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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! | Jeu 21 Mar - 18:02
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?
Le film ne me tentait pas plus que ça, c’était un navet pour adolescents, mais Helena tenait à voir la fin, alors je ne m’y opposai pas. On continua à discuter en même temps et même à chanter pour le cas d’Helena. Je ris à ses propos avant de rajouter « Tu peux oublier définitivement cette carrière. Quoi que quand tu vois certains chanteurs d’aujourd’hui, c’est pas grâce à leur talent qu’ils sont connus ! » Il y avait tous un tas d’exemples qui pouvait venir valider mes propos et je savais bien de quoi je parlais puisque la musique était ma passion. Passion oui, mais ce n’était pas pour autant que je me verrais bien en faire mon métier ! Je n’étais pas assez bon pour ça. La musique n’était pas ma seule passion, il y avait aussi la moto. Ca, bizarrement, cela plaisait moins à Helena. « Je crois que la première fois que j’ai conduit une moto, je devais avoir son âge. » Bon bien sûr, ça avait été un modèle réduit, mais au final, même fonctionnement. « Voir j’étais plus jeune. » dis-je en y réfléchissant bien. « Et regarde moi, pas un seul accident ! Enfin, un mais je l’avais cherché faut dire ! » avouais-je. Même si j’aimais la vitesse à moto, je restais prudent. Je n’étais pas du genre à fonce à 200km/H sur l’autoroute ! Du coup, je n’avais eu qu’un accident, et peu dramatique il y a 6 ans de ce cela. « Je suis sûr qu’elle s’éclaterait moi ! » dis-je sous le regard d’Helena. Non, elle ne serait absolument pas flexible sur ce point là et au final, je pouvais le comprendre. « Tu es déjà monté à moto toi ? Enfin dont tu t’en souviennes je veux dire. » Elle était déjà montée avec moi, mais ça bien sûr, elle n’en avait aucun souvenir.
J’étais curieux de savoir si elle, elle avait développé certaines passions. Apparemment non. Je grimaçais quelque peu face à ses propos. Je me sentais responsable… Même si mon adolescence n’avait pas été toute rose, j’avais pu la vivre… Je ne m’étais pas retrouvé à 16 ans avec un gamin sur le dos… « Cela viendra peut-être un jour… » dis-je simplement. C’est vrai, des personnes se trouvaient parfois des passions tardivement. Elle était jeune et avait le temps d’y penser.
Helena me demanda alors si je pourrais continuer à apprendre la guitare à Charlotte. « Ouais, j’ai l’impression. » souriais-je. Moi aussi, j’avais le sentiment qu’elle m’appréciait mais les enfants apprécient tout le monde en général, non ? « Et pour la guitare, bien sûr que je continuerais. Enfin si ça lui plait. » souriais-je. C’était aussi très difficile pour les enfants de se trouver une passion. Ils n’étaient pas patients et apprendre la guitare, ne se faisait pas en deux jours !
« Pourquoi ? Elle est si sexy que ça ? » blaguais-je avant de me recevoir une légère tape sur le bras. « J’ai compris, pas touche à la baby-sitter. » riais-je.
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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! | Dim 14 Avr - 0:03
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?
Tim me parla de sa passion pour la moto, mentionnant qu’il devait avoir l’âge de Charlotte quand il était monté sur une bécane la première fois. Rien qu’à l’idée de savoir ma fille sur l’un de ces engins ça me donnait le tournis. Je trouvais cela tellement dangereux de ne pas être enfermé dans un petit habitacle avec une ceinture de sécurité. Il me demanda si j’avais déjà fait l’expérience du deux roues. Je secouai la tête négativement. « Mon dieu non ! Je crois que j’aurais bien trop peur. Oui c’est mal de rejeter ses peurs sur ses enfants, je sais … » Je me mis à rire. J’étais pas la mère la plus parfaite qui soit je le savais bien. J’essayais de faire au mieux mais parfois ce n’était pas simple, comme refreiner cette peur des deux roues par exemple. Et puis je lui avouai ensuite que je n’avais pas de passion dans ma vie. J’aimais faire des choses pour me divertir mais rien dans lequel je m’investissais à fond. Avec gentillesse, Tim m’assura qu’il continuerait à donner des cours à notre fille si cela lui plaisait. J’étais ravie d’entendre ça. Quelque chose me disait qu’elle hériterait sans doute la passion de la musique de son part. « La baby-sitter est jolie mais pas plus sexy que moi. » répliquai-je au jeune homme quand il me demanda comment elle était après ma petite plaisanterie. La baby-sitter était ma cadette de quelques années, et même si je n’avais jamais comparé mon physique au sien, je savais qu’elle pourrait plaire au jeune homme. Mais il était hors de question qu’il lui fasse des yeux doux. J’avais trop besoin d’elle dans ma vie. « Comment se passe ta formation ? J’ai vu que tu avais commencé tes entrainements pour ton nouveau job. » Je ne savais plus exactement vers quoi il se dirigeait. Cela restait dans les secours mais quelque encore plus risqué que ce qu’il ne faisait déjà. « Et ce goût du risque ne t’attire pas une ribambelle de filles à tes pieds ? Quoi que … t’es peut-être gay en faite ? » Je le regardai avec le plus grand sérieux du monde, oubliant que j’étais censé regarder la fin du film et non parler par-dessus. « Enfin bi, vu que tu as couché avec moi il y a des années. Sauf si tu savais pas que tu étais gay et que tu l’as découvert après ? » Il me lança un petit regard qui semblait être désespéré par mes propos. Je lui donnai un petit coup de coude en riant. « Oh allez je plaisante ! Quoi que … rien me prouve le contraire. » Je fis bouger mes sourcils et me remit à rire.
