Paisley & Nicholas

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Tu dois être très proche de tes parents. C'était le cas. Autrefois. Elle n'a jamais été aussi proche de quelqu'un que de ses parents. Ils étaient tout pour elle. Son monde entier ne tournait qu'autour d'eux. Pas un jour ne s'écoule sans qu'elle ne pense pas à eux, à leurs sourires, à leurs rires, à leurs visages si expressifs. Pas un jour ne s'écoule sans qu'elle ne pense pas à tout l'amour qu'ils ont pût lui apporter gamine. Ils ont toujours tout fait pour la mettre sur un piédestal, elle était l'étoile des étoiles, la plus brillante, la plus belle à leurs yeux, et aujourd'hui, c'étaient pourtant eux qui brillaient dans le ciel.«J'étais..» qu'elle se permet de dire presque froidement en perdant son semblant de sourire. Comment établir une relation d'amour et de confiance avec des personnes qui ne sont plus de ce monde? Elle ne sait même pas si elle les rends fiers, si ils sont fiers de la jeune femme qu'elle est devenue, et pourtant, ce n'est pas faute de chercher à leur parler. Elle espère toujours qu'un jour ils finiraient par lui répondre, peut-être dans ses rêves les plus fous. Elle avait eut cette chance d'avoir des parents comme ils n'en existent plus à ce jour. Des parents aimants, qui s'aimaient démesurément. Il aurait été capable de tout pour elle, elle en aurait fait de même et avec leurs enfants, ils formaient une famille tellement unie, tellement belle. Le destin en a été jaloux.

Nicholas lui parlait de sa mère, elle semblait perdue dans ses pensées. Elle acquiesçait, bêtement à ses mots en repensant à ce qu'il avait pût lui dire plus tôt, et c'est tout bêtement qu'elle finit par parler de son père. Le fameux père Young tant redouté, tant détesté. Mais de cela, elle ne pouvait pas le savoir. Elle ignorait tellement de choses sur lui et celle ci en était l'une d'elle. La relation qu'entretenait le jeune homme avec son paternel était quelque peu compliqué, difficile à décrire même, mais une chose était sûre: ils se détestaient à défaut de s'aimaient. Dès lors qu'elle avait osé parler de lui, elle l'avait senti crispé, tendu, plus colérique que jamais. Elle s'était rendue vite compte qu'elle avait posé pieds sur une surface fragile, une facette de Nicholas qui pouvait être encore plus douloureuse, plus sensible que celle qu'il avait avec sa tendre mère. Elle s'était imaginée tout les scénarios possibles. Peut-être que ce dernier avait déjà levé sa main sur sa mère, ou qu'il l'avait trompé? Elle n'en savait rien et l'idée de lui poser la question ne lui traversa même pas l'esprit.

Son regard se posait sur cette pauvre cuillère malmenée, sur la mâchoire serrée de Nicholas.«J'suis désolé. J'voulais pas..» Elle ne trouvait pas d'autres mots pour calmer la bête sommeillant en lui mais elle espérait du plus profond de son coeur que ses excuses soient suffisantes pour apaiser l'homme face à elle. «Tiens, vas-y prend un gâteau ils sont juste super bons! J'tassure! Une merveille!» Et de nouveau elle changeait de sujet, elle était douée pour ça. En même temps, il était certainement préférable de tourner la page "papa" afin d'éviter que le jeune homme ne pousse sa colère à l'extrême et qu'il ne se met à tout casser dans l'appartement à l'idée de repenser à son fameux paternel qui, à ses yeux, semblait mort et enterré. Au moins il en avait un lui de père.«Et au cas ou tu te le demandes, non ils ne sont pas faits maison. Je serais certainement pas serveuse si j'arriverais à préparer d'aussi bons gâteaux.» dit-elle avec un semblant d'humour avant de rire doucement et d'en piocher d'ailleurs un de ses petits gâteaux moelleux pour le déguster lentement. Si seulement elle savait aussi bien faire la cuisine, elle aurait été certainement chef dans un grand restaurant ou alors propriétaire d'une pâtisserie. Malheureusement, elle n'avait pas ce don inné en elle, mais en avait tout pleins d'autres tout aussi intéressants que l'art de cuisiner.«En temps normal c'est Alex qui fait à manger...» Mais Alex n'était plus la. Une nouvelle petite moue étira ses traits de visage. Triste moue en repensant à l'endroit exact ou se trouvait son colocataire. Elle le savait entre la vie et la mort, présentement dans le coma et l'idée qu'il puisse perdre la vie lui glace le sang, lui donne presque l'envie d'hurler, de pleurer toutes les larmes de son corps. Il faut à tout prix qu'elle pense à autre chose avant de craquer une nouvelle fois. «Alors avec Mack', on essaye de se débrouiller.. mais franchement.. entre nous, les plats réchauffés c'est vraiment pas top.» qu'elle avait finit par dire pour retrouver son sourire, pour s'amuser de la situation à défaut de s'effondrer à nouveau. Rapidement elle vint mettre un nouveau morceau du moelleux gâteau dans sa bouche en tendant l'emballage à Nicholas d'une de ses mains. «Mmh, tiens! Vas-y mange c'est trop bon..» et elle parlait la bouche pleine, et elle manqua d'en perdre une miette. Vraiment pas glamour cette Paisley par moment, prête à tout pour faire le clown et tenter de rire un peu. Sa maladresse pouvait parfois être plutôt mignonne, adorable même et même si elle ne plaisait pas à tout le monde, elle l'aidait parfois énormément à se remettre de certaines situations, à oublier un peu pour l'instant présent, pour cet instant la, celui qu'elle passait avec Nicholas.
 

