Je ne suis pas du tout dans mon assiette depuis l'annonce de la grossesse de Paisley, depuis que je me suis comporter comme un connard envers elle alors qu'elle chercher mon soutien, mon Réconfort, mes mots pour l'apaisser, au lieu de ça je l'ai snobe complètement, je me suis tromper froid et dur envers elle, j'ai foiré en tant que petit copain, parce que oui Paisley était mienne depuis que nous avons fait l'amour pour la première fois à Venise et elle restera mienne parce que c'est elle que je veux, c'est elle qui partagera ma vie, même si s'est trop tôt pour les deux fallait qu'on envisage et surtout se mettre en tête que nous serons plus deux mais nous serons bientot trois. Plus tôt dans la journée, j'avais envoyé des sms à Paisley, je lui dire qu'elle me manquait.
C'est fou comme elle me manque, j'ai besoin d'elle, j'ai besoin qu'elle soit à mes côtés, je sais que je l'ai beaucoup fait souffrir avec mon comportement de l'autre fois à l'hôpital je reconnais mon erreur à 100 pour cent et d'ailleurs je lui avait dit par sms, je sais que le chemin va être long avant qu'elle pardonne mon comportement mais je suis prêt à me faire pardonner, à tout faire pour qu'elle me pardonne parce que je l'aime, je l'aime vraiment, elle n'est pas une fille de passage dans ma vie non elle est plus que ça pour moi.
Il fallait qu'on se voie pour parler de sa grossesse et de l'avenir parce que oui, il faut bien qu'on parle de ce bébé qui n'était pas du tout désirée nous qui pensions juste profiter de nous deux, profiter de notre jeunesse et bien non, la vie nous a rattraper avec ce bébé, on devait prendre des décisions qui seront parfois difficile pour nous deux. Elle m'avait informé par sms qu'elle passerais ce soir après son service, j'avais profité pour deux ou trois course pour ce soir si elle avait faim, on sait jamais ou si elle avait soif aussi, mais je n'avais pas pris d'alcool à ce qui paraît ce n'est pas bon durant la grossesse et puis j'avais acheté un petit cadeau pour le bébé aussi... Enfin il était pas si petit que ça.
Le soir venu arriva très vite, j'étais vêtu d'un jeans bleu foncé et d'un polo beige, en fait, je me suis fait tout beau pour elle, j'avais même mis le parfum qu'elle adore. Je fais les cent pas dans le salon, j'étais vraiment nerveux de la revoir, j'espère de tout cœur que notre soirée se passera bien, qu'elle se passera sans dispute, la sonnette retenti dans le salon. Je lève mon visage vers la porte, mon cœur commence à battre très fort, je m'avance vers la porte de l'entrée, je souffle un bon coup avant d'ouvrir la porte et de découvrir la jeune femme devant moi. Salut. Dis-je d'une voix douce. Entre-je t'en pris. Dis-je en me pousent un peut pour la laisser passer.
My greatest fear was the mistake I made, I have hurt you I know but I will not let my ego stand my way. I will apology even if it takes me days to say am sorry.
Elle était la, face au miroir, à observer son reflet. Elle s'observait sur tout les angles à la recherche d'une petite rondeur qui pourrait rendre la chose concrète, mais ce n'est encore qu'un ventre bien plat qu'elle avait pût apercevoir. Pourtant, à l'intérieur d'elle s'était installé un petit être, un ensemble de cellules microscopiques qui prendraient bientôt la forme d'un bébé fait de chair, de sang et d'os. C'est avec stupeur qu'elle avait apprit sa récente grossesse. Ce bébé n'était ni voulu, ni désiré, mais il était la désormais. Cet enfant n'avait rien demandé, il était juste le résultat d'un foutu accident. Rien n'aurait pût lui faire croire qu'à son retour de Venise, elle serait revenue avec cette "chose" en son sein. La surprise avait été de taille pour tous, et surtout pour Nicholas. Il ne s'attendait certainement pas à devenir père, ce n'était pas le moment. Sa réaction, tout comme celle de Paisley, avait été virulente, il s'en était allé sans même lui adresser un regard, à elle, qui portait une partie de sa génétique à l'intérieur de son utérus. Cette ignorance lui avait fait mal, encore plus mal qu'une claque en plein visage alors qu'elle tremblait, tétanisée dans les bras de son amie Mackenzie. Depuis ce jour, elle avait refusé de le revoir, peut-être pour lui faire payer son geste, ses mots, sa façon d'être avec elle. Quelque part, elle s'en était également voulue de lui avoir jeté la faute, mais elle n'avait voulu que se protéger à cet instant. C'était si facile de rejeter la faute sur quelqu'un d'autre qu'elle, trop facile même.
