“christmas breakfast ” & Noel n’était pas la fête la plus apprécié de mon jolie roux. Simplement parce qu’il n’avait pas de famille avec qui le souligner. Le vingt-cinq dans une famille d’acceuille n’est pas toujours rose. Même quand la famille est super, peu importe où ou avec qui il était gamin, ça lui rappelait qu’il n’avait pas sa propre famille. Pas de racine. Il pourrait disparaître, fuir sans avertir personne et personne à l’époque ne l’aurait cherché.
D'ailleurs, il soulignait cette fête en retard avec son meilleur ami maintenant qu'ils avaient le temps. Puis maintenant que le nouvel an était débarqué, Arlo pouvait fêter noël un peu moins amèrement.
Jusqu’à Léo. Léo tuerait pour Arlo et il le savait. Depuis le début de leur cohabitation, ils s’étaient encore plus rapproché si c’était possible. Et le casino en était en partie responsable. Leur idées ensemble brillait. Leur succès ne faisait que commencer, mais le duo s’amusait comme des fous.
Le boulot s'arrêtait jamais pour eux. Disponible en tout temps au besoin. Dans le ring le jour pour s’entraîner et à l’étage le soir pour s’assurer de la sécurité de tout le monde avant que les combats commencent au sous-sol.
Les deux amis s’étaient permis un jour de congé en cette saison estival. Et même si Arlo terminera surement au gym ou à courir sur la plage si la salle de sport est fermée. Arlo allait s’occuper comme il le pouvait pour ne pas penser à des souvenirs d’enfances moins amusant qui le hantaient toujours en décembre. Il avait retrouver sa petite soeur au moins, il avait même pris la peine de lui écrire en se levant ce matin. Préférant rester de son côté du pays puisqu’il ne voulait pas vraiment se lier à cette famille qu’il n’a pas eu le droit d’avoir gamin.
Il s’était couché tard la veille ou plutôt tôt ce matin. Léo disait vouloir finir quelques trucs avant de rentrer, alors ils étaient rentré séparément. Du moins, c’est ce que le roux croyait, s’étant endormi en mettant les pieds dans leur appartement.
Arlo était le premier à sortir de sa chambre et c’était bien parce que c’était le vingt-cinq décembre qu’il fit un effort. Fouillant dans leur frigo pour voir ce qu’il pourrait bien préparer. Son estomac criait déjà. Des oeufs et quelques légumes lui donna envie d'omelettes.
Léo était chanceux puisque Arlo n’était pas un expert en cuisine, mais il mangeait tellement d’omelettes et du bacon, il en était expert. Les épices parfaites, les légumes grillés à la perfection, Léo commencerait son noël de ne bonne façon.
Surpris quand son meilleur ami fait son entrée par la porte d’entrée plutôt qu’en sortant de sa chambre. Le petit vilain avait fini dans le lit d’une nana qui lui tournait autour la veille. Il en avait toujours un tas au casino. Ohh, Noël commence mieux que je pensais pour toi petit coquin! Léo s’installa au comptoir de la cuisine pendant que Arlo transférait le contenue de la casserole dans deux assiettes.  Tiens, tu vas avoir besoin de force, c’est une grosse journée! Joyeux Noël mon frère. Léo allait surement visiter sa soeur, s’il n’avait pas dormi de la nuit parce qu’il s’amusait avec une demoiselle de la veille, il en aurait besoin.
Le café s’en vient. La carafe se remplissait alors que debout de son côté de la cuisine, il commençait à manger lui aussi. Leur appartement n’était pas décoré, c’était clairement pas leur genre, mais Arlo était heureux d’avoir Léo avait lui ce matin-là.  
Tu as des plans pour la journée? Faisant la discussion comme n’importe quelle autre journée, sans la neige ou le froid à Miami c’était difficile de se mettre dans l’ambiance des fêtes et ce détail plaît à Arlo qui ne croit plus au père noël depuis longtemps.

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“christmas breakfast ” & Ces derniers jours avaient été assez fous. Entre le boulot au casino avec Arlo, le retour de ma cousine Paisley dans ma vie et surtout le retour de Jade... ça en faisait des choses à gérer. Le truc, c'est que je n'avais pas encore parlé de tout ça à mon meilleur ami et colocataire. Autant la partie Paisley ne me faisait pas peur du tout (d'ailleurs je pense que je commencerais par là). Autant la partie Jade me faisait bien plus peur.

