(#)Sujet: instant crush. ft.nick. | Lun 6 Jan - 0:26
Paisley & Nicholas
instant crush
Et une bonne année. Cette phrase est nulle. Totalement nulle. Comment peut-on aussi mal commencer l'année? La bonne année, le bonheur, l'argent, la santé, tous ça, c'est que des conneries au final. On pense que cette nouvelle année qui débute un 1er Janvier pourrait nous être bénéfique, on prends des bonnes résolutions qu'il nous sera au final impossible à tenir. On pense qu'il suffit de se retrousser les manches pour changer le monde, nôtre vie toute entière voir nôtre quotidien, mais c'est faux. On essaye de rêver, de croire en l'avenir, un avenir meilleur, mais les cauchemars sont sans cesse la pour nous rappeler que la vie n'est pas un conte de fée. Non. La vie est faîtes de hauts et de bas. La vie est une chienne qui s'amuse des humains, de ses pions et le destin peut parfois se montrer implacable. Rien ne l'avait préparé à recevoir ce coup de fil. Quand les habitants de Miami se préparaient à hurler de bon cœur la bonne année à leur semblable, il n'était que 6h du matin en France, à Paris. Eux ont eut la chance de profiter des festivités bien avant les américains. Le décalage horaire et parfois fatal quand la veille, la petite Paisley souriait, riait, embrassait chaleureusement ses deux amis, Gabriel et Nicholas pour leur souhaiter le meilleur pour l'année à venir. En effet, la brune s'était envolée à leurs côtés pour passer un fou séjour à disneyland Paris en France. A la base, ce n'était qu'un simple pari, une connerie qu'elle n'aurait jamais pensé une seule seconde qui se réaliserait. Elle n'a jamais eu la chance de connaître Paris et pour la première fois de sa vie, elle découvrait le charme Français, leur gastronomie divine, leur langage. Paris je t'aime. Elle ferait des efforts à son prochain voyage car autant dire que mis à part les quelques mots inscrits plus haut, elle n'avait aucune base de Français, mais à Disneyland, cela ne s'était pas avéré nécessaire, un geste, un signe, ou simplement un cast member anglophone suffisait.
Le séjour avait des allures de rêve, un rêve éveillé qui pourtant s'est rapidement transformé en véritable cauchemars. Il était 6h du matin quand elle eut droit à un coup de fil sur son téléphone. Gabriel et Nicholas étaient encore assoupis à ce moment la, complètement épuisés de leur folle journée de la veille. Le numéro inscrit sur son téléphone était complètement inconnu et cela ne lui avait rien dit de bon. Elle avait décroché, méfiante et s'était adressée à la personne à l'autre bout du fil. Il s'agissait d'un officier de police américain. Elle avait senti la merde à plein nez, au point que ses doigts tenant le portable s'étaient mit à trembler à l'idée qu'il soit arrivé malheur à son colocataire, Alexander. Bingo. Elle avait apprit avec horreur que ce dernier se trouvait actuellement à l'hôpital, blessé grièvement. Elle n'en avait pas sût plus mais son cœur rata un battement dès lors qu'elle l'avait imaginé, entre la vie et la mort. Les larmes aux yeux, elle s'était retenue de ne pas fondre littéralement en larmes, elle n'en avait pas eu le droit, pas pendant ce séjour à Paris. son regard s'était posé sur les deux lits des garçons encore endormis, et elle s'était mordue l'intérieur des joues aussi fort que possible pour ne pas hurler de tristesse. Puis elle avait raccroché, quand derrière elle, Nicholas et Gabriel semblaient réveillés.
Elle inspira profondément à plein poumons, ferma quelques secondes les yeux et se tourna finalement à eux, un sourire faible aux lèvres. Le paraître, elle était douée pour ça. Paraître bien, paraître contente, paraître heureuse alors qu'elle ne l'était pas. Une vraie petite actrice. Le séjour avait duré sans qu'elle ne soit en mesure de s'amuser à 100%. Son esprit semblait constamment tourné vers Alexander alors qu'instinctivement elle pianotait sur son téléphone portable dans l'espoir qu'il puisse lui répondre. Aucune nouvelle. Elle n'en avait aucune. Silence radio. Alors ils quittaient finalement Disneyland, ce monde féerique, magique pour regagner leur triste réalité, SA triste réalité à elle. Et ce fût à son tour le silence radio, total. Elle avait bien voulu aller rendre visite à Alexander une fois de retour à Miami, mais elle n'en avait pas eu la force, ni le courage. C'était bien trop difficile pour elle, comme cet appartement vide qui lui fendit le cœur en deux morceaux bien distinct. Rien de plus difficile pour elle que d'ouvrir la porte de la chambre de son colocataire et de ne pas le voir, la, allongé sur son lit.
Par la suite, elle avait apprit en reprenant son emploi que l'une de ses collègues et très bonne amie semblait elle aussi avoir été atteinte de l'incendie qui avait ravagé Little Haiti. Son appartement s'était fait consumé par les flammes et il n'en restait quasiment plus rien. C'est donc tout naturellement, mais surtout parce qu'elle avait terriblement besoin d'une compagnie, qu'elle lui avait proposé de cohabiter avec elle, le temps qu'elle puisse trouver autre chose, et que les choses se tasses. La présence de Mackensie était une vraie bénédiction et à ses côtés, Paisley semblait vraiment retrouver le sourire, ou presque. Elle était un petit bonbon à elle seule, d'une douceur incroyable qui lui ferait presque oublié l'état émotionnel lamentable dans lequel elle se trouvait.
Pourtant parfois, il lui arrivait de s'isoler, elle en avait besoin, pour se reconstruire, pour réaliser les choses. Son portable vibrait toujours, et les mêmes noms s'affichaient sur l'écran de ce dernier sans quelle n'ait l'envie, la patience ou le courage de répondre. Elle refusait que les gens prennent pitié d'elle et encore moins.. Nicholas. Le même Nicholas qui serait capable de venir, la tout de suite, frapper à sa porte pour la retrouver, pour s'assurer qu'elle se porte bien. La sonnette de la porte vint retentir, et aussitôt, ce fût la panique général. Elle se doutait bien qu'elle lui devait des comptes, qu'il allait vouloir lui parler, la comprendre, savoir exactement ce qu'il lui arrivait. Elle pensait que Kenzie irait lui ouvrir, trouver un subterfuge pour le faire partir, mais cette fois ce fut bien deux coups qu'elle entendit sur la porte, et il lui semblait presque avoir entendu son prénom. Mack devait certainement être partie..
Lentement, elle se leva du lit, s'approcha d'une faible démarche jusqu'à la porte pour appuyer sur la clenche et y découvrir, au pas de la porte, le jeune homme en question.«Nicholas?.. Qu'est-ce que tu fous la?» Elle connaissait déjà la réponse à sa question, mais il fallait qu'elle fasse semblant de ne pas être au courant, de continuer à jouer les femmes au cœur de pierre, intouchable, incassable pour éviter de se briser elle même, de s'effondrer, de se laisser aller dans sa peine et son malheur.