En ce 20 Février, Paisley était enceinte de tout juste un mois et elle n'avait toujours pas prise sa décision sur l'avenir de ce bébé qui continuait, lui, à grandir sereinement ou presque en elle. Une partie d'elle voulait le voir disparaître à tout jamais, alors qu'une autre avait apprit à faire attention, à manger sainement, à apporter tous ce dont cet enfant aurait besoin pour bien grandir. Ce bébé au final, il était tout ce qu'elle avait, et ce qu'elle n'était pas, pure et innocente, fragile aussi. Ce bébé, elle avait comme l'envie de le protéger secrètement, mais elle s'abstiendrait de le dire à quiconque, préférant rester silencieuse quand le sujet "bébé" est abordé. Par chance, et de part sa morphologie, les premières rondeurs d'une grossesse n'étaient pas encore présentes sur elle. Un mois ne suffisait pas pour faire apparaître un ventre rond, mais la sensation restait la même; Un fœtus était niché en elle, et cela suffisait pour la mettre dans tous ses états. Elle avait finit son service sur les coups de 21h, elle avait insisté auprès de son supérieur pour ne pas finir plus tard, qu'elle avait besoin de repos sans lui expliquer la raison. Il avait accepté de ménager son temps de travail sans même lui poser de questions. Ce soir la, elle aurait dû rentrer chez elle, comme à ses habitudes, mais Nicholas lui avait fait part de son souhait de "discuter" en sa compagnie. Une boule au ventre, elle avait accepté, il était peut-être temps de lui faire face après tout surtout que l'enfant était encore en elle et qu'elle n'avait, à ce jour, prit aucune décision le concernant. Elle était peut-être impulsive, autoritaire et lunatique, mais elle respectait le fait que cet enfant n'était pas que le sien, il y avait une part de Nicholas en elle, et il était dans ses droits de vouloir le garder ou non.
Alors, après avoir salué ses collègues et détacher son tablier, elle avait prit la route jusqu'à chez lui, venant inspirer à plein poumons de l'air frais une fois à sa porte. Courage Paisley. elle en aurait bien besoin. Revoir son visage serait difficile, mais elle n'avait pas le choix, maintenant qu'elle était la, impossible de faire marche arrière. Elle frappait deux coups et attendit qu'il daigne bien venir lui ouvrir la porte. Au bout de quelques secondes, il se présenta à elle. «Salut.» C'est à peine si elle osa croiser son regard avec le sien. Le revoir après ses quelques jours de silence radio était tellement dur mais il fallait qu'elle soit forte, il était grand temps qu'elle arrête de flancher à tout va. Il lui fraya un passage à l'intérieur de son loft, elle lui passa sous le nez pour rentrer à l'intérieur, venant mettre nerveusement ses deux mains dans la poche de sa veste en cuir pour observer les lieux, cette demeure qu'elle ne connaissait que trop bien au final. «Comment ça va depuis?..» qu'elle demandait bêtement en tournant finalement les talons pour lui faire face après qu'il ait fermé la porte. «T'as bonne mine..» ou pas. En tout cas, il est toujours aussi séduisant. Il flotte dans l'air comme un parfum qui, à Venise, l'avait littéralement séduite, il faut qu'elle se calme et qu'elle évite de lui tomber si facilement dans les bras. Doucement, elle vint retirer sa veste pour la poser sur le dossier d'une chaise à ses côtés, réajustant son haut avant de croiser les bras contre sa poitrine. Le moment ne tarderait pas arriver, la discussion allait, elle aussi, débutée et elle cherchait déjà à l'intérieur de sa petite tête une façon de lui parler, la bonne manière de lui dire les choses, de lui faire part de son ressenti et surtout de ce que, ensemble, ils comptaient faire de ce bébé, surtout qu'elle avait déjà eu droit à un courrier de l'hôpital pour son premier rendez-vous prénatal.
