'aimerais toujours. M'enflammais je pour expliquer la raison de cet état dans lequel j'étais, cet état, que je rencontrais pour la première fois.

C'est la première fois que j'étais malheureuse. Détruite. Je sentais que dans mon cœur s'était gravées des cicatrices, et depuis son absence , un vide qui ne pouvait être comblé et réparé seulement par sa présence, parce que c'était lui et pas un autre avec lequel je voulais partager ma vie. J'étais conscience que je l'avais dans la peau, que je voulais et ne désirais que lui Je trouvais son image dans mes pensées, je prononçais son prénom dans mes rêves les plus intimes, et endiablés. Je voulais qu'il revienne, tout mon être le désirer, j'avais perdus l'issue , le seul remède à mes blessures. J'avais perdue, la personne qui avait donné un sens à ma vie, et ça creuser davantage ce trou dans mon cœur. Je pensais à lui sans cesse, alors qu'aloysia tentait de me calmer , je l'entendais pas, j'étais dans un brouillard. J'avais l'impression de suffoquer. Elle essayait mes larmes, et je sentais que notre lien se renforçait, néanmoins, je ne quittais pas Enaël des pensées. Je faisais une obsession sur lui. J'allais dans ma chambre, tandis qu' Aloysia venait de recevoir un appel téléphonique. Je regardais ma chambre et j'en avais le tournis. Je pris ma valise et la mise sur mon lit. Je soufflais un bon coup. Puis dans un excès de colère, je pris toutes mes affaires et je l'ai mis dedans un à un en les jetant avec violence. En criant de rage, je voulais sortir cette boule que j'avais dans la gorge et celle de mon ventre. Je voulais fuir, fuir loin d'ici, je voulais plus le croiser, je pouvais plus le voir en face, et je voulais pas le voir avec une autre femme, heureux, et en couple, non je pourrais pas , j'en serais incapable. Je m'asseyais sur ma valise afin de la fermer. Je la pris en claquant la porte au passage. Je m'arrêtais près de la chambre de ma frangine entrouverte, et je la regardais tendrement, cela me calmer et m'apaiser pour quelques secondes. Puis je me disais que pour elle ,je devais rebrousser chemin, mais je pouvais pas je partirais pour quelques jours, où alors je l'inviterais , fallait que je m'en aille, c'était la meilleure solution pour moi. Je regardais la porte durant un long lapse de temps puis je prenais ensuite mon courage à deux et je fonçais tête baissée, adieu appartement, une nouvelle vie commence, fallait que je tourne définitivement la page Enaël pour poursuivre le livre de ma vie. J'avais les yeux noirs, mon mascara avait coulé, et je n'avais pas pris le temps de me refaire une beauté, après tout je n'avais à plaire à plus personne, et en plus je ne voulais plus d'homme dans ma vie , plus jamais. Je respirais pour reprendre mon souffle pour me dire de passer à autre chose et me motiver. Je portais ma main au front, et je secouais la tête, je me sentais si perdue, si décontenancée, si désespérée.

Je tournais le regard, et j'avais l'impression de rêver, non, il ne pouvait pas se trouver, là , devant moi. Je devais me réveiller, je me pinçais , et je m'étais d'ailleurs fais mal. Aïe. Prononçais je à haute voix. Je restais stupéfaite de le voir debout, en face de moi. Il me tendit un bouquet de fleurs, et je ne savais plus ce que je devais faire, ou dire. Que se passait il ? ! J'avais les larmes qui me montait à nouveau. J'allais craquer, fallait pas, que quelqu'un vienne m'aider, je vous en pris..il était là ,toujours aussi beau, élégant. Je sentais que je voulais l'embrasser, rien qu'à le voir, je voulais retirer cette envie, je voulais pas montrer que j'étais faible face à lui. Puis ses propos n'aidaient pas mon cœur à lâcher prise, il me retenaient à lui. Passionnément. Je.. je sais pas.. je sais pas si j'en aurais la force. Lui dis je les lèvres tremblantes, le cœur serré. Je sentais sa main touchait ma joue, et je savais que je l'aimerais toute ma vie, et ça me blessait d'autant plus de devoir le quitter, mais je supporterais pas l'idée de n'être qu'une amie à ses yeux Je posais mon front contre le sien, tendant de garder mon calme, ma respiration pour ne pas dériver vers lui, ne pas me retrouver encore une fois dans ses bras, à lui. Je te déteste... Lui lâchais je meurtris, la voix tremblante limite en sanglot. Tu m'as tellement manqué Enaël. Bredouillais je chamboulée par le fait d'être devant lui à ce moment précis. Je peux pas faut je m'en aille.. faut que je parte. Si je reste à côté de toi, je vais avoir envie d'être près de toi physiquement, de frôler tes lèvres... je peux plus continuer à faire comme si il se passait rien , je peux plus Enaël. Si c'est plus facile , laisses moi partir... Lui soufflais je contre son oreille, me glissant dans ses bras. Je passais mes bras autour de son coup. Je t'en pris Enaël retiens moi. Ajoutais je laissant mon souffle dans son cou. Je me reculais ensuite et il me demandait si les fleurs s'étaient raisonnables. Des fleurs, c'est le symbole du pardon, et c'est ce que tu es venu me demander alors non. Répliquais je essuyant les larmes qui commençaient à sécher sur mes joues, dans un ton plutôt sobre. Je sais plus, je suis perdue, je tiens beaucoup à toi Enaël, je suis si malheureuse quand tu n'es pas là. ...Glissais je n'arrivant plus à réfléchir , comme souvent en sa présence.
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Ven 7 Aoû - 22:08

   
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In silent screams, in wildest dreams, I never dreamed of this. This love is good, this love is bad. This love is alive back from the dead these hands had to let it go free & this love came back to me. ⊹ J'avais passé la journée à penser à elle, je n'avais pas une seconde penser à autre chose. J'avais tout fait pour pourtant, en passant du boulot jusqu'à même l'idée de prendre de la drogue. Je n'y arrivais pas, il fallait que je m'y fasse. Il fallait que je comprenne que je ne pouvais pas me passer d'elle. Il fallait que je me le concède. Il fallait que je me fasse à l'idée que rien ne me séparait d'elle à présent, que chacune de mes pensées lui étaient destinées. Il fallait que je l'accepte, qu'enfin, j'avais trouvé quelqu'un qui me faisait sourire, qui me réchauffait le coeur, qui me donnait envie d'oublier, qui me rendait meilleur, qui m'inspirait, qui me rendait fou, pour qui je m'inquiétais, pour qui je pourrais tout, même perdre ma propre vie... Je l'avais rencontré, c'était Alayna. Elle était bien réelle, et pourtant je ne pouvais pas le croire, je n'y arrivais pas. Je ne pouvais pas croire que j'avais trouvé une personne pareille, moi. Moi qui avait été juste un plan cul pour une dizaine de femmes, un drogué, un tueur, un voyou. Moi, j'avais une femme magnifique qui hantait mes pensées. Cette femme avec sa douceur, son talent, sa beauté, son naturel, son contact, son rire, son style, tout. Cette femme avait touché mon coeur, avait touché mes lèvres des siennes. Je la voulais. J'avais besoin d'elle. Plus que n'importe qui. Elle était mon essentielle. Après lui avoir conseillé de rentrer chez elle ce matin, puisqu'elle avait eu besoin d'espace, je regrettais amèrement. Il fallait que je me rattrape, il fallait que je revienne vers elle. Il fallait qu'elle me pardonne. Il fallait que je la retrouve, que je ressente à nouveau ses cheveux, son odeur, sa voix, tout. Mon coeur le réclamait, oui mon coeur. Je me rendais compte que depuis le début, c'est mon coeur qui commandait. Mon coeur me faisait faire tout cela, mon coeur me faisait envie d'elle. Mon esprit n'avait aucun contrôle là dessus. Je me préparais donc à aller chez sa demi-soeur, bien décidé à la récupérer.

J'arrivais devant sa porte, un bouquet de fleurs à la main. J'hésitais. Je restais devant la porte, en silence. Je ne savais pas comment j'allais m'y prendre, j'étais perdu. Je ne savais pas comment faire, comment m'y prendre. Je ne sais pas comment on fait d'habitude. De toute façon, je n'avais plus le choix car elle ouvrait la porte. Je ne m'y attendais pas, j'avais le souffle coupé. Je la trouvais belle, malgré son mascara coulant, et son visage triste. Elle m'avait manqué. Elle tenait une valise à la main. Elle voulait partir. Elle ne le ferait pas, je la retiendrais. Je m'avançais. Je lui donnais les fleurs, je retenais la valise d'une main. Je lui demandais de me pardonner, elle me dit qu'elle ne saurait pas si elle saurait le faire. Je posais ma main sur sa joue, je ne la laisserais pas s'en aller, je m'en fichais. Elle posa son front contre le mien, elle ne voulait donc pas me quitter. J'avais une chance de la retrouver. Je me délectais de ce contact. Elle me souffla ensuite qu'elle me détestait. Je déglutissais, je la laissais dire, je ne disais rien. Je sentais la tristesse dans sa voix, je serrais mon emprise sur son visage. Elle ajouta que je lui avais manqué, je déglutissais encore. Je venais de lui dire qu'elle aussi, je n'allais pas le répéter. Je la laissais me dire ce qu'elle avait à me dire. J'étais bien trop chamboulé par nos retrouvailles de toute façon, j'essayais de repousser celui qui voulait m'éloigner d'elle. Mais elle continua en disant qu'il fallait qu'elle parte. Je la retenais fort, lui faisant lâcher sa valise. Elle passa ses bras autour de mon cou. Je la serrais alors contre moi quand elle me demanda de la prendre contre moi. Elle recula et effaça ses larmes, qui me brisaient le coeur. Elle me dit qu'elle était perdue, qu'elle ne savait pas quoi faire mais qu'elle était perdue sans moi. J'attrapais ses mains dans les miennes, l'approchant de moi, posant mon front contre le sien. « Ne me quitte pas Alayna je t'en prie. » soufflais-je d'abord puis je m'apprêtais à dire tout ce que j'avais sur le coeur. « J'ai besoin de ton odeur, de ton sourire, de t'embrasser.. C'est juste que.. Ce n'est pas simple.. Je te l'ai dis, je n'ai jamais eu de modèle d'amour de.. Je ne sais pas comment on fait.. Je peux essayer, je te promets.. Ne pars pas, je ne peux pas sans toi. » soufflais-je sans la regarder, je n'avais pas la force d'assumer. J'avais les larmes aux yeux, enfin je levais le regard vers elle. « Tu as fais tes affaires pour venir avec moi, c'est ça hein..? » dis-je essayant l'humour, même si c'est le dernier endroit où je pouvais l'utiliser. « Je te promets d'essayer de te donner ce que tu désires.. Je ne veux pas te faire de mal.. J'ai juste.. Ce truc là qui me hante quand tu es là, et qui me fait souffrir quand tu n'es pas là. » dis-je montrant ma poitrine. Je reprenais ses mains, les tirant vers moi. « Viens à la maison, je t'en supplie.. » lui dis-je, je ne savais plus quoi ajouter pour qu'elle cède, qu'elle me pardonne.