De la fumé qui sort de ma tasse de café que je tiens dans la main depuis environ cinq minutes, j’avance ma tasse de café près de ma bouche, mais avant de goûter une gorgé de mon café, je souffle un peu pour refroidir un mon café, je ne voulais pas me brûler non plus, je pose ma lèvre sur le rebord de ma tasse puis bois une gorgé de mon café tout en quittant la cuisine pour me diriger vers la baie vitrée de mon appartement pour que je puisse admirer le lever du soleil comme je le fais chaque matin. Je m’arrête quand je suis face à la baie vitrée, je pose mes yeux sur la mer qui sembler agité, les vagues monter de plus en plus puis repartait de plus en plus loin pour revenir avec violence, le soleil commence à faire son apparition. D'habitude, je suis admiratif devant ce paysage que j’ai la chance de voir chaque matin, mais mon esprit été ailleurs ce matin. Son visage me hante, je n’arrive pas a chasser cette image de ma tête voir Paisley rire comme une petite fille lorsque nous sommes allez Gabriel, Paisley et moi à Disneyland, la jeune femme n’aurait jamais imaginer que je l’aurai offert ce voyage pour qu’on fête le nouvel an là-bas tous les trois, puis j’avais une autre image en tête la tristesse que j’ai lu dans les yeux de la jeune femme lorsqu’elle avait ce fameux coup de fil en pleine nuit, et oui cette nuit la j’avais était réveiller par la lumière de son portable, j’ai entendu ses petits bruits qu’elle avait essayer d’étouffer pour ne pas nous réveiller Gab et moi, mais bien sur la jeune femme ne savait rien de tout cela j’avais été discret la dessus lorsqu’elle s’était retourner vers nous, j’avais fait mine de dormir.
Les derniers jour à Disney ne sait pas passer dans la joie ni dans la bonne humeur, j’avais reçu un appel de Mack qui m’avait informer qui y avait eu une explosion à Miami et que son appartement avait pris feu et qu’elle se retrouvait à la rue du coup, bien sur je n’avais pas laisser ma cousine a la rue non je l’avais immédiatement héberger, elle c’est très vite trouver un toit puisque elle vivait justement avec Paisley qui avait besoin d’une colocataire pour l’aider dans le loyer et les factures. J’avais appris que son colocataire avait été grièvement blesser dans cette explosion et j’ai tout suite su que ce Alex avait était la cause de la tristesse de Paisley, est ce que il se passe quelque chose entre eux ? Une jalousie s’empare de moi rien quand y pensent. Oh mec, tu n’es même pas avec elle et tu es jaloux. Je secoue la tête quelques secondes pour chasser cette idée de ma tête, avec tout ça j’en avait oublier mon café qui était froid maintenant, tout de façon ce café ne me disait rien, je me retourne puis je me dirige vers la cuisine, je dépose ma tasse sur le comptoir, je sors mon portable se mon short de sport, je regard les appels et les sms que j’avais reçu, je soupire un instant lorsque je vois que la personne que je voulais voir apparaître sur mon téléphone n’était pas afficher sur mon portable en appel ou en sms.
Je jette mon portable sur le plan de travail visiblement énervé de ne pas avoir de ses nouvelles, je pose mes mains sur le plan de travail et ferme les yeux pour reprendre mon calme et je me demandais qu’est ce que j’avais bien pu faire pour qu’elle m’évite de la sorte, ça me rendais complètement dingue de la savoir aussi mal et ne rien pouvoir faire, je regarde mon portable quelques instant, j’étais en train d’hésité, est que je lui envoi un sms ou pas ? Je saisis mon portable dans les mains et lui envoi un premier sms « Si te plaît Pais, si tu as ce message envoie un message » puis pose mon portable à nouveau sur le plan de travail. Une demi-heure plus tard, j’étais en train de tourner en rond tel un lion qui était en cage, les mains poser derrière mon cou, la tête baisser à faire les pas en espèrent que ce fichu portable sonne. Vingt minutes plus tard je commence à perdre patience je me ressaisis de mon portable j’envois un second sms en sachant pertinemment qu’elle ne me répondra pas puisque ça fait depuis notre retour qu’elle esquive mes appels et mon message « Dit moi au moins si tu vas bien ? Je m’inquiète vraiment là !!! » Deuxième sms envoyé à la jeune femme, mais dans la foulée j’envois un sms à ma cousine pour lui demander ou était Paisley et si elle était chez eux, elle m’avait répondu positivement en me disant que la jeune femme été dans sa chambre.
J’informe donc ma cousine, que j’allais passer les voir, j’ai besoin de voir Paisley parce que je deviens complétement fou là, j’avais donc prévenu ma cousine de ma venue et lui avait demander de rien dire à Paisley. Je file directement dans la douche puis j’avais enfilé un jeans, bleu clair, un tee-shirt blanc et une veste puis fila directement chez les jeunes femmes. Au bout de 10 minutes, j’étais devant leur appartement, j’avais roulé comme un dingue, je dois l’avouer, heureusement qu’il n’y avait pas les flics sinon mon permis aurait sauté. Assis dans ma voiture devant mon volant, je fixe mes mains puis je lève mon visage vers l’appartement des filles, je me décide enfin à sortir de ma voiture que je prends soin de fermer, je range les clés dans les poches de mon jeans puis c’est avec les mains dans les poches de ma veste que je me dirige vers chez les filles. Arriver rapidement devant la porte de l’appartement, je sors une main de la poche de ma veste et frappa a la porte, j’attendis quelques secondes avant de voir la tête de ma cousine qui vient m’accueillir, je m’avance vers elle et lui dépose un bisou sur son front en guise de bonjour puis elle me fit entrer dans l’appartement, elle m’informe que Paisley été bien dans sa chambre qu’elle était pas bien du tout depuis que son coloc est à l’hôpital, elle m’informe qu’elle aller nous laisser seul, qu’elle partait faire un tour.
