April & Sebastian.

La jeune femme ne dansa pas comme je le demanda, mais s'approcha pour s'occuper de moi. Elle me débarrassa de mon pantalon. Elle avait un regard de braise qui me plaisait énormément, je n'avais qu'une envie, d'en faire qu'une bouchée. Elle monta sur moi, je la tins par les cuisses tandis que sa bouche alla murmurer de douces paroles à mes oreilles. Je fis tourner April sans avertir pour finir de la déshabiller au complet, elle avait un corps sublime. Ma bouche se promena un instant avant de s'arrêter à sa poitrine pour lécher et sucer ses mamelons lui procurant déjà des frissons de bonheur. Je lui écartai ensuite les jambes pour jouer doucement sur son clitoris dans le but de la faire gémir. C'était facile de faire jouir les femmes comme les hommes, mais je m'en lasserai jamais.

- Tu vas voir ce que tu vas voir vilaine fille!

L'envie de la serrer, de la secouer, de la mordre ou de la gifler, me vint en tête, m'excitant davantage, je savais que toutes les filles que je rencontrais n'était pas adeptes de ce genre de pratique, mais je pouvais toujours demander. Je baisai son ventre tout doucement avant de remonter vers son visage pour lui tenir le menton et la tenir bien en face. J'installai une capote sur ma queue avant de revenir à charge vers la belle April qui m'attendait patiemment. Je glissai doucement mon sexe en elle provoquant une réaction que j'adore chez elle... Elle serra les jambes vers moi et je recommencai de plus belle. Maintenant que j'étais en elle, je commençai les vas et viens et je me penchai un peu plus vers en avant pour glisser ma main vers son cou, je la tenais par le cou pendant que j'étais en train de la baiser. Je laissai échapper quelques gémissements comme je trouvais ça plaisant. Je m'arrêtai un instant provoquant de l'incompréhension et de l'impatience chez elle.

- Je peux t'étrangler légèrement?

C'était une question pour savoir si je pouvais la baiser plus fort tout en la tenant par le cou. Elle était parfaite, alors je dirais que ça serait encore plus géniale qu'elle se soumette de cette façon. J'avais continuer à donner des coups reins tandis que ma question était sans doute en train de faire son chemin dans son cerveau.