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Gabriel S. Baker
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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! | Dim 14 Avr - 18:20
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?
La moto faisait souvent peur, mais au final seul l’ajout d’un moteur le différenciait d’un vélo. Bon un gros moteur, certes… Depuis tout petit, j’avais conduit ce genre d’engin. La vitesse, l’adrénaline, et le vent frôlant ma peau m’avait toujours été familier. Je ne pouvais pas m’en passer. « Trop peur ? carrément ! » riais-je avant de reprendre. « Tu n’y échapperas pas, je te ferais monter un de ces jours ! » Non, elle n’aurait pas le choix. Il fallait affronter ses peurs, non ? Et un tour en moto en ville, ce n’était pas la mer à boire ! « Promis, je respecterais les limitations de vitesse ! » la taquinais-je.
Charlotte semblait apprécier la guitare et c’était un bon moyen de partager du temps avec elle tout en douceur. Il fallait y aller en douceur. De toute façon, je ne voulais pas aller trop vite. Ca ne serait pas bon, ni pour elle, ni pour moi. Je souris à ces propos avant de rajouter. « Je veux bien te croire ! » Je n’avais jamais vu la baby-sitter en question mais… Helena n’avait rien à envier à personne ! Elle était belle et sexy !
« Ca se passe plutôt bien. Je finis bientôt, mais mon dossier médical pourrait me faire défaut. » Depuis l’accident de voiture qui avait tué mon père, ma jambe me faisait parfois défaut et même si lorsqu’une crise menaçait de pointer le bout de son nez, je m’arrêtais, il y avait toujours un risque que cela se produise en mission et bien sûr mes supérieurs étaient partagés. Ils ne pouvaient pas prendre le risque de me valider et de le regretter plus tard. Je les comprenais au fond, mais j’espérais que ma jambe ne me ferme pas des fautes. « On verra bien hein. » souriais-je. « Le fantasme du pompier est toujours présent que tu sois dans une équipe d’élite ou non. J’avoue que c’est flatteur mais il y a de l’abus. On se fait parfois appeler pour des malaises et on se rend compte qu’en fait non, c’était juste pour « voir » les pompiers » dis-je en mimant les guillemets. « Gay ?! » répétais-je surpris en la voyant aussi. Okay, trainer avec mes deux meilleurs amis gays ne me réussissait apparemment pas… « hey ! » m’offusquais-je faussement. « Okay, tu veux une preuve ? » demandais-je. Et fasse à son signe de tête, je n’hésitai pas une seconde, et j’aurais peut-être dû… Mes lèvres se posèrent sur les siennes avec fougue avant que je ne réalise vraiment ce que je venais de faire. Oui, j’en avais envie, là n’était pas la question. Helena n’était pas n’importe quelle fille. C’était mon ex et surtout la maman de Charlotte. « Euh, je suis désolé, je sais pas ce qu’il m’a pris. » mentis-je en me détachant brusquement d’elle.
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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! | Dim 14 Avr - 19:07
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?