J'avais envoyé un message à Arlo pour le rejoindre au casino dans la soirée et on avait fini par être séparés. Il me pensait sûrement avec la nana qui m'avait dragué avant qu'il ne parte de son côté, mais c'était pas du tout la réalité. Ces derniers mois, il pensait que j'avais pu enchaîner plusieurs conquêtes, que Jade ne m'intéressait plus du tout... c'était ce que je voulais qu'il croit. Il ne croyait pas du tout en mon histoire avec Jade, en tout cas il ne l'aimait pas pour tout ce qu'elle avait pu me faire subir. Je pouvais le comprendre, moi-même j'avais tenté de la détester en vain. Je n'avais pu m'y résoudre. Alors j'avais préféré lui cacher que je la voyais de temps en temps, que j'allais la voir aussi à son travail, que je veillais encore sur elle et surtout qu'elle était toujours la seule nana que je me tapais.

Hier soir, j'étais bien évidemment allé voir la belle pour lui souhaiter un Joyeux Noël, lui offrir un cadeau et passer la nuit avec elle pour l'occasion. J'avais donc échangé par texto avec mon meilleur ami en lui prétextant une nuit bien agitée, qu'il ne devait pas m'attendre. Il me cru sans problèmes et je passais la nuit avec Jade. Le lendemain matin, j'arrivais donc par la porte d'entrée et je posais toutes mes affaires par terre avant d'aller m'installer devant mon meilleur ami, bien matinal, qui était sur le point de faire une omelette. waaa c'est Noëeel mec. Joyeux Noël poto. fis-je en prenant une part de son omelette. Je souris à sa vanne sur le commencement de Noël. Je devais faire genre. pourtant, je m'en voulais fort de lui mentir. Lui, me disait tout. Il faudrait que je passe l'année en ayant plus rien sur la conscience. Je savais qu'il me tuerait. Il ne me ferait pas la gueule parce qu'on est plus fort que ça mais, il allait exploser c'était sûr. tu as parlé à ta petite soeur? de son côté, il me parlait de tout. Je m'en voulais aussi pour ça. Il ne me cachait absolument rien. Je me devais de lui révéler la vérité. Il me demandait ce que j'allais faire de ma journée. Elle allait être longue, oui, j'ai peu dormi même si contrairement à ce qu'il croit j'ai dormi. Je me retournais sur mon siège vers le sapin improvisé qu'on avait fait et je lui tendais mon cadeau. cadeau bro lui fis-je alors. C'était, caché dans le papier, des nouvelles baskets et une nouvelle paire de gants de fou pour la boxe. tu kiffes j'espère? dis le, c'est ton plus beau cadeau de Noël. je riais. j'irais surement voir Sky. ou pas. ou je passe la journée à chiner ici. je verrais bien. lui fis-je alors. faut que j'te dise un truc. ou plusieurs trucs. enfin bref je commence par le début. j'ai retrouvé ma cousine. T'sais Sky m'avait dit que genre elle était en ville alors j'ai fouillé. tu vas pas me croire. heureusement que c'est par alliance parce que je la connaissais déjà... j'me la suis tapé quand j'étais ado en foyer. fis-je en riant alors comme un gosse. Y'a qu'à Arlo que je pouvais parler comme ça. J'avais un passé, il le savait. J'avais pas à me cacher. Elle s'appelle Paisley, elle bosse au devil bar. facile de m'y introduire, tu penses bien. tous les gars nous connaissent là bas. bon ça m'a soulagé sur le coup j'me suis dis ouf je sais que c'est pas une folle à lier mais bon, c'bizarre de lui dire "cousine", quoi. je ne me doutais pas une seule seconde que Arlo aussi, la connaissait...