My greatest fear was the mistake I made, I have hurt you I know but I will not let my ego stand my way. I will apology even if it takes me days to say am sorry.
C'est ce soir que nous allons prendre la décision si nous gardons ou non ce bébé et je dois avouer que je flippe carrément à l'idée d'avoir un enfant maintenant, je ne suis clairement pas prêt et je pense que je Paisley non plus n'est pas prête pour ce bébé mais d'un coter je n'arrive pas à imaginer qu'elle puisse avorter, tuer ce petit être alors qu'il n'avait rien demander, les seuls fautifs dans l'histoire ce sont ses parents. C'était vraiment une décision difficile que nous devons prendre tous les deux, on devait peser le pour et le contre pour ce bébé et faire le meilleur choix pour nous pour ce bébé.
J'ai hâte que Paisley arrivé, depuis que je sais qu'elle vient ce soir, je suis tout nerveux, c'est bien la première fois depuis pas mal de temps que je ne m'étais pas rendu dans cet état pour une fille et je crois que seul Paisley me rend encore plus nerveux que lorsque j'étais avec Erin. Paisley me rend fort mais mais aussi faible à la fois, c'est dingue le pouvoir qu'elle pouvait avoir sur moi c'est peut être ça l'amour qui sait, je ne sais pas parce que je ne suis pas du tout un expert dans ce domaine la, je suis plutôt le genre très maladroit la preuve j'ai fait beaucoup de mal à la femme que j'aime, celle qui porte une partie de moi dans son ventre.
La voilà, elle est derrière cette porte, je vais enfin la revoir après tout ces jours sans la voir, ni la toucher l'embrasser, s'est horrible d'être sans elle, j'en suis complètement. C'est une nervosité que je lui ouvre la porte, un faible sourire s'affiche sur mon visage, mes yeux ne quitte pas une seule seconde son regard, bon sang elle est de plus en plus belle à chaque fois que je la vois, même si mes yeux ne la quitte pas en revanche elle me lance un bref regard en évident de trop me regarder et je dois dire que ça me fait quelque chose, ça me fait mal même mais je l'ai mérité c'est ma punition d'avoir été un connard avec elle.
Je la laisse rentre dans mon loft qu'elle doit connaître par coeur maintenant, les mains dans les poches de mon jeans, je joue mon timide envers elle, je pense que j'avais l'air ridicule à me comporter comme ça mais honnêtement j'avais peur de lui faire encore du mal alors qu'elle ne le mérite tellement pas, elle mérite qu'on la rend heureuse, qu'on l'aime et je veux être cet homme même si je me dit des fois que je la mérite pas avec ce que je lui est fait à l'hôpital. Ça pourrait aller mieux... Et toi comment tu vas ? Demandais-je à mon tour en posent instinctivement mes yeux sur son ventre qui était encore plat, je voulais savoir comment ils aller tous les deux. Toi aussi, tu as bonne mine. Dis-je, je ne pense pas que j'ai meilleur mine, je suis loin de l'avoir ma meilleure mine, j'aimerais tellement là prendre dans mes bras et lui dire à quel point elle me manque, mais je ne dit rien parce que je ne veux pas la bousculer, je lui laisse de l'espace. Vient-on va s'installer sur le canapé, tu veux boire quelque chose ? Demandais-je avant de prendre place à ses côtés sur le canapé.