C’était tellement facile de blaguer avec Timothy. Il rentrait avec bonne humeur dans ce que je disais. C’était un penchant de sa personnalité qui me plaisait plutôt bien. Je me demandais s’il était déjà comme cela lorsque nous étions ados. Etions nous deux rigolos, qui passait notre temps à se taquiner ? J’en savais rien, mais quelque chose me faisait penser que oui. Après avoir parlé sérieusement de son dossier médical, il m’expliqua que certaines personnes s’amusaient à téléphoner aux secours juste pour voir les pompiers débarquer chez eux. « C’est stupide. » laissai-je glisser avant de lui dire qu’il était peut-être gay finalement, s’il ne se ramenait pas une minette de temps en temps. Ça le fit tilter et il me demanda si je souhaitais voir une preuve. J’hochai la tête en même temps que je commençai à dire : « T’as des vidéos sulfur… » La bouche de Timothy vint trouver la mienne, arrêtant net mes paroles. Le baiser qu’il me donna n’était pas un simple petit baiser chaste et furtif. Non bien au contraire. Ce baiser était donné avec du cœur, il semblait vraiment tenir à ce que je comprenne qu’il n’avait aucun penchant pour la gente masculine. Ça n’avait rien de comparable aux baiser donné pour raviver mes souvenirs. C’était tout autre choses. Il dura quelques secondes, mais ces quelques secondes suffirent à faire monter un désir bouillonnant pour le jeune homme. Et quand ses lèvres se décollèrent des miennes, j’en fus frustrée. Il s’excusa. Un sourire glissa sans retenue sur mes lèvres. « T’excuse pas, tu viens de sauver ta virilité en moins de cinq secondes … » Je plongeai mes yeux dans les siens. Je savais que je ne pouvais pas agir n’importe comment avec Timothy. Que ce que nous partagions était délicat. Il était le père de Charlotte. Il était mon ex même si j’en avais plus de souvenirs. Mais qu’est-ce que j’avais envie de lui sauter dessus et de l’embrasser à nouveau. Je l’aurais fait si ça avait été un autre homme, sans prendre un temps de réflexion, mais là … Est-ce que ce n’était pas risquer de compromettre ce qu’on essayait de construire ? « T’en avais envie n’est-ce pas ? C’était pas juste pour prouver quelque chose … » lui demandai-je sans trop développer. Il comprendrait ma question, j’en étais certaine. Je le vis hésiter à me répondre. « Moi j’en ai envie. » J’approcha mon visage du jeune homme et l’embrassa avec la même passion qu’il m’avait donné juste avant. Je montai à califourchon sur ses genoux continuant notre baiser. Je sentais le feu du désir prendre possession de moi mais je ne pouvais m’empêcher de me demander si je n’allais pas trop en dehors des limites de notre relation. Ses mains qui se glissèrent sous mon t-shirt me dissuada bien vite de penser que ça pouvait être le cas. Je me laissai alors entrainer par ce que je ressentais sans plus me poser de questions, juste guider par mes envies de sexe. Je retirai le t-shirt de Timothy et l’embrassa dans le cou, et remonta près de son oreille. Je le sentis légèrement frissonner. Mes mains vinrent caresser son torse bien dessiné. J’avais jamais eu le fantasme de me taper un pompier mais là en voyant ça je pouvais pas dire non. Je comprenais peut-être un peu mieux pourquoi ils se faisaient appeler juste pour être mater. « Tu caches de trop beaux atouts sous tes vêtements. Est-ce que y a encore mieux là-dessous ? » lui demandai-je d’une voix suave en touchant son entrejambe. A travers son jean je pouvais sentir son érection se durcir et ce que je sentais me plaisait plutôt bien je devais dire.
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Gabriel S. Baker
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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! | Dim 14 Avr - 20:34
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?
Stupide ? Oui, mais c’était la définition même des gens, non ? N’étions pas tous un peu stupide ? Heureusement, pas tous au point d’appeler les pompiers dans le simple espoir d’assouvir un fantasme. « Ouais, on fait avec. » dis-je avec un léger sourire. C’est alors qu’elle insinuait que j’étais peut-être gay. Je n’avais pas l’impression de l’être, je n’avais jamais été attiré par un mec ! Sans réfléchir, je lui proposai de lui prouver… à ma façon. J’étais plutôt du genre à réfléchir habituellement. Il faut dire que c’était l’essence même de mon travail : travail dans l’urgence, mais travailler en réfléchissant. Alors oui, c’était une habitude de prendre en compte tous les paramètres avant de me lancer. Hors là, je n’y étais pas parvenu. J’avais juste répondu à mon envie ; à mon envie de goûter ses lèvres une nouvelle fois. Ca ne ressemblait en rien à ce qu’il s’était passé au réveillon de Noël et c’était sûrement bien mieux ainsi. Je retirai mes lèvres aussi brusquement que lorsque je les avais posées sur les siennes. Je bredouillai des excuses en m’insultant mentalement d’avoir sûrement tout gâcher. Je laissai échapper un petit rire nerveux face à ses propos.