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“christmas breakfast ” & Avec son meilleur ami de rentrée, Arlo ne savait pas qu’il vivait beaucoup de changement et même si certains de ses choix (jade dahhh) n’était pas logique à ses yeux, il le supportera peut importe ce qu’il entreprendrait. Il l’avait suivit dans ses idées de casino après tout et jusque là, ça portait fruit. Ils travaillaient beaucoup et devait sacrifier beaucoup de leur temps libre pour le succès de leur nouvelle entreprise, mais ils s’amusaient. Ceux qui disent de ne pas faire affaire avec des amis ne connaissent pas Léo et Arlo. Leur amitié était vrai et ils se soutiendraient jusqu’à la fin.
Léo était maintenant rentrée et avant qu’il parte pour des festivités, il avait un peu de temps pour son copain Arlo. Il avait l’air fatigué de là le commentaire amusé du rouquin. Léo était peut-être timide ce matin ou endormi, puisqu’il ne dit que sourire.
Un peu de café l’aiderait peut-être à affronter la journée puisque le vingt-cinq décembre est toujours bien long. Arlo planifiait passer la soirée au Casino, il y a toujours des âmes seules qui finissent dans ce genre d’endroit eux aussi. Je lui ai écris plus tôt, elle est avec sa famille aujourd’hui. Il parlait de sa petite soeur. Cette famille pourrait être la sienne, mais pour le moment, Arlo n’en veut pas. Encore bien mélanger par des sentiments d’abandon qu’il traîne depuis l’enfance. Il était confortable avec un petit lien. Loin. La distance le gardait libre. Il aimait déjà sa soeur, mais avait de la difficulté à se l’admettre. Parce que si un jour il la perdait, il retrouverait une solitude qu’il aura abandonné pour rien.
Déjeunant tranquillement avec son ami, il ne s’attendait pas à un cadeau, souriant comme un gamin. C’était pas tous les nouvelles que Arlo ou Léo avait eu ce genre d’attention. Ou même un toit confortable dans le temps des fêtes. Il se comptait chanceux le petit boxeur et remercia son bon ami avec un gros câlin. It’s the best gift!! J’adore, on va devoir les tester ensemble ces nouveaux gants!! Rigolant, puisque ils s’amusaient toujours ensemble dans le ring. Arlo aussi avait acheter un petit quelque chose pour son colocataire. Des jeux vidéos pour les occuper quand ils sont ensemble à la maison. Et si Léo restait ici une partie de la journée, ils pourront tester ce cadeau aujourd’hui.
Puis la conversation tourna vers quelque chose de plus sérieux. Léo qui se vidait le sac sur des histoires de famille. Il avait des racines et l’arbre s'agrandit. Arlo était heureux d’entendre qu’il découvrait plus de personne même si c’était par alliance. Oh mince… C’était malaisant quand tu l’as revu? Arlo n’avait pas toute les informations. Et soudainement.. Arlo était celui qui vivait un malaise. Il savait pas que lui aussi il aurait à vider son sac. Déposant son assiette parce que la faim insatiable du sportif fut coupée. Paisley? Passant sa main nerveusement dans son visage. Je l’ai rencontré… A few times. Il avait pas l’habitude de mentir à Léo et il ne commencerait pas à Noël. Et il était à l’aise de parler de ses conquêtes avec Léo. Sauf que jamais une d’entre elle avait été une personne lié à lui “par le sang”. Et Arlo ne savait pas ce qui se passait entre lui et Paisley. Il aimait sa compagnie et retournait vers elle plus qu’il en a l’habitude avec des histoires d’un soir. Elle était devenue une amie. Peut-être plus? Maintenant, il savait qu’il ne pouvait pas abuser de la situation sinon son meilleur ami lui briserait le nez.

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“christmas breakfast ” & On fêtait Noël entre couilles, tous les deux. C'était plaisant, c'est vrai. On vivait tous les deux depuis ma séparation avec Jade, et je voulais lui dire aujourd'hui que j'étais de nouveau avec elle. Je savais que ça ne passerait pas, mais je devais le faire avant qu'il ne l'apprenne autrement. Je m'y refusais. Je ne voulais surtout pas m'éloigner de lui pour ça. J'étais vraiment heureux de nos projets en commun, on formait un sacré duo lui et moi. Après nous être offert nos cadeaux respectifs, je lui parlais de Paisley. Je lui disais tout, vraiment tout. Je ne lui cachais rien, il avait l'habitude. bah c'était bizarre parce que voilà le passé qu'on partage mais en même temps j'avais du mal à me dire hey léo va falloir t'ouvrir à quelqu'un. outch. donc l'un dans l'autre, ça m'arrange. lui fis-je avant qu'il ne m'apprenne qu'il la connaissait. Je prenais un air surpris. mais nooon? allez fais pas genre ça veut dire quoi ça few times? j'm'en fou t'sais tu peux tout me dire bah oui parce que j'ai jade maintenant, haha. J'allais vraiment dire ça? non pas comme ça. N'empêche que c'était vrai, j'voulais savoir. Puis au moins si elle sortait avec Arlo, je savais qu'elle avait un type bien dans sa vie. Parce que je devenais aussi protecteur avec elle. Je tapais sur l'épaule de mon meilleur ami avec le sourire.

on se fait un jeu? lui proposais-je en allant dans le canapé, manette en main pour lancer un jeu vidéo. On commençait, on enchainait les parties en se battant l'un l'autre à tour de rôle. le ton était joyeux. Bon. faut que j'te dise un truc. fallait bien commencer quelque part. je profitais d'une pause entre deux matchs du jeu. c'était la conversation que je craignais le plus et il fallait que je mette les pieds dedans. Je lui faisais face. en fait quand je suis pas ici, je suis toujours avec la même fille. commençais-je d'abord par dire. allez Léo, tu peux le faire. et cette fille.. tu la connais et.. ça va pas te plaire.... c'est Jade. j'attendais sa réaction mais, il ne fallait pas. il fallait que je lui explique comment c'était arrivé. je sais que tu n'es pas pour... je n'osais pas t'en parler... je n'ai jamais décroché... j'allais la voir en secret, même elle ne le savait pas. mais j'ai appris qu'elle avait un appartement, un boulot, un chien même. Elle a repris sa vie en main et on a fini par vraiment se croiser et... on s'est dit les choses... on s'est donné une dernière chance d'être adulte ensemble... lui fis-je alors. je savais que rien de tout ça ne lui ferait changer d'avis. mais en tout cas je lui ai dis pour nos projets, pour tout. ça ne change rien à tout ça on reste coloc, elle reste chez elle, on arrête rien. je te demande juste de pas m'en vouloir...