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Il lui ouvre la porte, elle croise son regard. Dans la pénombre, elle aperçoit son délicieux regard azur, pose un oeil rapide sur sa tenue vestimentaire et sent son cœur aussitôt s'emballer face à ce bel homme. Nicholas est séduisant, il a toujours sut se mettre en valeur et allier les couleurs vestimentairement parlant. Ce n'est pas pour rien qu'il est dans le mannequinat. Son parfum flotte dans l'air, pénètre dans ses narines, et elle se surprend fermer quelques secondes les yeux pour ne pas s'enivrer d'avantage de cette odeur délicate et masculine. Il a mit le parfum qu'elle aime, le même qu'il avait mit ce soir la, quand elle s'était offerte à lui pour la première fois. A croire qu'il cherche à lui rappeler les bons souvenirs qu'ils ont pût partager ensemble avant cet événement. Silencieusement, elle se fraye un chemin jusqu'à l'intérieur de sa demeure, observe les lieux avant de lui faire face quand la porte se referme sur leurs passage. Elle ne sait vraiment pas quoi lui dire, et en même temps, elle en a tellement de choses à lui dire qu'elle ne sait pas par ou commencer. Elle se contente de le complimenter sur sa mine, elle avait bien vu qu'il n'était pas au mieux de sa forme et elle pouvait aisément se douter du pourquoi. Elle même n'était pas en excellente forme ses derniers temps, il faut dire qu'aussi minuscule peut être ce bébé, il lui prend déjà pas mal d'énergie. Il faut que son corps s'habitue à cette nouvelle vie, à cette cohabitation entre eux et ce même si c'est dur parfois.«Ça va.. enfin, je crois.» qu'elle répondait les bras croisés contre sa poitrine.
Il y avait comme un malaise entre eux, un froid glacial qui s'était installé et qui montrait bien la colère qu'ils éprouvaient l'un envers l'autre, à moins que ça ne soit autre chose. Il disait qu'elle avait bonne mine, elle laissa échapper un rictus. Elle était pâle, manquait cruellement de sommeil, avait l'estomac dans les talons mais elle avait bonne mine, d'après lui. On ne peut pas dire que le terme soit véritablement approprié mais, mettons ça sur le coup de la gêne et de cette tension, maîtresse dans l'atmosphère. Il l'invita à prendre place sur le canapé, elle le suivait en soufflant, venant s'installer finalement au centre de ce dernier. Il eut l'amabilité de lui demander ce qu'elle voulait boire, elle leva une nouvelle fois les yeux sur les siens pour lui demander un simple verre d'eau. Elle n'avait pas spécialement soif et n'était pas venue jusqu'ici dans ce but la. Ils fallait qu'ils discutent ensemble du futur, de ce bébé en elle, de ce qui adviendrait de leur situation ici. Elle pensait qu'elle aurait eu le temps pour tout ça, bien plus tard. Elle ne se voyait pas finir serveuse, elle avait des rêves comme tout le monde. Elle rêvait d'être cette artiste accomplie reconnue du monde, mais avec un bébé sur les bras, autant dire que son rêve tombait un peu à l'eau. Elle avait songé alors à postuler dans cette école de musique pour devenir professeur de piano. Elle excellait dans ce domaine, qualifiée depuis sa plus tendre enfance. Vivre de sa passion était certainement l'un de ses objectifs les plus chers à son cœur. «Et sinon.. quoi de neuf?» Vraiment Paisley? Comme ci ça pouvait l'intéresser.. C'était juste une manière de décompresser, mais même comme ça, ça n'avait pas l'air de fonctionner. Elle restait anxieuse, tendue, impatiente de parler, il fallait qu'elle parle, absolument.«J'ai reçu un courrier de l'hôpital.. J'ai rendez-vous le 6 Mars pour le premier examen prénatal. » Et voilà, il fallait que ça sortes. Ce premier rendez-vous n'était qu'un simple rendez-vous mais cela suffisait pour l'angoisser.