Et brusquement un silence gênant s’installa. Je me sentais tellement bête que je ne savais pas quoi dire. Bravo Tim ! Helena avait bien compris la situation, je n’avais pas fait ça juste pour lui clouer le bec. Au final, ça n’avait été qu’un prétexte pour l’embrasser. « Je… c’était débile, c’est tout. » dis-je pour me défendre alors qu’elle affirmait qu’elle, elle en avait envie. Je la regardai, un peu surpris par cette révélation. Elle avait toujours été plus franche que moi dans ce domaine là et aujourd’hui, c’était encore le cas. Ses lèvres se posèrent sur les miennes avec la même passion dont j’avais fait preuve quelques instants avant. Mauvaise idée, j’en étais persuadé, pourtant, je ne la repoussai pas, bien au contraire. Mes mains brûlantes de désir, glissèrent rapidement sous son haut. Mon tee-shirt se retrouva bien vite sur le sol, et ça a ce moment-là que mon cerveau se mit en alerte. Putain de conscience ! « Je suis pas sûr que ce soit une bonne idée. Charlotte elle… » Okay Tim’ soit tu réfléchis trop et tu passes à côté de ta vie, comme d’habitude, soit tu agis et tu verras bien demain ! « T’as raison, on s’en fout. » Répliquais-je en posant de nouveau mes lèvres sur les siennes. Se contrôler n’était pas toujours la meilleure chose à faire. Ses caresses et ses baisers étaient un délice. Elle savait s’y prendre, beaucoup mieux qu’il y a neuf ans d’ailleurs. Mais ça, c’était bien normal. Son haut ne tarda pas à rejoindre le sien et mes lèvres s’aventurèrent alors sur sa poitrine absolument délicieuse. Mon corps se réveilla vite face à une telle attaque et la jeune femme n’eut pas de mal à s’en apercevoir. « Bien mieux. » dis-je simplement en me levant, la soulevant contre moi. Mes mains passèrent sous ses fesses pour la maintenir contre moi. Je me dirigeai alors vers la deuxième chambre qui était à présent une chambre d’amis, le temps que je retrouve un ou une colocataire. Refermant la porte de la chambre d’un coup de pieds un peu trop brusque, j’espérai simplement n’avoir pas réveillé Charlotte. Helena se retrouva bien vite allongée sur le lit, moi au-dessus d’elle. Mes lèvres se perdirent à nouveau sur les siennes alors que mains s’aventuraient sur son corps. D’un geste vif, je défis le bouton de son jean. Jean, qui lui collait à la peau et qui fut, à mon goût, trop long à rejoindre le sol. « Les robes, c’est bien plus facile. » dis-je dans un léger rire. Mes baisers se perdirent dans son cou et descendirent petit à petit sur sa poitrine qui, à son tour, fut délestée de sa dentelle. Ses légers gémissements me firent prolonger cette délicieuse torture encore quelques instants avant de reprendre possession de ses lèvres. Ma main gauche caressait délicatement ses cheveux alors que la droite s’aventurait sur ce corps que je n’avais pas retouché depuis bien trop longtemps.
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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! | Dim 14 Avr - 21:25
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?
Le fait qu’il pense à Charlotte, à son bien être aurait pu m’attendrir dans une autre situation mais là, j’avais aucunement envie de penser à ma fille. J’avais juste envie d’être une femme, une femme qui usait de ses atouts pour avoir un peu de plaisir avec un homme qui l’excitait terriblement. Je lui lançai un regard avec une petite moue. « Elle dort, t’en fais pas. » Est-ce que c’était ce qu’une mère était censé faire ? S’envoyer en l’air avec le père de sa fille alors qu’il n’y avait qu’une relation platonique entre eux ? J’en était pas certaine mais je m’en fichais. J’étais pas une mère parfaite, je ne le serais jamais et c’est ce qui me rendait sans doute humaine après-tout. Je le distrais en lui demandant s’ils avaient d’autres atouts encore cachés, en touchant son sexe durcit sans aucune gêne. Je savais que ça lui plaisait ce qu’on faisait là et ça ne pouvait que me rendre plus folle de lui. Il me souleva du canapé pour m’amener jusqu’à une chambre vide où il me laissa tomber sur le lit. Quelques cheveux vinrent caresser mon visage, que je balayai d’un revers de ma main. Sa bouche rencontra la mienne à nouveau. Ses lèvres étaient délicieusement chaudes. Ma main droite se perdit dans ses cheveux et puis descendis caresser sa barbe naissante. Sa tête disparut un peu plus bas et ses mains déboutonnèrent mon jean pour ne laisser sur moi que mon tanga rouge vif en dentelle. « Je prends note monsieur. » J’avais voulut rajouter … pour la prochaine fois … mais je m’étais abstenue. Y aurait-il une prochaine fois ? J’en savais rien et je n’avais pas envie de me poser la question. Pour l’instant je voulais vivre le moment présent. « Et si tu enlevais le tien tant que tu y es ? » lui demandai-je en le détaillant de haut en bas. Il s’exécuta sans protestation. En même temps, il n’avait plutôt pas intérêt. Timothy revint ensuite vers moi, sa bouche allant à la rencontre de ma poitrine. Je sentais mes tétons se durcir d’excitation à mesure qu’il s’approchait d’eux. Je ne pouvais réprimer les gémissements de plaisirs qui s’échappèrent d’entre mes lèvres. Je le fis tomber à côté de moi sur lit et puis lui monta dessus. J’aimais ça être dessus, avoir le contrôle des choses. Peut-être trouverait-il ça … trop ? Il m’arrêterait sans doute si j’allais trop loin dans ce que je faisais.