Je regarde donc ma cousine prendre sa veste, elle me dépose un baiser sur ma joue et quitta l’appartement, avec le départ de ma cousine depuis quelques minutes je me trouve tout seul dans ce salon, je regarde autour de moi, je me pas vraiment à ma place ici mais bon ce n’est pas pour moi que je viens ici c’est pour Paisley, je dirige mon regard vers la porte de la chambre de la jeune femme, je m’avance doucement vers sa porte, je pose une main sur sa porte qui était fermer bien sûr. Pais. Dis-je d’une petite voix, j’attendis quelques secondes avant que la jeune femme vienne m’ouvrir l’air surpris de me voir, elle joue très bien la comédie, elle me demande que je foutais ici, chez elle. Comme tu ne réponds ni mes appels et ni à mes sms, je suis venu voir si tu aller bien. Ajoutai-je à la jeune femme en gardent mes mains dans les poches de ma veste, la seule chose que j’ai envie la maintenant, c’est de la prendre dans mes bras et lui murmurai dans l’oreille que ca va aller, que je suis la pour elle.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: instant crush. ft.nick. | Mar 7 Jan - 9:57
Paisley & Nicholas
instant crush
Recroquevillée sur ses draps, une larme perlant sur sa joue. Son regard vitreux, terne se perd sur un point à l'horizon, son corps est bien présent mais son esprit, lui, semble totalement ailleurs, déconnecté de toute réalité. Les premiers souvenirs de cette nouvelle année lui revient, et son cœur se comprime dans sa poitrine en repensant à ses premiers jours de l'année, qui pour elle, malheureusement, commence bien mal. La souffrance était présente, constamment la, à la surveiller, à la bercer au soir venu. Elle était la pour lui rappeler que plus rien ne sera désormais comme avant, que sa vie était sur le point de prendre un tournant qu'une fois de plus elle n'avait pas sût contrôler. Cette belle brunette au sourire malicieux, au regard brillant avait perdu de son éclat, et si elle avait donné son maximum pour renaître dans la lumière la plus totale, l'obscurité était sans arrêt la pour la rappeler à l'ordre.Tu n'as pas le droit au bonheur. Elle repensait sans arrêt à ses nombreuses discussions qu'elle avait pût avoir avec Alexander à ce sujet la, lui qui était persuadé qu'elle y avait le droit, qu'elle le méritait même. Au final, il avait tord, tord sur toute la ligne. Absente, elle ne sortit de ses songes que lorsque son portable vint retentir, quand une voix, différente de celle de Mackensie s'était faîtes entendre, et que le même propriétaire de cette voix vint à sa rencontre, dans sa chambre même.
Pais. Nicholas. L'homme qui venait de l'appeler était bien Nicholas. Une angoisse naissante commença à poindre en elle. Et elle refusait, une fois de plus, de se montrer sous ses mauvais jours, que quiconque la prend en pitié, que quelqu'un s'inquiète pour elle. Il fallait qu'elle se ressaisisse et vite pour éviter de flancher, de s'effondrer. Elle ferma les yeux l'espace de quelques secondes, s'était assise sur son lit pour trouver du courage en elle, celui d'affronter le garçon qui avait fait le chemin jusqu'à elle, puis, une fausse assurance en elle, elle vint lui ouvrir la porte, le toisa semblant de rien pour lui demander le comment du pourquoi il se trouvait la, à défaut d'être dans son luxueux loft.Elle n'était pas sympa du tout. Il méritait au moins d'avoir des réponses à ses questions. «Je vais bien.» Elle enchaînait rapidement après ses mots pour éviter qu'il en rajoute d'autres. Son regard stoïque, dissimulant pourtant une profonde tristesse en elle, vint rapidement croiser le sien.«Tu perds ton temps.» qu'elle lui soufflait avant de passer comme un courant d'air dans un maigre espace entre la porte et le reste de l'appartement, Nick restant planté la, devant cette porte ouverte donnant sur sa chambre à coucher.
Semblant de rien, elle partit en cuisine pour se servir un vulgaire verre d'eau, ravalant toute la rage, toute la peine qui lui broyait les entrailles ses derniers temps. L'angoisse, elle, était toujours la, bien présente dans sa petite tête. «Enfin. Maintenant que tu es la. Tu veux boire quelque chose peut-être?» Elle parlait, machinalement, sans émotion particulière dans la voix. Elle se trahissait elle même, et elle savait bien pourtant que Nicholas n'en resterait pas la, qu'il chercherait à comprendre pourquoi elle avait été si distante ses derniers temps. Si il savait. Se servant son verre sur le plan de travail, elle espérait qu'en un coup de baguette magique le garçon derrière elle disparaîtrait mais non, elle pourra user de n'importe quel subterfuge, de n'importe quoi qu'il resterait la, à moins qu'il se rend finalement compte qu'elle n'en vaut certainement pas la peine, que de toute façon son âme était déjà damnée, destinée aux enfers et qu'il serait impossible de la récupérer.
Son corps fit finalement volte face, le bas de son dos s'appuyant contre le plan de travail désormais derrière elle. Il voulait un face à face alors il l'aurait, mais pas comme il l'aurait espéré malheureusement.«Installe toi. Fais comme chez toi.» Elle continuait de jouer la carte du paraître, celle de la plus forte, sans un sourire sur les lèvres, sans sourciller, plutôt neutre voir même un poil trop froide. Il y a eu tant de choses qui l'ont fait souffrir, tant de problèmes dans sa vie qu'au final, cette expression était l'une des meilleurs qu'elle pouvait adopter. Ne sachant quoi lui dire de plus, elle se contenta de boire son verre, sans le quitter des yeux, lui et ses éventuels faits et gestes. Elle attendait qu'il ouvre la bouche pour parler, pour lui demander des comptes et intérieurement, elle s'était mise à réfléchir à un plan pour les contourner ses explications, parce qu'elle était maligne et qu'elle pouvait le faire, elle savait le faire mieux que personne. T'es qu'une putain de menteuse dans l'âme Paisley. Oui, elle savait le faire, elle l'avait déjà fait plusieurs fois durant sa vie, durant sa jeunesse, et encore une fois,elle en ferait usage, à Nicholas, pour lui éviter le pire, à espérer seulement que le mensonge suffit pour calmer le jeune homme face à elle qui risquait d'exploser en la voyant aussi distante, aussi neutre contrairement à ce séjour du nouvel an qu'ils ont pût passer avec Gabriel.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: instant crush. ft.nick. | Mar 7 Jan - 19:26
Paisley & Nicholas
instant crush
Assis dans ma voiture direction chez ma cousine et j’ai Paisley, perdu dans mes pensés pendant que je rouler, je revois le sourire de la jeune femme lorsque j’avais fait la surprise de l’emmener à Disneyland avec Gabriel, on aurait dit une petite fille qui réaliser son rêve de petite fille, c’est ce sourire la qui me manque, c’est ce sourire la que je veux revoir sur son visage, depuis que nous sommes revenus de notre séjour, la jeune femme avait perdu son sourire qui me fait craquer je l’avoue, sa bonne humeur qui nous redonne tout suite la motivation, elle était devenu froide et distante surtout avec moi, parce que je sais que Mac normal elle vivait avec elle, elle savait comment elle aller et puis Gabriel m’avait aussi confié qu’il avait eu aussi de ces nouvelles, y avait que moi qui en avait pas eu. Mais pourquoi moi ? Qu’est-ce que j’ai fait pour qu’elle soit comme ça avec moi, est ce qu’elle préfère l’autre type plutôt que moi et qu’elle veut mettre un trait sur moi. J’avais tant de questions qui se bousculer dans ma tête, j’avais vraiment besoin d’avoir des réponses, mais j’avais également envie de là voir, parce que oui mine de rien ça me manque ne pas la voir j’avais ce besoin de la voir, c’est donc pour cela que je me dirige chez elle actuellement.