Elle avait pût vaguement se renseigner sur internet sur le déroulé de cette consultation. Il s'agissait d'un rendez-vous entre un spécialiste et la "future maman", ce dernier lui poserait toute une série de questions sur ses antécédents, sur sa situation, sur son état de santé actuel. S'en suivrait une auscultation gynécologique avant qu'un nouveau rendez-vous ne soit fixé pour prévoir la fameuse échographie de datation. Autant dire qu'elle ne se voyait vraiment pas face à cet écran, à voir ce petit bébé en elle et ce deuxième cœur qui bat en elle, si fort, aussi vite que le sien. «On a jusqu'à cette date la je pense pour prendre.. nôtre décision.» Elle précisait bien le "nôtre" décision, car ce bébé était autant le sien que celui de Nicholas. Malgré les messages qu'il avait pût lui envoyer plus tôt, elle avait besoin de savoir, en face à face ce qu'il pensait de tout cela, elle voulait l'entendre lui dire des choses, qu'elles soient bonnes ou mauvaises mais il fallait qu'il s'exprime, parce que c'était essentiel pour le devenir de ce bébé. Son regard, fugueur jusqu'à présent vint se poser sur le sien, comme ci ce dernier pouvait tout lui dire. Un regard peut parfois dire bien plus de chose que les lèvres, même si elle savait que Nicholas se confierait à elle sur son ressenti, sur la façon dont il appréhendait les choses et sur ce qu'il pensait qu'il serait préférable de faire pour cet enfant, pour elle, pour lui, pour eux.
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Ce moment que je redoutais le plus depuis ces quelques jours était enfin arriver, et oui il fallait qu'on parle tous les deux, qu'on parle de ce donc nous allons décider pour notre avenir, de savoir si ce bébé aller faire partie de notre futur justement, si nous avons un avenir ensemble ou pas, il est clair que pour moi mon avenir est avec elle mais avec le comportement que j'ai eu envers depuis ces quelques jours, je ne sais pas si elle voudrait toujours de moi dans son avenir, si elle voulait toujours de moi en tant que son petit ami, après tout je n'ai pas tenu ma promesse que je lui avait dit, que quoi il arrive je serais toujours la pour elle et que je la soutiendrait et je ne l'ai pas soutenue ce jour là dans cet hôpital.
Mais ce soir je compte bien me rattraper parce que je veux prendre soin d'elle, je veux prendre soin de notre enfant qui grandis en elle petit à petit, je veux lui faire comprendre que tout ce que je lui avait dit par sms plutôt dans le journée était vrai, que ce n'était pas des paroles en l'air, je compte bien assumé ma paternité, elle ne sera pas toute seule pour le bébé, enfin si elle décide de le garder parce que oui c'est peut être mon enfant mais c'est aussi le sien et aussi son corps et si elle me dit qu'elle souhaiterai mettre un terme à cette grossesse alors je respecterai son choix et je ne lui en voudrait pas et je ne la laisserai pas pour autant parce que je l'aime et qu'elle passe bien avant mes désirs.
La tension est à son rendez-vous dans ce loft depuis qu'elle est rentrée à l'intérieur, j'essaye de communiquer avec elle, mais je le sens bien qu'elle m'en veut énormément de mon comportement de l'autre fois et je comprends tout à fait sa réaction parce que je m'en veux moi-même. Je veux qu'on fassent la paix tous les deux, qu'on se parle tous les deux sans se crier dessus, ça ne serait pas bon pour elle et ni pour le bébé, elle n'avait pas besoin davantage de stressé, ce soir je m'étais promis que je serais calme face à elle, et qu'importe les décisions qu'elle prendrais pour nous et pour le bébé je la soutiendrai. Je l'invite donc à prendre place sur le canapé nous n'allons pas rester debout toute la soirée non plus, elle doit être déjà fatigué avec sa grossesse, elle le porte sur elle-même si je lui avais dit qu'elle avait une bonne mine, je voulais garder le contact avec elle ne pas laisser un blanc s'installer entre nous, l'atmosphère était déjà glacial, il ne fallait pas en rajouter davantage non plus.