J’embrassa doucement son cou, puis son épaule gauche avant de descendre vers son torse. Je me laissai glisser entre ses jambes qui pendait au bout du lit et lui retira son boxer. Avec avidité j’observai son pénis. J’en avais vu d’autre et je pouvais bien dire qu’il n’avait pas être malheureux de son équipement. Je regardai le jeune homme et croisa son regard. Je lui offris un sourire satisfait. Ma main droite se glissa sur son membre bien dur et je pu l’entendre soupirer de plaisir. J’approcha ma bouche et commença à passer doucement ma langue sur son gland. Je sens que je lui procure des sensations qu’il aime. Je m’y connais assez pour savoir que cela lui plait. Je joue pendant quelques instants, le laissant croire à plusieurs reprises que je vais enfin le prendre entièrement dans ma bouche. Le voir prendre son pied était si excitant. C’est alors que ma bouche se referme sur son sexe et que je commence de très légers mouvements de vas-et-viens. Je le sens se contracter de plus en plus alors je m’arrête pour revenir vers son visage. « Je te faisais des choses comme ça du haut de mes quinze ans ? » chuchota-je doucement avec assurance. Je devais être bien différente au lit que la petite ado qu’il avait connue. J’avais sans doute plus de confiance et ça devait se ressentir. Ou bien peut-être avais-je toujours eu un don pour le sexe, allait savoir ! Ses mains se glissèrent au niveau de mon seul bout de tissus qui recouvrait mon intimité et je l’aidai à m’en dévêtir. Être complètement nue ne faisait qu’accentuer mon désir. J’avança mon entre-jambe du sien et me frotta délicatement à lui. Je me mordillai la lèvre inférieure en le regardant. Je voulais qu’il prenne les choses en main maintenant et je tentai de le lui faire comprendre en échangeant nos places. Moi en dessous, lui au-dessus.
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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! | Mar 30 Avr - 15:51
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?
Ce n’était pas le fait que Charlotte puisse se réveiller qui m’inquiétait. Non, c’était tout le reste autour… Helena et moi étions sensé nous comporter en adulte pour le bien de Charlotte. Or là, j’avais plutôt l’impression que nous étions des enfants qui n’écoutaient que leur envie. Au fond, était-ce si mal ? … Il était préférable pour moi que je n’y réfléchisse pas trop. Helena, elle, semblait se poser moins de questions que moi. C’est peut-être ce qui m’empêcha de tout stopper bêtement.
Ma chambre, tout du moins, celle d’amis serait certainement plus adaptée à la situation ! Nos vêtements jonchèrent rapidement le sol avant que mes lèvres ne se posent sur sa bouche puis sur ses seins. Ses soupirs de plaisirs eurent le don de m’exciter encore plus. Des souvenirs d’un ancien temps me revinrent à l’esprit quelques brefs instants. Sa peau, ses baisers… m’avaient longuement manqué à une époque. Je n’avais jamais imaginé que tout cela puisse se reproduire, ne serait-ce qu’une nuit.
La jeune femme prit rapidement le dessus, ce qui n’était pas pour me déplaire. Dans mes souvenirs, elle était moins entreprenante que ça. En même temps, à 15 ans, on est loin d’être des bêtes de sexe ! Ce fut à mon tour de subir l’assaut de ses baisers et de ses caresses. Elle savait s’y prendre, c’était un fait indéniable ! D’ailleurs mes soupirs ne pouvaient que l’attester ! Sans que je m’y attende (parce que oui, dans mon esprit, je ne connaissais que la Britany d’il y a 10 ans !) et à mon plus grand plaisir, sa langue vint titiller mon gland. Elle prit un malin plaisir à me faire languir et je savais déjà que je saurais parfaitement lui rendre la pareille ! C’est au bout de, ce qui me sembla une éternité, que sa bouche se referma sur mon sexe. Oh mon dieu, que c’était bon ! Ses mouvements de vas-et-viens ne firent qu’augmenter mon érection.
