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 when we met for the first time (clydannah)

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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Mer 4 Jan - 23:28
when we met for the first time
Clydannah
i love the way you make me feel

Encore une fois, tu t'en voulais. De la façon dont tu agissais avec elle. Putain mais au lieu d'ouvrir ta bouche pour dire de la merde, tu ferais mieux de tourner ta langue sept fois dans ta bouche, comme le dit si bien le dicton. Mais ça malheureusement, tu ne savais pas faire, il t'arrivait parfois d'agir sans vraiment réfléchir, et c'est ce qui t'étais arrivé. Et au moment même où ces mots avaient franchi le pas de tes lèvres, tu t'en étais voulu, parce que tu savais pertinemment que tu n'aurais jamais dû lui dire une telle chose, comment la briser d'avantage, alors qu'elle l'était suffisamment. Tu ne pensais pas avoir déjà suffisamment causer du mal sans en rajouter d'avantage ? Visiblement pas, et c'était désolant. Désolant de te voir agir de la sorte avec la seule personne au monde qui a été prête à tuer pour toi. A croire que tu avais oublié tout ce que Savannah était prête à faire pour toi. Mais malheureusement, tu avais du mal à réaliser tout ça, tu avais du mal, malgré tout, à imaginer qu'une personne puisse t'aimer de la sorte. Tu ne t'aimais pas toi-même, alors tu n'arrivais pas à comprendre que quelqu'un puisse le faire. Et encore moins t'aimer aussi fort que Savannah pouvait t'aimer. Tu avais mis des mois à la repousser, lui expliquant que vous deux ce n'était pas possible, qu'elle méritait mieux que toi, mais malgré tout, elle s'accrochait de toutes ses forces, espérant qu'un jour tu baisses ta garde, chose que tu étais parvenu à faire. Cependant, malgré ça, tu restais sur la défensive, et tu pensais toujours qu'elle ferait mieux de baisser les bras avec toi, que c'était peine perdue, qu'elle s'accrochait pour rien. Puis comment faisait-elle pour s'accrocher à un type comme toi, tu étais tout sauf attirant. T'étais désagréable au possible, complètement renfermé sur toi même, loin d'être la personne la plus expressif qui soit, tu l'étais oui, seulement quand tu étais sur le point de la perdre, quand elle était sur le point de t'échapper, seulement là, tu l'étais. Ou bien quand tu sentais que tu avais été trop loin, et que tu l'avais blessé, alors, seulement là, tu ôtais cette carapace que tu t'étais forgé. Et dans laquelle Savannah avait du mal à y entrer. Tu aurais tellement voulu être exemplaire, la rendre heureuse, la voir sourire, parce que ... Elle était si belle quand elle avait ce sourire radieux perché sur les lèvres, elle était même encore plus belle. Mais toi, tout ce que tu créais en elle, c'était de l'inquiétude, de la tristesse, des larmes à n'en plus finir. Tu l'avais malheureusement vu plus souvent pleurer que rire à tes côtés. Et pourtant, Dieu seul sait combien tu aimais son rire. Son rire qui te faisait te sentir bien, comme si le bonheur était à porter de main, et que tu le détenais. Puis d'un coup, on te ramenait à la réalité, et tout s'effondrait. Comme un château de cartes terrassait par un courant d'air. C'était un peu ça votre relation finalement. Un château de cartes que vous essayiez en vain de construire, mais dès lors où vous arriviez à la fin, aux dernières cartes, il y avait cette brise de vent qui faisait tout chavirer, retournant au point de départ. Tu aurais tellement voulu lui apporter tout ce qu'elle méritait, de l'amour à n'en plus finir, de la joie, du bonheur. Ah l'amour, tu en avais, même si tu ne le montrais pas, et qu'elle devait surement parfois en douter. Tu l'aimais, si fort qu'il t'arrivait d'être effrayé par ce que tu pouvais ressentir pour elle, comme si elle devenait ton monde, et dépendre de quelqu'un, ça te faisais tellement peur, ça te prenais aux tripes, parce que c'était tout ce que tu ne voulais pas. Mais comment ne pas devenir dingue de cette fille qui se trouvait juste devant toi ? D'ailleurs, tu ne pouvais te retenir de prendre son visage entre tes mains pour prendre possession de ses lèvres, parce que, tu en avais tout simplement envie. Parce que tu t'en voulais d'avoir dis des imbécillités, et tu voulais lui faire prendre conscience que tu regrettais tes mots, et que tu étais bien avec elle. Il ne fallait pas qu'elle pense que toutes ces pensées négatives étaient à cause d'elle. Au contraire, tu étais vraiment bien avec elle, c'était toi qui n'étais pas bien dans ta peau. Et tu détestais ressentir ce sentiment qui te rongeais de l'intérieur, te consumant à petit feu. Et le problème, c'est que tu n'arrivais pas à mettre des mots sur ce que tu éprouvais, ce qui te bouffais. Tu aurais aimé, ça aurait sans doute été plus simple. Mais malheureusement, tu n'y parvenais pas.
Savannah décidait toutefois de changer de sujet, sans doute parce qu'elle ne voulait pas remettre sur le tapis les idioties que tu venais de dire. Ce qu'elle t'annonçait pour commencer avait déclenché en toi une boule au creux de l'estomac. Elle semblait si sérieuse. Tu arquais un sourcil interrogateur, l'observant, en quête du moindres indices qui pourraient te donner une piste. Mais clairement, ses expressions ne te parlaient pas, tu n'arrivais pas à lire dans son regard, connaître au moins le sujet qu'elle allait aborder. Comptait-elle t'annoncer quelque chose de grave sur sa santé, ou sur vous deux, ou bien... Non en fait, tu avouais paniquer un peu tant elle était vraiment sérieuse. Et tu l'avais rarement vu comme ça, aussi sérieuse. Finalement, ce qu'elle t'expliquait laissait un soupire de soulagement s'échapper d'entre tes lèvres; Tu t'attendais à quelque chose de beaucoup plus... Tu ne savais même pas, tu ne trouvais même pas les mots. Dirions nous plus important, et beaucoup plus grave que ça. Finalement, face à ce que tu t'attendais ce n'était rien. Bien que cela te demandais de la réflexion. Elle mettait tellement de bonne volonté à essayer de te sortir de tout ce merdier. Tu pouvais voir qu'elle était prête à tout pour toi, elle donnerait tout pour que tu sois heureux, pleinement heureux. Ce qu'elle te proposait si impensable, et tellement irréalisable. A ton sens, tu n'avais pas le profil d'un mannequin. Et encore moins maintenant, et une fois la cicatrisation faite. Tu aurais le corps meurtri de cicatrices, c'était loin d'être attirant et valorisant à ton sens. Surtout certaines cicatrices qui en disaient long sur ton histoire, et sur ta personne, ce que j'entendais par-là, c'était tes cicatrices à l'intérieur de tes avants-bras. On sait tous à quoi elles correspondent. Celles d'une personne rongeait par la douleur, ne trouvant aucun autre échappatoire que se faire du mal à soi-même pour se sentir mieux. Tu t'expliquais d'ailleurs auprès de Savannah, elle devait surement s'attendre à une réaction de ce genre étant donné qu'elle te connaissait sans doute mieux que personne. Tu n'étais pas facile en affaire, et encore moins lorsque cela te concernait. Le tout c'est que... Si toi tu ne croyais pas en toi, alors Savannah y croyait pour deux. Elle contrairement à toi croyait en toi. Elle restait persuadée que ce qu'elle te proposait te correspondait, puis elle ajoutait qu'elle tenait absolument à t'aider, à te sortir de toute cette merde. Elle voulait que tu cesses de dealer, et tu savais combien c'était quelque chose qu'on ne pouvait pas te demander. Tu avais pourtant essayé, mais ce monde là, c'était le tien, c'était sans doute la seule chose que tu savais faire, produire, te procurer et revendre. Mais tu avais déjà mis ta vie en péril à plusieurs reprises, et les cicatrices les plus anciennes venaient d'altercations plus ou moins violentes suite à un mauvais échange. Je n'ai jamais su tenir un quelconque poste Savannah. Mais décevoir quelqu'un que je ne connais pas je m'en contrefiche, en revanche, te décevoir toi, c'est autre chose. Je n'ai pas envie d'accepter, et que tu t'attendes à quelqu'un que je ne serai pas capable d'être. Le mannequin parfait. Comment veux-tu que je puisse jouer les parfaits modèles quand moi-même, je ne m'accepte pas tel que je suis ? C'était malheureux, mais c'était bien vrai. C'était un poste qui demandait beaucoup, et on ne va pas se mentir, les mannequins, ils avaient ça dans la peau, ils avançaient et posaient avec une telle détermination, et que toi tu n'avais pas. Quand on les voyait poser, on avait l'impression qu'ils étaient sûr d'eux, qu'ils avaient confiance en eux, qu'ils s'aimaient suffisamment pour poser et se dévoiler de la sorte, tout ce que toi tu n'étais pas. Et puis, te proposer le poste de vendeur, c'était complètement fou, enfin, elle voulait que son magasin coule... Tu n'étais pas agréable pour un sous, tu n'aimais pas les gens, comment voulait-elle vouloir te mettre derrière une caisse à voir passer des clients toute la journée. C'était impensable pour toi. Je le sais Savannah, mais... Je vais y réfléchir d'accord ? Je te promet d'y réfléchir. Façon, j'aurai largement le temps de réfléchir vu que je suis invalide actuellement, soupirais-tu en posant ton regard sur ta fichue jambe plâtrée, te rappelant que tu étais encore invalide pendant un bon moment, le temps que tout se ressoude à l'intérieur, puis tu aurais ensuite besoin de faire de la kiné pour remuscler tout ça. Tu ne risquais pas t'en sortir de sitôt. La fille qui s'était chargée de ton compte n'y avait pas été de main morte. Elle attrapait cependant ton visage entre ses mains, et tu te pinçais les lèvres face à ce qu'elle te disait. Parce que tu savais qu'elle avait raison. Mais il fallait qu'elle sache quelque chose. Avant ça, elle venait t'embrasser, comme si elle avait senti que tu allais lui faire un avoeux et qu'elle voulait te faire taire. Mais, tu prolongeais son baiser, et comme à chaque fois, tu aurais tout donné pour garder vos lèvres scellées un bon moment, mais voilà qu'elle reprenait la parole, et tu décidais de lui expliquer ce qu'il s'était passé les deux fois où il t'était arrivé tout ça. La première fois. Je me suis pas fais poignarder parce que j'ai été dealé. C'est parce que j'avais revu Siobhän, et qu'elle avait besoin de moi. On a jamais vraiment eu l'occasion d'en parler toi et moi, de revenir sur le sujet, et puis, au début, elle ne voulait même pas que je t'en parle. Ca a été dur de te le cacher, puis façon après il y a eu cet incident dans cet entrepôt. Nerveusement, tu lâchais sa main pour la passer dans tes cheveux, et te frotter le visage. La deuxième fois, on peut dire que c'est à cause de ça. Enfin. Encore une fois, on est jamais vraiment revenu sur le sujet, parce que j'arrive pas à en parler. Que ça me bouffe de l'intérieur. Mais tu as le droit de savoir. Tu sais je sortais plus, puis un client m'a contacté. J'ai craqué, parce que je sais ce que c'est d'être en manque. Et je suis allé le voir, mais j'ai pas eu le temps de faire l'échange, ou... En fait je m'en rappelle plus, ça s'est passé tellement vite, puis cette fille m'a emmené dans son entrepôt. Et elle s'est jurée de me pourrir parce qu'elle était persuadée que j'étais le type qui était à l'origine de l'agression de sa meilleure amie. Et fait, je connais sa meilleure amie, on était pas en très bons termes, et la dernière fois où on s'est croisé ici, notre entrevue ne s'est pas bien passé, et du coup, elle a du penser que j'étais responsable de cette agression. Tu repassais de nouveau ta main sur ton visage, avant de frotter ta barbe de deux, trois jours. Ca te rendais nerveux de parler de tout ça, ça te rappelais bien trop de mauvais souvenirs, des images atroces, des flashbacks horribles. Les nombreux coups qui avaient réduit ta peau à vif, au point d'ouvrir cette dernière laissant échapper ce liquide rouge qui coulait dans tes veines.