Paisley & Nicholas

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Je n'aurais jamais pensé que la jeune aurait perdu ses parents si jeune, au fond j'étais persuadé qu'elle avait encore ses deux parents, qu'elle était aimer de de ceux qui l'on vu venir au monde, bercer lord de ses pleurs, la rassurer lorsqu'elle avait fait des cauchemars, qu'elle était complice avec ses deux parents comme moi j'en ai pas la chance enfin avec ma mère mais en ce qui concerne mon père c'est une d'autre histoire. Lorsque j'entends le son glacial que la jeune femme emploi ses parents, je me rends compte que je me suis planté sur toute la ligne et que j'avais touché un point sensible lorsque je lui ai parlé de ses parents. Excuse moi, je ne savais pas. Dis-je en posent mes deux mains sur les siennes et lui dépose mes lèvres sur ses mains pour un doux baiser pour la réconforter, mais aussi de m'excuser de ma maladresse, qu'est ce que je peux être idiot quelques fois.

La jeune femme avait remarquer combien j'aimais parler de ma mère, à quel point je l'aime et à quel point je suis chanceux de l'avoir dans ma vie, je remercie dieu chaque jours qui me laisse ma mère a mes coter, je ne sais pas dans quel état le jour que je perdrais ma mère, mon pilier dans ma vie, je pense que je serais totalement détruit alors je profite de chaque moment que je peux passer avec elle parce je sais que plus jamais on pourra les rattrapers. Si j'ai une belle complicité avec celle qui m'a mise au monde ce fut pas le cas pour mon paternel.

Enfin si je peux l'appeler comme ça, parce que je type me répugne, il me sort par les yeux rien que te pensé à lui une colère mélangé à de la haine se lit automatiquement dans mes yeux, on se déteste depuis toujours lui et moi, à chaque fois qu'on se croise on se déclare une guerre sans merci, je m'en fou complètement si je suis amené à le faire souffrir lui il l'a bien fait quelques années apparavant, il m'a fait souffrir de la pire façon qu'il soit, j'aurai jamais pensé qu'un père pouvait aller jusqu'à la pour anéantir son propre fils.

Parler de mon père était un sujet très sensible pour moi, je perds automatiquement le contrôle de moi-même, ce type ne peux plus le voir en peinture et la jeune femme l'avait clairement vu dans mon regard et de mon changement de comportement quand elle a mentionné cette ordure même la pauvre cuillère que j'avais dans les mains en avait fait les frais. Ce n'est pas de ta faute, tu ne le pouvais pas le savoir. Dis-je en lâchant la cuillère lorsque je me suis rendu compte, je l'avais tordu bien comme il le faut, je n'avais pas mesuré ma force à cet instant, j'avais été trop aveuglé par ma colère. C'est la voix de la jeune femme qui réussit à m'apaiser et atténuer ma colère que j'avais ressenti y à quelques instant.

Je n'en voulais pas le moindre du monde la jeune femme lorsqu'elle a mentionné mon très cher papa "d'amour", elle ne le savait pas, je la rassure en posent mon regard dans le sien elle voyais que ma colère était retombée et que je lui était reconnaissant qu'elle change de sujet, parce que je ne veux clairement pas que ce type vienne gâcher ce moment que je partage avec la jeune femme. Elle s'était mise à me proposer un gâteau moelleux en me précisent bien que ce n'était pas elle qui les avait fait, je remarque bien que ça ne vient pas son four puisque je voyais l'emballage qui entoure le fameux gâteau. T'inquiète-je vois le sachet de gâteau là-bas. Dis-je en lâchant un rire de ma bouche, puis je lève un sourcil en bougeant ma tête de haut en bas lorsqu'elle mentionne son colocataire qui est actuellement à l'hôpital dans un état grave, c'est idiot, mais je me demande s'ils était plus que des colocataires tous les deux, et voilà que je commence à ressentir une jalousie en moi, mais cette fois, je ne dit rien je garde pour moi. Ne lui dis pas sinon elle risque de me tuer, mais ma cousine n'a jamais été très douée en cuisine. Dis-je en lâchant un autre rire si elle savait que j'ai dit cela Mac me tue direct.

Je prends le gâteau dans les mains que la jeune me tend et qui vend les mérites de ceux fameux gâteau moelleux, je la regarde en souriant en la regardent en train de savourer son gâteau, tellement qu'elle le savourent qu'elle en avait un peu partout, autour de sa bouche. Attends-tu en as un peu-là. Dis-je en me levant un peu de ma chaise et me penche un peu vers elle en posent mon doigt au coin de ses lèvres pour lui enlever le bout de gâteau. Et voilà. Dis-je en posent mon regard d'un bleu dans le sien accompagné d'un sourire , puis j'approche mon visage près du bien, nos lèvres était à quelques mètres de l'un et l'autre, je prends les devant en posent doucement mes lèvres sur les siennes et j'espère de tout mon coeur qu'elle me repoussera pas.
 