Et là, mon téléphone qui vibre. Je le prends, malgré la conversation, car j'ai un mauvais préssentiment.

Pais’

Leo j’ten supplie aide moi..
pitié..
J’crois que quelqu’un veut me tuer..

il faut qu'on aille aider Paisley fis-je à Arlo, en lui tendant mon téléphone. Je ne pense même plus à la bombe que je viens de lui lancer.

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“christmas breakfast ” & Ce qui aurait dû être une matinée des plus banales, c'était transformé en un véritable cauchemars. Sa vie ne devait pas être suffisamment compliquée comme ça pour que d'autres horreurs s'ajoutent à son palmarès. En premier temps, il y avait eu Alexander et ce coma soudain qui l'avait laissée totalement sur le cul, puis son altercation avec Sebastian et ce qui s'était passé ce soir la d'ailleurs qui resterait à tout jamais dans sa tête, voilà que le destin se jouait à nouveau d'elle. Ce fût d'avantage l'odeur qui l'extirpa de son sommeil qu'autre chose. Une odeur nauséabonde, putride presque de viande crue. Une odeur qui, avant même qu'elle n'ouvre les yeux lui fit tirer une vilaine grimace sur le visage. Au bout de quelques secondes, ses yeux finissaient par s'ouvrir, lentement mais sûrement. L'appartement semblait étrangement plongée dans un silence rarissime, mais bientôt ce même silence serait brisé par un cri strident d'horreur et d'effroi alors que la jeune femme découvrait avec horreur ce morceau de larynx sanguinolent posé la, sur le coussin à côté du sien,semblant lui avoir tenu compagnie une partie de la nuit. Prise de dégoût, elle s'était levée en quelques secondes pour courir jusqu'à la salle de bain, une main sur la bouche, prête à expulser le contenu de son estomac dans les toilettes. Les yeux clos, elle laissa ce liquide amer et acide sortir de sa bouche, comme pour soulager ce haut de cœur ressenti plus tôt avant de se précipiter, le cœur palpitant à tout va vers le lavabo de la salle de bain pour se passer un coup d'eau fraîche sur le visage. Rien de tel que la fraîcheur de l'eau pour se réveiller.  Elle n'avait pas rêvé, il y avait bien un morceau de viande dans son lit,fraîchement découpée. Si seulement ce n'était que ça..

Les deux mains sur son visage, elle finit par les enlever pour observer son pâle reflet dans le miroir et la, ce fût l'horreur à nouveau. Ses yeux s'écarquillaient. «Non..» qu'elle soufflait en reculant de deux pas du lavabo. Deux doigts tremblants de sa main droite vinrent se poser à l'endroit ou une ligne avait été tracée sur sa propre gorge. Une ligne rouge. Un rouge sang. «Non!» Ce fût la goutte de trop qui fit déborder le vase. Son existence n'était pas des plus simples ses derniers temps et voilà que maintenant quelqu'un semblait se jouer d'elle à nouveau, sauf qu'il y a "Jeu" et "Jeu", la c'était clairement une menace, un affront.«Non! Non! Non!» Sa poitrine rugissait de l'intérieur, son souffle se fit plus vif, plus colérique alors qu'elle s'emparait violemment de ce qui se trouvait à proximité d'elle pour le balancer contre ce miroir face à elle, n'hésitant pas à briser en milles morceaux parfums et même le miroir en question. La colère, le desarroi même parlait à sa place. Elle n'en pouvait plus. Les larmes s'étaient mises à couler sur ses joues, en torrent.«Laissez moi tranquille..» qu'elle sanglotait en continuant de ravager l'appartement tout entier, la rage au ventre. Quelqu'un lui voulait certainement du mal et elle ne savait pas qui. La seule capable de pouvoir lui faire un coup pareil, et la seule ayant les clefs de l'appartement était Mackenzie, sa nouvelle colocataire. Une femme qu'elle appréciait énormément, qui était son amie, l'une de ses plus fidèles amies d'ailleurs. Alors comment, comment pouvait-elle lui faire un coup pareil? C'était inimaginable. Et si ce n'était pas elle, le seul ayant les clefs n'était autre que Alexander , le même Alexander présentement dans le coma à l'hôpital. Impossible.