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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Mar 10 Jan - 23:24


❝when we met for the first time.❞
Clydannah.
Ça n'a pas toujours été facile avec lui, je n'ai jamais baisser les bras pour autant. Depuis quelque temps je sentais qu'il me filait entre les doigts. Il ne me regard plus comme il le fessait, il m'embrasse brièvement, ne parle plus trop mais la pire des choses qui me manquent atrocement c'est son sourire, je ne le voyait pas tout le temps sourire mais quand il fessait, je me sentais unique. Il a toujours été de nature sombre, d'ailleurs avant même de le connaitre il me plaisait déjà, Siobhän me parlait souvent de son meilleur ami au caractère bien tremper. Je me rappellerais toujours de la première fois que je l'ai vu, Siobhän avait insisté pour que je sorte avec eux au parc. Son regard m'avait tout de suite attiré. Nous nous sommes tout de suite bien entendu, on a finir par se tourner autour, se chercher. Depuis ce jour il n'avait plus que lui qui compter. Il y a des haut et des bas dans notre relation mais je m'accrocherais toujours même si elle n'est pas parfaite.Beaucoup de gens pensent que je perds mon temps à essayais de l'aider et qu'il n'en vaut pas la peine, mais on se bats toujours pour la personne qu'on aime.Malgré tout ce qu'il pourra faire je serais toujours de son coté. Mais de le voir se détruire comme cela, j'en avais mal et je ne pouvais plus le laisser ainsi.Je serais prêtre à tout pour l'aider, pour qu'il s'en sorte même s'il n'en a pas spécialement envie je ne le lâcherais pas. En l'emmenant au parc, je lui déballais tout ce que j'avais sur le cœur, de même pour lui. Notre discussion me manquait même notre dispute me manquait. Après avoir enfin dit tout ce qu'il n'allait pas même si je sais que ça ne changera rien, je l'embrassais passionnément, un baiser qui en disait long sur notre situation actuelle. Mon copain me manque atrocement.
Le soir où je lui ai demandait de vivre avec moi, j'avais aussi quelque chose à lui proposer sauf que je n'ai pas eu le temps mais ce soir j'étais bien décidé à lui en parler. Pour qu'il arrête de se détruire il faut qu'il se débarrasse de ces mauvais démons et j'avais la porte de secoure pour lui. Un poste de travail dans mon futur magasin et un poste de mannequin pour ma nouvelle collection. Je ne m’attendais pas à une réponse toute de suite mais je ne m'attendais pas non plus à ce qu'il refuse ma proposition qui pourrait vraiment l'aider.Voilà où j'en étais, à le supplier d'accepter mon aidée." Je n'ai jamais su tenir un quelconque poste Savannah. Mais décevoir quelqu'un que je ne connais pas je m'en contrefiche, en revanche, te décevoir toi, c'est autre chose. Je n'ai pas envie d'accepter, et que tu t'attendes à quelqu'un que je ne serai pas capable d'être. Le mannequin parfait. Comment veux-tu que je puisse jouer les parfaits modèles quand moi-même, je ne m'accepte pas tel que je suis ? " Je le regardais dans les yeux, ces paroles étaient assez dur à entendre. Je pensais vraiment que pour lui c'était une belle opportunité." Je le sais Savannah, mais... Je vais y réfléchir d'accord . Je te promets d'y réfléchir. Façon, j'aurai largement le temps de réfléchir vu que je suis invalide actuellement, " dit-il. Mais je connaissais déjà la réponse. J'attrapais son visage entre mes mains en rétorquant que je ne voulais pas le perdre à cause tout ça.Je l'embrassais avant même qu'il ouvre la bouche pour répliquait. Il prolongeait mon baiser avant de détacher ses lèvres des miennes." La première fois. Je me suis par fais poignardé parce que j'ai été dealé. C'est parce que j'avais revu Siobhän, et qu'elle avait besoin de moi. On n'a jamais vraiment eu l'occasion d'en parler toi et moi, de revenir sur le sujet, et puis, au début, elle ne voulait même pas que je t'en parle. Ça a été dur de te le cacher, puis façon après il y a eu cet incident dans cet entrepôt." Il lâchait ma main pour ensuite la passer dans ses cheveux, je connaissais Clyde mieux que personne cela voulait dire qu'il est nerveux .. Nous n'avions jamais parlé du fait que l'un comme l'autre nous avions revu notre meilleure amie, je ne voulais plus attendre parler d'elle, Sio nous avions brisé Je n'étais pas totalement prête à en parler." La deuxième fois, on peut dire que c'est à cause de ça. Enfin. Encore une fois, on n'est jamais vraiment revenu sur le sujet, parce que j'arrive pas à en parler. Que ça me bouffe de l'intérieur. Mais tu as le droit de savoir. Tu sais je sortais plus, puis un client m'a contacté. J'ai craqué, parce que je sais ce que c'est d'être en manque. Et je suis allé le voir, mais je n'ai pas eu le temps de faire l'échange, ou... En fait je m'en rappelle plus, ça s'est passé tellement vite, puis cette fille m'a emmené dans son entrepôt. Et elle s'est juré de me pourrir parce qu'elle était persuadée que j'étais le type qui était à l'origine de l'agression de sa meilleure amie. Et fait, je connais sa meilleure amie, on n'était pas en très bons termes, et la dernière fois où on s'est croisé ici, notre entrevue ne s'est pas bien passé, et du coup, elle a dû penser que j'étais responsable de cette agression. " ajoutait-il. Je me plains souvent qu'il ne me parle pas assez mais là j'aurai peu être préféré ne pas savoir tout ceci parce que maintenant je sais que Clyde est bel et bien quelqu'un que je ne pourrais jamais aidée. « Je ... je t'ai toujours dit que je serais toujours là pour toi quoi qu'il arrive et que je serais prête à te pardonner n'importe quoi mais tu m'as carrément menti Clyde. Tu m'as regardé droit dans les yeux en me disant que ce n'étais qu'une simple embrouille pour un sachet de drogue et moi comme une conne je t'ai cru parce que j'ai confiance en toi. dis-je en me levant du banc. Je trouvais ça bizarre que tu te sois fait poignarder pour un simple sachet de drogue mais je voulais pas insister et puis je me suis dit que j'étais encore une fois parano mais non tu m'as bien menti. J'étais déçu alors que je savais pertinemment qu'il me mentait mais ça fait mal de le savoir. J'ai passé toute ma vie à attendre que le bon gars se présente et tout à coup tu es apparu. Tu ressembles en rien à l'homme que j'imaginais, tu es sombre et grincheux et impossible. Mais pour être franche, avoir à t'affronter c'est la meilleure chose qu'il me soit jamais arrivé de ma vie, je crois qu'il y a de très fortes chance que ça ne changera jamais que je sois complètement amoureuse de toi. dis-je les larmes aux yeux. Mais tu as raison, je ne peux pas t'aider ... personne ne le peut. Je ne baisse pas les bras pour nous, j'ai encore assez de force pour tenir mais ... je ne veux plus te voir comme cela, je ne veux plus te voir te détruire. ajoutais-je en détournant le regard du sien.





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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Mer 11 Jan - 21:12
when we met for the first time
Clydannah
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Tu le sais que tu ne voulais pas en arriver là. Tu le savais pertinemment, et pourtant, tu viens de tout lui avouer. Tu t'en veux. Parce qu'encore une fois, tout ce que tu peux lire dans son regard, c'est de la tristesse, et de la déception. Oui, elle est déçue de toi, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. Un abruti, voilà tout ce que tu es, rien de plus, rien de moins qu'un abruti. Tu le sais que tu la rendras jamais heureuse. T'es psychologiquement instable. Comment peut-elle réellement aimer un mec comme toi, alors que toi-même, tu ne t'aimes pas. A tes yeux, tu ne mérites même pas de vivre. Selon toi, tu ferais mieux de crever. T'es la bête noire, tu portes malheur, tout ce que tu touches fini par se briser. Tout ce que tu apportes, c'est de la merde, de la douleur, de la tristesse, des larmes, t'apportes rien de bon. T'es comme les corbeaux, signe de mauvais présages. Tu le sais qu'on devrait pas s'approcher de toi, pourtant tu l'avais prévenu à Savannah. Tu lui avais déjà dis tout ça. Mais elle insistait, pensant faire de toi un homme meilleur. Comment pouvait-elle en venir à penser ça quand toi-même, tu restais persuadé que tu n'y parviendrais jamais. A chaque fois que tu essayais, il y avait toujours quelque chose pour te rappeler que jamais tu ne le deviendrais. Même si c'était douloureux, c'était inévitable, c'était comme ça. T'étais voué à faire du mal à ton entourage. Il fallait qu'elle prenne la fuite, avant qu'il soit trop tard. Avant qu'il lui arrive directement quelque chose, où là, tu t'en voudrais réellement. Parce que là, tu la touches indirectement, par des actes involontaires, mais qui sait, peut-être qu'un jour, ça sera directement. Non pas que toi tu la toucheras, mais peut-être qu'un jour, à cause de toi, il lui arrivera réellement quelque chose. Et là, je n'ose imaginer ce que tu serais capable de faire par tant de culpabilité. Je crois que te connaissant, tu serais capable du pire. Mais ce soir, tu avais besoin qu'elle sache tout ça, même si tu savais pertinemment encore, que cela la blesserait profondément. Tu serrais la mâchoire, face à sa réaction, parce qu'elle avait entièrement raison, et le pire dans tout ça, je crois bien que le pire, c'est que tu avais totalement conscience du mal que tu occasionnais autour de toi, mais malgré tout, tu fonçais tête baissée. Lorsque tout ceci était arrivé, tu avais seulement voulu la protéger. Elle s'était tellement inquiétée pour toi, que tu avais essayé de trouver des échappatoires, sauf que tu sais pertinemment que la vérité finit par éclater tôt ou tard. Et ce soir, tu avais décidé d'être honnête avec elle, bien qu'une énième dispute n'éclate entre vous. Fallait t'y attendre. Et tu t'en voulais d'avantage quand tu réalisais que Savannah t'avais mis sur un pied d'estale. A ses yeux, t'étais la beauté même de l'être humain, à ses yeux, tout semblait si simple, pour elle, tu étais quelqu'un de bien, malgré ton instabilité, et tous tes problèmes. Selon elle, tu étais quelqu'un avec du potentiel, qui méritait de s'en sortir, qui méritait de trouver un travail et d'être comme toute personne normalement constituée. Seulement le problème, c'est que de ton côté, tant que tu n'aurais pas réglé tous tes problèmes, tu ne pourrais pas avancer. Mais tu ne savais pas comment régler tout ça. A ton sens, personne ne pouvait aider un pauvre type comme toi. Ta vie était vouée à l'échec. Et même si Savannah était là, toi aussi de ton côté, tu avais du mal à croire qu'elle puisse t'aider, parce que toi-même, tu n'avais pas confiance en toi, tu ne te supportais pas. Et c'était douloureux de se percevoir comme ça. Mais tu avais beau te regarder dans un miroir, de réfléchir pendant des heures et des heures, tu tournais en rond, et tu en venais à la même conclusion, tu n'étais qu'un bon à rien, qui ne méritait pas d'être heureux. C'est vrai, souviens-toi toutes ces fois où le bonheur était à portée de main et qu'en l'espace d'une seconde, il a disparu, comme par magie. C'était bien une preuve que tu ne méritais pas de l'être. Tu t'étais fais une raison dans le fond. Tu savais que ce genre de choses n'était pas fait pour toi. Tu t'y étais habitué. Et ça te touchais que Savannah essaie tant bien que mal de te sortir de là-dedans. Mais tu en avais marre de lui infliger tout ça, toute ta maladresse, tout ton mal-être, alors que tout ce que tu voulais c'est qu'elle soit heureuse. Malheureusement, tu n'étais définitivement pas capable de lui apporter tout ce dont elle avait besoin. Elle ne méritait pas de subir tes foudres, ta colère, tes maux. Ton regard était posé sur elle, qui s'était levée du banc, sans doute