Paisley & Nicholas

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Tu pouvais pas savoir. qu'elle soufflait lorsqu'il s'était excusé de son indiscrétion au sujet de ses parents. Elle ne lui en avait pas dit plus, elle n'en avait tout simplement pas l'envie ni le coeur à lui expliquer ce qui s'était vraiment passé, et ce que la mort de ses deux parents avaient provoqué en elle. Comme n'importe quel enfant qui se retrouve orphelin, elle avait dût se battre pour survivre tout en serrant aussi fort que possible dans ses petites mains d'enfant celles de ses cadets. Ce fût certainement l'une des choses les plus compliquée qu'elle avait été amenée à faire, mais elle l'avait fait malgré elle. Nicholas se voulait rassurant, présent pour elle durant ses souvenirs douloureux, et elle lui offrit un discret sourire en guise de remerciement.  Sa présence lui faisait véritablement chaud au cœur, et cet élan de générosité et d'affection à son égard était bien plus que plaisant. Vraiment.

Il avait gaffé, et elle aussi l'avait fait lorsqu'elle lui avait bêtement demandé la relation qu'il entretenait avec son paternel. Elle avait rapidement sût que cette dernière était plus que mauvaise, il semblait même le haïr, terriblement au vu de son expression faciale crispée. Maladroitement elle s'était excusée, et heureusement, ses excuses furent acceptées. Elle non plus ne pouvait pas savoir tout cela, après tout, elle ne le connaissait pas depuis longtemps et elle apprenait tout juste à le découvrir, à l'apprécier. Une chose est sûre, elle ne reparlerait jamais de ce père tant détesté, elle s'en faisait la promesse tout comme elle lui en ferait la promesse à lui aussi. Il existe parfois des douleurs qui peinent à se refermer, qui sont difficiles à panser, et Nicholas devait certainement en avoir une immense au fond de son cœur, dû justement à l'absence ou le dégoût d'un père à son égard. Sa curiosité l'aurait bien demandé le comment du pourquoi il entretenait cette relation avec lui, mais il était préférable de ne pas en rajouter d'avantage et de changer de sujet, histoire que le reste de la journée se déroule plus ou moins sans encombres.

Alors, elle s'était mise à parler de gâteaux. Ses petits gâteaux unitaires qu'elle vint engloutir tel un estomac sur pattes devant Nicholas. Elle avait prit soin de lui révéler qu'elle n'était pas l'auteur de la recette, et que ce n'était tout simplement pas elle qui avait cuisiner ses petites douceurs. Il ne fallait pas être très futé pour comprendre de toute manière qu'ils étaient déjà tout préparés et comme Nicholas l'avait si bien dit, l'emballage la trahissait. «Zut. Je savais que j'aurais du camoufler l'emballage avant de te servir, peut-être que l'illusion aurait été parfaite.» Et elle riait doucement. Comme ça faisait du bien de rire un peu après ce qui s'était passé plus tôt. Rapidement, elle vint lui tendre un des gâteaux présents à table, et elle avait apprit, entre deux bouchées qu'elle n'était pas la seule à être une piètre cuisinière. Il paraît que Mackenzie en était également une. Elle fût étonnée de l'apprendre mais promit au jeune homme de ne pas ne tirer un seul mot à sa nouvelle colocataire sous peine de la vexer ou pire, qu'elle sâche qu'elle l'avait apprit de la bouche de Nicholas, son propre cousin. Elle ne voudrait pas être le centre d'une dispute familiale.

Doucement elle continua de manger son gâteau sans vraiment faire attention aux miettes ou autre qui pourraient s'échapper de sa bouche ou du moelleux en question. Nicholas, en revanche, semblait avoir l’œil sur tout et s'était aussitôt empressé de s'approcher d'elle pour chasser une miette au coin de ses lèvres à l'aide de son index. Pourquoi faut-il qu'il soit si proche? Elle ne l'avait pas remercié, de toute façon elle n'en aurait pas le temps, son regard avait juste croisé le sien l'espace de quelques secondes avant de s'éteindre automatiquement quand il posait sa bouche contre la sienne. Son corps restait figé sur sa chaise sans qu'elle ne réagisse, sans qu'elle ne le repousse. Docilement elle se laissa faire suivant le mouvement de ses lèvres collées aux siennes pour lui rendre un simple baiser, ce baiser qu'il désirait depuis qu'elle l'avait abandonné au petit matin alors qu'ils avaient passés la nuit ensemble. «Nick je...» Elle n'en trouvait pas les mots. Ses yeux s'étaient ouverts à nouveau pour croiser les siens ou du moins tenter de les croiser. Elle était dans la merde et ce jusqu'au coup. Entre la relation ambigu avec Alexander et Nicholas qui s'y mettait, autant dire que la situation et la vie faisait véritablement tout pour la rendre totalement folle.

Cette fois elle n'était pas ivre, cette fois elle était bel et bien consciente des choses, consciente que Nick pouvait l'apprécier bien plus qu'une simple amie alors, elle cherchait ses mots dans sa tête pour lui parler, à moins que les mots ne servent à rien dans ce genre de situation et qu'il suffit parfois juste de se laisser porter par la chose.«Tu veux encore du café?» IDIOTE. Le mec vient tout juste de t'embrasser et tu lui proposes un foutu café en guise de réponse. Réalisant sa maladresse, elle se releva rapidement de sa chaise en prenant soin d'emporter sa tasse avec elle pour la déposer dans l'évier, restant de ce fait dos à lui, complètement chamboulée, complètement perdue.
 