C'était à en devenir complètement folle, et c'était ce qu'elle était devenue en l'espace de quelques secondes: Folle. Elle envoyait tout valser sur son passage par pure colère, par pure dégoût, par pure tristesse et souffrance. Elle souffrait oui, terriblement même. Sans attendre une seconde de plus, elle attrapait son téléphone portable pour envoyer un message au seul qui pouvait l'aider, au seul qui serait capable de tout pour elle. Léo. Les doigts tremblants, elle finit par lui envoyer un message, simple, résumant en bref la situation avant de se laisser glisser le long du mur, totalement vulnérable, en sanglots, les larmes ne parvenant pas à se taire, pas même une seconde. Aussi fort que possible elle serra d'une main son téléphone, dans l'espoir que Léo vient jusqu'à elle, qu'il l'extirpe de ce mauvais rêve comme il avait l'habitude de le faire en temps normal. Elle avait besoin de sa seule présence pour se sentir rassurée. Elle avait besoin de partir, le plus vite possible sans revenir dans cette chambre ou ce morceau de viande se trouvait encore, lui qui avait peint ses draps blancs en un rouge dégueulasse.

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“christmas breakfast ” & Léo voulait savoir ce que Arlo insinuait en mentionnant avoir vu sa cousine quelques fois. Je savais pas que c’était ta cousine hein, ça aurait peut-être été différent. On est de bons amis. Arlo ne savait pas trop comment la décrire. Ils s’étaient croisé au bar. Le courant avait passé, ils en avaient profité à plusieurs reprises. Il n’avait jamais été avec quelqu’un et ne cherchait pas nécessairement à  définir une relation qui coulait bien. Alors, il laissa la conversation là pour se concentrer sur les parties de jeux vidéos bien amusantes jusqu’à ce que Léo lui admet qu’il voyait une fille depuis un moment. Une que Arlo connaissait déjà.
Ce petit rouquin n’était pas dupe. Une partie de lui se doutait depuis un moment que son meilleur ami fréquentait quelqu’un. Il mentirait s’il n'admettait pas qu’il espérait que Léo ait trouvé quelqu’un d’autre plutôt que de se remettre avec Jade. Cette fille était toxique. Depuis son entrée dans la vie de Léo, elle semblait amener beaucoup plus de bas que de haut avec elle. Léo avait beau avoir des étoiles dans les yeux en la mentionnant, Arlo lui, il se rappelait de la blessure qu’elle avait laissé derrière elle alors qu’elle avait laissé Léo quelques mois plus tôt. Sois prudent. Elle te promet toujours des belles choses cette fille. Arlo cherchait à rester neutre. Léo était adulte, il faisait ce qu’il voulait de sa propre vie. Puis, Arlo ne pouvait pas laisser une nana se mettre entre eux. Autant il avait peur de la prochaine fois où il allait devoir le ramasser en morceau, autant il espérait qu’elle ait vraiment changé comme Léo semblait croire si naïvement. Tant mieux pour vous si elle s’est prise en main. Il était temps si tu veux mon avis. Je te promets que je t’en veux pas, mais ça veut pas dire que je lui fais confiance non plus. Il continuera d’en vouloir à la blondasse qui joue avec le coeur de son frère de coeur par contre. Elle devra lui prouver à lui aussi qu’elle avait fini d’en faire voir toutes les couleurs à son meilleur pote.
Le sujet fut couper court, mais pour une bonne cause. Paisley avait besoin d’eux. Enfin, de Léo, mais vu le SMS, Arlo n’allait pas rester assis dans leur appartement à rien faire. C’est dans la voiture de Léo qu’ils avaient filé et la route leur paru beaucoup trop longue même si Léo ne suivait pas les règlements de la route pressé de retrouver sa cousine. Si quelqu’un voulait vraiment du mal à Paisley chaque seconde comptait. Ils ne savaient pas dans quelle état ils la trouveraient. Heureusement, arrivé-là, ils puent confirmé qu’elle n’était pas blessé physiquement, du moins elle en avait pas l’air. La peur était pourtant bien là. L’énergie dans l’appartement été lourd. Arlo aurait sans doute du faire le tour de la place, s’assurer que personne d’autre avec eux, mais c’est directement vers son amie qu’il alla suivant Léo. Tout va bien allé Pais, t’es plus seule. Quelques mots avant d’aller finalement explorer les lieux. Léo était avec elle et vu son état ils ne la laisseraient pas seule dans cette appartement ou ailleurs pour les prochains jours. Pas avant de comprendre ce qui s’est passé et quelques pistes nauséabondes aidait le rouquin à peindre une image cauchemardesque qui était tristement la réalité de Paisley aujourd’hui.