C’est fait, je suis devant leur appartement, prête à affronter Paisley, affronter ce qu’elle aller me dire, et je sens au fond de moi que cette confrontation n’aller pas du tout me plaire, mais bon au moins j’aurais mes réponses à mes questions après tout. D’un pas décider, je m’étais dirigé vers l’appartement des filles, Mack m’avais rapidement ouvert la porte et nous avait également laisser seuls Pais et moi pour que nous puissions parler tous les deux, elle savait qu’on avait besoin de parler tous les deux. Je regarde quelques instants la porte d’entrée qui s’était refermer quelques minutes puis je me dirigeais aussitôt vers la porte de la jeune femme, main pose sur la porte, je ne frappe, seule ma voix lui fait comprendre que j’étais là derrière sa porte et qu’elle devait m’affronter. La porte de la chambre s’ouvre et laisse apparaître la même femme depuis notre retour froide et qui mets bien de la distance entre elle et moi, je détaille chaque recoin de son visage et j’avais bien remarqué qu’elle avait pleuré, je ne suis pas idiot, ça me rend mal de savoir qu’elle souffre et qu’elle garde ça pour elle. C’est avec les mains dans les poches de ma veste et en plongeant mon regard dans le sien que je lui dis la raison de ma venue, c’est d’un ton sec et d’un regard vide sans émotion que la jeune femme qu’elle me répondis qu’elle aller bien, mais quelle comédienne qu’elle fait là, mais je ne dis rien et attends jusqu’au ou la jeune femme aller me pousser un bout.
Elle quitta finalement sa chambre en passant un coter de moi comme si j’étais rien, que j’étais un étranger pour elle, je garde ma tête droite, mes yeux était fixé sur son mur que j’avais devant moi, je lancé un aucun regard à la jeune femme qui partait je ne sais ou, c’est avec la gorge noué j’entrouvre un peu ma bouche, je ferme quelques secondes les yeux pour me reprendre, pour me calmer que je ne puisse pas péter un plomb, parce qu’elle avec sa manière de me parler et de me traiter m’avait clairement blesser mais je me reprends bien vite et je fait aucun voir à la jeune femme ce qu’elle venait de faire m’avait toucher. Je me retourne en fessent plus face à la chambre vide de la jeune femme, toujours les mains dans les poches de ma veste, je me dirige dans la cuisine pour poursuivre ma conversation même si je sais que la jeune femme tentera le tout pour le tout pour me chasser de chez elle pour éviter d’avoir cette conversation. Arrivé dans la cuisine, je me colle contre le mur en posent ma tête dessus, je lance un regard dur envers elle, elle le fait bien pourquoi je ne le ferais pas ? Non merci, je ne veux rien. Dis-je envers la jeune femme en secouant la tête négativement tout en gardent mon regard sur elle qui elle s’était retournée pour reprendre son verre d’eau dans les mains pour en boire une nouvelle gorgée.
Elle à du sentir mon regard persistent envers son égard puisqu’elle se retourna aussitôt lorsqu’elle avait à nouveau poser son verre d’eau sur le plan de travail, un silence lourd s’installe entre nous, aucun de nous n’ose parler, on préfère s’affronter du regard mais la jeune femme avait rapidement marre de ce silence qui pèse lourd dans cette cuisine et m’invita à m’asseoir puisque j’étais la maintenant, mais plutôt que d’aller m’asseoir je me décolle du mur ou j’étais coller, j’enlève mes mains des poches de ma veste et m’approche enfin de la jeune femme. Pourquoi tu m’évites ? Depuis que nous sommes revenus de notre séjour, tu me fuis comme de la peste ? Dis-je en m’avançant de plus en plus de la jeune femme pour finalement me retrouver face à elle mes yeux posés dans les siens, voilà le sujet était lancé. La jeune femme fuit rapidement mon regard en détachant ses yeux des miens et fessait mine de regarder partout pour éviter justement me regarder, puis le soupire que la jeune femme lâche se fit entendre, elle me poussa lorsqu’elle commence à se retourner pour plus me faire face, mais j’avais attrapé son poignet avant qu’elle ne me tourne le dos encore une fois. Non ne me tourne pas le dos si te plait, qu’est ce j’ai fait pour que tu me traites comme ça ? Demandai-je avec une voix dur, mais à la fois casser.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: instant crush. ft.nick. | Mer 8 Jan - 12:29
Paisley & Nicholas
instant crush
il ne mérite absolument pas ce traitement la. Froide comme la glace, elle le toise, c'est à peine si elle fait attention à sa présence dans la pièce. ses yeux peinent à croiser les siens, à vrai dire, elle préfère les éviter pour ne pas craquer. sans un mot de plus, elle s'avance dans la cuisine pour se servir un simple verre d'eau, prenant au plus profond d'elle même une large inspiration pour la confrontation à venir. elle n'était pas dupe, elle savait pertinemment qu'il était venu jusqu'à elle pour ça. il voulait savoir ce qui pouvait bien se passer dans sa tête pour qu'elle ne prend même pas le temps de lui envoyer si ce n'est qu'un simple message, ou encore de répondre à l'un de ses appels. elle n'en a pas envie, sa tête n'en a pas envie, son cœur non plus. ce foutu cœur au bord de l'explosion. le verre d'eau en main, elle lui propose de lui servir quelque chose, il refuse. bien. il a clairement envie d'en découdre. elle continue, malgré elle, à se montrer polie et courtoise, c'est la moindre des choses quand un invité se présente chez nous mais encore une fois il ne l'écoute pas, trop buté dans ses pensées, trop hanté par ses questions laissées jusqu'à présent sans réponses.
Pourquoi tu m’évites ? Aie. Ça fait mal. Le mot est fort, mais il est réel. Elle l'évitait oui, clairement. Las, elle soupire, lève les yeux sur le plafond.Depuis que nous sommes revenus de notre séjour, tu me fuis comme de la peste ? il continue, il s'avance, elle craint pour la suite des événements. «Nick s'il te plait..» Elle ferme les yeux, l'espace de quelques secondes, la colère mêlée à la tristesse au creux de l'abdomen. Elle a pas envie de lui parler, elle veut pas craquer, surtout pas devant lui mais voilà qu'il continue d'avancer, encore et encore, il se rapproche toujours un peu plus d'elle et elle sent la merde arriver à plein nez. Elle sait qu'il est capable de la pousser à bout lui, et elle refuse de s'énerver, elle refuse de perdre pieds. Intérieurement, elle contient le maximum qu'elle peut contenir, les cris, les larmes, les sanglots, tout, absolument tout. Jusqu'à quand? «Laisse moi.» qu'elle murmure d'une voix à peine audible en prenant soin de repousser l'homme un peu trop proche d'elle. Peut-être que si elle se retourne et se met à l'ignorer il finirait vraiment par partir? Encore une fois, ce ne fut pas le cas et pire encore.