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A ce moment là je me sentais comme un vrai crétin lorsque la jeune femme m'avait confié qu'elle n'avait plus ses parents auprès d'elle sûrement du a une dispute qui l'aurait éloignée de ses parents et je m'en excuse rapidement, je ne voulais pas la voir pleurer encore une fois, et rapidement je lui avait tendu un baiser sur ses mains que j'avais pris prisonnier avec mes mains, je veux qu'elle sache que j'étais la pour elle, que je serais toujours la et chaque fois qu'une larme coulera sur ses petits joues je les effacerais avec mon pouce, je lui redonnerais le sourire à chaque fois qu'elle sera triste, et si un jour elle veux me parler de ses parents alors je serais la pour l'écouter me parler de ses deux personnes qui ont fait cette magnifique jeune femme, j'aurais aimer les remercier de l'avoir conçu, de lui avoir donner la vie, parce que cette petite bout de femme j'en ai eu le coup de foutre et j'en remercie qu'elle tout les jours qu'elle soit rentrée dans ma vie, certes je m'étais promis que plus jamais je donnerais autant d'importance à une femme après ce que j'ai vécut mais Paisley à réussi à rompre ma promesse que je me suis faite y a quelques années, je suis veux clairement changer pour elle, finit le Nick don Juan qui saute sur tout ce qui bouge, non maintenant je veux être un homme bien, je veux être un homme bien pour elle, qu'elle me fassent confiance, j'aimerai partager ma vie avec elle, je veux la découvrir chaque jours de ma vie.

C'est fou comment elle réussit à me calmer lorsque la colère est montée dû à notre conversation sur mon paternel que je déteste de tout mon être et honnêtement, j'aurais jamais imaginé qu'on pouvait haïr à ce point une personne surtout son propre père, il m'arrive des fois de me dire que j'aurais voulu avoir un autre père que lui. Mais il fallait que je, j'arrête de me plaindre y en a qui n'ont pas la chance d'avoir leurs parents à leur coter comme la jeune femme  alors que moi, j'ai encore la chance d'avoir ma mère auprès de moi.

J'avais confié à la jeune femme que Mac n'étais pas vraiment doué pour la bouffe en général, si je dit cela c'est parce que Je n'avais toujours pas digéré la pizza au saumon qu'elle m'avait rapporter de sa soirée avec Gabriel et honnêtement j'aurai préféré qu'elle laisse cette pizza chez mon meilleur ami ça aurait éviter d'être malade toute la nuit mais y avait comme même une part de plaisanterie dans ce que je disais la jeune femme, je suis un sacré deconneur, j'aime plaisanter, taquiner le gens gentiment bien sûr.

Je lâche un rire amusé lorsque la jeune femme me lance les mérites du fameux gâteau moelleux qu'elle était en train de savourer de tout son cœur au vu de l'état de sa bouche qu'elle avait actuellement, bien sûr elle me confirme que ces gâteaux ne venait pas d'elle et si elle m'aurais dit le contraire je ne l'aurais pas cru puisque l'emballage du paquet de gâteaux qui traîne sur le plan de travail l'avait trahie. Oui s'en doute, mais à l'attendent tu savoure ce gâteau. Dis-je avec un sourire amusé.

J'avais très vite remarqué qu'elle avait une miette au coin de sa bouche et sans plus attendre, je m'étais penché un peu vers le visage de la jeune femme pour lui nettoyer sa bouche, mais aussi lui offrir ce baiser que je voulais tant lui donner depuis que je suis arrivé, je ne regrette en aucun cas le baiser que je suis en train de lui donner, je suis dans un rêve, ces lèvres son si doux et sucré à la fois normal elle venait de manger du gâteau. Un silence s'était installé après ce baiser, j'ouvre doucement les yeux et découvre la jeune femme qui était chamboulé par le baiser que je lui avais donné. J'ai envie de l'embrasser encore et encore, je ne veux plus quitter ses lèvres qui vont devenir miennes, je veux clairement la jeune femme, je la veux de tout mon cœur et de tout mon âme.

Et sans que je puisse dire quoi, ce soit la jeune femme avait pris nos deux tasses de café dans les mains et m'avait demandé si je voulais un autre café avant de se lever de sa chaise et de me tourner le dos, je baisse les yeux en regardent mes mains en train de jouer ensemble, es qu'elle a détesté le baiser que je lui avais donné ? Je me poser la question, mais très vite cette idee me sort de mon esprit, à cet instant ce que je veux, c'est encore l'embrasser. Je me lève doucement de ma chaise et m'avance vers la jeune femme, j'étais encore face à elle, j'avance mon visage près de son cou et de son épaule, elle sent clairement mon air chaud qui sort de ma bouche, je la sens frissonner. Je pose ma main sur son bras et la fait retourner pour qu'elle me regarde, lorsque mes yeux croisent à les siens, je vois que je lui est pas indifférent non plus les gestes et le regard valent plus que les mots. Je pose mes deux mains sur ses joues et avance à nouveau mes lèvres vers ses lèvres et cette fois je lui offre un baiser langoureux, je veux qu'elle compraine dans ce baiser qu'elle était plus qu'une amie à mes yeux, qu'elle plus que ça, que j'étais en train de tomber amoureux, que je la voulais, je la désire de tout mes forces et que je suis pas en train de jouer avec elle, que j'étais sincère.
 