Avant que je vienne prendre place à ses côtés pour qu'on discute enfin de cette grossesse, je lui avait proposé quelque chose à boire, elle m'avait demander à un verre d'eau, je me dirige donc dans la cuisine en m'approchant de plan de travail, je récupère un verre vide qui était poser sur le plateau puis prend le pichet d'eau qui était juste à coter. Oh, tu sais pas grand-chose et toi ? Dis-je en répondant à sa question, est ce que je dois lui dire qu'elle me manque terriblement ? Elle le sait puisque je lui avais dit par sms. Je reviens vers elle en lui tentent son verre d'eau puis à peine que j'avais posé mes fesses sur le canapé qu'elle m'avait donner son rendez prénatale à l'hôpital. Tu veux que je vienne avec toi ? Lui demandais-je si je voulais qu'elle me pardonne et qu'elle voit que j'étais là pour elle et notre enfant s'était maintenant que je devais agir, je veux qu'elle sente que j'étais prêt à m'investir malgré ma peur de devenir père.
Nous avons ces quelques jours pour décider, de prendre la décision final et je dois avouer que prendre cette décision me faire peur, parce que si nous décidons qu'elle doit mettre à terme à sa grossesse qui dit que nous n'allons pas regretter ce bébé, si il est la c'est qui y a une raison, il a peut être était conçu par accident mais il était la bien accrocher a sa maman. Je plonge mon regard dans le sien puis baisse mes yeux vers ses mains, j'ai envie de lui prendre la main de la rassurer, mais je sais qu'elle repoussera, je pense qu'il était encore trop tôt pour elle pour qu'on aille un contact physique, mais je tente quand même en posent doucement ma main sur la sienne. Écoute Paisley, je n'aurai pas du réagir comme je l'ai fait à l'hôpital, j'ai été égoïste, j'ai pensé à mon état avant le tien, je t'avais promis que quoi qu'il arrivait je serais la pour te soutenir et je n'ai pas tenu cette promesse, je m'en veux, si tu savais à quel point je m'en veux de t'avoir fait du mal, je te demande pardon, je sais qu'il va te valoir du temps mais sache que quoi que tu décide pour le bébé je serais la. Dis-je en posent mon regard dans le sien, tout ce que je venais de lui dire était sincères, je voulais m'investir pour elle, pour notre couple et pour notre bébé si elle décide de le garder ça ne dépendait pas que de moi.
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Doucement, elle pose son postérieur sur le centre du canapé et attend sagement qu'il lui apporte le verre d'eau qu'elle lui a demandé. Ce soir, elle veut être entièrement lucide pour lui parler et ne pas avoir un verre de trop dans le nez. Certains auraient tendance à dire qu'il ne faut pas boire d'alcool quand ont est enceinte, mais Paisley ne sait même si elle veut le garder ou non ce bébé, alors ça change quoi au juste? Enfin, ce soir, dans tout les cas, elle se contenterait d'un simple verre d'eau alors qu'elle échangerait quelques paroles à Nicholas. Elle s'était mise à lui demander ce qu'il pouvait y avoir de beau dans sa vie, et elle aurait tellement rit si il lui aurait dit "Oh tu sais rien de neuf, je vais être papa, juste ça." Ce n'était pas l'endroit ni l'heure pour faire quelques plaisanteries même si ça aurait certainement eut don de détendre un peu cette atmosphère pesante qui s'était installée entre eux.