Elle sentit sa main se poser autour de son poignet, son corps s'était aussitôt crispé.«LACHE MOI!» hurla t-elle par simple réflexe en se tournant aussi vif que l'éclair vers lui pour croiser son regard, le visage dur. Rapidement elle libéra son poignet, leva les deux mains à hauteur de sa poitrine pour qu'il cesse de vouloir la toucher, d'entrer directement en contact avec elle. Comme ci ses petites mains pouvaient la protéger de ça.Elles ne sont pas parvenues à le faire une première fois, alors pourquoi réussiraient-elles une deuxième fois? Un nouveau silence s'empara de la pièce avant qu'elle ne se décide à de nouveau ouvrir la bouche pour lui parler. Non. Elle n'avait pas le droit de le laisser comme ça. «Ecoute.. Ça n'a rien à voir avec toi. Je-.. je suis juste un peu à cran en ce moment.» Une vraie bombe à retardement ouais. Elle gardait les yeux clos pour réfléchir, penser à tout ce qui avait pût se passer durant le début de l'année. Ses conneries, ses sacrées conneries, et l'hospitalisation d'Alexander. Un tout qu'elle semblait avoir du mal à supporter. «Je veux pas que tu penses que c'est de ta faute, c'est pas le cas d'accord?» qu'elle ajouta en ouvrant de nouveau les yeux sur les siens. «Ça va aller Nick.. T'en fais pas pour moi. Fais moi confiance.» son but était loyal. Le rassurer était son but premier à vrai dire, comme ci l'éloigner de la réalité était ce qu'elle pouvait faire de mieux. un talent inné.
elle était pourtant mauvaise comédienne, elle même ne savait pas ce que l'avenir lui réservait. elle avait juste cette foutue impression que le destin s'amusait perversement avec elle. la chance? elle ne la connaissait que par écrit, jamais elle n'en avait eut le droit durant sa vie toute entière et elle sentait, au plus profond d'elle, que cette chienne de vie s'occuperait d'elle d'une quelconque manière. elle s'était préparée à la supporter, à la subir, pour qui sait, peut-être à l'avenir en ressortir meilleure de toutes ses expériences.«Dis toi juste que c'est temporaire, et que j'ai juste besoin d'un peu de temps pour moi.» elle cherchait son regard, elle se voulait une nouvelle fois rassurante. Elle avait ce besoin de se retrouver avec elle même, de poser le pour et le contre de tous ses événements qui se sont écoulés depuis peu. elle voulait comprendre, se soigner intérieurement avant de pouvoir de nouveau rayonner à Miami.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: instant crush. ft.nick. | Mer 8 Jan - 19:32
Paisley & Nicholas
instant crush
J'étais complètement fou quand la jeune femme me rejeter de la sorte, comme une vieille chaussette, j'ai totalement changer depuis que la jeune femme est entrée dans ma vie, c'était fini le Nicholas le don Juan qui saute sur tout ce qui bouge à présent je n'avais plus qu'une seule fille en tête et cette fille est celle qui se montre froide avec moi, celle qui ne me jette aucun regard lorsqu'elle passé juste à coter de moi comme si j'étais redevenu un étranger à ses yeux. Son comportement me blesse énormément mais je prend sur moi parce que je mérite clairement des explications de sa part, le pourquoi et le comment pour quel raison elle a ce comportement avec moi, est ce que j'ai fait quelque chose durant le séjour qui l'aurait éloignée de moi d'un coup comme ça, j'ai beau me mémoriser le séjour que nous avons passer et rien me vienne à l'esprit que J'ai pu faire quelque chose de mal envers son égard.
Je n'étais clairement pas le mec qui laisse tomber au moindre problème, qui se casse, tête baisser en fessent son malheureux parce que la fille qu'il veut ne veut pas de lui, je ne suis clairement pas ce type la, j'affronte la situation, je suis hargneux , impulsive même je lâche pas l'affaire facilement et ça la jeune femme elle va très vite le comprendre. Aucun sourire s'affiche sur son visage j'ai même un regard dur, je ne montre aucun cas à la jeune femme que son comportement me toucher énormément, j'avais refusé toutes les propositions qu'elle m'avait proposé la seule chose que je veux tout suite maintenant, c'est des explications à mes questions qui me hantes depuis ces quelques jours.
La jeune femme sentait clairement que J'étais je m'approcher de plus en plus d'elle c'est donc pour cela que m'avait demander de m'arrêter mais je ne l'écouter pas je fessais mon sourd d'oreille en continuant à m'approcher d'elle, arriver près d'elle j'approche mon visage près de son oreille et lui avait poser ma première question et lorsque je suis proche d'elle la seule chose que J'avais envie de la prendre dans mes bras, parce je sentais clairement c'est ce qu'elle avait besoin de mes bras se sentir soutenue mais aussi rassurer mais je sais également très bien me repoussera encore et encore en fessent sa forte et qu'elle se montrera davantage froide pour me faire dégager pour ne plus avoir à m'affronter. Il est hors de question que je te laisse. Dis-je en fessent à nouveau face à la jeune femme qui était clairement en train de bouillir à l'intérieur d'elle.
S'était mon but de la pousser à bout pour qu'elle me dise enfin ce qu'il lui arrive, ne supportent plus mon regard sur elle, elle commença à se détourner de moi mais j'avais attrapé son poignet au vol ce qui avait fait enrager la jeune femme qui m'avait pousser violement pour me dégager d'elle en mettent ses mains devant d'elle pour pas que je m'approche d'elle, c'est comme si elle s'était mit un bouclier devant elle pour pas que j'en approche. MAIS MERDE PAIS ! Tu ne peux pas me laisser dans le doute comme ça. Dis-je en commençant à exploser à mon tour, je passe une main dans mes cheveux en les frottent, je commencer à devenir dingue. Puis je m'avance vers le plan de travail, je pose mes mains dessus en levant mon regard vers la jeune femme que j'avais en face de moi, je ne bouge pas d'un poil et attends les explications de la jeune femme.
La jeune femme me tenta de me rassurer en m'expliquant que je n'étais pour rien dans son changement de comportement et d'humeur aussi, alors si je suis pour rien pourquoi elle m'ignore moi et non les autres parce qu'il n'y avait que moi qu'elle éviter. Comment veux-tu que je ne pense pas que ce n'est pas de ma faute alors il n'y a que moi que tu évite. Dis-je en plantant mon regard dans celui de la jeune femme en fonçant les sourcils, je n'étais clairement pas convaincu ce qu'elle me disais, y avait quelque chose de grave de très grave même pour qu'elle ne veuille pas m'en parler, es qu'elle remarque au moins que je sais parfaitement la comédie ? Je ne pense pas. Je le vois clairement que tout ne va pas bien, je le lis dans tes yeux, ils te trahissent. Dis-je en gardent mon regard dur envers la jeune femme.
Je baisse quelques secondes mon visage en fessent fasse au sol de la cuisine, je ferme les yeux quelques seconde, je bouillie à l'intérieur de moi, je vais péter un câble d'un moment où un autre, je relève mon regard d'un coup, mon expression sur mon visage avait clairement changer, j'étais devenu froid et distant d'un seul coup phrase aux paroles de la jeune femme qu'elle venait de me dire. Y a quelqu'un d'autre. Dis-je en affrontant le regard de la jeune femme, la jalousie a clairement pris le dessus.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: instant crush. ft.nick. | Jeu 9 Jan - 16:25
Paisley & Nicholas
instant crush
Il est hors de question que je te laisses. Il a pas le droit de la faire souffrir d'avantage, pas comme ça en tout cas. Et pourtant, lui souffre déjà de cette distance, de ses barrières qu'elle s'est imposée envers lui. C'est une manière de se protéger, une manière de ne pas avoir d'avantage mal, de ne pas enfoncer le couteau dans la plaie. C'est douloureux, insupportable mais il faut qu'elle arrive à lui tenir tête, au moins aujourd'hui. Elle n'est pas encore totalement prête à l'affronter, elle a besoin de temps pour se reconstruire, pour mettre de l'ordre dans son existence trop mouvementée, trop chaotique. Il lui parle, c'est à peine si elle ose le regarder dans les yeux, elle a honte et fuit son regard comme la peste, parce qu'elle sait que ses beaux yeux bleus peuvent la faire flancher complètement. elle soupire, espère qu'un coup de baguette magique suffirait pour le faire disparaître mais non. Dans la vie parfois il faut savoir affronter ses problèmes de face pour en ressortir vainqueur, meilleure et tant qu'elle ne lui aura pas fournis les explications qu'il désire, il resterait la, à côté d'elle à chercher toujours chercher, à lui poser milles et une questions qui la ferait douter sur ce qu'elle veut réellement, sur son véritable but.