Paisley & Nicholas

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Elle n'était pas prête à lui révéler certaines choses de sa vie et notamment ses failles, ses douleurs profondes ancrées au fin fond de son cœur. Se révéler à Nicholas serait comme lui montrer ses faiblesses et il en était hors de question, lui qui l'a connaissait comme une femme forte, libre et indépendante. Elle s'était contenté de répondre le plus neutre possible sur le sujet "Parents" et qu'importe les idées qu'il se mettrait en tête suite à ses mots. Qu'il pense qu'ils sont vraiment morts ou qu'elle s'est juste éloignée d'eux, qu'elle avait finit orpheline et baladée de foyers en foyers. Pour l'instant, elle laissait son esprit libre d'interprétation, peut-être qu'un jour elle aurait le courage de tout lui dire, de lui avouer celle qu'elle était véritablement derrière la carapace de femme forte qu'elle s'était forgée autour d'elle. Lui aussi semblait en avoir une de carapace, et elle n'avait pas non plus chercher à comprendre le pourquoi il détestait autant cet homme qui était censé être son père, qui sait, peut-être que Nicholas lui même refuserait d'en dire plus, histoire de garder le mystère, que sa carapace ne s'effrite elle aussi.

Alors, elle avait changé de sujet,soudainement, brusquement, pour se concentrer sur les petits gâteaux qu'ils dégusteraient à leur guise. Les mêmes petits gâteaux qu'elle n'avait pas cuisinés et qui sortaient tout droit de l'épicerie du coin. Autant l'avouer de suite, Paisley est une piètre cuisinière, c'est à peine si elle saurait faire cuire des pâtes convenablement et apparemment, elle n'était pas la seule. Mackenzie non plus ne savait pas cuisiner, ou du moins, elle était beaucoup plus douée pour enchaîner les verres avec elle que de préparer un plat gastronomique. Ne pas savoir cuisiner n'est pas une honte, mais à eux deux, les jeunes femmes se complétaient l'une l'autre. Elles n'ont pas besoin d'un repas de chef étoilé pour bien vivre, loin de la. Nerveusement, la brunette engloutissait son gâteau sans faire attention aux miettes qui tombaient sur la table et dont l'une d'elle s'était nichée au coin de ses lèvres. Il n'en fallait pas plus pour que le jeune homme face à elle ne se redresse pour la lui retirer, profitant de cette nouvelle proximité avec elle pour déposer ses lèvres sur les siennes et ainsi lui voler un premier vrai baiser.

Elle ne s'était pas attendue une seule seconde à ce qu'il le fasse et autant dire qu'elle s'en était retrouvé perturbée. Rapidement, elle se relevait de table, emportant les tasses de café avec elle pour les déposer dans l'évier et ainsi fuir le regard du mannequin derrière elle. Faîtes qu'il partes. Qu'il disparaisse. Aussi vite qu'il n'était arrivé. Elle ferma les yeux en priant aussi fort que possible qu'il ait disparu lorsqu'elle se retournerait, mais non, il fit pire encore. Sans même l'observer, elle l'avait sentie s'approcher, de plus en plus. Merde.merde.merde. Son être tout entier commença à être saisit d'une anxiété nouvelle, mélangé à de la tentation, de l'envie, de la peur aussi. Impossible de caractériser avec précision ce qu'elle ressentait en ce même instant, son corps parlait à sa place. Elle frissonnait au contact de son souffle chaud sur sa peau et sous sa volonté, elle s'était retrouvée de nouveau face à face avec lui.«Nicholas..» Il posait ses lèvres à nouveau sur les siennes, lui offrant un langoureux baiser dissimulant une envie certaine de ne l'avoir rien que pour lui. Intérieurement son cœur implosait alors qu'elle reculait la tête pour continuer de lui parler. «Je t'ais pas tout dis concernant Alexander..» Et comme tentée par ses lèvres tendues vers les siennes, elle prit l'initiative de les reposer contre pour lui voler plusieurs baisers entrecoupés à chaque fois par quelques mots.«Lui et moi ont à..» Un nouveau baiser volé, et l'envie cette fois d'aller plus loin avec le mannequin à ses côtés fit son apparition.«couchés ensemble et..» Et merde, pourquoi son cœur battait si vite, si fort alors qu'elle parlait de son colocataire, de ce garçon présentement dans le coma? C'était à ne plus rien comprendre. Son cœur s'était retrouvé chamboulé en une fraction de seconde, il s'écrasait douloureusement contre sa cage thoracique, entre l'attirance éprouvée pour Nicholas et ses pensées pour Alexander.  Elle était dans la merde et ce jusqu'au cou et elle ignorait si elle serait capable de s'arrêter avec Nicholas, et elle ignorait si elle succomberait à nouveau à Alexander. Au bord d'exploser, elle tenta de se défaire de l'emprise du mannequin, de détacher sa bouche de la sienne pour croiser une énième fois son regard. Son souffle brûlant s'écrasait sur son visage, la situation était intenable, elle ne résisterait pas longtemps. «Me fais pas ça. T'as pas le droit.» qu'elle murmurait doucement en tentant tant bien que mal de calmer ses palpitations cardiaques directement au contact des siennes, alors que leurs corps semblaient si proches l'un de l'autre à ce même instant.
 

Paisley & Nicholas

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Je comprends qu'elle voulait couper court au sujet de ses parents, c'est un sujet sensible pour la jeune femme, je le lis dans son regard et au son de sa voix, je comprends sa situation je vis la même chose avec mon père, en parler était un sujet sensible pour moi et elle l'avait clairement compris dans mes paroles et aussi dans ma colère. Je trouve juste dommage qu'elle aille couper les ponts avec ses parents pour une dispute, mais je comprends tout à fait qu'elle ne voulait pas m'en parler maintenant un jour peut être qui sait et puis moi, je n'ai pas forcément envie de lui révéler ce que mon père m'a fait pour que je le haïsse à ce point, c'est beaucoup trop tôt pour moi pour lui parler de se sujet qui me fait encore beaucoup souffrir aujourd'hui.

