Quelques semaines après mon arrivée à Miami, j’avais fait la connaissance d’une certaine Reyna Gonzales. Nous étions en soirée, et disons que j’avais probablement surestimé la compagnie que j’avais eue ce jour-là. L’ambiance n’était pas à son top-niveau, et j’avais commencé à m’ennuyer. Puis j’avais croisé cette belle blonde, et ma soirée avait pris un tout autre tournant. Cette dernière c’était considérablement amélioré en sa compagnie. Il faut dire que cette jeune femme savait faire la fête. Elle ne se prenait pas la tête et c’est ce que je recherchais justement. Des personnes avec la même façon de penser que ma personne. Avec la demoiselle je n’avais pas été déçu. Voilà pourquoi j’avais même décidé de garder contact avec celle-ci. Elle venait d’emménager en ville, et elle comme moi avions besoin de sociabiliser. Pourquoi ne pas le faire ensemble ? C’était déjà un bon début.

Je l’avais invité en ce jour, afin de passer la soirée chez moi. Ma villa était beaucoup trop grande pour une seule personne et ce soir en particulier, j’avais ressenti le besoin de l’animer quelque peu. Tout était beaucoup trop calme, sans vie. Le contraire de la femme que j’étais. Mais d’abord, je comptais bien partager un repas avec la blonde. Je lui avais réservé une petite surprise pour le dessert. Une surprise, qui, j’osais le croire, lui plaira forcément. Reyna était une amie particulière... Disons, avec des avantages. Elle aimait également les filles, ainsi que les hommes, tout comme moi. Elle ne cherchait pas quelque chose de sérieux, ou, en tout cas, elle ne m’avait jamais dit le contraire. Ce qui m’allait parfaitement. J’étais ravi d’avoir fait sa connaissance. D’ailleurs on sonnait à la porte. Elle devait être arrivée. Je m’élançais chaussée d'une paire de talons ouverte, vers la porte d’entrée, vêtue d'une jupe longue, fendue sur le côté gauche, laissant apparaître ma jambe à la vue de tous. Pour ce qui était du haut, il laissait facilement apercevoir le bas de mon ventre, y compris mon nombril, l’ensemble de ma tenue était noir. Une couleur sobre et élégante que j’appréciais fortement. J’avais laissé mes cheveux naturellement ondulé, détaché, et les avais placés d’un seul côté de ma tête. J’ouvrais la porte et souriais en découvrant la jeune femme, un bouquet de belles roses rouges en main. Allez savoir comment, elle avait réussi à découvrir qu’elles étaient mes fleurs favorites. J’appréciais l’attention. « Hey ma jolie, entre, je t’en prie. »