« Non, clairement pas. Tu disais toujours : ça ne rentrera jamais. Comme quoi, j’avais raison, ça rentre ! » lâchais-je dans un léger rire avant que mes lèvres n’atterrissent à nouveau sur sa bouche. Le seul bout de tissu qui lui restait rejoignit rapidement les autres. Lorsque nos places furent échangées, je compris qu’elle n’attendait qu’une chose, que je lui rende la pareille. Mais tout comme elle, je comptais bien la faire languir de plaisir. Ma bouche commença par son cou, ses épaules, ses seins, son ventre puis s’attarda longuement sur ses cuisses, passant de l’une à l’autre sans jamais toucher son sexe, juste en l’effleurant. A la voir se tortiller ainsi sur ce lit, je ne pus me résoudre à la faire languir plus longtemps. Mes lèvres se posèrent alors sur son sexe luisant de désir. Un soupir de sa part me fit comprendre qu’elle était satisfaite que j’accède enfin à sa demande silencieuse. Ma langue joua longuement avec son clitoris et ses gémissements ne firent que s’accentuer. L’entendre prendre du plaisir ainsi ne fit qu’accroitre le mien ! Mes lèvres remontèrent alors lentement vers les siennes alors que ma main droite prenait le relais de ma bouche. « Satisfaite ? » demandais-je entre deux baisers. La tension était à son comble et je ne pouvais attendre plus longtemps pour en avoir plus. Mon sexe était prêt à exploser et j’avais besoin de la sentir contre moi. Me positionnant au-dessus d’elle, mon sexe trouva rapidement le chemin pour accéder au sien. C’est dans un râle de plaisir que je m’immisçai au creux de son corps. Mes mouvements se firent d’abord lents et réguliers. Son souffle contre mon oreille était chaud et irrégulier, signe qu’elle aimait tout autant que moi ce qui était en train de se passer entre nous.
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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! | Jeu 2 Mai - 21:16
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?
Je savais pas si ce que j’étais entrain de faire avec Timothy était responsable ou complètement irresponsable mais c’était bel et bien entrain d’arriver en tout cas. Depuis la soirée de noël où il m’avait embrassé je ressentais un petit quelque chose pour le père de ma fille. J’allais pas dire que c’était des sentiments amoureux, non bien loin de là, mais disons que j’avais bien envie de sexe avec lui. Finalement il était arrivé ce qui devait arriver. J’avais commencer par prendre les devants en chauffant bien comme il fallait Tim. Je voyais bien que ça lui plaisait et j’en étais plutôt fière au fond de moi. Je lui lança une petite plaisanterie à laquelle il me répondit : « Non, clairement pas. Tu disais toujours : ça ne rentrera jamais. Comme quoi, j’avais raison, ça rentre ! » Je ne pu m’empêcher de rire quand je l’entendis dire cela. J’imaginais bien la scène dans mon esprit. Sans doute que cela me faisait peur de prendre un pénis dans ma bouche. J’étais si jeune à l’époque en y repensant. J’espérais que Charlotte ne fasse pas les mêmes erreurs que moi en grandissant. Ses lèvres se posèrent sur les miennes interrompant mon rire. Ces lèvres étant si douces. Que c’était bon quand il m’embrassait. J’échangeais nos places et le jeune homme sembla comprendre ce que j’attendais de lui à présent. Il parcourra mon corps de baiser, ce qui me faisait frissonner. Je le sentis s’approcher de mes cuisses et alors que je pensais qu’il allait enfouir sa tête entre mes jambes, il n’en fit rien. Il faisait durer le plaisir. C’était à la fois si frustrant et si bon. Je me mordis la lèvre inférieure en suppliant intérieurement le jeune homme de venir jouer avec mon intimité. Ce qu’il ne tarda pas à faire pour mon plus grand plaisir. Quand je sentis sa bouche enfin accéder à l’endroit le plus propice à mon plaisir, je ne pu réprimer un soupir de plaisir qui s’échappa bien vite de mes lèvres.
« Oh merde … » lachai-je dans un souffle alors que je sentais ma libido exploser sous l’effet de sa langue qui venait jouer avec mon clitoris.
Mon corps se tendit à mesure qu’il jouait avec moi. Il savait où allait pour me faire perdre le contrôle. Je n’arrivais à retenir certains gémissements de plaisir tellement ce qu’il me faisait ressentir était intense. Et puis il cessa, soudainement. Je me sentis frustrée le temps d’un instant, mais il me fit vite oublier cette frustration quand je sentis sa main se glisser en moi. Sa tête se mit au niveau de la mienne et il me vola un baiser. Tim me demanda si j’étais satisfaite.