pour s'éloigner de toi, incapable de rester une minute de plus à quelques centimètres de toi. Elle se sentait trahie, et tu pouvais le comprendre. Parfois, tu méritais des claques Van Acker. Parce que le pire dans tout ça, c'est que tu avais conscience de tout ce qu'il était entrain de se passer, comme si inévitablement, tu t'y attendais. J'ai seulement voulu te préserver. Tu t'en faisais déjà tellement pour moi, je ne pouvais pas me permettre de faire de mes problèmes tes problèmes Savannah. Et je comprendrais que tu m'en veuilles. Tes coudes venaient se reposer sur tes genoux, tandis que tu enfouis ton visage entre tes mains, frottant ce dernier. Tu t'en mordais les doigts de lui avoir menti. Mais tu avais préféré être honnête. Parce qu'elle avait besoin de le savoir. Tu lui avais menti des mois auparavant.Et aujourd'hui, bien que ce n'était pas nécessairement le moment, tu t'étais jeté à l'eau, de toutes les façons, il fallait bien qu'elle le sache tôt ou tard. Tu ne pourrais pas lui mentir éternellement. Le silence s'était installé quand elle reprit la parole, pour t'avouer qu'elle avait attendu pendant des années pour tomber sur la bonne personne. Mais une chose est sûre, elle avait désormais conscience que tu étais loin d'être la bonne personne, que tu n'avais rien en l'homme qu'elle s'était imaginée. Sans doute quelqu'un de plus doux, de moins colérique, de plus expressif, qui la surprendrait, qui ferait d'être la plus heureuse, que toutes les filles voudraient être à sa place. Non parce qu'on ne va pas se mentir, personne ne jalousera jamais Savannah d'avoir un homme comme toi dans sa vie. Mais malgré tout, elle concluait en disant que c'était de toi qu'elle était tombée amoureuse. Bien que tu sois sombre, grincheux et impossible comme elle t'avait décrit. Alors que tu t'apprêtais à lui dire quelque chose, tu relevais la tête pour la regarder une fois de plus, et tu pouvais sentir ses cordes vocales trembler lorsqu'elle s'adressait à toi. Et les yeux larmoyants. Et aller, c'était reparti, elle était encore sur le bord de fondre en larmes, à cause de toi. T'es lamentable Van Acker. Tu ne mérites pas d'une fille comme elle dans ta vie. Tu devrais te regarder dans une glace des fois, et te foutres des claques, peut-être que ça te réveillerais... Qui sait ? Cependant les paroles qu'elle sortait ensuite t'interpellais. Ce qu'elle était entrain de te dire... On aurait dit qu'elle te faisait comprendre qu'elle avait besoin d'une pause, besoin de souffler. Etait-elle entrain de... Rompre ? Ou bien, de te dire qu'elle avait besoin d'une pause, ou plus communément appelé un break ? Comptait-elle te laisser le temps que tu te reprennes en main, ne supportant plus de te voir ainsi ? Et si elle avait finalement comprit qu'elle ne méritait pas d'un pauvre mec comme toi ? Et si elle avait enfin décidé de tout arrêter, pour pouvoir se reconstruire dans un meilleur équilibre ? Qu'est-ce que ça veut dire ça ? la questionnes-tu, tout en te relevant. En réalité, ce qu'elle venait de te dire t'avais fais prendre conscience que quoi que tu puisses penser, tu prenais chaque jour un peu plus le risque de la perdre. Ce qu'elle venait de te dire t'avais littéralement retourné. C'était peut-être la fin de vous deux. Peut-être qu'elle était venue à bout, et que tes mensonges avaient été la goutte qui avait fait déborder le vase. Si tu veux arrêter maintenant, sois clair Savannah. Peut-être avais-tu mal interprété ses propos, mais pourtant, ça sonnait comme tel. Comme si elle voulait tout arrêter. A ce moment-même, tu la sentais t'échapper, te filer entre les doigts, et cette sensation, comme maintenant ne t'étais encore jamais vraiment arrivé. Tu voulais la retenir, mais tu ne savais pas. Peut-être que tu devrais cesser d'être égoïste et la laisser partir. Penser à elle au lieu de penser à toi ? Cela ne veut pas dire que tu ne tiens pas à elle, que tu ne l’aimes pas, oh non, comme le dit une citation, l'acte de l'amour le plus parfait est le sacrifice. Cacher ses sentiments pour pouvoir être bon ami. Enfin, ça c'était purement impossible. Avec tout ce que vous aviez vécu, avec ce que vous pouviez ressentir l'un pour l'autre, jamais vous ne pourrez devenir amis, mais pour son bien, tu serais prêt à ça. A la laisser partir. Peut-être même qu'elle aurait dû aller avec ce type quand vous deux, c'était encore trop compliqué. Et si elle était partie avec lui, peut-être qu'elle serait heureuse. Que ce sourire que tu aimais tant habiterait ses lèvres chaque jour, chaque heure, chaque minute et chaque seconde. Là, tu aurais eu envie de tout envoyer valser, de balancer tes béquilles, de frapper contre ce pauvre arbre qui se trouvait tout prêt de vous et qui n'avait rien demandé tout ça parce que tu t'en voulais de tout détruire. Si vous en étiez là ce soir, c'était uniquement ta faute. Savannah était forte. Elle y croyait pour deux, se battait pour deux, gardait la tête hors de l'eau pour deux, mais là, tu voyais bien qu'elle était lassée de faire des efforts en vain. Tout ça c'est ma faute ! lâchais-tu à demi-mot. J'aurai tellement voulu ne jamais avoir à t'infliger ça. La gorge tremblante, tu regardais à l'opposé d'elle. Toi-même tu avais du mal à avoir à affronter son regard rempli de larme, son visage rempli de tristesse et de déception. Je suis désolé pour tout ça, Savannah. Ce que tu entendais par tout ça, c'était vraiment tout depuis le début, à partir du moment où Siobhän à soudainement disparu. C'est là que tout a commencé.
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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Dim 15 Jan - 16:00


❝when we met for the first time.❞
Clydannah.

Ce silence qu'il avait entre nous me briser littéralement. Nous avions l'habitude de nous disputer dans nos moments les plus durs mais même ça nous le fessions plus. Est-ce déjà la fin de notre histoire. Est-ce que je commence à baisser les bras après tout ce temps à m'être battu pour nous. La fatigue d'attendre après lui me consumait. Je comprends parfaitement qu'il soit mal et je le soutiens du mieux que je peux pour traverser tout cela, je sais qu'il faut du temps mais je ne supporte pas qu'il me mette à l'écart. Il ne me parle même plus. Notre histoire vient juste de commencer qu'elle voit déjà la fin. J'en ai mal. Mal de le voir ainsi. On est bien près de cesser de s'aimer quand on cesse de se le dire, il ne me le disait pas souvent mais maintenant il ne me le dit plus du tout. J'ai peur qu'il finisse par me repousser une bonne fois pour toutes. Il a bien réussi à me rayer de sa vie pendant un an alors il peut bien le faire pour toujours.Je pouvais tout accepter de lui, le fait qu'il soit sombre, grincheux et impossible à vivre mais pas le mensonge. Il m'avait regardé droit dans les yeux en me rétorquant que ce n'était qu'un simple accrochage pour un sachet de drogue, bien sur que j'avais du mal à le croire Clyde ne sait pas mentir mais je pensais que c'était dans ma tête et qu'il fallait que j'arrête de voir le mal partout donc je lui ai faits confiance et je l'ai cru. Ce n'est pas de la déception que j'ai mais de la tristesse. Je pensais après tout ce temps qu'il me fessait confiance et qu'il pouvait tout me dire encore une fois j'y ai cru. Ce soir-là il voulait être honnête avec moi mais il était trop tard il aurait dû l'être depuis le début.Je l'aime d'un amour infini, je pense qu'on peut même ne pas expliquer ce genre de sentiment. Il est vrai que je ne m'imaginais pas avec ce genre d'homme mais c'est comme ça, c'est de lui dont je suis tombée amoureuse et jamais je ne le regretterais. Il est vrai que ce n'est jamais facile lui et moi mais je ne me verrais jamais sans lui à mes côtés, mais où sont mais moment de bonheur avec lui est ce que j'en aurais un jour. J'étais furieuse qu'il ait pu me mentir.- J'ai seulement voulu te préserver. Tu t'en faisais déjà tellement pour moi, je ne pouvais pas me permettre de faire de mes problèmes tes problèmes Savannah. Et je comprendrais que tu m'en veuilles. dit-il en plaçant ses coudes sur ses genoux pour enfouir son visage entre ses mains.« Mais quand est ce que tu vas comprendre Clyde que tes problèmes sont les miens aussi. dis-je énerver. Clyde je suis ta petite amie, ont avance ensemble tu n'as pas à gérer tout seul. Tu as préféré me mentir, je ne suis pas déçu mais blesser je penser qu'on était soudée mais faut croire que je me suis encore trompé.» dis-je en baissant la tête. le silence s'installait une fois de plus entre nous, cela devenait une habitude maintenant. Quelque seconde après je repris la parole en lui avouant que j'avais attendu pendant des années pour tomber sur la bonne personne et que quand je l'ai rencontré il n'était en rien en l'homme que je m'étais imaginée mais pourtant je suis tombée éperdument amoureuse de lui. Les larmes coulaient toutes seules, je n'aimais pas ce genre de situation. Je commençais à fatiguer de me battre avec lui. Il relevait la tête pour s'apprêtait à dire quelque chose mais je continuais en lui disant qu'il avait raison je ne pouvais pas l'aidée et que personne ne le pouvait, je ne pouvais plus le voir se détruire comme ça.- Qu'est-ce que ça veut dire ça ? demandait-il. Je ne pouvais pas supporter son regard. -Si tu veux arrêter maintenant, sois clair Savannah. dit-il inquiet. Je regardais ailleurs en restant silencieuse. Je finis par ne plus savoir ce que je veux. Je me battrai jusqu'à ce que je puisse le faire mais là ... ça devenait trop dur. -Tout ça c'est ma faute ! dit-il dans un premier temps. -J'aurai tellement voulu ne jamais avoir à t'infliger ça. dit-il d'une voix tremblante.-Je suis désolé pour tout ça, Savannah. ajoutait-il.Je finis par relevait la tête pour le regardait.« Arrêter ? comment je peux arrêter quelque chose qui est impossible de stopper. dis-je doucement. Ne t'excuse pas Clyde, je t'en prie arrêté de t'excuser. Tu passe ton temps à le faire. Tu m'avais prévenu mais j'ai quand même voulut continuer, je savais à quoi m'en tenir avec toi et pourtant je suis là, bel et bien prête à tout faire pour toi. répliquais-je en me mettant bien face à lui, je pris sa main pour déposer un baiser sur le dos de sa main. Dans une relation à deux on doit accepter l’autre personne dans sa globalité, pas seulement ce qui est facile à aimer, et faut vraiment être bête pour repousser quelque chose d’aussi important que... l’amour. dis-je en lâchant sa main. Tu passe ton temps à me repousser et je me suis faits, je ne doute pas de l'importance que j'ai pour toi mais il m'arrive de penser si je ne t'ai pas poussé à faire quelque chose que tu ne voulais pas vraiment ... être avec moi. Il s'apprêtait à dire quelque chose mais je posais un doigt sur ses lèvres. Non laisse-moi finir s'il te plaît, laisse-moi pendant que j'en ai la force. dis-je simplement. Je ne veux pas que ça se finisse nous deux, t'inquiète pas Clyde je me vois toujours avec toi dans un futur lointain. annonçais-je avec un rire nerveux. Mais mon amour pour toi t'étouffe trop je l'ai bien compris, je vais partir quelque temps à New York. dis-je en déposant maintenant un baiser sur sa joue. Je pars dans deux jours. On a survécu à un an séparé donc les quelques mois vont passer vite. dis-je en essuyant les larmes sur mes joues, cela me déchiré le cœur mais il le fallait, je ne pouvais pas l'obliger à accepter mon aide. Je ne t'abandonne pas loin de là mais moi je ne peux plus supporter de te voir ainsi c'est trop dur pour moi Clyde, je t'aime mais je ne peux pas t'aider à t'enfoncer comme ça encore longtemps. ajoutais-je. Pardonne moi Clyde de pas être la personne qui peux t'aider. Faut croire que je ne suis pas assez forte. 