Le fou commet l'irréparable. il s'approche, la touche, effleure sa peau presque trop violemment pour elle. il lui arrache un cri des lèvres avant qu'elle ne se met à le foudroyer littéralement du regard. il hausse le ton, colérique, elle pourrait tout en faire de même mais elle n'en a toujours pas la force. le manque de savoir le rend complètement fou, lui fait perdre pied comme elle avait pût perdre pied en ce début d'année. il ignore tout d'elle, il ne la connait à peine si ce n'est ses lèvres qu'il a déjà pût embrasser, son corps qu'il a déjà pût observer. il ne sait rien de la fille qu'elle est, de son vécu, de son passé, et de toutes ses choses que la vie lui réservait encore. elle était un poison mortel pour tous ceux qui la fréquentait, un poison sans antidote, le genre qui te détruit lentement mais sûrement sans que tu sois capable de le contrôler. a cette allure, c'est nicholas qui finirait par sombrer, avec ou sans elle.
il pose ses yeux sur elle, elle se sentirait presque défaillir, pourtant elle lui tient tête, ou tente du moins de le faire. d'une voix plus ou moins posée elle tente de le rassurer. ce n'est pas de sa faute, ce n'est pas de sa faute mais cela ne l'empêche pas d'en penser le contraire.«Ce n'est pas de ta faute.» il fallait que ça sortes et ce même si elle avait déjà tenté, quelques minutes plus tôt de le lui faire comprendre. tout ce dont elle avait besoin c'était d'un peu de temps pour elle, du temps pour se reconstruire, pour mettre de l'ordre dans sa petite vie chaotique. rien ne semblait tourner rond ses derniers temps, il y a eu tant de choses depuis ce début d'année et Nicholas n'en savait rien, il n'avait rien à savoir de toute façon, c'était ses soucis, son fardeau à elle.«on a tous des problèmes dans la vie Nicholas..Et les miens ne te regardent pas.» qu'elle lui soufflait dans le blanc des yeux en tenant bon. Toujours tenir bon face à l'attaquant, ne jamais baisser la tête, tenter de la garder haute au maximum pour survivre, oui survivre, c'est ce qu'elle faisait de mieux ses derniers temps. il savait qu'elle n'avait pas une existence toute belle, toute rose, et pas grand monde était au courant de qui était la véritable Paisley. Paisley se cache derrière un masque, celui de cette femme forte, de cette grande gueule sans état d'âme, celle qui joue, qui s'amuse sans mesurer les conséquences de ses actes. cette paisley la qu'elle n'était pas au fond d'elle, la ou se trouvait précisément son âme d'enfant brisée.
ce temps voulu lui serait précieux pour l'avenir, l'aiderait certainement à prendre les bonnes décisions, celles qui ne la feront pas souffrir, qui la rendrait peut-être même heureuse qui sait. ce temps lui serait bénéfique, l'aiderait à grandir, mûrir si il le fallait. elle avait besoin de ça, mais lui d'autre chose. il se laissa ronger par une jalousie naissante. une jalousie mal placée qui le ferait complètement exploser si elle ne lui répondait pas. «Arrête Nicholas!» qu'elle se contenta de crier à nouveau.«comment tu peux parler comme ça alors que je viens de te dire que j'ai besoin de temps pour MOI. ouais, la p'tite Paisley à envie d'être égoïste pour une fois c'est si grave que ça? dis moi que c'est grave Nicholas!» qu'elle s'était mise à crier de plus belle. cette situation commençait sérieusement à l'agacer. devoir des comptes à tout le monde, sans arrêt, toujours des comptes.«j'commence sérieusement à en avoir marre de devoir des choses aux autres!» incontrôlable, colérique à son tour, elle s'était mise à le pousser, plus méchamment, deux mains sur ses pectoraux. c'était comme ci elle en ressentait le besoin au plus profond de sa poitrine. laisser parler sa colère mélangée à sa tristesse. se défouler était peut-être la solution finalement, la solution à ses problèmes. il fallait qu'elle évacue toute cette pression en elle, et Nicholas tombait franchement mal pour le coup.
et au fond d'elle, elle craignait secrètement qu'il finisse par partir, parce que comme une belle lunatique, elle avait besoin de sa présence plus qu'elle ne voulait le repousser et le faire dégager à coup de pieds au cul. elle avait presque envie qu'il la rassure et qu'il lui dit que tout allait bien désormais, qu'il serait la pour elle, qu'il l'aiderait à surmonter sa peine, et ce même si cela doit l'atteindre lui, il était prêt à partager son fardeau nicholas, si elle peut fermer l’œil au soir venu et dormir plus tranquillement sur ses deux oreilles.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: instant crush. ft.nick. | Jeu 9 Jan - 21:00
Paisley & Nicholas
instant crush
Pourquoi je laisserai la jeune femme alors qu'au fond de moi, je savais pertinemment qu'elle avait besoin de moi, de ma présence, je ne serais l' expliquer cette sensation qui me quitte pas depuis que j'ai poser mon regard dans le sien, j'étais clairement en train de la pousser à bout mais elle aussi elle me pousser à bout et les fort caractères que nous avons tous les deux à un moment donner nous savons que ça aller exploser tôt ou tard. C'est vrai que je connais très peu la jeune femme comme elle me connais très peu également mais on s'apprenais à se connaître à découvrir tout de l'un et l'autre enfin pas tout non plus nous avons chacun son jardin secret qu'on partage avec personne à part soit même, nous étions en train de se rapprocher de plus en plus elle et moi, notre relation était même devenu ambiguë elle l'es toujours d'ailleurs mais du jour au lendemain la jeune femme avait mise une barrière entre nous, elle avait brisé le pont qui m'amène vers elle et maintenant je n'avais plus le moyen de la rejoindre mais je voulais reconstruite ce pont parce que je voulais toujours aller vers elle.
Cette fille la je l'ai dans mes pensées du matin au soir, elle est tel un poison qui est entrée en moi qui veux plus jamais en sortir et qui veux me torturer, je perdais complètement pied lorsque j'étais en sa présence, les sorties en boîte ou au Devil's ne m'intéressait plus, même draguer les nanas pour coucher avec elle et leurs dire bye bye le lendemain après avoir eu ce que je voulais, ça non plus sa ne m'intéressait actuellement je m'en fou complètement des autres nana, qu'une seule m'intéressait et elle était en face de moi en essayant par tout les moyens de me dégager de sa vie pour ne je sais quel raison. Sa réaction fait mal très mal même.