   
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Sam 8 Aoû - 0:44
Je me décidais, je me lançais. Je devais quitter la ville, si je ne voulais plus souffrir comme c'était le cas. Je ravalais ma salive, j'eue un temps d'absence, je voyais son visage. Une part de moi ne voulait pas le quitter, ça me déchirait le cœur. Il fallait que je me décide à passer le pas de cette porte, si je voulais avoir une chance , avant qu'il soit trop tard, malgré qu'il l'était déjà, il fallait que je me persuade que je pouvais encore prendre le cours de ma vie, sans lui, ce qui était exclus bien entendu , puisque j'avais besoin de lui dans ma vie pour que mon bonheur soit totale, pour que j'ai envie de vivre, de crier ma joie, je pourrais lui avouer mon amour pour lui. Je le voulais, cependant après son choix de ce matin , je me disais que lui ne pourrait pas partager ses sentiments. Tout se bousculer dans ma tête, je voulais faire taire ses pensées.  Cela me donnait mal au crâne, et avec toutes les larmes que j'avais versé, ça raisonnait déjà dans ma tête, je ne voulais pas en ajouter davantage. Je tentais de reprendre mes esprits avant de sortir. Adieu ancien vie. Une nouvelle Alayna devait naître, plus forte, sans aucune faiblesse. Peut être oublierais je le visage de l'amour, aux traits ressemblant exactement à ceux du visage d'Enaël. Je poussais la porte en retenant mon souffle. Je passais un premier pied , puis l'autre, et je me disais que maintenant je ne pouvais plus reculer. Je passais ma valise. Puis je m'arrêtais, posant ma main à mon front. Je me sentais abattue, fallait que je remonte à la surface.

Comme si ce n'était pas assez difficile de prendre cette décision, je vis une silhouette en face de moi. Je me disais que j'étais entrain d'imaginer, que rien n'était vrai. Pourquoi serait il venu me voir, alors que sa réponse sur le bateau m'avait semblé très claire. Je prenais une profonde respiration. Je me pinçais même pour m'assurer de bien l'avoir en face de moi. J'étais tellement hideuse, avec les traces de mascara, le teint pâle, morose. Je n'étais vraiment pas regardable. Puis je l'avais toujours trouvé inaccessible, trop parfait pour moi. J'essayais de lui faire face, afin d'écouter ce qu'il avait à me dire, après tout je nous deviens bien cela. J'espérais seulement qu'il n'enfoncerait pas les propos tenus sur le bateau , sinon c'est sur que mon cœur cesserait de battre d'un coup. Je voulais tant le revoir, est ce que ce moment serait un au revoir ou un adieu ? Je m'attendais à tout, mon cœur se soulevait, je ne savais pas si je resterais intacte après cette conversation. J'appréhendais. Je sentais mon cœur faire un sursaut. Il se pinçait, il se serré, se recroquevillait sur lui même. Je me sentais terriblement gênée, c'est moi qui avait cherché à aller plus loin, et ce froid entre nous, je me sentais responsable. Je me dégoûtée, et d'un autre côté je lui en voulais. Je le regardais tristement, et avec tendresse en même temps, je ne pouvais pas le regarder autrement, j'avais de la peine, mais en même temps, il me captivait toujours autant. Et j'étais loin du compte car quand il prit la parole, je sentais que j'allais lui retomber dans les bras. Il me tendit des fleurs, et je savais que ce geste me plaisait, et que je ne devais pas le faire paraître si je voulais que la discussion continue sur le même ton, je voulais pas que l'un de nous deux veux fuir, il était peut être temps d'affronter ce que l'on pensait. Sans non plus tout dire, mais juste ce qu'il fallait. Il me demandait de lui pardonner, Je savais pas si j'étais capable, en faite j'arrivais pas à réfléchir, je m'attendais pas à le voir, je m'étais décidée, et je remettais maintenant tout en question sur mon départ. En faite il me tenait. Sa main se posant sur ma joue, ne m'aidait pas à garder les idées plus nettes. Au contraire ça compliquait encore plus les choses. Car ce geste m'attendrissait, me donnait envie de me coller contre lui. D'être tout contre son corps. Je posais mon front contre le sien , sans réfléchir, c'était naturel, je luttais pas.  J'étais contre lui et je lui expliquais que dans un souffle je le détestais. En réalité, ce que je détestais c'était de l'aimer, de l'aimer autant, et de pas pouvoir me défaire de son emprise, ne pas réussir à passer outre. Et également le fait de ne pas pouvoir lui résister ou de lui en vouloir longtemps. Je lui mentionnais tout de même qu'il me manquait, c'était le cas, je le voulais près de moi, tout de lui me manquait, loin de lui tout perdait leur saveur. Rien n'avait la même magie, que la vision que j'avais , lui à mes côtés. Cependant je pouvais pas faire marche arrière pas maintenant sauf si quelque chose me retenait ici. Il me serrait contre lui et retirait ma valise pour la poser plus loin. Je sentais son odeur envahir mon être. Je passais donc mes bras autour de son cou, afin de pouvoir profiter de notre étreinte comme il se doit. Il me serrait contre lui, et je sentais mon corps être entière dédié à lui. Je sentais son emprise sur moi physiquement. Nos corps l'un contre l'autre, je repensais à des choses que je ne devrais pas, et je sentais que la température était montée d'un cran. Je me reculais alors, essuyant d'un revers mes larmes, afin de les ravaler, je pouvais pas me montrer si impuissante devant lui. Je lui exprimais ce que je ressentais à l'instant présent. C'est à dire perdue, complètement à l'ouest, je savais plus où donner de la tête. J'avais besoin de lui à mes côtés. Je lui mentionnais. Il prit mes mains et je sentais qu'elles tremblaient malgré le fait qu'il  les tenait fermement. Je me serrais contre lui à nouveau , mon front contre le sien, je le regardais troublée plus que jamais. Je baissais la tête, je sentais cette alchimie entre nous deux, et il me possédait de nouveau. J'en ai pas envie, j'en ai pas la moindre envie, c'est toi que je désire. Lui soufflais le , la respiration rapide, d'une manière saccadée. J'écoutais la suite, et mon cœur faisait qu'un tour, en moi c'était un cocktail d'émotions, de réjouissantes, de bien être et aussi de peur, de frustration... un mélange explosif. Difficile de contrôler..

Je n'ai pas eu de modèle non plus, je suis juste ce que mon cœur me dicte,  il me dit que c'est toi qu'il veut, que je t'appartiens, que d'une certaine manière je suis liée à toi, et j'ai beau tout faire pour m'éloigner, je reviendrais toujours vers toi, car c'est toi qui me contrôle, je suis sous ton emprise Enaël , tu comprends ce que cela veut dire ?! Lui répliquais je plongeant mon regard dans le sien, m'enivrant de son odeur, me perdant dans le fil de mes idées, car ses yeux, ce regard avait raison de moi, de mes pulsions. Je posais ma main sur sa hanche, voulant le garder pour moi. Je regardais ses yeux remplis d'une lueur à la fois éclatante, et à la fois triste. Oui, enfin parfois je me dis que pour toi, je n'ai pas besoin de vêtements. Lui clamais je d'un air malicieux et d'un ton coquin. Puis nous redevenions sérieux et je l'écoutais attentivement. Laissons nous nous guider par l'autre et nous porter par l'autre. Lui proposais je sur un ton doux et apaisé. Tu es sur que ce n'est pas trop tôt pour toi petit ange? Lui demandais je inquiète, je voulais pas que ce qui s'était produit ce matin, recommence encore une fois, la je serais anéantie sinon. Je passais ma langue sur mes lèvres. J'avais envie de retrouver la sensation délicate de ses lèvres. Je le faisais reculer le faisant se bloquer sur le capot de sa voiture, et je portais mes lèvres sur les siennes afin de les sceller ensemble. Je me passais ma main dans son cou et le caressais délicatement , je descendais ensuite dans cou, sensuellement, je voulais qu'il comprenne que je voulais être sienne et qu'il soit mien, que je reculerais pas, mais qu'on irait doucement. Je descendis légèrement sur le haut de son torse. Le contact de mes lèvres et de son corps avait le don de me rendre folle... Je sais que je peux pas... cependant je suis folle de toi... Lui avouais je d'un ton suave, retrouvant ses lèvres, passant ma langue sur ses lèvres afin de me frayer un chemin pour sa bouche, et caressa sa langue, la mélangeant avec la sienne, tournoyant, je l'embrassais langoureusement, reflétant l'envie qui  se faisait ardente à l'intérieur de moi.  Je quittais ses lèvres difficilement. Puis je reculais d'un pas, je levais son haut. Je pouvais apercevoir ce qui me mettait dans un état second. Je soulevais mon haut et colla juste mon torse au sien. Je voulais juste sentir sa peau.. m'imprégnais de son être. Je n'allais pas aller plus loin, j'en avais envie ,j'avais besoin de ce contact.. qui m'électrisait, envoyant des signaux au reste de mon corps, le transportant dans une extase. Je partirais jamais tant que tu seras là pour me retenir.Finis je par prononcer mon cœur tambourinant dans ma poitrine, mes lèvres près des siennes, et le contact de nos corps me consumant intérieurement...
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Sam 8 Aoû - 1:53

   
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In silent screams, in wildest dreams, I never dreamed of this. This love is good, this love is bad. This love is alive back from the dead these hands had to let it go free & this love came back to me. ⊹ Je la retrouvais, elle était face à moi. Je ne savais pas quoi dire d'abord, puis je décidais de me laisser aller. Je décidais de faire fin à son visage triste, de rallumer la flamme qui l'habite d'habitude et que j'aime tant. J'essaie de lui dire tout ce que je peux pour qu'elle me pardonne, pour qu'elle fasse un pas vers moi. Je refuse qu'elle parte, je l'en empêcherais quoiqu'il arrive. J'avais besoin d'elle, et égoïstement il était hors de question qu'elle soit loin de moi. Je le décidais là maintenant et je me le jurais. Je n'avais jamais passé de journée aussi longue, tiraillé entre le fait de faire son bonheur ou le mien. Finalement, peut-être qu'il existait un juste milieu. Peut-être que j'étais capable d'aimer, et d'être aimé en retour. Evidemment, cela ne se faisait pas en une minute, il me faudrait du temps pour l'accepter, et pour agir en tant que tel. Je n'y arriverais pas comme ça mais, je savais que j'aurais besoin de son aide, de son soutien. Je savais qu'elle saurait attendre, qu'elle serait patiente si je lui promettait. Ce que je faisais, d'ailleurs. Je lui promettais d'essayer, si elle ne partait pas loin de moi. Peut-être que c'étaient de grands mots pour l'instant, mais je savais qu'avec des efforts, j'y arriverais. Surtout qu'elle m'aidait en retour à devenir l'homme meilleur que je peux être. Elle me faisait évoluer, elle me changeait en bien. Je pouvais donc lui faire confiance les yeux fermés, même si cela prendrait encore une fois, du temps.