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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Dim 15 Jan - 18:12
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Le couperet était tombé. Toute cette histoire avait été beaucoup trop loin. Savannah n'en pouvait littéralement plus. Elle t'expliquait littéralement qu'elle était fatiguée de tout ça, qu'elle n'avait plus la force de se battre. Tu pouvais le comprendre. Mais peut-être que dans le fond, tu ne la pensais pas capable un jour de pouvoir baisser les bras. Elle avait toujours gardé la tête hors de l'eau, elle avait toujours tout fait pour que vous deux ça tienne. Même si ce n'était pas évident, parce que tu étais quelqu'un de particulier, elle s'accrochait, de toutes ses forces, comme un petit enfant qui tient son doudou aussi fort qu'il le peut, alors qu'on est entrain de le lui arracher. Mais là, tu sentais bien qu'elle était au bout du rouleau. Qu'elle ne savait plus comment agir avec toi, trouver les mot pour te raisonner. De toutes les façons, tu étais bien trop borné et têtu dans tes idées. Tu avais du mal à accepter tout son amour, parce que tu avais peur ne pas être à la hauteur, et tu ne l'étais pas, puisque tu lui avais menti pour la protéger, mais cela avait suffit pour qu'elle se sente blessée et qu'elle t'en veuille. C'est avec les yeux larmoyants qu'elle te regardait. Tu voulais la serrer si fort dans tes bras. Mais... Comment voulais-tu en être capable au vue de ton état. Tu comprenais ce qu'elle pouvait ressentir, mais ce que tu ressentais toi aussi, ce n'était pas évident. Tu avais l'impression d'être qu'un pauvre type, qui dépend entièrement de sa petite amie. Incapable de faire quoi que ce soit. Dans l'état dans lequel tu étais actuellement, tu n'avais même plus ce côté protecteur, et selon toi, c'est tout ce que Savannah avait besoin. C'était dur de t'imaginer sans elle, parce que... Tu l'aimais de tout ton coeur. Même si tu ne le lui disais pas assez. Tu l'aimais, bien plus qu'elle ne pouvait l'imaginer. Parce que ton attitude, et ta façon d'être étaient en total désaccord avec ce que tu pouvais ressentir. Tu passais ton temps à la repousser, tu ne parlais quasiment jamais de ce que tu pouvais éprouver pour elle. Donc évidemment, quand on se retrouve à la place de Savannah, il est difficile de se positionner, on ne sait plus sur quel pied danser. On pourrait se demander si tu étais vraiment amoureux d'elle quant à ton attitude, ou si tu faisais tout pour qu'elle te quitte pour que tu n'ai pas à le faire. D'ailleurs, c'est sans doute ce qu'elle était entrain de faire, là, maintenant, tout de suite. Au beau milieu de ce parc. Dans cet endroit si symbolique pour vous. Qui représentait le tout début de votre histoire. Votre première rencontre. A l'écouter, elle était entrain de te dire qu'elle n'en pouvait plus de tout ça, et qu'elle ne supportait plus de te voir te détruire de la sorte. Ton interprétation était qu'elle prenait son courage à deux mains pour te quitter. C'était une chose à laquelle tu ne t'attendais pas, pas maintenant, pas ici. En fait, tu ne t'attendais juste pas à ce qu'un jour elle ait le courage de le faire. Dans un sens, tu savais que ça te pendais au nez, parce que, inconsciemment, tu faisais tout pour que ça arrive, mais ... Tu ne pensais pas que ça arriverait un jour. Et... Là... C'est comme si tu venais de te prendre une énorme claque dans la gueule, un coup de poignard en plein dos. Tu te sentais mal. Ta gorge se serrait tandis que tu étais submergé par tout un tas d'émotion encore jamais ressenti auparavant. C'est comme si les larmes te montaient. Mais il était hors de question de montrer un quelconque signe de faiblesse. Tu l'étais déjà bien assez comme ça. Alors... Tu serrais la mâchoire. Pour que cela cesse. Au creux de ton estomac, c'était un artifice de douleur. T'avais envie de crier. De la retenir. Mais au lieu de ça, tu voulais qu'elle te le dise clairement, alors tu lui demandais, mot pour mot. Même si elle finirait sans doute par te le dire, tu voulais qu'elle soit honnête, et qu'elle te dise clairement qu'elle voulait tout arrêter, et non qu'elle passe par trente six chemins. De ton côté, tu avais toujours été droit et honnête avec elle, et aujourd'hui, tu ne voulais pas qu'elle trouve des excuses, des échappatoires, tu voulais qu'elle soit honnête. Si elle voulait te quitter, tu préférais qu'elle te le dise, plutôt d'essayer de te le faire comprendre. Tu te sentais tellement mal. Ca ne t'étais encore jamais arrivé. Tu aurais voulu partir, partir loin. C'est comme si tu étais entrain de tout perdre. Cette force qui te tient en vie. En réalité, tu ne te sens pas d'avancer si tu venais réellement à la perdre. Mais en même temps, tu avais fais tout pour. Au lieu d'essayer, de tout faire pour t'en sortir, tu t'enfonçais, on pouvait comprendre que Savannah ne puisse plus continuer. Comprends là. Il n'y a rien de plus difficile que de voir l'être que l'on aime se détruire à petit feu. De mettre toute notre force pour l'aider à s'en sortir, mais que même ça ne l'aide pas. Et peut-être que ça la tuait d'avantage de te voir te détruire ainsi. Tu admettais que c'était ta faute tout ça, que si tu n'étais pas comme ça. Vous n'en seriez surement pas là. Contrairement à elle, tu ne faisais pas des grands discours, tu balançais des bouts de phrase. Par-ci, par-là. Sans trop en dire. Parce que c'était bloqué, et que tu n'arrivais pas à faire des phrases plus longues. Face à ta question, sa réponse semblait si logique pour elle. Mais à tes yeux, elle ne l'était pas. Parce qu'elle te disait qu'il lui était impossible de te quitter, mais tout en l'écoutant, sachant qu'elle te demandait de ne pas l'interrompre, elle finit par t'avouer qu'elle comptait partir quelques temps. Seulement voilà, quelque temps, c'était bien plus que quelques jours. Quelques temps, tu avais bien compris que cela signifiait des mois, puisqu'elle te rappelait que vous étiez parvenus à passer une année complète loin l'un de l'autre. Sauf que là. C'était différent. Quand vous avez passé cette année loin l'un de l'autre. Tu savais qu'elle était ici, et que si vraiment tu voulais la voir, tu en avais la possibilité. Là, c'était différent. Elle partait à des kilomètres de toi. Et tout serait différent. Tu savais que ça ne serait plus pareil. Tu sentais pertinemment que c'était la fin. Mais tu ne pouvais pas la retenir parce que tu avais été bien trop dur avec elle, et que tu la rendais malheureuse, et tu ne voulais pas la rendre plus malheureuse qu'elle ne l'était déjà, sachant que tu l'aimais éperdument. Tu préférais souffrir en silence, plutôt que la faire souffrir elle. Elle n'aurait mal qu'un temps. Toi, c'était différent. Tu savais que sans Savannah. Tu serais capable de faire les pires conneries. Parce que tu savais pertinemment que tu ne te sentais pas capable d'avancer sans elle à tes côtés. Tu étais tellement brisé. Tu t'en voulais tellement de tout ça. Parce que tu savais que si tu étais parvenu à t'arranger, vous n'en seriez pas là. Elle ne serait pas obligée d'avoir à partir. Et puis toi, tu ne voulais pas qu'elle parte. Mais... A quoi cela servait que tu la retiennes pour continuer de lui faire du mal. Tu t'étais alors levé du banc. T'éloignant difficilement d'elle, en béquilles. Arrêtes Savannah. Arrêtes. Tu sais aussi bien que moi que si tu pars à New-York, nous deux c'est terminé. Voilà les seuls mots qui étaient sortis de ta bouche, mais qui gardaient une certaine cohérence. Non pas que tu mettais fin à votre relation, mais parce que tu le savais. C'est vrai. En quelques mois, à New-York en plus, elle avait le temps de rencontrer quelqu'un, quelqu'un de tellement différent de toi, plus gentil, plus attentionnée, plus aimant, pour la rendre heureuse et l'épanouir, afin qu'elle tombe de nouveau amoureuse, mais amoureuse d'une bonne personne. D'une personne qui saurait capable de lui apporter tout ce dont elle a besoin. Tu savais très bien que si elle partait, si elle quittait le pays, vous deux, c'était terminé. Elle ne pouvait pas partir, et croire que vous deux c'était fait pour durer. Tu peux rentrer à la maison, je me débrouillerais, lâchais-tu. Tu n'avais ni la force, ni l'envie de rentrer avec elle. Pas après tout ce qu'elle venait de te dire. Bien que tu le méritais, tu ne pouvais pas concevoir que ça allait se terminer ainsi. Alors, elle prit le chemin inverse, et s'en allait. Tu évitais de te retourner, tu étais déjà bien trop mal comme ça. Tu ne voulais pas avoir à la regarder partir. C'était bien trop dur. De rage, tu envoyais valser tes béquilles. Si ton pied était valide, tu l'aurais surement lancé droit dans le banc, mais au lieu de ça, c'est ta main qui allait à l'encontre de l'arbre juste à tes côtés, et là, tu déchargeais toute la douleur que tu éprouvais contre ce pauvre arbre qui n'avait rien demandé, enchaînant les coups, comme si te faire physiquement mal te soulageais. Tu savais que ça n'arrangerait rien à toute cette situation, mais c'était ta façon d'extérioriser. Evidemment, tu avais les poings en sang à force de cogner contre cet arbre aux écorces assez pointues. Mais sur le coup, tu n'avais pas réalisé, bien trop perdu dans tes pensées. Puis tu sentais les larmes monter. Et alors que tu étais seul. Tu finis par les laisser se déverser le long de ton visage. Parce que tu n'en pouvais plus, tout simplement. Tu te laissais tomber par terre. Et restais là, pendant des heures. A réfléchir, et réfléchir, et encore réfléchir. Tu en venais toujours à la même conclusion. Tu n'étais qu'un con, un abruti, un crétin qui avait tout foutu en l'air cette relation qui t'apportais du baume au coeur. Doucement, la nuit c'était installée sur Miami. Tu redoutais le moment où tu devrais rentrer. Tes poings étaient dans un état lamentable. Tu décidais de te relever, mais tes béquilles étaient quelques mètre plus loin. Alors, tant bien que mal, tu essayais d'avancer jusqu'à ses dernières, et tu rentrais jusqu'à la maison. Ca te pris du temps, mais au moins, ça laissait le temps à Savannah d'aller se coucher, pour ne pas avoir à la croiser. C'était fatiguant aussi, ca commençait à tirer partout. T'avais mal. Autant physiquement que mentalement. Puis tu arrivais chez vous. Il semblerait qu'elle soit là elle aussi. Tu ne faisais pas de bruit, du moins, tu essayais. Regagnant rapidement la salle de bain, pour nettoyer tes poings sous l'eau. Il y avait de vilaines marques, ceci étant dit, tu n'étais plus à ça prêt, mais tu aurais surement de vilaines croûtes sur le dessus de tes phalanges. Tu te passais également un coup d'eau sur le visage, avant de poser tes mains sur le rebord du lavabo et te regardais dans le miroir. T'avais honte. Tu avais tellement envie de claquer ton poing dans le miroir, pour ne plus avoir à te regarder là dedans. Tu étais lamentable Clyde. Tu te deshabillais pour te mettre uniquement en boxer, puis tu passais devant la chambre. Elle était allongée sur le lit, en chien de fusil. Tu savais qu'il ne fallait pas, mais tu entrais, et t'approchais d'elle. Tu dégageais une mèche de cheveux pour l'embrasser sur le front. Et alors qu'elle semblait dormir profondément, tu lâchais ces quelques mots Je t'aime. Tu t'étais dis que tu irais dormir dans le salon. Pour vous faciliter la tâche, mais en entrant dans la chambre, tu savais pertinemment que tu ne serais pas capable d'en sortir. Alors, tu t'allongeais à ses côtés. C'était sans doute votre dernière nuit ensembles. La dernière nuit qu'elle passerait à tes côtés. Alors, tu voulais en profiter. Profiter de sa présence jusqu'au dernier moment. Pouvoir humer son odeur et t'enivrer avec, parce qu'après, tu n'aurais plus cette possibilité. Tout allait changer. Alors, avant que tout ne change, tu profitais de cette dernière soirée.