Je ne quitterai pas cet appartement tant qu'elle ne me dira pas la vérité, ce qu'il se passe réellement, encore une fois elle tente de me rassurer en le disant ce qui passe actuellement pour elle n'étais en aucun de ma faute, alors ce n'est pas de ma faute pourquoi elle veut temps me faire sortir de sa vie dans ce cas ? Tant qu'elle ne me dira pas la vérité, j'aurai toujours des doutes. Je viens clairement de recevoir une claque pas physiquement, mais mentalement lorsque la jeune femme venait de me parler comme un moins-que-rien, maintenant ça suffit, elle veut jouer à ça très bien, on va jouer à son petit jeu. C'est vrai que ça ne me regarde pas, après tout je ne suis rien pour toi. Dis-je en haussant les épaules, en levant les bras en me retournant en tournant le dos à la jeune femme, mais je lui fis face rapidement en me retournant à nouveau en lui en voyant un regard noir en posant mes mains dans les poches de mon pantalon.
La jalousie avait clairement pris le dessus lorsque je me suis imaginer qu'elle avait peut être quelqu'un d'autre dans sa vie, rien quand imaginent cela sa me foutais clairement les boules, c'est peut être pour cela qu'elle réagis comme ça avec me dégager de sa vie pour être avec l'autre type, la jeune femme s'était mise dans une colère noir lorsque j'avais prononcer ces mots, elle s'approcha de moi tel une furie, elle se mets à hurler à plein paumon en m'expliquant ce qu'elle voulais actuellement et lorsque elle arriva à ma hauteur elle leva les bras et me frappe de toute ses forces mon torse avec ses mains tout en me poussant violemment.
Je la laisse faire, ne broncher pas, elle avait besoin d'évacuer cette colère qui l'habite depuis ces quelques jours maintenant, il fallait qu'elle la sorte, qu'elle se défouler sur quelque chose et ce quelque chose, c'est moi. La jeune femme partait de plus en plus dans sa colère, elle était clairement aveuglée par sa haine qu'elle avait au fond d'elle, elle continuer à me frapper et à me pousser. Pais ça suffit... Dis-je d'une voix calme, mais elle continuer à me pousser encore et encore. ARRÊTE. Dis-je en criant à mon tour et lui prenant ses bras dans mes mains en plongeant mon regard dans le sien, je voyais clairement son mal-être dans ses yeux, elle souffre et ça me fait mal de la voir comme ça. Calme toi, ça va aller, je suis là et je ne compte pas te lâcher. Dis-je en lui murmurant doucement puis je pose mon front contre le sien en posent mes mains sur ses joues en caressent son visage pour la calmer et la rassurer à la fois.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: instant crush. ft.nick. | Ven 10 Jan - 11:44
Paisley & Nicholas
instant crush
Ouais. On a tous des problèmes dans la vie. Et pour certains parfois, les problèmes peuvent même pousser jusqu'au suicide.Elle n'en était pas arrivé à ce point, elle savait relever la tête quand il le fallait, mais ses derniers temps n'ont pas été des plus simples pour elle. Au final, avoir ce creux béant dans sa poitrine, elle en avait l'habitude, alors pourquoi chercher constamment à le combler à nouveau? Aucune personne au monde ne serait capable d'un tel miracle. Les seuls qui l'étaient sont morts et enterrés depuis des années maintenant. Peut-être que rien de tout cela ne serait arrivé si ils étaient encore la, bien vivants. Elle aurait certainement apprit de ses erreurs, elle se serait confiée, ouvertement bien entendue avec celle qui l'avait mise au monde. Cette dernière aurait été de bons conseils, elle en est persuadée. Mais voilà qu'aujourd'hui, elle devait faire face à son fardeau et ce seule, sans personne pour l'aider, sans personne pour la guider. Il fallait qu'elle se débrouille, par ses propres moyens quitte à en souffrir durant un certains temps. Il faut parfois savoir arrêter d'attendre bêtement que l'orage passe et danser avec la pluie pour apprécier les futurs beaux jours.
Comme elle regrette l'époque ou elle n'était qu'une pauvre gamine innocente qui jouait avec ses poupées, qui dansait en bonne ballerine sans jamais s'arrêter de tourner, jusqu'à en avoir mal à la tête. A cette époque, elle s'était sentie légère comme une plume, et jamais personne n'avait sût lui enlever son doux sourire des lèvres, mieux encore, ce dernier s'étirait d'avantage quand les mains de ses deux parents l'applaudissaient après un ballet. Elle rendait fière les gens Paisley à cette époque la. Comme quoi, tout peut basculer du jour au lendemain, sans qu'ont s'y est préparé. Un jour le rêve s'achève, brutalement. La chute est parfois colossale, mortelle, mais il faut savoir se relever, toujours se relever quoi qu'il advienne. Ses problèmes, ses fardeaux, c'était à elle seule de les régler. Nicholas n'avait rien à voir avec cela, tout comme Alexander, tout comme Mackenzie, tout comme Gabriel. Personne ne devait savoir ce qui s'était passé, personne ne saurait de sa bouche en tout cas, mais il est fort à parier que Nightmare s'en donnerait à cœur joie de tout révéler, au monde entier. Cette petite poufiasse perfide et sournoise. Une première fois, elle le lui avait dit puis une deuxième fois. Non ce n'est pas de ta faute. Il abdiquait, en ajoutant quelques mots. Ça faisait d'autant plus mal de l'entendre parler, comme quoi à ses yeux à elle, il n'avait aucune valeur. Faux. Nicholas avait beaucoup de valeur à ses yeux. Elle soupirait, las avant que la jalousie naissante du garçon ne la fit littéralement péter les plombs.