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“christmas breakfast ” & La conversation avec Arlo avait dû s'écourter. Même si Arlo avait eu le temps de répondre un peu, disant qu'il se méfierait toujours mais qu'il espérait que j'avais raison. Je pensais avoir une réponse plus virulente que celle-là, alors je ne relevais pas. il y avait plus urgent, à vrai dire. Le SMS que je recevais de Paisley effaçait tout le reste. D'un seul coup, il n'y avait plus qu'elle qui comptait, même si j'étais "soulagé" d'avoir lâché la bombe à mon meilleur ami.

J'informai directement Arlo du SMS et je lui proposais de partir directement chez elle ensemble. On attendait pas une seconde, la clé était sur le contact deux minutes à peine après le SMS et c'était parti. On arrivait très rapidement chez ma cousine et on entrait comme des dingues. A peine rentrés, on fonçait vers elle et Arlo la rassurait. J'allais la prendre directement dans mes bras, la serrant fort. on est là, tu risques plus rien. je regardais Arlo pour lui faire signe de me dire ce qu'il y avait dans l'appartement. je n'osais pas lui dire de m'expliquer, je voulais qu'elle se change les idées. on va faire venir des mecs pour analyser tout ça et débarrasser. on va te prendre des affaires et tu vas venir avec nous, d'accord? je regardais Arlo en même temps pour qu'il confirme et qu'il soit au courant, c'était chez lui aussi. Je voulais savoir dans quelle pièce on pouvait aller pour prendre ses affaires... Mais elle avait l'air tétanisée. C'est là que je remarquais la trace dans son cou. Oh mon dieu. allez viens. lui fis-je alors qu'Arlo avait pris les premières affaires qu'il avait trouvé. Je la poussais à me suivre dans la cuisine, endroit non touché par l'attaque et je prenais des mouchoirs humides pour lui retirer ça. Il lui faudrait une douche mais j'avais peur de devoir la refaire passer devant son trauma. On prenait les clés pour refermer, j'envoyais quelques textos sur la route à des mecs de confiance pour enquêter sur tout ça. Je n'allais pas lâcher l'affaire comme ça, c'était clair. Les mecs qui avaient fait ça allaient le payer. On ne touche pas à ma famille.

Ce ne serait pas évident de changer les idées de Paisley. Je pensais à pleins de trucs mais, ça n'irait pas. Elle n'avait sûrement pas faim après l'horreur qu'elle avait retrouvé chez elle, et elle ne voudrait pas regarder de films d'horreur ou de trucs comme ça. J'envisageais une soirée plaid, c'était sûr. Ce soir, on serait cloîtré à la maison. Elle avait besoin de se sentir en sécurité. On rentrait d'où on venait et j'allais lui préparer une chambre dans la pièce d'ami avant de retrouver mon meilleur ami et ma cousine. on fait ce que tu veux. je sais que tu ne dois pas avoir le coeur à grand chose mais, on est là. les gars s'occupent de tout, on trouvera l'ordure qui t'a fait ça, ok? tu veux un film? même un truc à l'eau de rose on assumera. ou on fait un jeu. Ou juste on parle. On est là tu ne risques rien ici. je voulais juste la "détraumatisée". Je détestais avec mes tripes les personnes qui l'avaient rendu dans cet état là. Autant moi je l'aurai mérité, mais pas elle. tu veux peut-être commencer par te prendre une douche? on t'a pris les affaires qui venaient, tu es ici chez toi. tu peux prendre dans mon placard, si tu veux.

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“christmas breakfast ” & Recroquevillée contre ce mur, le corps tremblant, elle patientait et bon sang ce que le temps lui parût long avant l'arrivée de Léo auprès d'elle. Plus que jamais elle avait besoin de sa présence, de son odeur, de ses mots. Qu'il la rassure, qu'il lui dit que tout ira bien désormais, qu'il était la pour veiller au grain. Léo ne l'a jamais abandonné, il est certainement la personne la plus fiable de Miami si ce n'est de la terre entière, à ses côtés, elle sait que rien ne peut lui arriver, ou presque. Au bout de plusieurs minutes, ils entrent, ils sont deux. Léo et arlo. Ils sont la à ses côtés, elle tremble plus fort, son coeur palpite plus vite dans sa cage thoracique, elle a littéralement envie d'éclater en sanglots dans les bras de son cousin mais se retient en reniflant fortement et maladroitement. «Léo.» Elle murmure d'une voix à peine audible, le nez et la tête enfoui contre son buste.  Son regard se perd dans l'obscurité lorsque ses deux yeux se ferment pour laisser, subtilement, échapper quelques larmes.  Elle acquiesçait à ses mots, prête à prendre la poudre d'escampette le temps d'un soir, de deux voir trois soirs, dormir ici n'était désormais plus sécurisant pour elle, il lui fallait un abri de fortune, le temps que les choses se tassent.