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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Dim 29 Jan - 18:04


❝when we met for the first time.❞
Clydannah.

C'est drôlement dangereux de s'attacher à quelqu'un, c'est incroyable ce que ça peut faire mal. Rien que la peur de perdre l'autre est douloureuse, parce que ça fait tellement du bien d'aimer les gens qu'on aime que ça finit par faire mal.  Je sentais que la fin était proche.  Je ne pouvais plus me battre avec lui. J'avais portant jurée que je ne baisserais jamais les bras pour nous mais la je suis a bout de force.  Ont dis souvent que chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Je savais pertinemment que en m'ouvrant à lui l'autre fois au parc je prenais le risque de le perdre pour de bon parce que maintenant plus rien ne sera comme avant.  Portant Je m'en fiche, c'est lui que je veux. Avec son caractère de merde, avec ses manies, ses défauts, son ton las. Je me fiche de savoir qu'il ne me rendra jamais heureuse, c'est lui et seulement lui que je veux.  Je sais qu'il peut me rendre heureusement il faut juste que je sois patiente et que j'attend que ce sois le bon moment pour notre fin heureuse, ont sais peu être trop précipité et maintenant nous somme entrain de tout gâcher. Partir était pour moi la meilleure solution et puis qui c'est peu être que en partant il trouvera la force de se réveiller et de recommencer sa vie,  de rencontrer quelqu'un qui pourra vraiment l'aider, je ne pense pas qu'une autre pourra l'aimer comme je l'aime mais si je pars et qu'il rencontre quelqu'un je serais heureuse pour lui parce que tout ce qui m'importe c'est son bonheur, si ce n'est pas comme moi je l'accepterai. Malgré l'amour que je lui porte je ne pouvais pas le voir s'enfoncer encore longtemps comme ça il fallait que je réagisse parce que plus je le vois comme ça et plus ça me tue de l'intérieur. Le voir aussi mal je ne pouvais plus le supporter donc il fallait que je parte aussi loin que je le pouvais pendant quelque temps, histoire de prendre un peu de recul avec tout ça. Je lui rappelais à quel point je pouvais l'aimais mais que je partais dans deux jours à New York tout en lui rétorquant que nous deux ce n'était pas terminer mais il le fallait. Mon amour pour lui était en train de l'étouffer, on a était séparé pendant un an alors qu'est ce que c'est quelque mois. Je lui ai toujours dit que je ne l'abandonnerai pas et portant c'est ce que je suis en train de faire mais c'est trop dur de le voir ainsi. - Arêtes Savannah. Arêtes. Tu sais aussi bien que moi que si tu pars à New York, nous deux c'est terminé. Aïe je ne l'avais pas vu venir celle-là. Mais il n'avait pas tort, tout comme lui je savais qu'en montant dans l'avais dans deux jours notre histoire sera terminée. Et portant je ne le souhaite pas mais je peux plus continuer je suis trop fatigué. -Tu peux rentrer à la maison, je me débrouillerais. lâchait-il et comme je n'avais pas la force pour une nouvelle dispute je le regardais en lâchant. « Très bien. Je me retournais en me retrouvant dos à lui et parti vers la voiture, les larmes le long des joues. 
Une fois rentré a la maison je me dirigeais directement dans la chambre, je m'installais sur le lit en restant assis. Mais qu'est-ce que tu fabrique Savannah, tu as tout pour être heureuse, un travail que tu aime, ta collection qui va enfin voir le jour et un super copain que tu aime plus que tout et la seule chose que tu fais sait t'enfuir à la moindre faiblesse. me dis-je à moi-même. Je me laissais tomber sur le lit à regardant le plafond. Je suis complètement perdu.Je fermais les yeux en essayant de ne penser à rien. Quelques heures après j'entendis le chien bouger dans tous les sens, Clyde était enfin rentré, me voilà rassuré. Il entrait quelques minutes après dans la chambre en s'approchant de moi, il me dégageait une mèche de cheveux pour m'embrasser le front. -Je t'aime. dit-il doucement très souvent un homme prend conscience de son amour pour une femme que lorsqu'il est directement confronté à la possibilité de la perdre. J'ouvris les yeux en plongeant directement mon regard dans le sien.Ne fais pas ça, s'il te plaît. dis-je doucement. Je vais partir parce qu'il le faut mais ça ne veux pas dire que je tourne la page sur notre histoire, non je pars pour qu'elle soit encore plus belle qu'elle ne l'est déjà à mon retour. dis-je en me redressant. Ce n'est pas un adieu Clyde. Je pris sa main pour le rapprocher encore plus près de moi. Quand tu me prends dans tes bras, c'est comme si j'oubliais tous mes soucis. Tu es un antidouleur, le meilleur remède qui existe. Prés de toi je me sens invincible. Tu es ma plus grande fierté, mon plus grand amour, tu es tout pour moi. J'avance avec toi où je m'arrête. lâchais-je. Je t'ai dit que je ne t'abandonnerai jamais, tu me connais mieux que personne Clyde et tu sais que quand je fais une promesse je la tiens mais je ne peux plus te voir te détruire comme ça. Dis-je en baissant mes yeux sur ses mains abîmer.Oublie pas que quand tu souffre-moi je souffre encore plus. C'est le temps de quelques mois histoire de savoir où tu en es dans ta vie, si tu veux toujours continuer avec où sans moi mais quoi qu'il arrive sache que je serais heureuse que si tu l'es. Le plus bel amour est celui qui éveille l’âme et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprits. C’est ce qu'il m’a apporté. Et c’est ce que j’espérais pouvoir lui apporter un jour et pour toujours.Je lâchais ses mains pour me détachais de lui a fin de me relever du lit. 





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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Dim 29 Jan - 20:52
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Clydannah
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Savannah, elle représentait la force et le courage. Elle avait toujours cru en vous, toujours cru en toi malgré tout. Quand tu te rabaissais, elle était toujours là, à essayer de te dissuader du contraire. Quand tu prétendais que tu n'étais pas fait pour elle, et qu'elle méritait cent fois mieux, elle se tuait à te répéter que tout ce que tu disais n'était que foutaises, et que tu étais la seule personne capable de la rendre heureuse. Elle t'avait promi à de nombreuses reprises qu'elle ne te laisserait jamais, qu'elle ne baisserait jamais les bras, qu'elle serait toujours forte pour vous deux. Heureusement que tu avais une fille comme Savannah à tes côtés, avec une force de caractère aussi grande, car tu restais persuadé que si ça avait été une autre fille, elle aurait prit la poudre d'escampette depuis déjà bien des mois. Savannah, elle était cette lueur d'espoir dans tes moments de lucidité. Quand tu réalisais que toi aussi tu avais le droit au bonheur. Savannah, tu l'aimais, tu l'aimais à en crever. Cette fille là, elle avait toujours tenu bon, dans les pires moments, toutes ces fois où tu l'avais repoussé, où tu avais été odieux avec elle, elle était restée là, planter devant toi, à te rabacher des choses qu'à ce moment là tu ne voulais pas entendre, parce que tout simplement tu voulais la protéger. Mais t'avais réussi putain. T'avais réussi à t'ouvrir à elle, vous aviez traversé de bons moments ensembles, des moments de pur bonheur, et de bien être. Savannah, tu n'aurais jamais imaginé qu'elle puisse un jour te faire l'avoeux qu'elle venait de te faire. Tu ne l'aurais jamais pensé capable de pouvoir tout arrêter avec toi, de mettre fin à votre histoire, et pourtant, tout ce qu'elle était entrain de te dire portait à croire qu'elle voulait mettre un terme à tout ça. Tu voyais bien qu'elle était fatiguée de se battre pour deux, qu'elle n'avait plus la force de le faire. Peut-être que dans ton fond intérieur, comme tu savais qu'elle t'aimait elle aussi à en mourir, tu ne pensais pas qu'elle puisse te laisser un jour. Et quelque part, tu lui avais accordé ta confiance, tu la croyais quand elle disait que jamais ô grand jamais elle ne te laisserait. Et elle était bel et bien la seule personne a avoir réussi à te le prouver. Enfin, ça, c'était avant aujourd'hui, avant qu'elle ne t'avoue ne plus avoir la force, et vouloir s'éloigner de toi, partir à New-York. Et là, tu savais pertinemment que ce n'était pas uniquement pour le travail. Là, tu savais que si elle voulait partir, c'était parce qu'elle n'en pouvait plus de tout ça, qu'elle souffrait de te voir ainsi, et de voir l'ampleur des dégâts. De constater que tous ses efforts avaitent été en vain, et que votre relation était clairement un échec. De ton côté, tu étais incapable de faire un effort, ou bien quand tu parvenais à faire un infime effort, il fallait que tu gaches tout. C'était indéniable, tu ne la rendrais jamais heureuse. Tu n'as qu'à la regarder la. Les yeux injecté de sang dû aux nombreuses larmes qui ont innondé son visage. Tout ça, c'est ta faute, et tu sais pertinemment que tu ne peux t'en prendre qu'à toi. Qu'est-ce que tu vas bien pouvoir faire sans elle ? Qu'est-ce que tu vas devenir ? Tu la laisses s'éloigner de toi, et rentrer seule, parce que tu n'es pas en état de rentrer avec elle. Tu te sens tellement mal. T'as l'impression qu'on vient de te retirer le semblant de coeur qui battait dans ta poitrine, et qui se tire avec elle. Tu la regardes partir, et tu sens les larmes monter. Alors tu sers la mâchoire, et saisis tes putains de béquilles que tu envoies des mètres plus loin avec une telle violence. Et c'est contre ce pauvre arbre qui n'a rien demandé à personne que tu viens déverser toute cette colère, et toute cette haine que tu peux ressentir à ton égard. Parce que toute façon, t'es qu'un bon à rien, un crétin, un abruti, un pauvre con qui ne fera jamais rien de sa vie. Qui n'aura jamais une belle vie de famille, parce que tu n'as même pas été foutu de garder la seule et unique fille que tu aimais et qui voulait de toi. S'il y a bien une chose que tu ne pourras jamais reprocher à Savannah, c'est que contrairement aux autres personnes qui ont pu être proches de toi, elle est bel et bien la seule à avoir tout fait pour te garder près d'elle. C'est uniquement toi qui n'a pas assuré, qui n'a pas su saisir cette chance de la garder près de toi. Au fond de toi tu t'en veux, tu voudrais pouvoir la retenir, mais n'était-ce pas égoïste de vouloir la retenir alors que tu ne cesses de lui faire du mal ? Si, évidemment, et tu en as conscience. C'est pour cette raison que tu la laissais s'éloigner sans la rattraper. Ca aurait servi à quoi de lui faire encore plus de mal ? Comm si tu ne lui en avais pas déjà fait assez sans continuer.