J'arrivais avec des fleurs que je lui offrais, je reculais sa valise. Je portais ma main à sa joue, elle entoura mon cou de ses bras. Elle colla son front au mien, je restais ainsi, profitant de sa présence qui m'avait en peu de temps tant manqué. Puis elle se reculait pour qu'on discute. Il était temps, nous y étions. Nous parlions de nous, de ce que nous voulions dire. Je lui avouais que je n'avais jamais eu de modèle d'amour, et que du coup j'étais perdu, je ne savais pas comment agir. Elle me retourna la chose, en me promettant que l'un avec l'autre, on arriverait à avancer. Je déglutissais, me serrant les lèvres, ne sachant pas si j'y arriverais personnellement. Elle plaisanta un moment comme moi, je souris, alors qu'elle m'attrapait par la hanche. Je la regardais attentivement. « Peut-être.. mais si je ne me lance pas un jour, je ne me lancerais jamais. Je veux essayer pour toi. » lui avouais-je en la regardant intensivement dans les yeux. Je perdais un peu ma tristesse, mon manque. Elle était là, je la voyais sourire, tout allait mieux.

Elle m'embrassa, je répondais à son baiser. Elle les descendit dans mon cou, près de mon torse. J'avais envie d'elle, cela depuis le matin même. J'avais tout de même peur qu'elle soit encore bloquée, qu'elle ne veuille pas alors, je ne précipitais rien. Je la laissais faire, elle susurra qu'elle en avait envie, je souriais. Elle reprit mes lèvres, je répondais et elle monta mon tee shirt, son tee shirt. Le contact de nos peaux m'électrisait. Je pris son visage entre mes mains, intensifiant notre baiser langoureux. Notre contact de peaux me rendait fou. On arrêtait, on se regardait dans les yeux. « Alors prenons ta valise et allons y. » dis-je d'un air malicieux. Je l'embrassais encore et j'allais chercher sa valise, que je mettais dans le coffre. Puis je lui ouvrit la portière pour qu'on y aille. Je l'emmenais à l'appart.

Là-bas, je déposais sa valise dans l'entrée puis sans attendre, je la pris par les hanches et la claquais contre la porte, fermée maintenant derrière nous. Je liais nos doigts, levant son bras contre la porte. Je l'embrassais avec rage, avec force, avec envie. Je l'aimais, et j'avais passé une journée horrible loin d'elle. C'était la rage de l'aimer et de ne pas pouvoir le contrôler, la rage qu'elle me fasse cet effet. « Tu es tellement belle.. » soufflais-je contre ses lèvres avant de la ré-embrasser, de la faire bouger jusque dans la cuisine, de l'y asseoir et de caresser ses jambes autour de mes hanches. « Je perds le contrôle quand tu es là, tu comprends? Tu me rends fou. » dis-je avant de l'embrasser dans le cou, attrapant ses cheveux dans ma main d'une manière sauvage. Je retirais son débardeur, mon tee shirt. Nos peaux se touchaient, c'était bon. Le contact m'électrisait encore de toute part. Puis je me reculais, je la regardais, j'avais le regard fou, perdu devant tant de beauté. Je regardais la valise et je la regardais. « Dis-moi que tu as cette robe dans tes affaires.. » lui dis-je à bout de souffle. Je l'imaginais dedans, belle comme elle était. « C'est avec cette robe que.. j'ai commencé à.. craquer pour toi. » soufflais-je, avouant alors le moment fatidique où. L'imaginant dedans, je me ré-avançais à elle, attrapant d'une main son cou de l'autre ses cheveux je l'embrassais comme un dingue. Je rattrapais toute les fois où j'avais voulu et où je ne l'avais pas fais. Puis je me reculais encore. « On fait ce chemin ensemble, d'accord? » Je liais nos mains. « J'ai confiance en nous. » Je ne savais plus vraiment ce que je faisais, où j'étais. Je me perdais dans mes pulsions pour elle.



   
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Sam 8 Aoû - 20:58
Je n'en croyais pas mes yeux. Il était là, il se tenait devant moi. Je ne savais pas quoi lui dire, surtout vu la manière dont on s'était quittés ce matin. Je le laissais alors prendre les reines, pour qu'on puisse enfin laisser parler nos cœurs. On avait refoulé tant de choses, on s'était mis tellement de barrières, que je me demandais si on arrivait à faire tomber le masque, et s'ouvrir à l'autre, je sentais qu'on pouvait faire des prouesses, cependant on était si maladroit que j'avais peur, qu'on se méprend, et que l'un de nous comprenne de travers. Tout ce que je souhaitais c'est que cette fois ci il ne fasse pas marche arrière. Que cette fois ci nous serions pas dans l'introspection. Je voulais qu'il m'ouvre son cœur, totalement, sans retenu, parce que sinon je ne sais pas où tout cela nous mènerait, Je voulais lui dire la raison de mon départ, cela pouvait attendre, il avait quelque chose à me dire. Je restais les pieds plantés dans le sol, stoïque, j'ouvrais grand les oreilles, je me concentrais sur ses paroles, sans pour autant regarder ses lèvres, sinon je me perdrais et je n'écouterais pas, elles avaient un don hypnotique. Je sentais son odeur imprégnait mon corps, je sentais que mon cœur l'appelait afin qu'il me retienne, chaque partielle de mon corps se trouvaient en alerte, attention un geste, un signe de sa part, qui me montrait que je pouvais y croire, et que je devais rester, je voulais juste une raison, pour donner un sens à mon existence, dans cette vie à ses côtés. Je ne sais pas pourquoi mais je n'arrivais plus à bouger, ma tête me demandait de foncer, sinon j'en aurais plus le courage et de l'autre les sentiments que j'éprouvais pour lui, cette folle envie d'être auprès de lui en permanence me retenait à ses côtés. Il me confiait qu'il voulait essayer, un mon cœur dérapait, pourtant il en avait saisis le sens, cependant après ce matin il avait juste cesser d'y croire. Et l'espoir revenait, je le trouvais si beau, si mignon, quand il bredouillait comme cela, qu'il cherchait ses mots pour dire son ressenti, je trouvais cela si sexy. Je penchais la tête sur le côté, le regard luisant , attendrie parce qu'il venait de me confier. Je le voulais, je le voulais si fort, je voulais qu'il soit mien, je voulais pouvoir l'embrasser ou être dans ses bras dès que je le désire, il venait de me donner le passeport pour effectuer et céder mes envies à son égard. Mon cœur s'apaisait, à présent il sera ma force, la force de me battre, d'avancer, il ne serait pas une faiblesse, il serait mon tout, mon complément, sans qui je ne suis plus rien. Je pouvais plus me passer de lui, et devoir être loin de lui , je n'aurais pas su, je pouvais pas faire comme si rien ne s'était passé car on avait passé le cap de la frontière interdite. Alors maintenant si je devais rester, c'est si on allait plus loin que cette amitié qui me torture, je pouvais plus cacher mes sentiments après tout j'étais humaine. Je ne partirais plus , si c'était vraiment ce qu'il voulait et qu'il ne revenait pas sur sa décision.

Je prenais les fleurs celles qui avaient le symbole d'un pardon, d'un renouveau, d'une nouvelle page à écrire ensemble, où tout serait possible. Je souriais timidement car je ne savais pas encore à quoi m'attendre, je préférais être certaine que son discours ne varierait pas, qu'il serait constant, qu'il y croyait, qu'il le souhaitait, que c'était cela pour lui et que ça ne pouvait pas être autrement. Il mettait ma valise hors d'atteinte surement pour capter mon entière attention et être sur que sur un coup de tête, un quiproquo ou sur un simple phrase que je n'aurais pas entendu, je me serais envolée loin de lui, loin de tout, pleurant notre romance qui n'était que naissance, et qui avait une fin amère que je n'aurais souhaité pour rien au monde. Il ne pouvait pas avoir cette fin, ça devait être gaie, bien finir, ne dit on pas que l'amour triomphe toujours? Qu'il traverse tout? Qu'il endure tout ? Pour le peu que les deux êtres touchaient ne cesse jamais de s'aimer. Je sentais sa main se déposait sur ma joue, et cela aurait surement des conséquences, pour altérer mon jugement. D'ailleurs à ce contact, je cherchais la proximité, collant mon front contre le sien, pour respirer contre son visage. Je restais là un instant pour m'imprégner de lui, puis je reculais pour avoir une conversation sérieuse avec l'être de mon cœur. Je le laissais alors commencer puisque c'était lui qui était venu me chercher, donc je pense qu'il voulait m'expliquer son choix de ce matin. Je comprenais à présent, les peurs que l'on avait été finalement communes, je ne savais pas non plus ce que c'était mais avec lui chaque jour je continuais à en apprendre sur ce qu'est le verbe aimer, avec passion, avec tendresse, avec rage, fougue parfois également. Je tentais de le rassurer en lui expliquant qu'à deux on pouvait tout combattre, tout affronter. Il jouait ensuite sur le ton de l'humour, et je trouvais que c'était plutôt une bonne solution pour faire passer des messages discrètement en se faisant comprendre, tout en détournant la chose afin de ne pas être gêné de nos propos. Je posais ma main sur ses hanches, et il le regardait envoûtée. Je fronçais légèrement les sourcils en désapprouvant une part de sa réponse. Tu ne dois pas le faire pour moi, mais surtout pour toi, ou même pour nous. Lui confiais je le regardant troublée. Je me disais qu'il l'avait juste dis maladroitement, mais je précisais tout de même, je voulais qu'il suive son cœur, c'est ainsi que je serais heureuse pour lui et pour moi. Je l'embrassais , ce contant m'avait manqué, et j'avais souffert de me dire que je ne pourrais plus un seul instant le faire au préalable. Je voulais guérir ces cicatrices, ce vide, il fallait qu'il le remplisse à nouveau, seul lui était la solution à ce mal être. Suivant mon envie, je descendais les baisers dans con cou, sensuellement, je lui montrais que je le voulais. Puis je glissais un peu plus sur son torse...c'était osé certes, le contact de sa peau à ce niveau m'électrisa. Je contrôlais mon envie, si je m'écoutais j'aurais pu être plus entreprenante, tant j'avais envie de le retrouver, d'une manière dont on ne l'avait encore jamais faite. Je lui faisais part de ce que j'éprouvais de ce désir, de continuer à laisser faire mon envie. Après cela je capturais de nouveau ses lèvres avec passion. Je montais son tee shirt, ainsi que le mien, de façon à sentir sa peau nue contre la mienne, ce contact me faisait frémir de tous mes membres. J'avais aucun homme ne m'avait produit cet effet là... Prenant mon visage entre ses mains, il enroulait sa langue avec la mienne , d'une manière suave, jouant à toutes deux à un jeu sensuel. Je m'arrêtais avant qu'il soit trop tard, avant que je n'ai plus la force de résister. Oui, je suis prête. Approuvais je, tentant de récupérer ma respiration, remettant une mèche de cheveux qui venait de devant en arrière. Je le laissais alors s'occuper de mes affaires, car c'était tout de même lourd, et comme un brave homme, il me secourait forcement. Je pris donc place à coté de lui, direction son appartement, ou plutôt devrais je dire notre appartement.