Pendant que le rouquin arpente l'appartement à la recherche certainement de malotrus ou d'éléments pouvant expliquer le comportement soudain de la brunasse, Léo reste la, il la rassure du mieux qu'il le peut et constate par la suite avec effroi la trace rouge tracée sur sa gorge. Il se lève, l'incite à en faire de même et la conduit jusqu'à la cuisine pour tenter d'effacer cette marque odieuse. «J'ai peur Léo..» De nouveau elle murmure, sa respiration saccadée ne parvient pas à trouver un rythme raisonnable. Il faut qu'elle parte, tout de suite, qu'elle s'en ailles, une veste sur les épaules, un maigre bagage dans ses mains.  Le simple fait d'être dans cette voiture avait suffit pour l'apaiser, légèrement. Installée sur la banquette arrière elle posa sa tête contre ses genoux en se remettant l'odieuse scène du réveil en tête, de ce morceau de chair mal odorant et de ce sang qui avait tapissé ses draps d'un rouge écarlate. Elle repensait à ce trait, cette menace. Mais qui en ville lui en voulait? Qui serait assez tordu pour lui faire un coup pareil? Elle lève les yeux sur le rétroviseur, cherche ceux de Léo qui lui assure que "ses gars" feront leur nécessaire pour retrouver la trace de ses tordus, elle lui fait confiance, entièrement et se contente une nouvelle fois d'acquiescer d'un signe de tête.

Rapidement, ils arrivent jusqu'au logement du jeune homme, l'endroit ou elle passerait les prochaines vingt quatre heures, si ce n'est plus. Comme à son habitude, son adorable cousin cherchait à lui faire changer les idées, il serait la, prêt pour elle.«Merci d'être venus, tout les deux.» Il ne fallait pas oublier Arlo, qui voulait lui aussi s'assurer que tout se passe bien pour elle. D'ailleurs il faut avouer que d'avoir les deux jeunes hommes l'un à côté de l'autre était plutôt perturbant, au vu de ce qui s'était passé auparavant avec l'un et l'autre..«Je-.. oui, si ça ne déranges pas j'aimerais commencer par me doucher..» histoire de savonner encore et encore et encore ce cou qui avait été sali des mains d'un parfait inconnu, un homme ou une femme qui avait prit plaisir à lui tracer une ligne par dessus sa peau. Le simple fait qu'un inconnu avait effleurer son corps, sa peau lui donnait l'envie de vomir...«On avisera après ok? Je penses que j'aurais bien besoin de grignoter un petit quelque chose et de.. regarder un film à l'eau de rose ouais.»  Elle détestait ce genre de films en réalité, mais c'était une manière de tenter d'oublier les récents événements et notamment de poser la tête contre Léo, ou Arlo, de se reposer, de souffler un peu, de se dire qu'elle était vivante, et que désormais, plus rien ne lui arriverait.  

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“christmas breakfast ” & Rien dans cette situation est facile. Dire que le matin même, Arlo pensait passé la journée relaxe à célébrer en retard noël avec son colocataire. Loin là, l’idée de dire que Arlo n’était pas heureux d’avoir tout tassé pour aider la cousine de Léo. Elle restait son amie à lui aussi, une amie pour qui il avait de sentiments très forts. Cela restait délicat, à l’appartement, il ne savait pas ce qui était arrivée à la demoiselle. Le larynx sur le lit lui laissait imaginer une partir de l’histoire. Le rouge sur son cou tricotait un peu plus l’histoire, mais il en savait toujours rien. Restant distant avec la demoiselle parce que contrairement à Léo, il n’était pas la famille de Paisley. Peut-être que la peur lui brouille l’esprit et que la proximité d’un homme la ferait paniquer de plus belle. Il pouvait s’assurer qu’ils étaient seuls dans la demeure et s’assurer que toutes les fênetres soient bien verrouillées puisqu’ils s’apprêtaient à quitter et personne ne devrait revenir en leur absence.
L’odeur en soit était dérangeante et une partie d’Arlo était furieuse et savoir que quelqu’un pouvait faire quelque chose de pareil. Et peu importe sa raison, personne ne méritait que son intimité soit violé de la sorte. L’endroit où on devrait se sentir le plus sûr est devenu dans l’espace de quelques secondes hostile.
Ils avaient quitté aussi vite qu’ils étaient arrivés. Paisley ne réussirait jamais à reprendre ses esprits chez elle. Pas dans une situation comme celle-ci. Arlo laissait Léo gérer la situation comme un pro, comme il faisait toujours trop bien. Autant il pouvait être impulsif, autant en cas d’urgence, il n’avait personne qui gardait son sang froid comme lui. Le rouquin pouvait aussi voir que Paisley se sentait en sécurité autour de lui. Rendu à l’appartement, il fallait la faire sentir à l’aise. Le plan de Léo était parfait, des films légers qui ne demandent pas beaucoup de concentration en vue. Si Paisley voulait parler, ils seraient là. Si elle voulait
de l’espace, ils lui en donnerait. Elle avait peut-être le sentiment d’avoir perdu tout le contrôle le temps que quelqu’un s’était introduit chez elle, mais dans cette appartement, ils s’assureront de sa sécurité et le reste était entre ses mains.
Il alla chercher une serviette et guida Paisley jusqu’à la salle de bain puisqu’il ne savait pas si elle y avait déjà mis les pieds. Et bon, sous le choc, elle avait peut-être pas la tête à s’en rappeler.
Par la suite, il sortie des couvertures confortable pour les installer dans leur salon et puisqu’elle avait réclamer des snacks, Léo et lui avait sortie ce qu’ils croyaient qu’elle aimerait. Il ne manquait plus qu’elle pour choisir le film sur Netflix.