Seulement voilà, la nuit était tombée sur Miami, et tu avais passé ta fin de soirée dans ce parc, à te souvenir de pleins de choses, à réfléchir. Peut-être que finalement, c'était la meilleure chose à faire, peut-être avait-elle fait le bon choix ? Partir. C'était peut-être ce qu'il fallait pour qu'elle aille mieux. C'était une fille remplie de bonnes intentions, elle était toujours souriante et radieuse. Toi à côté, tu étais son opposé. Vous étiez le ying et le yang. Tu étais le côté sombre, toujours fermé, peu sociable, loin d'être attirant. Tu savais qu'elle finirait par trouver son bonheur loin de toi. Et même si tu lui souhaitais, intérieurement, tu ne le voulais pas, c'était égoïste, mais... Tu ne voulais pas qu'elle t'oublie. Tu ne voulais pas qu'elle cesse de t'aimer. Tu ne voulais pas qu'un autre ait la chance de l'avoir dans sa vie. Tu ne savais tellement pas ce que tu allais devenir sans elle. Elle était ton équilibre. La savoir jamais très loin de toi te permettais de ne pas faire des bêtises, des bêtises que tu aurais été capable de faire depuis bien longtemps si elle n'avait pas été là. Inconsciemment, elle t'empêchait de faire des choses que tu pourrais regretter, ou de mettre fin à tes jours tout simplement. Parce qu'à chaque fois que tu y pensais, et bien, tu ne pouvais t'empêcher de penser à elle, en te disant que tu ne pouvais pas lui infliger ça. Anteynara t'avais bien fait comprendre ça. Que tu n'avais pas à faire ça. Pour Savannah. Parce qu'elle s'en voudrait pensant qu'elle n'ait pas pu t'en empêcher. Si elle savait combien elle a pu t'aider. Elle serait bien surprise.
Voilà qu'en arrivant à l'appartement, tu entrais tranquillement. Dans le salon, pas de Savannah à l'horizon. A coup sûr, elle devait sans doute dormir dans la chambre. Tu hésitais à y aller. Mais si c'était la dernière nuit, autant en profiter. Parce qu'après, cet appartement, serait tellement vide sans elle. D'ailleurs, tu ne comptais même pas garder cet appartement. Tu ne pouvais pas concevoir de vivre dans un appartement où elle ne serait plus, qui te rappellerais bien trop de souvenir, et puis, c'était son appartemment, et même si tu l'aidais à payer le loyer, non, tu pourrais pas le garder. Tu passais par la cuisine pour nettoyer tes poings bien abîmés par l'écorce des arbres. Voilà ce que c'était que de s'en prendre à la nature. Tu avais les phalanges littéralement coupées. La douleur n'était rien de comparable à ce que tu pouvais ressentir à l'intérieur de toi. T'avais l'impression qu'on t'avait retiré chaque organe, tu te sentais vide. T'étais tellement mal. Et la voir ainsi, allongée sur ce lit, qui était actuellement le votre, ça te faisais encore plus mal, parce que tu savais que dans deux jours, il serait vide, que tu ne la retrouverais plus chaque soir dedans. Que tes réveils le matin seraient tristes. Qu'ils ne ressembleraient plus à ceux que tu avais pu vivre ces dernières semaines. Tu avais du mal à réaliser. Ca te semblait tellement improbable qu'elle puisse te laisser un jour. Même si c'était douloureux, tu t'approchais d'elle, elle dormait à poing fermé. Tu te mis à sa hauteur pour l'embrasser sur le front, et lui lâcher ces deux mots dans un murmure à peine audible. Vu qu'elle dormait, tu pensais qu'elle ne l'entendrait jamais. Mais alors que tu t'allongeais à ses côtés, tu la sentis bouger, elle ouvrait doucement les yeux pour te faire face. En réalité, tu aurais préféré qu'elle dorme, qu'elle n'ait pas entendu tout ça, parce que tu n'avais pas la force de faire une nouvelle fois face à cette conversation, que vous aviez clôturé au parc avant qu'elle ne s'en aille. Mais elle se redressait, tout en ressassant les mêmes paroles, à quelque chose près, que précédemment au parc. C'était une véritable torture pour toi que de reparler de tout ça. C'était le revers de a médaille finalement. Tout ce qu'elle te disait, tu ne pouvais pas l'entendre, parce que tu savais pertinemment que dès lors où elle partirait, tout serait fini, votre histoire serait terminée, et qu'il n'y aurait pas de possible retour. C'était évident. Un break. On sait tous ce que cela signifie. Tu l'écoutais, mais tu secouais négativement la tête, parce que tu n'étais pas d'accord avec ce qu'elle pouvait dire. Tu n'aurais jamais dû faire une promesse que tu n'es pas capable de tenir Savannah, lançais-tu dans un premier temps avant de te lever du lit pour regagner le pas de la porte de chambre. Je ne t'en veux pas. Je l'ai mérité. Mais tu n'aurais jamais dû me promettre que tu ne me laisserais pas. Au fond de moi, je savais pertinemment que ça allait arriver un jour, c'était inévitable. Mon père est parti avant même que je naisse. Ma mère et ma soeur ne veulent plus aucun contact avec moi, ou du moins, moins elles ont de mes nouvelles mieux elles se portent. Siobhän s'est tirée comme une mal propre. Et maintenant toi. Je m'y attendais à ça. Au moins, une chose est sûre, tu étais lucide. Tu savais pertinemment que tu méritais ce qui tout ce qui t'étais arrivé. Et dans le fond, évidemment que tu le savais que Savannah finirait par en avoir marre de toi, et qu'elle s'en irait. Elle ne pouvait pas continuer de vivre avec un homme comme toi. Vous étiez tellement différents. T'étais tellement mal, parce que tu sentais pertinemment que c'était la fin, que tout ceci ressemblait à un discours d'adieu. J'espère au moins que tu seras heureuse là-bas. Ca te brisais de lui dire ça. Mais c'était tel que tu le ressentais. Comme des adieux. Comme si s'était fini. T'aurais aimé pouvoir la retenir, mais là, tu voyais bien qu'elle était déterminée à partir, qu'elle avait besoin de s'en aller, de s'aérer, de prendre le large. Tu savais aussi que là-bas, c'était son passé, qu'elle avait vécu de nombreuses années là-bas, qu'elle connaissait des gens qu'elle avait ses proches. Et si finalement elle ne revenait jamais ? Et si... Elle rencontrait quelqu'un ? Ou bien qu'elle retrouvait ce fameux Aaron qui était revenu quelques mois auparavant dans l'optique de la reconquérir ? Et si finalement la vie à New-York lui manquait vraiment ? Et si ces quelques mois, se transformaient en années. Et puis... Qui te dit que vous allez garder contact ? Peut-être qu'une fois qu'elle aura de nouveau mit les pieds sur les terres new-yorkaises, tu feras parti de son passé. Tu serrais la mâchoire, pour ne laisser rien paraître. Bien qu'au fond tu sois meurtri, tu ne voulais pas qu'elle le voit, qu'elle le sente. Tu ne voulais pas qu'elle culpabilise parce que tu avais conscience que tout ceci c'était de ta faute. Et puis, tu quittais sa chambre, parce que tu ne pouvais pas rester là plus longtemps. Tu aurais eu envie de partir, mais... Vu ton état, ce n'était pas possible, tu avais fais trop le con dans le parc tout à l'heure, et maintenant, ta jambe te rappelait à l'ordre. Tu te posais alors sur le canapé. Tu ne pouvais même pas te recroqueviller sur toi même avec ta fichue jambe. Tu posais tes coudes sur tes genoux, et ton visage vint se nicher au creux des paumes de tes mains. Voilà pourquoi tu avais longtemps essayé de refouler tes sentiments à son égard. Parce que tu voulais te préserver, et tu ne voulais pas avoir mal comme tu pouvais alors mal à l'heure actuelle. C'était bien plus douloureux que tu n'aurais pu l'imaginer. C'est comme si quelqu'un avait ton coeur entre ses mains, et que cette personne le pressait avec une telle force que tu ressentais une décharge parcourir ton corps tout entier à chaque fois qu'elle le serrait.
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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Jeu 9 Fév - 15:13


❝when we met for the first time.❞
Clydannah.