A destination, je le laissais ouvrir la porte, et poser ma valise qu'il avait porté afin de me soulager. Je me disais qu'il voudrait me laisser m'installer, laissant la chambre où j'ai dormi comme chambre, comme ça les draps où j'avais dormi seraient les miens. A ma grande surprise, il me prit par les hanches, en me plaquant contre la porte. Je trouvais cela si sexy, que je sentais que des idées coquines me montaient à l'esprit. J'aimais cela, ça me rendait folle, de sentir cette force qu'il avait, et cette envie qui le poussait à devenir entreprenant et fougueux , voire violent. Il venait de m'exciter , de réveiller en moi les pulsions sexuelles que j'avais eu tant de mal à retenir la dernière fois en une fraction de seconde. Il entremêlait nos doigt, une touche romantique , pour laquelle je n'étais pas contre, ça reflétait nos deux âmes qui se liaient à nouveau, je trouvais cela symbolique. Je prolongeais ce baiser avec hargne ,envie, passion. Je lui mordillais la lèvre à la fin de ce baiser envieux. Surement pour te plaire... Lui répondis je soufflant contre ses lèvres, le regard perdu dans le sien, jusqu'à ce que je retrouve ses lèvres, somptueuses, désirables, goûteuses. Il me conduisait jusqu'à la cuisine, sans que je m'ôte de ses lèvres, de sentir leur goût contre les miennes, le mémorisant, ne voulant plus l'oublier. Sa main parcourrait mes jambes, le contact avec l'intérieur de mes cuisses, me donnait un sursaut de plaisir, et attiser mon envie de lui, je sentais mon intimité le désirait également à présent, et très vite cette envie se dissimulait dans tout le reste de mon corps. Je l'attrapais par les cheveux, pour l'embrasser langoureusement et plaquer mes lèvres violemment contre les siennes. Je passais mes mains dans son dos le tenant fermement. Et toi dont, si tu savais l'effet que tu me fais. Lui soufflais je la respiration haletante, il m'embrassa dans le cou, attrapant mes cheveux à l'aide d'une de ses mains, je sentais l'envie se décupler, se multiplier, je poussais un murmure de plaisir, mon cou étant un de mes points sensibles. Il nous débarrassait de nos hauts ,découvrant une partie de son corps, l'effet qu'il me faisait, s'intensifiait, à en plus finir. Je sentais que j'allais devenir entreprenante à mon tour, il me rendait complètement folle. Le contact de nos corps torse nu, ralentissait ma respiration et ne faisait que me troublée d'autant plus, je devais dingue, c'est ça, je perdais le contrôle de mon corps, ne voulait répondre plus qu'aux propositions émises par le sien. Il me regardait puis la valise, je me demandais ce qu'il pourrait me demander, surtout que j'étais dans un désir puissant, brûlant, consumant mon être. Je tentais de faire baisser la température de l'atmosphère et de mon corps. Je le regardais , haussant les sourcils, au début je ne savais pas vraiment où il voulait en venir, et surtout je ne récupérais pas de l'envie qu'il avait fait naitre en moi. Je pouvais basculer à tout moment dans la tentation. Oui.. elle est emballée mais dedans ,, pourquoi ? et y'a également la collection dont tu m'as inspiré car je ne pensais sans cesse à toi , tu me hantais... Lui demandais curieusement, s'il me demandait quelque chose d'aussi particulier, c'est surement que cela avait une signification ,un sens, une direction. Alors je dois remercier ma créativité surement, grâce à elle tu m'as enfin regarder... Lui répondis je avec un sourire tendre. Moi, c'est depuis que tu m'as pris dans tes bras , et ce qui m'a totalement conquise, c'est la nuit à la crique qui a tout changé dans ma vie . Lui confiais je à mon tour, afin qu'il comprenne que ce n'était pas une lubie, mais bien un coup de cœur, qui a grandit au fur et à mesure, pour devenir un amour fleurissant. Le baiser qui suivait était encore plus intense que les premiers surement du à nos confessions. Il me faisait vibrer littéralement. Je sentais mon cœur battre au diapason du sien. On peut y arriver... j'ai besoin de toi... je suis entichée de toi. Lui avouais je le regard luisants plongé dans le sien tandis qu'au même moment il liait nos mains. Je veux croire en nous. C'est toi que mon cœur a choisis. Poursuivis je maladroitement, ne pouvant pas encore lui dire que je l'aimais , c'était trop tôt et je n'étais pas douée pour le dire, c'était la première fois que je tombais amoureuse, et je ne le faisais pas à moitié, j'étais éprise de lui, éperdument amoureuse de lui. Je me relevais, je posais mes mains sur ton torse, j'avais tant rêvé de le toucher qu'il était tant que je mette ce souhait à exécution. Je dessinais ses abdominaux, chaque trait, je fermais les yeux , les mains qui tremblaient. Je les rouvrais ensuite, délicatement. Je faisais face à lui. Je posais mes lèvre sur son torse, et je m'abaissais tout en parsemant son torse de baiser suaves, sensuels, reflétant l'envie qui m'animait intérieurement. Je remontais ensuite jusque ses lèvres que j'embrassais langoureusement, le tenant par la nuque pour intensifier et me tenir , sentant mes jambes qui devenaient fébriles, sur l'envie que je ne contrôlais plus. Je le tenais après cela de nouveau son regard. Laisses moi te prouver à quel point tu m'es essentiel, à quel point je te désire, que je te veux à mes côtés. Lui susurrais je suavement au creux de son oreille. Je veux que tu me découvres, que je te découvre, que chacun on découvre chaque partielle du corps de l'autre, qu'on en ressente chacune des courbes, que cette fois ci tu sentes le désir s'emparait de ton corps , comme il a pris possession du mien actuellement et sur le bateau. Je veux voir ton corps tremblés d'envie, tellement tu me tu me désires à en mourir. Je veux te faire autant d'effet que tu m'en feras, je veux m'envoler de plaisir, par ce que tu me procureras. Je ne veux qu'on fasse plus qu'un, pour la première fois, que tu me consumes de l'intérieur, Je veux pouvoir te faire frémir rien qu'à ce que tu ressente ta peau contre la mienne . Je veux que tu sentes cette alchimie, cette tension, cette attraction, entre nous et que tu me dises que tu ne pourras pas en désirer une autre comme tu me veux à cet instant précis . Je veux conquérir ton cœur, qu'il s'affole, s'enflamme pour moi. Je veux que tu me désires, que tu t'embrases à en avoir le souffle coupait. Je veux ne faire qu'un avec toi, et découvrir des sensations nouvelles. Je veux tu me fasses l'amour Enaêl comme tu ne le feras jamais à quelqu'un d'autre, Je veux être tienne juste l'espace d'un instant. Abandonnons nous au plaisir, au pêché juste pour cette nuit. Faisons comme si rien ne pouvait nous atteindre, assumons être attiser l'un par l'autre. Et ne regrettons rien. Lui susurrais je suavement , mon souffle contre ses lèvres, le regardant avec amour et désir, je l'avais jamais encore regarder de cette façon, mais il venait de me faire craquer, je ne pouvais plus repousser, retenir cette envie, fallait que je passe à l'acte, je voulais le faire avec lui, là de suite, et je l'assumais totalement. Mon cœur battait des records de vitesse dans ma poitrine... Je le voulais, je voulais être sienne et qu'il soit mien juste pour cette nuit, pas le temps de penser aux conséquences, comme bien souvent avec lui, je n'arrivais plus à réfléchir, c'était la passion pour notre romance qui parlait. Elle avait tout les droits, elle dirigeait chaque fait et geste de ma personne.
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Sam 8 Aoû - 23:06

   
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In silent screams, in wildest dreams, I never dreamed of this. This love is good, this love is bad. This love is alive back from the dead these hands had to let it go free & this love came back to me. ⊹ Nous arrivions à l'appartement, enfin. J'avais réussi à ce qu'elle me suive, à ce qu'elle commence à me pardonner. Moi-même, je ne pouvais pas me pardonner ce que j'avais fais. Je ne pouvais pas pardonner le fait que je me sois éloigné d'elle volontairement, que je lui aie dis que c'était mieux qu'on soit l'un loin de l'autre. C'était absurde, d'autant que j'avais passé, par ma propre faute, une journée des plus désagréables. J'avais souffert de son absence, souffert de notre séparation. Elle m'avait manqué comme jamais, et je m'étais rendu compte pour la première fois combien j'avais besoin d'elle, combien je m'étais attaché, combien son beau visage me manquait. Tous nos souvenirs m'avaient hantés sans cesse, toutes les images d'elle, les plus belles qui pouvaient être dans ma mémoire s'étaient mises à dérouler toute l'après-midi, alors que je souffrais de son absence. Mon corps lui-même s'était rebellé contre moi, contre mes idées stupides, contre ma peur.