« Je sais pas si tu étais aussi doué ado, mais là c’est certain que oui ! »
Il était temps de passer aux choses plus sérieuses. Je lui vola un baiser fougueux dans lequel ma langue se glissa dans sa bouche, pour jouer avec la sienne. J’en pouvais plus d’attendre. J’avais envie de le sentir en moi. Je le regardai.
« T’as un préservatif ? Ce serait un peu con qu’on fasse un petit frère ou petite sœur à Charlotte non ? »
Je savais pas si c’était de bon ton de faire ce genre de blague mais cela ne sembla pas refroidir le père de ma fille en tout cas. Et puis quoi, ce que je disais était bien vrai. On devait bien apprendre de ses erreurs dans la vie non ? Bien que je ne considère pas forcément ma fille comme une erreur … mais valait mieux se protéger. Je prenais un moyen de contraception mais deux valaient mieux qu’une, surtout en ne sachant pas où allait nous mener cette coucherie. Il sortit une capote, qu’il enfila et puis sans attendre s’inséra en moi. Un gémissement de plaisir s’échappe. Il commence ses vas-et-viens en moi. Je sens mon cœur s’affoler dans ma poitrine. Mes yeux croisent les siens et je me sens submerger par une envie irrépressible de l’embrasser, ce que je fais sans aucune retenue. Ma langue se mêle à la sienne. Je descends ma bouche au creux de son cou et l’embrasse avant de remonter près de son oreille. Mon souffle est saccadé, rapide. Je gémis de plaisir. Tim est doux avec ses mouvements mais pas trop non plus, juste ce qu’il faut, comme je l’aime. Je sens qu’il n’est pas loin de la jouissance alors je décide de changer nos positions. Je monte sur lui et prends le contrôle du rythme de nos corps entremêlés. Je peux mieux contrôler mon plaisir de cette façon. Je ne détache pas mon regard du jeune homme. J’aime le voir prendre son pied. Il est beau et ça m’excite. Je ne suis pas loin de jouir. Je sens mon orgasme prendre possession de moi. Je connais mon corps, je sais comment le retenir quelques instants, juste assez longtemps pour jouir en même temps que le jeune homme. Je me laisse tomber sur son torse, essayant de reprendre une respiration normale. Je me sens toute molle comme après tout orgasme. Celui-là était intense je devais dire. Après une minute, je me laissai rouler sur la couette du lit.
« Putain t’es bon, je suis impressionnée. »
Je le regarde avec un petit regard malicieux tendis qu’il se défaisait du préservatif. En vrai je ne savais pas du tout à quoi m’attendre sur sa performance sexuelle. Ce que j’avais lu dans mon journal intime d’ado c’était que j’avais pris pas mal de plaisir à coucher avec lui et aujourd’hui c’était encore le cas.
« Bon … » commencai-je.
J’étais un peu gênée à présent qu’on venait de coucher ensemble. Je savais pas trop ce que je devais faire ou dire. Je savais même pas ce que voulait dire ce qu’on venait de faire. Charlotte dormait dans la chambre d’à côté. Est-ce que c’était le moment où je devais me lever et m’habiller pour rentrer, ou bien je passais la nuit ici ? Rien était clair et j’aimais pas vraiment ça.
( Pando )
Gabriel S. Baker
Desigual
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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! | Dim 5 Mai - 12:07
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?
Les soins que je prodiguais à son corps semblait la satisfaire amplement. « A l’époque, je t’aurais sûrement dit oui ! » En même temps, à cet âge, lorsqu’enfin, ça y est, on n’est plus puceau, on se prend pour un sur-homme. Dans notre tête, on a tout vu, tout vécu. Mes fesses ouais ! Qu’importe, ce n’était clairement pas le moment de plancher sur une discussion philosophique pour savoir si ado, j’étais doué ou non. De toute façon mon égo me dirait oui et mon cerveau non.