Est-ce le début de la fin. Bien sur que non, je n'en suis pas capable. Comment peut ont arrêté quelques choses dont on a besoin au quotidien. Je n'ai juste plus la force de le voir ainsi, j'ai dur de voir la personne qui compte le plus a mes yeux se détruire comme ça et j'ai l'impression qu'en restant près de lui je l'aide à s'enfoncer comme cela. La première fois, à l'instant que je l'ai vu je suis tombé directement sous son charme, et depuis ce jour, je ne cesse de penser à lui, je ne désire que lui voilà pourquoi, même quand ça ne va pas entre nous, je ne cesse de te courir après, beaucoup de gens penseront que je suis folle de m'accrocher à un mec comme Clyde mais je me sens bien que quand je suis près de lui. Je ne pourrai expliquer pourquoi je l'aime autant malgré toute cette difficulté qu'il y a entre nous parce que la liste est beaucoup trop longue. Pendant long temps je me suis demandé si quelqu'un serait à la hauteur de mes espérances et quand mon regard plonge dans le sien, j'ai bien fait d'attendre, depuis que je le connais aucun ne sont à sa hauteur. Il a beau être dur, sombre, grincheux et compliqué mais personne ne pourra me rendre heureuse comme je le suis avec lui, tous ses côtés négatifs de lui je l'ai aimé. Notre histoire est épique, elle traverse des bons moments comme des mauvais, nous sommes plus forts à deux. Il m'a longtemps repoussé et même blesser par moments mais je suis encore là et je ne compte pas lâcher prise, il est ma plus grande fierté et je te ne compte pas mettre fin à cette relation que j'attendais tant. Si je voulais partir à New York ce n'était pas pour tout arrêter mais pour qu'il se réveille et qu'il se bouge un peu, cela m'est impossible de continuer comme ça je ne pouvais plus le regarder encore se détruire. Encore combien de temps cela va durée ? avec tout ce qu'il a vécu je comprends parfaitement qu'il soit mal et cela va prendre du temps pour qu'il guérit de ses blessures que se sois physique ou mental mais ça me tue a petit feu de le voir comme ça.Après être rentré chez nous, je m'installais directement sur notre lit, les yeux fixés sur le plafond. Peu était qu'il pense que je suis en train de fuir mais c'est tout le contraire, je ne fuis pas puisque je compte revenir. On pourrait croire que je suis littéralement entrain de baisser les bras mais non je me battrai toujours pour nous mais si pour qu'il comprend que je ne peux plus le voir ainsi et pour qu'il se réveille je lui ferais penser que c'est le cas parce qu'on ne se rend compte de l’importance d’une chose que lorsqu’on la perd.Quelques heures après mon arrivée Clyde fils le sien, je poussais un soupir de soulagement, le savoir à la maison me rassurer. Pour ne pas continuer cette dispute, je fermais les yeux pour qu'il pense que je mettais endormi. Il entrait quelques minutes après dans la chambre en s'approchant de moi, il me dégageait une mèche de cheveux pour m'embrasser le front tout en me rétorquant un je t'aime. J'ouvrir les yeux en lui demandant de ne pas faire ça, depuis son accident ce mot la je ne l'ai plus entendu. Je lui rétorquais à nouveau que ce n'était pas un adieu et que j'allais revenir, notre histoire est loin d'être terminer.-Tu n'aurais jamais dû faire une promesse que tu n'es pas capable de tenir Savannah. lançait-il pour commencer avant de se lever du lit en s'avançant du pas de la porte.-Je ne t'en veux pas. Je l'ai mérité. Mais tu n'aurais jamais dû me promettre que tu ne me laisserais pas. Au fond de moi, je savais pertinemment que ça allait arriver un jour, c'était inévitable. Mon père est parti avant même que je naisse. Ma mère et ma sœur ne veulent plus aucun contact avec moi, ou du moins, moins elles ont de mes nouvelles mieux elles se portent. Siobhän s'est tirée comme une mal propre. Et maintenant toi. Je m'y attendais à ça. dit-il, -J'espère au moins que tu seras heureuse là-bas. ajoutait-il en quittant la pièce.« Non Clyde attend dis-je en me dirigeant vers lui. Je ne suis pas tout le monde, je t'ai faits la promesse de pas t'abandonner, Clyde tu m'as évité pendant un an, puis ensuite tu m'as repoussé après tu m'as embrassé pour après me repousser une nouvelle fois et pour finir tu m'as enfin ouvert ton cœur tu penses sérieusement que notre histoire est finie parce que je pars à New York. dis-je en le regardant. Elle n'est pas fini et elle ne le sera jamais. s'il te plaît regarde-moi. répliquais-je. Il posait enfin son regard dans le mien. Arrête de me comparais aux autres, je ne suis pas eux. Tu es la seule personne dont j'ai besoin dans ma vie, je t'ai dit j'avance avec toi et non sans toi. Je voyais qu'il avait du mal à rester debout. Viens on va s’asseoir. dis-je en montrant la chambre. Nous rentrions à nouveau dans la chambre pour nous s’asseoir sur le lit. Combien de fois je vais devoir te le répéter Clyde que je suis heureuse avec toi, c'est vrai qu'on n'est pas un de ces petits couples qui virent dans le monde des bisounours mais moi cette relation me va parfaitement parce que je suis avec toi. dis-je simplement. J'aimerais tellement que tu te vois comme moi je te vois, ne cherche pas à comprendre pourquoi c'est toi parce que ce n'est pas explicable. Je te demande que quelques semaines, il fût toujours silencieux je sais pertinemment qu'il ne comprend pas mon départ. Je ... je ne pars pas que pour mon travail, mais parce que je suis malade, ma mère a été transférer à l'hôpital de New York j'ai voulu te le dire mais avec tout ce qu'il t'est arrivé je ne voulais pas t'inquiéter. dis-je en fuyant dans ma table de nuit. Comment peux-tu penser que je veux te quitter Clyde? Je me vois finir mes jours avec toi je t'assure. Je pris sa main pour placer au cru de sa main une boîte. Ce n'est pas une demande officielle je sais que tu as besoin de plus de temps et tu as tout le temps qu'il te faut donc vois ça comme une promesse que je vais revenir. Et je sais aussi que normalement c'est à toi de faire ce genre de chose mais comme on est unique. ajoutais-je.




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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Dim 19 Fév - 21:03
when we met for the first time
Clydannah
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Après cet avoeux près de ce banc, tu avais préféré la laisser partir, parce que tu savais pertinemment que tu étais entrain de perdre le contrôle, et qu'il valait mieux qu'elle parte maintenant. Tu ne voulais pas prendre le risque de te montrer violent comme tu venais de le faire face à ce pauvre arbre qui n'avait rien demandé à personne. Jamais tu ne t'en serais pris à elle, mais toutefois, tu ne voulais pas qu'elle te voit dans un tel état, à déverser toute ta colère et ton mal-être sur cet arbre. Paraître faible, c'était tout ce que tu ne voulais pas qu'elle voit de toi. Et tu ne voulais pas non plus que tes mots dépassent ta pensée, alors tu jugeais que le plus raisonnable était qu'elle parte de son côté, et que toi, tu partes du tien. Enfin, tu avais passé toute la fin de soirée dans ce parc, à réfléchir, à ruminer, mais surtout à te repasser en boucle ces mots que tu n'arrivais plus à décrocher de tes pensées. Pourtant, ce n'était pas faute d'essayer, mais tu sentais bien que c'était la fin de votre relation. Tu restais persuadé que son départ marquerait la fin. C'était un nouveau départ pour elle. Elle ne savait même pas combien de temps elle resterait là bas. Elle avait évoqué quelques mois. Mais quelques mois, c'était vague, c'était vaste. Quelques mois, ça pouvait être deux mois, comme ça pouvait être six mois, et encore, peut-être même un an. Et puis, elle était déjà partie quelques jours à New-York pour le travail, alors, elle n'aurait surement pas de mal à se trouver quelque chose. Ce n'est pas comme si elle n'avait jamais vécu là bas. Cette ville, elle la connaissait parfaitement. Ainsi, elle trouverait rapidement un petit pied-à-terre, ainsi qu'un boulot, tu avais confiance en elle de ce côté là. Mais tu ne voulais pas qu'elle parte, mais tu ne pouvais pas non plus la retenir, c'est d'ailleurs pour cette même raison que tu n'avais pas essayé de le faire toute à l'heure. Mais tu lui en voulais, quelque part, au fond de toi, même si tu savais que tu ne devrais pas, tu lui en voulais, parce qu'elle t'avais toujours promis qu'elle ne baisserait jamais les bras, et qu'elle ne te laisserait jamais et pourtant c'est ce qu'elle était entrain de faire. Et même si tu avais conscience qu'elle ait toutes les raisons de le faire, et bien, tu lui en voulais quand même, parce que cette fille, tu l'aimais, vraiment et sincèrement, même si tes actes voulaient dire le contraire. Elle prétendait te connaître mieux que personne, mais si elle te connaissait mieux que personne, elle saurait que malgré ton attitude, malgré ta façon d'être, c'était toi, tu étais comme ça, mais que tu l'aimais plus que quiconque. Mais voilà qu'elle semblait en douter, et ça te décevait. Et puis, tu ruminais tellement face à son départ. Deux jours. Elle devait bien le savoir depuis quelques temps qu'elle allait partir, cela ne datait pas de hier. Et pourtant elle ne te l'avait annoncé que ce soir. Comme si elle attendait la dernière minute pour le faire.
Tu redoutais tellement le moment de rentrer chez vous. Tu cherchais où aller, mais tu n'avais pas d'autres choix que de rentrer. Par chance, elle ne se trouvait pas dans le salon à t'attendre, et ça te rassurais. Avant de rejoindre la chambre où elle se trouvait, tu étais passé par la salle de bain, histoire de nettoyer tes mains qui étaient en sang, et te passer un coup d'eau sur le visage. Un peu de froid ne te fis pas de mal. Tu passais ensuite devant la chambre, où elle était désormais couchée, et semblait dormir profondément. Et bien que deux choix s'offrent à toi, tu avais opté pour le premier, et t'étais allongé à ses côtés, lui murmurant un "je t'aime" à peine audible. Cependant, Savannah l'avait entendu, c'est pour cette raison qu'elle s'était retournée vers toi. Toi qui aurais préféré rejoindre Morphée afin d'oublier toute cette histoire, c'était raté. Elle remettait encore son départ sur le tapis, tout ce dont tu n'avais pas envie de parler. Ca t'avais déjà fais bien trop de mal lorsqu'elle te l'avait annoncé sans qu'elle ne vienne remuer le couteau dans la plaie, mais visiblement, elle avait besoin d'en parler avec toi. Tu te redressais alors, te détachant d'elle. Tu ne pouvais pas supporter d'entendre ses mots sortir de sa bouche. C'est comme si à ses yeux, toute cette histoire n'était que foutaise, qu'elle allait partir, et revenir comme si de rien était, mais à tes yeux, ça avait des proportions bien plus importantes que ce qu'elle pensait. Pour ton, son départ, ce n'était pas rien, ce n'était pas comme un séjour pour le travail. C'était elle qui l'avait voulu, qui l'avait souhaité et décidé, et non un autre facteur. Tu avais totalement conscience que ce départ pour quelques mois auraient un véritable impact sur votre relation, loin d'être celui qu'elle pensait. Déjà que tu avais du mal à tenir une relation quand la personne vivait avec toi, mais qu'est-ce que cela serait si vraiment elle partait, et qu'elle était à des kilomètres de toi. A ses côtés, tu étais parvenu à avoir une certaine stabilité, car elle vivait avec toi, et que tu savais que si tu faisais une quelconque connerie, tu allais la retrouver après, et tu serais tellement rongé par la culpabilité que tu ne pourrais pas tenir sans le lui avouer. Disons que justement, elle t'aidait à ne pas faire de conneries, ou à en faire moins. Elle était vraiment celle qui arrivait à plus ou moins te garder sur le droit chemin. Mais tu savais que si elle partait vraiment ça serait foutu. Tu n'aurais plus rien qui te retiendrais, et comme on dit, chasser le naturel il revient au galop. Cependant, au lieu de la retenir, tu la poussais finalement à partir, parce que tu étais comme ça, et que si elle avait entamé toutes les démarches pour partir, c'est parce qu'elle le voulait vraiment. Tu lui disais un peu tout ce que tu avais sur le coeur, parce que... Elle t'avait poussé indirectement à le faire. Et qu'elle était elle aussi en droit de savoir