Je comprends très vite que Paisley et la cuisine ça fait deux et ça me rappelle un peu Mac qui était un peu comme elle, plus je parle avec elle et plus je remarque qu'elle a pas mal de point en commun avec ma cousine, elle se ressemble beaucoup toute les deux. Je dois avouer que moi non plus je n'étais pas un fan de la cuisine, certes il m'arrive de cuisiner des plats, mais je n'étais pas non plus un grand chef non plus, d'ailleurs j'inviterais Paisley à venir manger à la maison si elle le veut bien sûr. Je n'avais aucunement regretter le baiser que je lui avait donner bien au contraire je veux même recommencer, je n'étais pas du tout saoule comme l'autre soir, j'étais sobre et bien conscient de ce que je suis entrain de faire, même lorsque nous avions été saoule l'autre soir je n'ai jamais oublier ses lèvres poser sur les miennes, cette image est rester graver en moi.

Je la veux, je la désire même, je ne compte pas partir de cet appartement, je compte pas non plus baisser les bras parce que je sais au fond de moi qu'elle me désire aussi mais qu'elle ne veux pas se l'avouer et de me l'avouer également, je prends à nouveau les devants en m'approchant à nouveau vers elle, j'ai besoin d'être auprès d'elle, de la caresser, de l'embrasser, de sentir sa peau contre la mienne et sans lui donner le temps de réagir, je prends à nouveau possession de ses lèvres pour lui offrir un langoureux baiser. Je le sens clairement dans les baisers qu'elle m'offre qu'elle a autant envie de que moi de céder à la tentation qui y a entre nous deux, je ne me suis pas fou elle aussi ressent ce que je ressens pour elle notre attirance pour l'un et l'autre et bien trop forte pour qu'on laisse filet et puis je n'avais pas l'attention de laisser filer la jeune femme, je la veux et je l'aurais.

Elle commencer à me reparler de son colocataire entre deux baisers que nous étions en train d'échanger tous les deux et je dois avouer que ce type commence à me taper sur les nerfs, pourquoi elle me parle de lui ? Honnêtement, je m'en fous de lui, je ne le connais pas et je n'ai pas envie de le connaître, la seule chose que je veux, c'est qu'elle arrête de penser à lui et qu'elle pense rien cas nous deux à ce que nous désirons succomber à notre attirance mutuelle. Arrête de penser à lui, pense plutôt à nous. Dis-je en deux baisers également puis j'intensifie les baisers que je lui donner, je veux qu'elle oublie ce type qu'elle n'aille que moi en tête et personne d'autre, je sais, c'est égoïste, mais c'est ce que je veux.

Je fais donc pour sourd d'oreille pour le ce qu'elle me révèle par la suite sur elle et son très cher colocataire, je ne veux rien savoir, je veux me concentrer sur la jeune femme, j'ai tellement envie d'elle, nos deux corps s'appel, ils se cherchent, je sens son coeur battre tellement vite, qu'elle sens aussi le mien battre la charmade, c'est elle qui me fait cet effet la, je sens aussi ses frissons parcourir son corps entier lorsque je colle ma peau contre la sienne, mes lèvres poser sur les siennes. Même si c'est dur, la jeune femme essaye tout de même de résister, elle tenta de me repousser alors que nos deux corps était collé l'un à l'autre on ne pouvait plus de passer de l'un et de l'autre, c'est inévitable. Tu as autant envie que moi, tu me désires comme je te désire, arrête de lutter ce qu'on ressent est beaucoup trop fort pour qu'on l'ignore Pais. Dis-je en gardent mon front coller au sien, je réussis à la coincer au coin de l'évier, je passe mes bras autour de la jeune femme en posent les mains sur le plan de travail, je m'amuse à effleurer ses lèvres puis cette fois, je lui offre un baiser fougueux.
 

Paisley & Nicholas

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Pourquoi. Pourquoi faut-il qu'elle soit si douée pour se mettre dans la merde? La vie se joue d'elle une nouvelle fois en lui dressant un nouvel obstacle sur sa route. Nicholas Young. Elle a bien comprit qu'elle ne lui est pas indifférente et qu'il aimerait tant d'elle, bien plus qu'elle n'est capable de lui offrir à ce jour. Il la désire, la veut plus que tout,elle et pas une autre. Il a envie de sentir sa peau contre la sienne, ses lèvres contre les siennes, son souffle se mélangeant au sien. Un moment unique, un échange charnel, divin qu'il n'oublierait certainement pas de sitôt. Ses lèvres s'écrasent contre les siennes pour un baiser, un premier baiser qu'elle esquive en se rendant rapidement en cuisine. Il insiste, se rapproche une nouvelle fois d'elle pour l'embrasser, langoureusement. Son cœur bat la chamade, s'affole douloureusement alors qu'elle se met à repenser à son colocataire présentement entre la vie et la mort. Elle espère secrètement qu'il cessera ses baisers quand elle lui parlerait de lui, d'Alexander, d'eux, de leurs coucheries, mais cela ne semble au contraire, pas le déranger le moins du monde. Il continue de l'embrasser, encore et encore, toujours jusqu'à lui priver d'oxygène presque.