Pourquoi devait-elle sans cesse des explications à tout le monde? N'est-elle pas libre de ses faits et gestes? La vie passe si rapidement qu'il serait tellement triste que quelqu'un cherche à gérer la nôtre. Sa jalousie mal placée la fit sortir de ses gongs et c'est sans aucune pitié, sans aucun remord qu'elle venait le repousser, une première fois violemment, de deux mains sur le torse. Bon sang ce qu'elle voulait le frapper. Pais ça suffit. Et elle continuait, encore et encore à le repousser, autant qu'elle le pouvait elle le ferait, la rage dans le regard, la tristesse au cœur. ARRÊTE. Son cri était venu à son tour tout briser en elle, cette muraille devant elle, cette carapace de femme forte qui aujourd'hui n'en pouvait plus. La force de Nicholas sur ses deux bras la fit cesser, sa respiration était vive, affolée et même si elle s'était sentie fragilisée par cette altercation, elle ravalait toujours ses larmes, tentant au maximum de les contenir à l'intérieur de ses deux yeux. Un nœud s'était lui niché au centre de son œsophage. C'était tellement dur de ne pas éclater en sanglots. Nicholas était la pour elle, il le serait toujours, il n'était pas prêt à la lâcher, il refusait de le faire. Elle avait besoin d'aide, d'être apaisée, et il était la pour ça. «Laisse moi Nicholas..» qu'elle tentait d'articuler malgré cette boule de nerf, toujours la au creux de sa gorge.«J'en peux plus.. Par pitié laisse moi.» Et cette fois, cette unique fois, dernière fois qu'elle se promit intérieurement, elle se laissa aller. Quelques larmes vinrent couler le long de ses joues en repensant à tout ce qui s'était passé. La douleur restait la, au fond de sa poitrine douloureuse. La mâchoire serrée, elle restait constamment dans sa lutte intérieure pour ne pas éclater comme une belle bombe à retardement et elle s'en voulait tellement qu'il ait pût la voir dans cet état, et elle refusait désormais qu'il la voit dans cet état une fois de plus. «J'ten supplie..» C'était bien trop dur pour elle qui n'avait demandé que du calme, un temps de repos pour se remettre, pour relever la tête et retrouver son sourire. Elle avait au moins besoin de ça pour remettre de l'ordre dans sa vie et Nicholas devait le comprendre, il fallait absolument qu'il le comprenne.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: instant crush. ft.nick. | Ven 10 Jan - 19:26
Paisley & Nicholas
instant crush
Ces mots me blesse, ses geste et sa froideur me blesse, elle avait raison sur un point nous avons tous des problèmes dans sa vie, moi-même j’en ai et je les partages avec personne ni avec Gabriel, ni Mackenzie, je remarque bien que nous nous ressemblons tous les deux, nous sommes butés, nous voulons gérer nos problèmes tout seule en demandent de l’aide à personne notre fierté prenais clairement le dessus, on se veux montrer au fort devant le monde entier alors que à l’intérieur on est détruit. J’étais totalement buté face la jeune femme, je ne voulais pas entendre me dire que je devais pas la laisser à chaque fois elle me le répéter mais je fait mon sourd d’oreille parce que je ne veux pas et je n’ai pas l’envie de la laisser dans cet état, elle va mal très mal même, je refuse catégoriquement de quitter cet appartement tant qu’elle me dira pas ce qui la fait tant souffrir, je ne suis pas son ennemi, je suis celui qui veux l’aider, veux lui tendre la main quant elle chute, je veux être celui qui l’aide à avancer, je veux être celui qui lui rendrais son sourire, son beau sourire qui ma charmé ce soir la au devil’s. Le fait qu’elle ne veut pas partager sa douleur avec moi me blesse au fond de moi ce qui provoqua de la froideur et de la distance en moi, j’étais clairement en train devenir comme la jeune femme, elle voulait s’en doute me blesser dans ses paroles pour que je dégage vite fait de cet appartement pour la laisser dans son désarroi. Je me suis montré méchant et blessant face à la jeune femme en lui envoyant que je n’étais rien pour elle après tout on s’est juste rencontrer dans un bar un soir, on a appris a ce connaitre petit a petit et pouf plus rien le lendemain qui sait elle veux simplement me dégager de sa vie et qu’elle n’avait pas le cran de me dire la vérité et donc pour cela qu’elle se montre aussi désagréable avec moi.
Je n’avais pas du tout contrôler la jalousie qui s’était emparer de moi lorsqu’un instant je l’es imaginer avec un autre type que moi et ma jalousie l’avait clairement mise hors d’elle, elle était entrée dans une colère tellement noir qu’elle ne savait plus ce qu’elle fessait, c’est vrai qu’elle ne me devait rien après tout nous sommes pas ensemble, nous n’avons pas coucher ensemble, nous nous sommes juste embrasser et ça m’avait suffit ses lèvres poser sur les miennes, et au fil des jours que nous avons appris a nous connaitre je n’avais pas chercher a coucher avec elle, non j’avais juste profiter de sa présence auprès de moi parce que ça me fessait du bien, lorsque je suis a ses coter je deviens moi, le Nicholas que tous monde avait connu au temps passé et non le Nicholas don juan, elle avait réussi a casser cette carapace que je m’étais construite au fil de ses années et aujourd’hui c’est à mon tour de casser sa carapace, je veux qu’elle aille confiance en moi, qu’elle se confie à moi lorsqu’elle à peur ou lorsqu’elle est heureuse, je veux la voir sourire et non pleurer et si c’est le cas je serais la pour lui sécher ses larmes. Je rester immobile alors qu’elle s’approche de moi tel un animal sauvage qui va se jeter sur sa proie, elle met toutes ces forces pour me frapper sur le torse et me pousser également avec toute ses forces, je la laisse faire quelques minutes pour qu’elle se défouler, je suis actuellement son souffre-douleur, elle passe sa colère sur moi en me frappant de plus en plus fort.
Mon crie et mon geste brusque lorsque je lui avais pris ses poignets dans mes mains, l’avait clairement arrêté dans son élan de furie, nos regards se croise, nos yeux se plonge dans l’un et l’autre, je vois qu’elle a mal, qu’elle souffre et je souffre avec elle parce que j’aimerai tellement lui enlever cette douleur qui se lis dans ses yeux. D’une voix presque cassé, elle me demande une nouvelle fois de là laisser mais je refuser catégoriquement de la laisser et je lui fait comprendre par mon regard, il est hors de question que je la laisse toute seule dans cet état, pourquoi je tournerai le dos a celle qui est en train de me changer, celle qui est en train de me rendre meilleur, parce que oui, je veux être meilleur pour elle , d’arrêter mes conneries pour elle. Mon regard s’adoucis lorsque je fois les larmes couler sur les joues de la jeune femme, je lâche à nouveau ses bras de mes mains, je passe une main derrière son cou pour l’approcher de moi et la serrer contre moi pour la calmer la rassurer mais elle continuer toujours à me dire que je devais partir la laisser, lui laisser de l’espace, elle avait besoin de se retrouver toute seule mais moi je ne voulais pas la laisser seule, je n’écouter pas ce qu’elle me disais. Il est hors de question que je te laisse, tu peux me hurler dessus, m’insulter ou bien encore me frapper que je ne te quitterais pas Paisley, je refuse de quitter cet appartement. Dis-je en reculant mon visage pour lui faire face, je passe mes pouces sur ses joues pour essuyer ses larmes qui couler sur son joli visage, approche mes lèvres et lui dépose un baiser sur son front.
Je ne voulais en aucun cas qu’elle aille honte de se montrer faible face à moi, jamais je la jugerai je ne suis pas comme cela, je me montre protecteur très vite protecteur envers elle, j’ai envie de la protéger de tout ce qui la fait souffrir actuellement, je veux sécher ses larmes, je veux lui faire comprendre qu’elle doit pas se laisser abattre, que j’étais la derrière elle que jamais je l’abandonnerai, j’étais la pour la soutenir, l’aider a avancer et affronter ses craintes, elle mérite le bonheur plus que n’importe de qui et ce bonheur je sais qu’elle peux le trouver avec moi, parce que je sais depuis que j’ai poser mes yeux sur elle la première fois que elle et moi ça vaut le coup de ce battre et je compte bien me battre comme un lion pour nous deux.