Nicholas lui revient, un verre d'eau en main qu'il vint lui tendre gentiment. Elle l'attrapa, lui souffla un bref "merci" avant de lui parler de ce rendez-vous prénatal qui avait été fixe par l'hôpital et confirmé par un courrier lui étant adressé. Voir cette lettre avec le mot "prénatal", consultation de début de grossesse lui avait foutu la chair de poule. Elle n'ose imaginer toutes les questions que le spécialiste lui poserait ce jour la, toutes ses questions qu'elle même n'avait pas la réponse à ce jour. Il se proposait de l'accompagner, voilà une belle attention.«Ouais, si tu veux. » Il est fort à parier que le médecin poserait des questions sur le père de cet enfant et elle ne se voyait pas, Paisley, répondre à sa place. Elle se sentirait certainement trop gênée pour ça et qui de mieux que Nicholas lui même pour parler au médecin et lui donner les informations nécessaires au dossier. Peut-être que Nicholas avait quelques allergies, ou des dépendances par le passé, chose qui est bon de stipuler pour imaginer l'état de santé de ce bébé à l'avenir, si bébé il y aurait.
La discussion commença. Il était temps. Lentement, il posa sa main sur l'une des siennes, fragile et froide. Elle leva les yeux pour croiser son regard alors qu'il s'était ouvertement confié à elle. Il s'en voulait d'avoir pût faire ce qu'il avait fait à l'hôpital et elle était contente quelque part qu'il s'en rendes compte par lui même. Il avait agit comme le plus grand des enfoirés ce jour la. Elle avait eut besoin de lui plus que n'importe qui, elle avait besoin de sa présence à ses côtés, qu'il la rassure, qu'il lui affirme que tout se passera bien pour eux et que tant qu'il serait la, elle ne risquait rien, mais non.. il avait fait tout l'inverse, il s'était emporté, s'était mis à la provoquer impunément avant de disparaître sans même lui jeter un regard. Elle avait eu mal, terriblement mal à son cœur ce jour la, et pourtant, elle avait gardé la tête haute pour ne pas sombrer dans son malheur.«J'suis bien contente que tu le réalises Nicholas.. » qu'elle commençait en ne reculant pas sa main pour autant de la sienne. Ce rapprochement, même infime lui faisait du bien, elle n'en avait pas besoin de plus pour se sentir importante à ses yeux et même si elle gardait en travers de la gorge les gestes et les mots qu'il avait employé ce jour la.«Pour ce qui est du bébé, je sais pas trop. J'ai envie de le garder, et en même temps, j'me dis qu'un bébé ça va vraiment tout chambouler dans nos vies.» Un bébé, un être de chair et d'os, un être qui demande à avoir un modèle à suivre dans sa vie pour pouvoir avancer et créer l'avenir. Est-ce qu'elle serait un bon modèle pour ce futur enfant? Elle n'en savait rien, maladroite comme elle était, elle avait terriblement peur pour cet enfant.«Je sais vraiment pas quoi faire.. Si je le garde, il faut absolument que je trouve un autre boulot, que je déménage aussi, je peux pas rester dans mon appartement, pas avec Alexander susceptible de revenir n'importe quand, pas dans un endroit si petit. Je veux qu'il ait de l'espace pour jouer, qu'il puisse courir partout, qu'il soit heureux et épanoui. » Voilà qu'elle divaguait complètement et qu'elle s'imaginait finalement cette vie de future maman, les yeux rivés sur ce bébé qui courait précieusement dans l'herbe fraîche. Cet enfant qui se retournerait pour lui offrir un beau sourire d'amour, presque heureux qu'elle ait pût lui offrir une chance de survie, qu'elle ait pût lui laisser l'occasion de vivre tout simplement. Alors devait-elle mettre un terme à son existence? Certainement pas au final.