Arrête de penser à lui, pense plutôt à nous. Elle devient folle. Complètement cinglée,alors qu'il la pousse toujours à se taire pour ne penser qu'à l'instant présent, à ce moment qu'ils partageaient ensemble. Son cœur continue sa course folle, sa respiration devient de plus en plus saccadée alors que le désir s'amplifie en même temps que les baisers de Nicholas. «Nicholas..» les secondes s'écoulent rapidement, les conneries s'enchaînent, elle est à deux doigts de succomber, à deux doigts de se laisser aller. La tentation est grande, comme son désir pour le mannequin contre elle, mais une infime partie d'elle renonce à ses projets. Elle ne peut oublier Alexander, le fait que le manque de sa présence lui fasse mal, qu'il peut perdre la vie à tout instant. Les images du jeune homme sur son lit d'hôpital lui glace encore le sang à l'heure actuelle. «Arrête..» qu'elle souffle les yeux pourtant clos. Qu'elle femme serait capable de coucher avec un autre homme que celui avec lequel elle avait prit l'habitude de partager les draps? Elle ignorait encore actuellement la relation qui l'unissait à Alexander, mais une chose était sûre: Tant qu'il serait dans le coma, elle ne s'autoriserait rien, pas tant qu'elle ne le sait pas sorti d'affaire.

Nicholas s'amuse à jouer les égoïstes, elle sait qu'intérieurement il maudit plus que tout Alexander, pour ce qu'il avait eu la chance de partager avec elle jusqu'à présent et pourtant, il semble convaincu qu'il pourrait, en quelques baisers, en une coucherie lui faire oublier le policier. Tu as autant envie que moi, tu me désires comme je te désire, arrête de lutter ce qu'on ressent est beaucoup trop fort pour qu'on l'ignore Pais. Il commet l'irréparable. Ses lèvres se posent encore sur les siennes, plus fougueusement, plus sauvagement, et elle le sent si entreprenant, le genre "fonceur" qui n'hésite pas à foncer dans le tas quitte à se casser la gueule. Les images défilent dans sa tête, les sourires, les rires de son colocataire, leurs baisers, ses fois ou elle avait gémit sous ses doigts, les baisers de Nicholas, ses mains sur ses joues, son souffle, son corps, elle perd pied, devient folle et sous une impulsion, une envie de se protéger, la gifle part. Elle n'a pas le temps de réaliser, d'empêcher cette main de percuter la joue gauche du mannequin qu'il en avait déjà la tête tournée, que ses baisers s'étaient tût, brutalement.

Il ne méritait pas cela et bon sang ce qu'elle s'en voulait. Elle n'avait pas osé par la suite croiser son regard, elle ne voulait pas sentir sa peine, sa tristesse, peut-être sa colère. Alors, aussi vite que la gifle était partie, elle se frayait un chemin, bousculant son bras l'ayant emprisonné entre lui et le plan de travail derrière elle pour retrouver le salon, les deux mains de chaque côtés de la tête. Nicholas partirait, c'était sûr il partirait suite à ce geste et une autre part d'elle refusait qu'il s'en ailles, elle avait besoin de lui, comme elle avait besoin d'Alexander dans sa vie. Il était sur le point de le faire, ne supportant certainement pas un énième rejet de sa part, mais elle le retint, les yeux humides, les deux mains sur son bras.«Pars pas j'ten supplie.» qu'elle murmurait la voix tremblante. «Je voulais pas Nick.. S'il te plait pardonne moi. » Il est un peu trop tard pour des excuses et pourtant, elle espérait qu'il les acceptes car elles étaient sincères. Maladroites mais sincères. «Tout ce que je te demande, c'est du temps.. » elle reniflait fortement pour retenir ses larmes et sa peine, retenant à l'aide de ses deux petites mains le corps du mannequin à deux doigts de filer, de passer la porte d'entrée et de disparaître. «Alex est dans le coma Nick.. Je risque de le perdre à tout moment. Je ne te demande pas d'éprouver de la pitié ou quoi que ce soit pour lui, juste de le respecter, de nous respecter et si tu ne le fais pas pour lui, fais le au moins pour moi.» qu'elle rajoutait en espérant capter son regard, cherchant sa tendresse quelque part. «S'il te plait..» Ses mains ne quittaient toujours pas sa chair qu'elle retiendrait aussi fort que possible parce qu'elle avait besoin de lui dans sa vie, parce que Nicholas était une personne importante pour elle, bien plus que n'importe qu'elle autre, aussi importante que l'était Alexander. Les deux jeunes hommes étaient d'ailleurs les seuls à être capable de chambouler autant son petit cœur fragile et elle ose espérer que Nicholas attendrait, qu'il attendrait que les choses se tassent, que Alexander se réveille pour permettre à Paisley de prendre enfin sa décision sur ce qu'elle souhaite réellement, et peut-être qui sait, lui offrir ce qu'il désire tant d'elle.
 