Du coup, après cette affreuse après-midi, je n'attendais plus. Je me laissais aller, je répondais à mes pulsions. A peine la porte fermée, je la claquais contre le mur et l'embrassais comme un fou. Je la prenais par les hanches, levait un de ses bras en liant nos doigts. J'étais violent mais romantique. Je cherchais toujours à ce qu'elle ressente la passion que j'avais pour elle, et en même temps cette rage qui me hantait. Elle répondait d'ailleurs au baiser de la même manière que moi, chose qui allumait de plus en plus de passion en moi. J'avais envie d'elle, et elle faisait tout ce qu'il fallait pour que j'ai envie d'elle. D'ailleurs, sa phrase me fit sourire. Je n'avais plus envie de parler à cet instant, je voulais juste l'embrasser, l'embrasser comme un fou. J'avais eu cette envie chaque minutes depuis ces longs jours, et je me rattrapais. Je la portais jusqu'à la cuisine, la claquant contre le bar, j'entourais ses jambes autour de moi, je les caressais, ces jambes que j'aimais tant. Toutes les parcelles de son corps m'appelaient, elles m'étaient irrésistibles. Elle m'attrapait par les cheveux, j'aimais ça. Elle s'agrippa à mon dos, je la serrais contre moi. Je l'embrassais dans le cou, j'attrapais ses cheveux à mon tour. Je n'en pouvais plus, tout ce qui me traversait à l'instant, c'était plus fort que tout. Je la défaisais de son haut et moi du mien, parce que je voulais sentir nos peaux l'une contre l'autre comme plus tôt. Ce contact me manquait, m'était essentiel à présent.

Je pensais à cette robe, je la revoyais dedans, je la priais de me dire qu'elle l'avait avec elle, dans cette valise. Je voulais la revoir dedans, parce qu'elle était une déesse là dedans. Elle me donnerait envie comme ça, avec une de ses propres créations, avec son esprit, son talent. Rien que de la voir dedans était comme... lui faire l'amour par le regard. C'est comme ça que j'avais craqué pour elle. En la voyant la porter. Je souriais en sachant qu'elle l'avait apporté. « Tant mieux. Je vais embrasser ton talent, enfin. » lui avouais-je. Oui c'était une des choses dont j'avais envie, terriblement envie. Elle m'avoua qu'elle, c'était lors de notre première étreinte. Je m'en souvenais parfaitement, je souriais en m'en rappelant. Puis la nuit sur la plage, bien évidemment que je m'en souvenais. « J'ai besoin de toi aussi... » lui répondis-je, en la regardant profondément. J'avais envie de ne plus la lâcher des yeux, repensant à la douleur que c'était de l'avoir loin de moi. Nos mains étaient liées, nous nous regardions. « Et dire que j'enviais l'homme qui aurait ton coeur... » soufflais-je. Je ne savais pas d'où je sortais cette phrase, cette idée. Elle était sortie naturellement, comme une évidence. Je déglutissais, étonné de moi-même. Elle commença à passer son doigts le long de mes abdominaux, le long de mon torse. J'aimais son contact, ses yeux étaient fermés. Je la laissais faire, comme si tout cela était à elle. Elle l'embrassa alors. J'aimais chacun de ses contacts de sa bouche sur ma peau, ça m'électrisait, ça me donnait de plus en plus envie. Elle revint sur mes lèvres et nous échangions un énième baiser fougueux, avant qu'elle ne soutienne mon regard pour me faire un long monologue, toutefois magnifique. Elle me soufflait tout cela au creu de mon oreille, je recevais chaque mots comme un fouet sur ma poitrine. Mon coeur battait de plus en plus fort. Elle me donnait de magnifiques mots, pleins de sens. Elle me demandait de lui faire l'amour, moi qui n'avait jamais fais cela. Le sexe, je connaissais, mais éprouver du désir pour quelqu'un comme j'en éprouvais comme elle, c'était totalement différent. Je le savais maintenant. Il y avait des centaines de sensations en plus qui me hantait, qui me prenait de toute part. Parce que je l'aimais, parce que j'étais attaché à elle, parce que je voulais lui montrer tout cela, être tendre, sincère, amoureux et fougueux. Je suis violent, et j'allais lui montrer avec cet acte évidemment, mais mêlé de tout ce que j'ai dis avant cela. Elle me soutenait ensuite mon regard en continuant. Je ne pouvais pas lâcher ses yeux. Tout ce qu'elle disait était magnifique et m'excitait de plus en plus. Je la désirais de plus en plus. Je n'avais plus de souffle à la fin de son récit, plus une pensée autre que pour elle. Tout était vide, à part ma passion pour elle. Cela montait, montait et atteignait l'apothéose, je ne pouvais plus tenir. Après des paroles pareilles, comment tenir plus longtemps? Je reprenais ses lèvres, sans répondre parce qu'il ne fallait plus perdre une seconde avec des paroles inutiles. J'avais juste envie d'elle, rien d'autre. Je voulais faire tout ce qu'elle m'avait demandé de faire.

En l'embrassant comme un fou, je retirais ses chaussures sur le passage, et son short je le faisais glisser le long de ses jambes, alors que je la faisais reculer vers ma chambre. Je la rattrapais autour de mes hanches, caressant sa cuisse, la tenant fermement. Je la re-claquais sur la porte de ma chambre, je descendais mes baisers dans son cou, son épaule, son torse, et près de son sein toujours couvert de sa lingerie. Je reprenais ses lèvres, l'attrapant par les fesses. Je découvrais chacune de ses formes que je commençais à aimer, à désirer de plus en plus. Une main contre sa fesse et l'autre sur sa hanche, je la faisais tomber sur le lit afin d'enlever mon propre pantalon. Puis je retrouvais ses lèvres, collant nos deux corps l'un à l'autre. Puis, je déposais des baisers sur son nez, son menton, son cou, son épaule, son torse, le haut de son sein, son ventre. Je revenais pour la soulever, assise, je lui retirais son soutien gorge en rattrapant ses lèvres dont je ne pouvais pas me passer. Je la tenais contre moi dans cette position, tenant sa poitrine contre mon torse, contact qui fit exploser les électrochocs. J'avais une main dans son dos, l'autre dans ses cheveux. Au bout d'un moment comme cela, je la laissais s'allonger à nouveau pour pouvoir aller explorer ses seins, ces magnifiques seins qui accompagnait la femme dont je tombais pour la première fois amoureux. Je les couvrais de baisers, et même de caresses, sans savoir dans quoi je m’engouffrais. Je ne l'avais jamais fais, c'était une première, et il ne fallait pas que je réfléchisse. Je voulais lui faire plaisir, être tendre et dur. Il ne fallait pas que je pense au fait que jamais je n'avais ressenti l'envie d'être ainsi avec une femme, de faire attention à ses courbes, à sa beauté, à son plaisir. Là, je le faisais, j'explorais son corps en l'apprenant par coeur, je tombais amoureux de chacune des parcelles de son corps, j'observais ses réactions, j'étais attentif à elle en apprenant à l'aimer physiquement. Je descendais encore, le long de son magnifique ventre. Puis je reculais, je la relevais au bout du lit. Je voulais mieux la voir, mieux l'admirer. Une fois que j'avais jeté mon dévolu sur ses seins, je laissais son bas glisser le long de ses longues et belles jambes dorées par le soleil. Je caressais son dos, ma main descendait jusqu'à sa fesse, que je caressais aussi avant de la prendre fermement dans ma main puis de reprendre ses jambes autour de mes hanches, de la remettre dans le lit où je reprenais mes baisers de haut en bas, allait caresser son intimité et l'embrasser aussi, d'abord tendrement, laissant le suspens et la frustration venir à son comble avant d'utiliser ma langue et de lui faire ce plaisir intense féminin.. Je voulais lui faire plaisir, plaisir comme personne ne lui avais jamais fait plaisir, utiliser cette violence qu'elle semblait aimer, cette spontanéité mais aussi la tendresse qu'elle m'inspire et crée en moi.




   
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Dim 9 Aoû - 2:25
Je venais de poser bagage chez Enaël. Du moindre, maintenant je devais plutôt dire notre chez nous, je trouvais que cela sonnait bien, finalement. Et puis, au moins je pourrais être près de lui, certes on aurait nos loisirs et nos métiers, mais entre temps on pourrait se câliner. Je voyais la pièce différent de la première fois étant donné que maintenant je me disais vivre ici, je n'avais pas le temps de vraiment réaliser qu'Enaël s'approcha de moi et me porte afin de me plaquer violemment contre la porte de l'appartement, ce qui m'avait plus énormément, et attiser l'envie qui me tiraillait depuis le bateau. Je me rendais compte que malgré la fougue de ses baisers, le contact physique avec lui m'avait manqué, l'attraction de nos deux corps également, sans oublier son sourire, sa fraîcheur, son élégance, son doux visage, son regard de braise. Je pouvais retrouver son odeur, la chaleur de nos étreintes. Je me sentais revivre. Je le laissais me prendre par les hanches, et montrer qu'il souhaite que je lui appartienne. Cela me plaisait cette passion fleurissante entre nos deux êtres. Je voulais qu'il attise ma flamme intérieure pour l'embrasser, qu'il fasse battre mon cœur à la chamade, et que j'explose tel un volcan en éruption débordant d'amour pour cet homme à qui je dédiais une passion dévorante. Nos doigts se scellèrent à l'image de nos lèvres. Je ne l'avais pas encore vu dans cet état, et le fait que son comportement représente l'effet que je lui provoque, me plaisait, et m'excitait également sexuellement parlant. Je sentais toute la force de cette envie, de se retrouver et de se découvrir davantage, de se perdre, de se mélanger. Je sentais cette attirance basculait vers quelque chose de bien plus fort, et je ne ferais rien pour arrêter cela au contraire je ne ferais qu'accentuer ce changement de statut qu'on induisait par nos actes assumés. J'intensifiais ce baiser, comme si ma vie en dépendant, comme si l'avenir que l'on pourrait avoir ensemble en dépendait, comme si l'embrasement de nos deux êtres dépendaient de ce moment charnel pour devenir plus magiques, plus enivrants, plus luisants dans l'avenir. Je voulais le rendre fou , lui faire perdre la tête, et je l'assumais je lui disais d'ailleurs mais en prenant les formes, avec de la retenue utilisant des propos moins forts en connotation. Si je pouvais je resterais dans ses bras , à embrasser ses lèvres, et c'est ce que l'on faisait à cet instant précis, on s'embrassait à en perdre la notion du temps, à s'aimer, à apprendre à s'aimer par cœur, dans les moindres détails.