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“christmas breakfast ” & Ce n'était pas une partie de plaisir d'aller chez Paisley, ce soir. Elle m'avait appelé à l'aide et je n'avais pas hésité une seule seconde à venir à son secours. J'avais emmené Arlo avec moi, histoire de pouvoir être plus efficace pour elle. Et puis, je savais qu'ils se connaissaient, ce qui serait un bel avantage pour la protéger. Alors on fonçait, sans réfléchir.

C'était ça, la famille, non? Se soutenir, être là, ne pas hésiter une seule seconde, connaître tout de l'autre, n'avoir peur de rien, pas de tabous, pas de secrets. Paisley était de ma famille, c'était certain. Même si elle n'avait pas été la cousine de sang de Sky, elle restait de ma famille de coeur, depuis toujours. Le destin n'avait fait qu'"officialiser" notre relation immortelle. Paisley était ma chair et mon sang, et cela depuis notre plus tendre adolescence. Je donnerai ma vie pour elle, je me mettrais en retrait pour elle. C'était ça, aimer? C'était ça, être moi. Je suis comme ça. Le mec protecteur qui, à partir du moment où on se fout pas de sa tronche, est prêt à tout pour vous. Ou alors, il vous pourri la vie jusqu'à la fin des temps, à vous de choisir l'équipe dans laquelle vous voulez être.

Alors oui, je fonçais sans réfléchir voir ma cousine, mon amie, mon âme, Paisley. A peine arrivé, j'essayais d'analyser la situation sans qu'elle en ait trop à en dire. Des hommes étaient venus chez elle, l'avait tatoué le cou et avait laissé un beau souvenir dans sa chambre. Elle était en état de choc, ma Pais et je jurais de retrouver qui avait fait ça et de la venger avec mes moyens. Je ferais appel à notre entourage de gars de la rue pour cela. J'avais des yeux et des oreilles un peu partout dans cette ville. Je le promettais à Paisley avant, avec l'aide d'Arlo, de regrouper des affaires à elle et de l'emmener chez nous.

Je lui proposais ce qui me passait par la tête, une fois à la maison. Je voulais qu'elle se sente en sécurité, même si ce n'était pas évident. Elle me demandait une douche et me disait qu'elle grignoterait bien après quand même. Alors pendant qu'elle laissait couler l'eau sur elle, je préparais quelques trucs à se mettre sous la dent alors qu'Arlo allumait la télé, laissant sur le menu Netflix. Je le regardais. déso d'avoir mis court à notre conversation, frère. j'espère que tout ça te dérange pas. même s'il la connaissait, je n'avais pas demandé l'accord de mon meilleur ami pour tout ça. Je savais bien que comme moi, il avait des principes, il ne l'aurait jamais laissé dans la merde, mais je tenais à le remercier tout de même de sa présence. on est une famille, hm? lui fis-je alors en lui souriant un peu. la situation n'était pas amusante mais ce serait toujours comme ça entre arlo et moi.

Je posais tout sur la table de salon, avec des boissons en tout genre et les plaids pour Paisley. ça va mieux...? lui demandais-je alors qu'elle sortait. Je regardais mon téléphone. les gars ont déjà la situation en main. tu n'as plus rien à craindre, ok? je m'approchais d'elle et l'embrassait sur le front. allez hop. canapé, tu bois ce que tu veux, tu manges ce que tu veux, princesse, va. si on oubliait la situation d'où on la sortait, c'était carrément une vie de princesse, avec deux hommes à ses côtés. je lui souriais, j'essayais de dédramatiser, même si c'était casi impossible.

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