ce que tu avais sur le coeur, ce que tu pensais de tout ça. Et vous étiez tout deux avec un point de vue différent. Toi tu ne voyais pas son départ comme elle le voyait. On était pas au pays des bisounours malheureusement. Son départ ne pouvait pas être sans mal. Dans sa façon de te parler, tu avais l'impression qu'elle culpabilisait de t'avoir dit qu'elle allait partir, qu'elle s'en voulait, et donc qu'elle essayait de se rattraper en t'assurant que rien ne changerait entre vous. Mais toi, tu étais suffisamment lucide pour savoir que tout changerait. Elle essayait alors tant bien que mal de sauver les meubles, mais le mal était fait tout autant que tu lui avais fais du mal à être aussi dur avec elle. Déjà que t'étais paumé, mais là, c'était pire que tout. Oui tu l'aimais, oui tu l'aimais à en crever, mais tu savais pertinemment que tu ne supporterais pas son départ. Tu en étais conscient. Elle finit par t'avouer que ce n'était pas uniquement pour le boulot qu'elle partait mais qu'elle était malade, ainsi que sa mère, et elle prétextait qu'avec tout ce qu'il t'était arrivé, elle ne voulait pas en rajouter une couche. Sauf que là, elle aussi t'avais mis en dehors de tout ça. Tu t'éloignais d'elle, parce que toute cette situation était bien trop difficile à gérer pour toi. Tu te rends compte de ce que tu viens de me dire Savannah ? Tu m'annonces ça, comme ça. Je sais que je ne suis pas l'exemple même du petit ami parfait, et je ne le serais jamais. Mais là, j'ai l'impression d'être un égoïste. Un pauvre con d'égoïste ! t'exclames-tu hors de toi, alors que tu essais de te contrôler tant bien que mal. Mais tu as du mal, parce que tu es entrain de réaliser que quoi qu'il arrive, tu es entrain de la perdre. Et donc par conséquent, tu es également entrain de perdre pied. Tu oses me reprocher de ne t'avoir jamais dis la vérité sur ce qu'il m'était arrivé ce soir là, quand je me suis fais poignarder, et quand je me suis fais torturer par cette fille. Mais tu te rends compte que ce que tu m'as caché c'est à la même échelle que ce que tu me reproches de t'avoir caché ? Tu m'as caché le fait que tu sois malade, pour me protéger ? Mais me protéger de quoi ? J'ai peut-être vécu des merdes, mais tu aurais du me le dire. Au lieu de ça, tu as attendu qu'une dispute éclate pour m'avouer une telle chose ? Tu m'avais promi que tu me dirais tout dès lors où tu aurais les résultats, sachant que cela remonte à quelques mois déjà. Ca fait combien de temps exactement que tu sais tout ça ? Ne me dis pas quelques jours... Je n'y croierais pas. Tu tournais les talons pour te retrouver dos à elle, et regarder de par la baie vitrée, ce qu'il se passait sur Miami. Tu serrais la mâchoire, et te passais nerveusement la main sur le visage. Tu sentais les larmes monter. Pour la deuxième fois aujourd'hui, et ça, ce n'était pas concevable, craquer devant elle. Non. Tu ne te le permettrais pas. Alors, tu avais difficilement ta salive, sentant ce noeud au fond de ta gorge. A l'écouter, à ses yeux, elle finirait sa vie avec toi. Mais toi, tu avais du mal à y croire. Et quand tu entendais un bruit dans la chambre, tu te retournais, pour voir ce qu'elle était entrain de faire, elle possédait un petit écrin dans le creux de sa main, et s'approchait de toi, pour le glisser dans la paume de la tienne. Non, cela ne pouvait pas être ça, ce n'était pas possible, pas une demande en mariage, pas maintenant, pas toi. Enfin... Tu n'étais pas stable, ta vie était loin d'être saine, tu ne te voyais pas marié, tout de suite, ce n'était pas possible, et tu ne pouvais pas te permettre de lui donner une réponse dans de telles circonstances, enfin, pour elle, c'était une preuve qu'elle reviendrait, mais... Non elle n'avait pas le droit de faire ça, pas maintenant, pas comme ça. Savannah. Tu ne peux pas. T'as pas le droit de faire ça. Pas maintenant, pas comme ça, pas en pleine dispute. Tu te rends compte de ce que tu viens de faire ? Tu oses me donner cette chose, cette promesse, me faire indirectement une demande, alors que t'es sur le point de partir ? Ce n'est pas comme ça que je voyais notre relation, tu ne peux pas faire ça dans de telles circonstances. Tu lui rendais alors cette petite boite. Ce n'était pas un non officiellement. Ce n'était pas un refus de ta part. C'est tout simplement que tu ne pouvais pas lui donner une réponse maintenant, parce que... C'était trop difficile. Elle allait partir dans deux jours, vous deux, c'était la fin, et ... Tu ne pouvais pas considérer que cette demande puisse tout arranger. Ce... Ce n'est pas un refus Savannah. Mais, comprends moi, mets toi à ma place. Cette bague, cette promesse. Je veux pas d'une promesse. Je veux des actes. Je sais que je suis loin d'être évident, tu savais où tu allais en t'engageant avec moi. Mais j'ai toujours privilégié les actes aux paroles. Mais... tant que je ne serai pas  sain, que je n'aurai pas une vie saine, et que je ne serai pas stable, je ne peux pas prendre le risque de ruiner officiellement ta vie. Je veux que tu sois sûre de ça. De ce que tu veux réellement. Pour le moment, peut-être que tu pars pour le boulot, pour ta mère, pour ta maladie, mais tu pars aussi parce que tu en as besoin, parce que tu as besoin de t'éloigner de moi, et de souffler. Je peux le comprendre, j'aurai juste voulu que tu me parles de tout ça, avant... avant de m'annoncer qu'il te restait deux jours... soufflais-tu la voix tremblante. Tu étais passé par plusieurs émotions et sentiments à la fois. La colère, puis la déception, et la tristesse. Tu ne voulais pas qu'elle parte et que vous soyez ainsi, après une dispute. On ne sait jamais de quoi est fait demain, et tu ne voulais pas qu'elle parte après une dispute comme celle-ci.
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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Sam 4 Mar - 11:17


❝when we met for the first time.❞
Clydannah.
Beaucoup me disent " il y a mieux ", " ce n'est pas le bon ", " il faut tomber sur le plus honnête ", mieux . Impossible il est unique, si c'est le bon je suis tombé amoureuse, honnête . Tout le monde ment. Donc dans un sens je m'en fous de l'avis des autres parce que je me battrais toujours pour Clyde. Il était persuadé que mon dépars marquerait la fin de notre histoire, mais comment lui expliquais que sans lui je ne me vois pas du tout. Il a toujours eu du mal a comprendre que je l'aime d'un amour infini et que si notre histoire dois se terminé ce ne sera pas moi qui met fin mais lui. Au lieu de finir cette discutions il préféré rester un peu seul histoire de digéré cet avoeux.  En rentrant alors chez nous je me dirigeais directement dans ma chambre, allongeais sur mon lit je pensais a tout ce qu'il à était dis au parc.  Ce genre de situation commençais de ce faire de plus en plus, nous passions la plus part de notre temps a nous disputé, je me demande quand remonte nos moment de bonheur. Il y a toujours quelque chose qui se met entre nous, il m'avait prévenu que sa vie est sombre et que ça ne sera pas facile avec lui mais je suis encore là parce que je l'aime et que je veux continué après tout ce qu'on a vécu.Plus les heures passées et plus tu te demandais si ce soir il allait rentrer, il ne voulait sans doute pas continuer cette discussion mais il le fallait, je veux partir en étant sûr qu'il comprend que je ne veux pas que ça se termine.Au bout d'un moment la porte s'ouvrir enfin, j'étais rassuré qu'il rentre.
Après une énième disputée je lui rétorquais alors que si je partais ce n'étais pas seulement pour le travail mais parce que je suis malade et que ma mère était transportée dans un hôpital à New York. -Tu te rends compte de ce que tu viens de me dire Savannah . Tu m'annonces ça, comme ça. Je sais que je ne suis pas l'exemple même du petit ami parfait, et je ne le serais jamais. Mais là, j'ai l'impression d'être un égoïste. Un pauvre con d'égoïste. dit-il hors de lui. Voilà encore une fois je n'ai pas réfléchi avant de parler, je ne voulais pas lui en parler parce que je ne voulais pas l’inquiétais davantage. -Tu oses me reprocher de ne t'avoir jamais dits la vérité sur ce qu'il m'était arrivé ce soir-là, quand je me suis faits poignarder, et quand je me suis faits torturés par cette fille. Mais tu te rends compte que ce que tu m'as caché c'est à la même échelle que ce que tu me reproches de t'avoir caché . Tu m'as caché le fait que tu sois malade, pour me protéger . Mais me protéger de quoi . J'ai peut-être vécu des merdes, mais tu aurais du me le dire. Au lieu de ça, tu as attendu qu'une dispute éclate pour m'avouer une telle chose . Tu m'avais promis que tu me dirais tout dès lors où tu aurais les résultats, sachant que cela remonte à quelques mois déjà. Ça fait combien de temps exactement que tu sais tout ça ? Ne me dis pas quelques jours... Je n'y croirais pas. dit-il en tournant les talons, il était désormais dos à moi malgré ça je le regardais, je me sentais terriblement mal c'est vrai je lui avais promis de ne jamais lui mentir sur mon état de santé.« Je sais depuis le jour où tu t'es faits torturés par cette fille. dis-je en baissant la tête je me sentais coupable maintenant, je n'aurais pas dû lui cacher ce genre de chose.Je me mis alors à chercher ce dont j'avais besoin dans ma table de nuit, il se retournait aussitôt, je pris la petite boîte et m'approchais de lui pour lui glisser dans la paume de ses mains. Je savais très bien qu'en fessant ça, ça allait lui faire peur, il va sûrement me prendre pour une folle et surtout qu'il me répète tous les jours qu'il n'est pas stable dans sa vie mais je lui rétorquais avant même qu'il dise quelque chose que ce n'est pas une demande officielle mais plutôt comme une promesse de revenir le plus vite possible. -Savannah. Tu ne peux pas. Tu n'as pas le droit de faire ça. Pas maintenant, pas comme ça, pas en pleine dispute. Tu te rends compte de ce que tu viens de faire . Tu oses me donner cette chose, cette promesse, me faire indirectement une demande, alors que tu es sur le point de partir . Ce n'est pas comme ça que je voyais notre relation, tu ne peux pas faire ça dans de telles circonstances. dit-il en me rendant la petite boîte. Aiiie ça fait terriblement mal ça.-Ce... Ce n'est pas un refus Savannah. Mais, comprends-moi, mets-toi à ma place. Cette bague, cette promesse. Je veux pas d'une promesse. Je veux des actes. Je sais que je suis loin d'être évident, tu savais où tu allais en t'engageant avec moi. Mais j'ai toujours privilégié les actes aux paroles. Mais... tant que je ne serai pas sain, que je n'aurai pas une vie saine, et que je ne serai pas stable, je ne peux pas prendre le risque de ruiner officiellement ta vie. Je veux que tu sois sûre de ça. De ce que tu veux réellement. Pour le moment, peut-être que tu pars pour le boulot, pour ta mère, pour ta maladie, mais tu pars aussi parce que tu en as besoin, parce que tu as besoin de t'éloigner de moi, et de souffler. Je peux le comprendre, j'aurai juste voulu que tu me parles de tout ça, avant... avant de m'annoncer qu'il te restait deux jours... ajoutait-il d'une voix tremblante.Ça, ça fait mal. dis-je simplement avec la voix cassée. Mais je comprends, du moins maintenant je l'ai compris. Tu n'es pas prêt à laisser quelqu'un entré dans ta vie. Tu prends le prétexte que ta vie est de la merde, que tu es sombre et j'en passe de tous tes côtés négatifs de toi mais putain Clyde quand vas-tu comprendre que je serais toujours là moi. dis-je en posant la boîte sur le lit. Je pensais que je pouvais t'aider mais tant que toi tu ne veux pas t'en sortir personne pourra t'aider même pas moi. Tu es en train ... de me tuer à petit feu parce que dans le fond je sais que je n'arriverai jamais à te rendre heureuse ce dont tu as besoin c'est de quelqu'un qui te ressemble et je l'ai bien compris. dis-je les larmes aux yeux.Ce n'est jamais facile avec toi et malgré tout, tu reste la meilleure chose qui m'est arrivée. Je ne pourrais jamais regretter mon histoire avec lui et je ne veux pas que ça ce termine . Excuse moi. dis-je en me précipitant dans la salle de bain pour y m'en fermer.





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