Il me portait ensuite sensuellement jusque la cuisine me tenant par les fesses, et mes jambes enroulaient autour de sa taille, comme pour le garder tout contre moi et sentir son corps tout entier, chaque partielle de son corps pouvait ainsi entrer en contact avec les miennes, et c'était plaisant, c'était l'extase. Je sentais ses mains se baladaient sur mes cuisses, et plus il se rapprochait de mon intimité , plus j'avais envie d'aller encore plus loin, et de lui donner envie, envie de moi, de mon corps, de me toucher, de me caresser, de m'embrasser, sur chaque partielle de ma peau nue. Je le tenais ensuite fermement par les cheveux, ne contrôlant que très mal , ce désir inouïe en moi. J'étais dans un état second, absorbée par l'envie qui me démangeait intérieurement. Je passais mes mains dans son dos m'agrippant presque à celui ci , sentant mon corps brûler intérieurement. Ses lèvres vinrent trouver refuge dans mon cou, et là j'étais en extase, je lâchais un souffle de plaisir, tant j'aimais qu'il me titille ainsi. Il savait qu'ainsi il me tenait. Mon corps ne réagissant dorénavant qu'au sien. Il me défit mon haut puis le sien, je sentais mes sens se mettre en éveil. J'allais pouvoir sentir sa peau dénudée contre la mienne. J'implosais. Il me demande si j'avais pris la robe, et j'avais du mal à me concentrer sur ses paroles, j'avais juste envie de ne faire qu'un avec lui tellement ses baisers me rendait vulnérable, et qu'il pourra faire ce qu'il voulait de moi. Je lui répondais quand même, malgré le fait que je reste évasive, cependant la chaleur en moi avait le dessus sur le reste. Je voulais à mon tour lui faire comprendre que mon attirance et le sentiments que j'avais eu envers lui n'était pas naissant, même si récent, et je lui expliquais quand j'avais eu le déclic pour lui, quand j'avais succombé à son charme fou. Pas encore assez à mon goût. Lui rétorquais je avec le regard malicieux et le ton coquin au fait qu'il avait besoin de moi, je voulais le charmer, je flirtais ouvertement avec lui, avec un brin de malice, et cela me plaisait d'attiser la flamme en lui. Je me laissais porter par son regard, pour plonger dans le sien. Je profitais de cet instant tendre, pour échanger des regards enflammés, et doux à la fois, éclatant , ébahis par la beauté de l'autre. A ses dernières paroles, je sentais mon coeur s'emballait et chavirer. Je le regardais amoureusement, je n'aurais pas pu lui porter plus d'amour qu'à cet instant présent. Je ne sais pas cette phrase resterait gravée en moi, tant l'intention était la bonne, je la trouvais parfaite, au bon moment , il avait su toucher mon cœur une nouvelle fois, comme si il venait de me conquérir à nouveau, mon cœur était à lui, j'étais à lui, et il en serait toujours ainsi probablement Comment aurait il pu en être autrement?!!.. Lui soufflais je tendrement, pour moi c'était une évidence de tomber amoureuse, d'un homme qui représentait mon idéel, l'homme de mes rêves. Il ne le savait pas , cependant ils lui étaient tous dédié, jamais il ne sortait de mon esprit, jamais un seul répit pour l'amour. . Je devenais entreprenante à mon tour, je ne pouvais rester sur ma fin. Il m'attirait comme un aimant, son corps m'appelait, comme s'il était connecté au mien. Je glissais mes doigts le long de ses courbes abdominales. Pour en savourer plus l'essence, je fermais les yeux gravant cette image dans mon esprit pour ne jamais l'oublier. Je sentais tout de même mes mouvements hésitants, mes doigts tremblants tant je le respectais, tant pour moi il était l'homme parfait. Après mes mains, j'y posais mes lèvres voulant le sentir d'une autre manière afin de sentir les sensations que son corps pourraient me faire ressentir. Je voulais le découvrir de toutes les façons possibles et imaginables. J'avais suffisamment attendu, tant, que je sentais que je guidais plus rien, j'étais l'esclave de mon propre corps. Je remontais jusque ses lèvres.
Je l'embrassais laissant apparaitre ce que je ressentais pour lui, quelque chose de d'intense, de passionner, d'apaisant, de paradisiaque. Puis je l'embrassais plus onctueusement. Laissant nos lèvres se caressaient l'une l'autre, suavement. Ensuite je reprenais ma respiration, le regardant, admirant les traits de son visage. C'était le plus beau. C'était devenu mon homme. Je me lançais alors dans un discours enflammé, endiablé, afin de lui transmettre le message puissant de mon corps qui vénérait le sien, et le désirait ardemment. Mon cœur étaient partis pour milles pirouettes, les émotions se bousculaient , m'enchantaient. J'étais envahis par une sensation de bien être, des particules de bonheur traversaient mon corps. Il vint plaquer ses lèvres contre les miennes, réagissant vivement à mon monologue. Je voulais l'embrasser à en avoir la respiration saccadée, je voulais ne plus quitter ses lèvres d'un rouge attrayant, envoûtant, au goût sucré. La chaleur devenait irrespirable, elle devenait intenable. Je mourrais d'envie de lui. Mon corps était chaud comme de la braise. Je le regardais avec envie, désir. Il nous soulagea de cette chaleur en nous retirant une couche de nos vêtements qu'il retirait d'une manière sexy, délectable. Il nous dirigeait vers sa chambre. Il me reprenait pas les hanches caressant ma cuisse, je me mordillais la lèvre inférieure, tant l'envie était palpable. Je posais mes mains sur son corps afin de les faire se balader sur celui ci., lui pinçant les fesses au passage. Il me plaquait à nouveau sur une porte, cette fois ci il s'agissait de celle de sa chambre. Il me rendait folle. Tu me rends complètement dingue Enaël. Lui prononçais je difficilement entre deux baisers envieux. Il reprit possession de mon coups , Il m'avait à l'amande. D'ailleurs j'entrais légèrement mes ongles dans la peau de son dos, sous l'effet irrésistible de ses baisers sur mon cou, qui me faisait perdre l'esprit. Il m'allongeait sur lui afin de pouvoir se débarrasser de ses vêtements qui devenaient superflus, et surtout qui m'empêchaient d'entrer directement en contact avec sa peau douce et soyeuse. Nos corps entraient en osmose, se retrouvant l'un contre l'eau, c'était comme la rencontre du chaud avec le froid, comme une réaction thermique. Comme un feu d'artifice qui prenait tout mon corps en entier. Je plaçais mes mains de plus en plus bas, afin de n'oublier aucun endroit de son corps, pour qu'il n'est plus aucun mystère pour moi. Il me mit en position assise, afin d'admirer les courbes de mon corps, et j'en profitais pour lui caresser la joue affectueusement, afin d'apporter une touche de tendresse; à ce moment intime que nous partagions. J'attrapais sa langue et je la suçais avec envie, je la léchais, la faisais danser sensuellement à l'aide de la mienne. Je frottais ainsi ma poitrine contre son torse, après que nos corps s'étaient frôlés. Je frémissais instantanément à ce frottement. C'était bonifiant.

Il me fit m'allonger de nouveau sur lui , et je me laissais faire, le laissant mener dans un premier temps pour ensuite mieux prendre l'avantage. Ses baisers ; ses caresses me faisaient fondre de plaisir, je lâchais plusieurs soupire de bien être, de plaisir. J'en profitais pour caresser son dos, avec vigueur, jusque dans le bas de son dos . Tout était nouveau d'habitude ce n'était que sexuel, et cette fois ci s'était avec amour. Je respectais son corps, je respectais sa personne. On se découvrait à notre rythme, profitant de cet instant magique lui aussi. Je frissonnais au moment où il s'attaquait à mon ventre. Je sentais mon dos se soulevait face à ses baisers . Il me reculait pour me tenir au bord du lit. Me libérant de mon bas qui glissait sensuellement sur mes jambes que j'agitais légèrement pour qu'il tombe de lui même. J'en profitais pour lui ôter le dernier vêtement qu'il portait afin de pouvoir avoir accès à toute partie de son corps de dieux grec. Je vins l'aider en enroulant mes jambes autour de ses hanches. Il appuyait sur mes fesses, les tenant fermement. Il parsemait mon corps de baisers plus sensuels et intenses les uns que les autres, ma tête se penchait en arrière, signe du plaisir que je prenais, quand il s'immisça en dessous de la ceinture, au niveau de l'entrejambe. Je poussais un léger soupir de plaisir, puis de plus en plus rapprocher. Je fermais les yeux, me mordant la lèvre inférieure fermement, pour retenir le plaisir que cela me procurait. Han.. Enaël.. Prononçais je dans un soupir de plaisir. Je sentais mon intimité s'humidifier, au fur et à mesure de bien être qu'il m'apportait. Je laissais ensuite revenir mon visage près du mien. Je lui souriais d'une manière enjôleuse. Je pris l'une de mes jambes, et je la mettais au niveau de sa hanche puis je la laissais glisser le long de sa jambes pour remonter et ainsi de suite sensuellement, passant ma langue sur mes lèvres, le regardant envieusement. Je passais ensuite une main sur son intimité, que je caressais timidement au départ, puis je me laissais aller à faire léger mouvements de bas et viens, pour le mettre en condition. Puis j'intensifiais mes mouvements, les faisant plus intenses et plus rapprochaient. Je tenais ces mouvements durant un certain lapse de temps, puis je nous tournais me retrouvant à califourchon sur lui , je m'allongeais , puis je frottais mon corps contre le sien, accentuant au niveau des parties intimes. Je capturais ses lèvres qui me manquaient déjà l 'embrassant avec force, et retenue à la fois, comme pour montrer la passion qui vibrait à l'intérieur de moi même, se ressentant dans chaque partielle de mon corps. Je me redressais m'appuyant avec ses mains sur son torse, et renforcer les frottement de nos deux parties intimes l'une contre l'autre, me mordillant à nouveau la lèvre inférieure... Je sentais son membre se durcisse contre mon intimité. Humm Enaël , je t'en supplies, fais moi l'amour... Lui supplier je en gémissement légèrement du au frottement intimes.. Je pouvais plus tenir, on avait tant attendu, depuis ce matin ,je ne voulais que cela, j'avais besoin de le sentir en moi , maintenant, que nos corps fusionnent et ne fassent plus qu'un...