Paisley & Nicholas

instant crush

C'est plus fort que moi, j'ai tellement envie de l'embrasser, j'ai tellement envie d'elle, tellement que ça me fait mal à l'intérieur de moi, c'est dingue comme la jeune femme peut me rendre même mon ex ne m'a jamais rendu comme ça a l'époque où nous étions encore ensemble, seul Paisley arrivait à me rendre complètement fou, oui je suis complètement fou de cette fille, elle est ma drogue, j'ai besoin d'elle, de ses baisers, de son corps près du mien pour me sentir mieux, encore plus vivant même, je crois que j'ai trouver la fille qui fera de moi l'homme le plus chanceux de la terre. Je n'arrive absolument pas a quitter mes lèvres des siennes comme si elles s'était coller l'une à l'autre et puis de toute façon je n'ai aucunement l'envie de quitter ses lèvres parce qu'elle m'appartienne à l'instant où j'ai poser mes lèvres dessus.

Je suis clairement en train de bouillir à l'intérieur de moi lorsqu'elle me parle de ce Alex, je suis jaloux de ce type, je ne veux clairement pas pensé qu'il a pu poser ses mains sur elle, qu'il a pu la caresser, qu'il a pu lui faire l'amour, qu'il a pu la faire gémir, rien que t'y pensé sa me donne envie de vomir, je veux clairement qu'elle oublie ce type, je veux qu'elle ne pense que à moi et rien cas moi. Je veux qu'elle pense à ce qu'elle peux recevoir de ma part, nous sommes destiné à l'un et l'autre c'est une évidence faut que la jeune femme le comprenne et qu'elle laisse son attirance qu'elle ressent pour moi sortir, elle devait arreter de lutter, je le vois dans ses yeux qu'elle a envie de moi, qu'on le fassent tous les deux.

Encore une fois, je n'écoute pas ce qu'elle me dit et continue de l'embrasser encore et encore en l'empêchent de me parler de ce Alex et lui faire comprendre que j'ai envie de lui faire l'amour la tout suite, je veux là faire gémir, je veux caresser son corps avec mes doigts mais aussi avec mes lèvres, je veux que nos deux corps se découvre et s'unissent. Tellement que j'ai envie d'elle que j'avais été brusque et maladroit envers elle et cette maladresse, j'allais le payer très cher. N'écoutant pas les avertisements de la jeune femme que je reçois une belle claque qui me stop dans mes gestes d'un seul coup.
Le seul bruit que nous avons entendu c'est le son de la claque qu'elle vient de me donner, je laisse ma tête sur le coter droit, j'étais encore sonner de ce qui vient de se passer, je m'étais tellement pas attendus de ce geste de sa part, une déception s'empare de moi, je suis tellement vexé de son geste , je ferme les yeux pour reprendre mes esprits mais aussi éviter que je pète un plomb parce que j'avais ma marchoir qui s'était crispé, j'étais déçu et en colère aussi, je vois que je ne suis rien pour elle, qu'elle préfère ce type à moi.

Qu'est ce que je fou encore la, il est clair qu'elle ne veux pas de moi, que le seul mec qu'elle veux est son colocataire, je me suis fait avoir en beauté, j'ai baissé mes armes face à elle et je n'aurais pas dû, maintenant je vais morfler alors que je ne voulais clairement plus ressentir ce sentiments la. Je ne pose même pas mon regard sur elle, je ne veux même plus la regarder, je fixe le mur en face de moi lorsqu'elle réussit à s'échapper de mon emprise, je ferme quelques instants les fermes puis je commence à me tourner vers la sortie, je veux clairement partir d'ici je veux être loin de la jeune femme. Ne me touche pas. Dis-je froidement en levent mes bras en l'air et en me montrant distant envers elle lorsqu'elle tente de me retenir elle voulais clairement pas me laisser partir, elle doit me laisser partir, je ne veux plus souffrir encore pour une fille, j'ai eu déjà eu beaucoup de mal à me relever, la jeune femme m'avait clairement fait du mal avec son geste. Pourquoi tu as fait ça ? Dis-je envers la jeune femme, je voulais qu'elle me donne une explication à son geste, j'étais en droit se le savoir même si je sais que sa réponse risque de me blesser.

Pour le moment, je ne peux pas pardonner de son geste, j'étais trop vexé pour le coup je suis un vrai rancunier la mais la voir sur le point de pleurer m'ai insupportable, je ne veux pas qu'elle pleure à nouveau non je ne veux pas. Non ne pleure pas si te plais. Dis-je en posant ma main sur sa joue pour tenter de la rassurer. Ce que je redouter le plus vient d'arriver, j'avais raison elle préfère son colocataire à moi, je passe en second plan. C'est con, mais je ressent de la haine pour ce type, il a de la chance il a celle que je désire le plus au monde, je suis arrivé trop tard, je suppose que je dois laisser tomber, l'autre type a gagné. Mes mains posé sur mes hanches, les yeux clos, je fonce les sourcils, elle me demande de lui donner du temps, elle voulais que je l'attente pour que tout soit clair pour elle dans sa tête et dans ses sentiments, même si je décide de l'attendre aller savoir si elle n'aller pas le choisit lui plutôt que moi et au finale, c'est moi qui payera les pots cassés. Tu demandes de t'attendre pour que tu choisi entre lui et moi, et si au final, c'est lui que tu choisi, c'est moi qui vais souffrir dans l'histoire et je sais à quel point ça fait mal de souffrir Paisley, je suis déjà passé par là et je ne veux plus que ça m'arrive. Dis-je en me confiant à la jeune femme. Mais tu sais quoi tellement que je suis dingue de toi, je suis prêt à t'attendre, à te laisser de l'espace. Ajoutai-je par la suite je ne veux clairement pas renoncer à elle, non je ne peux pas c'est plus fort que moi-même si je sais que je suis en train de me brûler les ailes avec elle.