Je laissai échapper un léger rire aux paroles de la jeune femme. Un petit frère ? Non merci ! Un préservatif, c’est genre le truc que je n’oublierai plus jamais ! (ou pas x)) Heureusement pour moi, je n’avais pas besoin d’aller me faufiler dans ma chambre pour un trouver un. Il y en avait dans cette chambre. Prévoyant ? Absolument pas. C’était ce qui restait de la réserve de mon ancienne colloc. Elle était du genre à ramener pas mal de garçons ici. Il fallait donc qu’elle soit équipée en conséquence ! En un rien de temps, je me faufilai au creux de ses reins et un gémissement s’échappa de ses lèvres, comme des miennes d’ailleurs. Il faut dire que la sensation était délicieuse. On ne va pas mentir, pour moi, ça faisait un bail que ça ne m’était pas arrivé ! Voilà pourquoi je ne voulais pas que ma jouissance arrive trop vite. Je voulais qu’elle prenne autant de plaisir que moi à cet instant précis. Ses soupirs me laissaient penser que pour l’instant, c’était le cas. Mes mouvements de vas et viens prirent de l’intensité alors que ses lèvres passaient de ma bouche à mou cou. La jouissance n’était plus très loin, mais je luttais pour la retarder au maximum. C’est alors que la jolie blonde prit le dessus. Elle voulait mener la danse et elle était parfaite dans ce rôle. Si elle ne se souvenait pas, moi oui et le constat était flagrant. Ces dernières années lui avaient été bénéfique. C’est dans un dernier mouvement que la jouissance l’emporta pour nos deux corps. Mon dieu, que c’était bon ! « Autant que ça ? » riais-je toujours essoufflé. « Et pourquoi un tel étonnement ? Tu t’étais mise en tête que j’étais nul ? » plaisantais-je.
Maintenant que le moment de plaisir était terminé, on se retrouvait face au moment gênant… ou aucun de nous de deux ne savait quoi dire. On avait été amoureux, je l’avais cru morte, elle avait perdu la mémoire, je l’avais retrouvée, on avait une fille ensemble et pourtant… On se retrouvait comme deux idiots après avoir couché ensemble. « Hum… on a l’air con là pas vrai ? » dis-je, allongé sur le dos, mes yeux rivés vers le plafond. Un léger rire s’échappa de ma bouche en pensant à cette gêne grotesque qui nous envahissait. Ce rire fut aussitôt partagé pas la jeune femme. « Hum… je peux aller dormir sur le canapé si tu préfères… » C’était plutôt débile de proposer ça après ce qu’il venait de se passer. Comme si dormir l’un à côté de l’autre était pire que coucher ensemble… Bravo Tim !
( Pando )
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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! | Dim 5 Mai - 17:37
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?
Je devais bien avouer que Timothy me surprenait au lit. Il avait réussis à comprendre ce qui me faisait plaisir et m’avait donné un orgasme bien digne de lui. Je lui fis savoir d’ailleurs. C’était toujours bon de flatter l’égo d’un homme. Il me répondit à la blague et sur le même ton je ne pu m’empêcher de reprendre ce qui avait déclenché notre petite partie de jambe en l’air. « Et bin disons que pendant un moment j’ai cru que tu étais gay. » Je me mis à rire avant que je me demande comment mettre fin à la situation dans laquelle nous nous trouvions. On s’était bien amusés mais maintenant il était peut-être temps de savoir ce que nous allions faire l’un l’autre. Devais-je partir ? Devais-je rester ? Le voulait-il ? Cela me fit sourire quand il avoua qu’on se trouvait un peu con maintenant que nous avions terminés notre petite affaire. « Un peu ouais. Je vais m’habiller déjà... » dis-je en me redressant sur le lit. Je ramassai mes vêtements qui jonchaient le sol et enfila mon t-shirt et ma culotte. Timothy me proposa de me laisser le lit pour aller dormir sur le canapé. Je le regardai en secouant la tête négativement. « Non c’est bon, je peux prendre le canapé sauf si … tu tiens à m’avoir dans ton lit ? » Je croisai ses yeux et je lui offris un petit sourire en coin. Je le vis me rendre mon sourire. Je grimpai sur la couverture lui épargnant une réponse. Il me semblait avoir compris qu’il n’était pas contre l’idée que je vienne le rejoindre pour la nuit. Je me blottis contre lui et je sentis ses bras s’enrouler autour de moi. Ça avait quelque chose de sécurisant, de familier cette sensation. Peut-être était-ce une part de mon inconscience qui me faisait ressentir des choses oubliées ? « Ce qui s’est passé entre nous … » commençai-je en ne sachant même pas trop moi-même ce que ça signifiait. Je relevai ma tête de son torse pour fixer son visage. « C’était bien mais je suis pas certaine de ce que ça veut dire … » Je sentais que Timothy était un peu dans le même état d’esprit que moi. « Je pense qu’on devrait s’en tenir à ça, pour Charlotte. J’ai pas envie que les choses soient compliquées entre nous. » Je baissais la tête, fuyant par la même occasion le regard du jeune homme. Je savais pas du tout ce qu’il ressentait à mon égard. J’étais bien plus à ses yeux, qu’il ne l’était pour moi et j’espérais ne pas l’avoir blessé avec mes mots. Je sentais son cœur battre dans sa poitrine et son souffle chaud me chatouiller mon oreille.
( Pando )
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(#)Sujet: Re: Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?! |
Qui a eu cette idée folle, un jour d'inventer l'école?!