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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Dim 9 Aoû - 14:06

   
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In silent screams, in wildest dreams, I never dreamed of this. This love is good, this love is bad. This love is alive back from the dead these hands had to let it go free & this love came back to me. ⊹ Je ne pouvais pas croire ce que j'étais en train de vivre. Depuis que j'étais arrivé à Miami, tout avait changé. Je cherchais à devenir un homme meilleur, tout cela pour ma famille, pour les récupérer, pour devenir un homme digne de ce nom, un homme responsable et digne de confiance. En développant cet homme là, j'avais développé bien plus qui restait encore un terrain vierge à explorer. Je m'ouvrais aux autres, aux sentiments. Enfin, je restais quand même quelqu'un de réservé, de mystérieux, parce qu'on ne peut pas tout changer. Néanmoins, j'ouvrais les champs du possible, je découvrais ce que je m'empêchais de comprendre depuis toutes ces années, les sentiments. Je les aie refoulé jusque maintenant, maintenant où ils explosent et implosent. Je sens des milliers, milliards de choses me prendre la gorge, le ventre, les tripes. Tout cela en montrant tout ce que je peux ressentir à Alayna, physiquement, là, dans mon appartement ce soir. Il avait fallu des tas de choses qui ont pu faire mal, qui ont pu faire peur, pour en arriver là où j'en suis. Pourtant, je savais qu'il restait énormément de chemin pour arriver à l'idéal. Pour que je comprenne réellement ce qu'il se passait, pour que je puisse contrôler tout ce qui s'éveillait en moi.

En attendant d'y arriver, je découvrais, j'apprenais. A peine rentré à l'appartement, je l'avais claquée contre la porte d'entrée, et je l'avais embrassé comme jamais. J'avais envie d'elle, j'avais besoin d'elle. J'explorais la peau que je regardais de loin depuis que je l'enviais. Je la touchais, je l'apprenais par coeur, je l'aimais. J'y déposais mes lèvres, mes doigts, je ne pouvais plus m'arrêter maintenant que j'avais commencé. Je voulais tout voir d'elle. Je voulais l'admirer, je voulais lui montrer par mes gestes comment je pouvais la voir. Je ne comprenais pas toutes ces envies mais je les suivais, oubliant mes peurs les plus secrètes. Je la plaquais ensuite contre le bar de la cuisine, où je lui dis les derniers mots qui me passaient par l'esprit. Je voulais la revoir dans cette magnifique robe, je voulais lui dire comment je l'avais trouvé là dedans, et que c'était à ce moment là que tout avait basculé. Mais les mots n'étaient pas assez forts à ma bouche. Elle par contre, réussit à les trouver pour me demander de chavirer, de dépasser les limites, de lui faire.. l'amour. Chose encore une fois que je n'avais jamais faite. Pour elle, pour elle j'apprendrais. Pour elle je me laisserais dépassé par ce que ma poitrine me dit de faire, par ce que son corps m'inspire. Je ne pouvais plus faire face. Je la regardais dans les yeux, ses mots me rendaient plus fous les uns que les autres, je ne pouvais pas refuser.

A peine avait-elle finit de parler que je l'embrassais à nouveau comme un dingue, retirant nos deux hauts. Je voulais sentir sa peau contre la mienne, je voulais sentir les électrochocs de nos deux peaux l'une contre l'autre, qui s'attiraient, s'enviaient. Je l'amenais jusque dans ma chambre où je la plaquais contre cette porte-ci. Je caressais ses jambes par lesquelles je la tenais, je tenais fermement ses cheveux, je la portais par les fesses que j'aimais déjà. C'est de son short dont je me débarrassais ensuite. Tout ce qui était sur sa peau me dérangeait, comme si c'était une barrière pour lui faire plaisir, pour apprendre à l'aimer. Je l'allongeais sur le lit alors et lui retirais son soutien gorge, explorant cette nouvelle peau nue. Jusqu'alors je ne connaissais que son visage et le peu de peau nue que l'on peut apercevoir, dorénavant je voyais plus, et je constatais qu'elle était vraiment parfaite de toute part. Elle me rendait dingue. Le relevant au bout du lit, je lui retirais son bas qui glissait le long de ses jambes. Je la remettais sur le lit et j'allais explorer cette dernière partie de son corps, qui lui fit du bien, qui la fit gémir. J'aimais l'entendre gémir. J'aimais ce son, qui attisait mon propre membre sexuel. Elle se mit alors à poser la main dessus, retirant ce qu'il me restait aussi. Elle entreprit des gestes de haut en bas, avec sa main douce qui me fit l'effet d'une bombe. Elle vint sur moi, retrouvant mes lèvres. Je l'embrassais aussi comme un fou, posant mes mains sur ses hanches alors qu'elle se frottait contre mon sexe. Tous les deux devenaient fous, nous n'en pouvions plus, l'envie était trop grande, la tentation trop énorme. Elle me pria de lui faire l'amour, avec une vois gémissante qui n'avait pas besoin de se répéter. Je reprenais le dessus, la faisant tourner dans le lit. J'allais me munir d'un préservatif que j'enfilais aussi vite qu'on recharge un fusil. Je reprenais ses lèvres et je la prenais, un premier coup doucement pour ne pas lui faire mal puis, je laissais faire tout ce que je ressentais pour elle. Tous les souvenirs d'elle m'ayant donné envie d'elle, me montrant une femme belle, intelligente, talentueuse, souriante, tout cela revenait dans mon esprit alors que j'entamais les va et vient, tantôt violents tantôt tendre, parce que c'est ce qu'elle m'inspirait. Je la regardais gémir, même jouir et c'est ce que je voulais. C'était un nouveau souvenir que je voyais là et j'aimais incroyablement cela. Je ne pourrais jamais m'en passer, jamais me passer du bien que cela faisait de lui faire ainsi l'amour, aussi différent soit-ce que d'abuser du sexe avec une femme quelconque. Là il s'agissait d'Alayna, d'une femme dont je tombais amoureux, d'une femme qui me rendait dingue, d'une femme qui hantait mon esprit. Chaque va et vient était une preuve d'amour, d'affection que je lui portais. Le taux de violence, de vitesse à laquelle j'allais étaient les mots qui ne peuvent pas le dire, ses hanches dansant avec les miennes, c'était l'harmonie de nos deux corps, le plaisir consumé, le bonheur qui débute.

Après cet acte fou et inédit pour moi, je ne pouvais plus me passer de sa peau et je reprenais ses lèvres, quittant son corps de mon sexe et jetant la contraception tout en l'embrassant. J'avais tellement aimé ce moment, tellement apprécié de lui faire plaisir. Puis, je la prenais dans mes bras, la sueur de nos corps étaient au rendez-vous mais peu importe, car c'était la sueur de notre acte. Je la serrais contre moi, nez dans ses cheveux, je déposais juste le drap sur nous car le choc thermique finirait par arriver. Nos deux souffles étaient saccadés, encore fous des longues minutes qui venaient de s'écouler. Je ne pouvais plus rien dire, j'avais le souffle coupé, il fallait que je le reprenne. Je réussi à dire un mot après bien dix quinze minutes de silence, ou enfin de souffle fort. « Je vais peut-être te laisser t'installer maintenant.. » soufflais-je une fois que j'avais enfin retrouver le souffle, en riant quelque peu. C'était amusant en effet, que je ne lui aie pas laissé le temps de respirer une seconde dans ce qui était maintenant chez elle. « Tu as faim? J'ai presque rien avalé avec notre histoire, je vais nous faire un truc pendant que tu t'appropries les lieux.. » Je l'embrassais sur le front et je me levais, reprenant mon boxer pour aller dans la cuisine regarder ce que je pouvais bien lui faire. Je la regardais, ne sachant plus me concentrer une seconde, sortir de la chambre et prendre ses affaires. Je ne pourrais plus la lâcher des yeux. Je souriais. « J'arrive vraiment pas à croire ce que je vis.. » lui avouais-je. C'était vrai.




   
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Lun 10 Aoû - 1:33
Cette journée avait été mouvementée, et m'avait retournée de toute part. Je n'osais plus me propulser dans le temps, je restais immobile dans le présent , presque comme si avant qu'il ne me retrouve j'étais paralysée, bloquée. Sans lui , je ne voyais plus avancer. il était mon essentiel, mon souffle de vie. Il venait de me délivrer, en me retenant. Il venait de me soulager de cette peine qui me rongeait intérieurement. Au début j'avais pensé à un mirage, parce que je sentais qu'il était peut être pas prêt , et moi je l'étais finalement je l'avais compris, et plutôt que de me morfondre, enfouis sous mes larmes, je voulais trouver une alternative, qui pourrait être bénéfique pour tout les deux, je n'en trouvais pas . Alors je partais je prenais la fuite , enfin ce fut d'un temps, car très vite je retombais dans ses bras, il savait trouver comment m'apaiser par un simple touché tactile, nous n'étions peut être surement pas doués pour les mots au commencement, cependant je trouvais que nos litotes étaient belles, et pleins de romance, si on y prenait le temps de les coder, alors ce que nous vivions était intense et passionné. On pouvait passer rapidement à des extrêmes surtout car on refoulait nos envies les plus profondes. De retour , chez lui, on voulait s'abandonner tout deux, à des contrées encore inexploitées, ou voulait se dévoiler corps et âme. Ce n'était plus le moment de se cacher derrière des pulsions, notre envie, notre attirance, nos sentiment étaient à exprimer. Je sentais sa hargne , sa ferveur, quand il me plaqua contre la porte de notre chez nous, je sentais que l'attraction de nos corps avait belle et bien pris le dessus, et je me languissais de découvrir chaque pulsion, chaque frémissement, chaque ressenti qu'il pouvait me soumettre. Je ne voulais plus que cette connexion qui nous retient l'un à l'autre se défasse. Elle nous tenait, elle nous inspirait, elle nous amourachait, elle nous consumait. Elle le rendait désirable à chaque instant, un peu plus à chaque minute qui passait, se déroulait sous mes yeux. Les éruptions d'amour, rendaient nos baisers plus sauvages, plus enivrants, presque bestial je pourrais dire. Il m'enflammait, j'étais une allumette qui se consumait, qu'on aurait allumer, comme une bougie d'anniversaire sur laquelle on pouvait souffler en permanence mais qui ne s'éteint jamais, j'étais embrasé de toute part, ne répondant plus qu'à la tentation à laquelle je voulais céder. Ses mains qui me parcouraient, ses doigts qui glissaient suavement sur mon corps me faisait perdre l'esprit. Je devenais à présent instable, possédait par le désir qui m'animait. J'essayais de décrire ce qu'il me provoquait, les mots me manquait, c'était si ardent que ça en devenait l'extase. Mon corps lui répondait lui en demandant toujours plus. Il était désireux et attendait qu'une chose, qu'il lui appartienne. On passait à présent dans la cuisine, et l'atmosphère se réchauffait, ses doigts me procurant du plaisir au niveau de l'intérieur de mes cuisses, c'était mon deuxième point sensible après le cou, j'avais l'impression que mon corps s'était lié contre moi afin qu'il comprenne chaque secret de mon corps, les endroits qui me faisait le plus d'effet, afin que lui seul sache que me mettre dans un état second, de folie , d'abandon. Je lui confirmais que j'avais amené ma robe, à vrai dire je le gardais pour un grand évènement, je ne sais pas encore quand, mais un jour je la porterais le jour où je me sentirais digne, car il me le fera comprendre et qu'il me le montrera. Mes lèvres se mirent à lui susurrer les mots qu'il fallait pour attiser son envie, pour lui transmettre la mienne, pour lui faire comprendre comment mon corps le ressentait en lui, combien je voulais m'en imprégner, et combien je voulais graver chaque partielle de sa peau contre mon corps, qu'ils se lient également , qu'ils ne fassent un afin de se connaitre par cœur. Je m'étais ouverte à lui, je lui avouais les envies les plus intimes que je désirais partager seulement avec lui. Il portait ses lèvres aux miennes, le baiser devenait plus envieux, plus intense, plus profond. Il fit en sorte que nos peaux se connaissent, c'était le dernier pas à franchir pour s'abandonner dans les bras de l'autre, et laisser notre alchimie faire le reste. Ne pouvant plus retenir , contenir, ce qui nous pousser l'un contre l'autre, on se retrouvait à l'étage, dans sa chambre , je trouvais que ce lieu était le plus approprié pour se laisser aller à un ébat, surtout parce que pour moi entre lui et moi c'était sérieux, ce n'était pas comme avec les autres hommes avec j'ai eu un acte sexuel. Lui je le voulais parce que j'en étais tomber amoureuse, car pour moi cela représentait un acte d'amour, et je voulais que chaque partie de mon corps aime le sien, aime ce qu'elle touche , recouvre, caresse, embrasse. Il faisait glisser ses doigts à nouveau sur mes jambes, ce contact me foudroyait intérieurement. Je sentais que je bouillais de l'intérieur, la chaleur retenait mon souffle. Je laissais mon short s'ôtait par la sensualité de son geste. On changeait de position , nous retrouvant sur le lit, après avoir profiter visuellement du corps de l'autre, comme si on l'avait touché par le regard avant de le sentir par le touché. Je ne voulais plus que nos vêtements empêchent notre coalition. Et apparemment il devait en être de même pour lui, puisqu'il retirait mon haut de sous vêtement. D'un côté sauter une étape pouvait me faire peur, car je pouvais avoir peur, que ce qu'il voit ne lui plaise finalement pas tant que cela. J'étais ivre, ivre d'amour, de dépendance à son corps, ivre de passion, d'envie. Il me rebascula sur le lit, et je sentais que l'atmosphère allait devenir torride. J'observais d'un regard félin reflétant l'envie qui s'échappait de mon corps. On se débarrassait de nos derniers vêtements les seuls qui pouvaient encore contenir cette flamme ardente en nous, avant que l'on entame les délices de l'amour. Je sentis les frissons dans mon corps suivre la piste de ses baisers qui descendaient tout le long, jusqu'à mon intimité , pour les renforcer. Ils les accentuais , et je sentais ma tête allait en arrière s'abandonnait au plaisir qu'il me procurait, les souffles de plaisir, devenaient des gémissements sous l'effet de sa langue sur mon sexe.

L'envie était à son paroxysme. Je le désirais comme je n'avais jamais désirer un homme auparavant. Je devais entreprenante. Je posais ma main sur son membre inférieure, et je le caressais , laissant mes doigts de fées faire le reste, je le caressais de plus en plus intensément , faisant des vas et viens de plus en plus rattrapés, augmentant le rythme pour lui donner plus de plaisir. Je me mise à califourchon ensuite voulant passer aux choses sérieuses. Je voulais lui faire ressentir l'envie folle qui me prenait , qu'il s'extase devant moi, brûlant de désir pour mon corps. Je retrouvais ses lèvres délicates et somptueuses, il embrassait divinement que je ne pouvais plus m'en passer, j'en ressentais le besoin intensément à chaque instant. J'allongeais ensuite mon corps contre le sien, laissant l'envie me portait, me frottant contre lui , sensuellement, collant fortement mon corps contre le sien pour apprécier plus la saveur de sa peau, qu'elle pénètre la mienne pour en être envahis par son odeur. Il posait ses mains sur mes hanches afin d'intensifier les caresses que se procuraient nos corps mutuellement. Je sentais que ma respiration devait intense du à l'excitation qui en avait pris le pouvoir, je lui suppliais de me faire l'amour, d'entrer en moi, de le sentir au plus profond de moi même. Je laissais changer de position afin qu'il reprenne les rennes. Mon corps se cambrait tandis qu'il s'immisçait à l'intérieur de moi, je sentais que mon désir allait être assouvis, que je prendrais du plaisir comme jamais. Je me sentais sienne, je le sentais mien, j'étais ailleurs, au septième ciel. Il me faisait grimper littéralement au rideau. Je poussais des gémissements, qui devenaient plus haut dans les aigues, et aussi plus rapprochés. Je le sentais impliquer dans ces gestes, il y mettait son âme, son ressenti, sa vision de notre relation. J'avais les yeux qui étincelaient, puis qui se révulsaient sous le bien être qu'il m'offrait. Tout en jouissant à présent je le tenais par les hanches faisant rouler mon bassin à son rythme. Puis je devais plus féline, plus abrupte, en faisant des coups de reins l'accompagnant, sentir mon corps devenir humide, par la température élevait de notre rapport. Cette danse sensuelle de nos deux corps, me comblait, comblé de bonheur et de plaisir. Je sentais que j'atteignais le nirvana. Je me séparais tout de même pas de ses lèvres , malgré que j'étais presque à bout de souffle, après cet ébat tumultueux. Je le regardais admirative tandis qu'il me glissait dans ses bras. Je laissais mon corps se détendre et se remettre de toutes ses émotions aussi fantastiques qu'elles avaient pu être. On se regardait sans rien dire, pas besoin de moi pour faire comprendre que ce moment avait été éprouvant , une merveille pour nous deux à vivre. Les yeux parlaient d'eux même. Contemplant la valeur inestimable de l'autre, qui nous est cher. Il était à présent comme la prunelle de mes yeux.

Je pense que je vais d'abord, attendre que je n'ai pu la tête qui tourne, et ensuite j'irais dans ma chambre, pour ne plus emblaver la tienne. Lui répondis je avec un sourire radieux au coin des lèvres, ayant encore du mal à réaliser que ce moment magique s'était bien produit. Je crois que j'ai préféré le baptême de notre appartement, que le baptême de plongée, j'espère que tu ne m'en veux pas trop et que tu me pardonneras. Lui confiais je dans un souffle , tendrement, le regardant avec les yeux éclatants , brillants d'amour pour lui. Il me proposait après le temps de m'installer convenablement, de me préparer quelque chose à manger, afin que je n'ai rien d'autres à penser, que commencer à emménager et me faire à mon nouveau chez moi. Oui je veux bien, le sport ça creuse. Lui répondis je en riant légèrement. Je laissais me déposer un baiser sur le front et je souris à cette attention délicate de sa part. Je le laissais également se lever et se couvrir pour aller préparer quelque chose. Je me redressais me couvrir également afin de chercher mes affaires au rez de chaussé. Je sentais son regard posait sur moi et je lui adressais des sourires malicieux, je ne sais pas je me sentais bien en sa présence, malgré que je trouvais cela tellement merveilleux, et presque irréel. Et apparemment lui aussi avait l'impression d'être en plein rêve. J'ai l'impression de rêver... Lui glissais je dans une voix douce et délicat, le cœur haletant. Faudrait que tu me pinces pour que je réalise mon ange. Poursuis je me pinçant la lèvre inférieure, le regardait avec passion. C'était la première fois que je l'appelais ainsi , et non pas ' petit ange". Je voulais qu'il comprenne que j'étais sur que c'était lui que je voulais, pas un homme. Tu peux m'aider pour la valise par contre, parce que dans les escaliers , je ne peux pas la faire rouler, et encore ce n'est que un quart de ce que j'ai tu sais. Lui répliquais en émettant un rire, amusée par la situation, décidemment, j'avais des muscles en béton! Il m'aidait donc , ce super héros qui était le mien Je le suivais en prenant ma vanity. Oui y'a aussi les petits trucs de beauté. Je le remerciais à l'étage en l'embrassant furtivement sur les lèvres, pour lui volet un baiser rapidement, pour le laisser aller à ses préoccupations, tandis que je m'apprêtais à déballer ma valise. Il redescendait donc. Et j'ouvrais ma valise, je fis pendre les robes sur les cintres , et le reste de mes affaries dans l'armoire, les chaussures de toutes sortes, étaient alignés au bas de l'armoire, façon je n'avais pas pris énorme à la base, je devais partir m'oxygénais l'esprit et revenir pour voir si je quittais cette ville pour toujours ou non. Je mis la lingerie dans les tiroirs. Et une fois fini, je m'assis sur le lit. Je réfléchissais une part de moi était toujours chez ma frangine, et je ne savais pas si j'emmenais le reste de mes affaires, je ne savais pas si cela allait fonctionner avec Enaël, alors je ne voulais pas aller trop vite. Je me disais que j'avais toujours un pas chez elle, pour me retourner. Je descendis de l'étage, afin de le rejoindre. Eh bien tu n'as pas chômer, finalement tu as fais quoi de bon pour exciter mes papilles ? Lui demandais lui adressant un large sourire. Je me souvenais où se trouvait les assiettes ainsi que les couverts, alors j'allais préparer tout cela. Je jetais un œil par la fenêtre et le soleil avait disparu, il commençait à faire bien gris et je craignais l'orage pour cette nuit. Ta princesse, est officiellement installée. Lui lançais je pour penser à autre chose que ce temps orageux, et morose.
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