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Notre conversation sérieuse avait commencé, nous devons parler de cette grossesse, de ce bébé qui aller changer notre vie à tout jamais, et je dois dire que j'ai eu beaucoup de mal à digéré sa grossesse la preuve, je me suis comporté comme le dernier des enfoirés à l'annonce de sa grossesse. Bien sûr que tout ca me fait peur parce que je ne me suis pas imaginé être père maintenant en tous cas, certes, j'avais déjà pensé à le devenir dans l'avenir, mais pas maintenant, mais au fond de moi que si Paisley et moi nous sommes ensemble, je sais que nous pourrions tout surmonter à deux, nous sommes une bonne équipe. Je sais qu'un bébé ça fait extrêmement peur et que va changer tout notre quotidien, mais est qu'on serait capable de se débarrasser cette partie de nous deux ? Je ne le pense pas.
Je sais que je ne suis pas vraiment un exemple à suivre en ce moment et que je fais tout de travers avec Paisley mais je sais une chose, c'est que je l'aime, que je ne veux plus la laisser seule pour surmonter cette épreuve, je veux clairement lui montrer que j'étais prêt à m'investir dans cette grossesse si elle prend la décision de le garder, d'ailleurs je lui avait même proposé d'aller avec elle a son rendez vous prénatale, la preuve que je m'en foutais pas du tout d'elle et de sa grossesse, ça aurait été le cas je pense qu'elle ne serait pas assise sur ce canapé devant moi, j'aurais tout fait pour couper les ponts et la laisser seule à gérer cette grossesse mais j'étais loin d'être comme ça, ok j'ai eu la réputation de don Juan avant d'avoir rencontrer Paisley et qu'on me donner l'image du mec qui assumerait rien du tout si il fait une connerie. Mais tout ça est faut parce que la seule personne qui m'a élevé m'a toujours appris à assumer mes actes et à avoir du respect aussi. Je viendrai te chercher ou si tu veux, tu pourras venir dormir ici à la maison. Lui proposai-je.
Le respect je en est manquer à Paisley, je l'ai tellement traiter mal ce jour à l'hôpital que je m'en veux tellement alors qu'elle mérite tout mon respect, elle mérite que je la traite bien, que je m'occupe d'elle, elle porte tout de même mon enfant et même si elle aurait pas été enceinte, je me serais quand même occuper d'elle, je suis son homme c'est mon rôle enfin je ne sais plus si je le suis après tout le mal que je lui est fait. Le fait qu'elle ne dégage pas sa main de la mienne me rend heureux au fond de moi, je me sens un peu soulager, je reconnais totalement mes torts, je suis le seul fautif de notre dispute, de notre distance et je compte bien me rattraper parce que j'aime du tout ça, je n'aime pas qu'elle soit loin de moi.
Je pense que le fait que je m'excuse auprès d'elle la rassure et la soulage aussi, d'ailleurs elle m'en avait fait part. Je vais faire des efforts à partir de maintenant, tu passera bien avant, enfin vous passerais tous les deux avant. Dis-je en serrant un peut plus sa main dans la mienne. Ce bébé, on l'a fait à deux, c'est donc normal que je l'assume aussi et que je sois là pour elle, qu'importe sa décision, je la soutiendrai. Cette décision n'était pas du tout facile parce que nous sommes déchirer du fait que s'était bien trop tôt d'avoir ce bébé parce que on vient à peine de commencer notre histoire et de l'autre l'envie de le garder, de le voir grandir comme le dit si bien Paisley le voir courir dans ce jardin à rire aux éclats, je suis clairement en train de me perdre dans mes pensés à imaginer de jouer avec lui au foot si c'est un petit gars ou alors faire de la balançoire si c'est une petite fille. On peut vivre ensemble, je veux que vous soyer à mes côtés tous les deux, si tu ne veux pas vivre ici, on peut se trouver une maison pour nous et pour lui et pour ce qui du boulot, je pourrais d'aider dit moi qu'elle boulot te plairait, ma mère a pas mal de contact et justement, ils cherchent des gens. Dis-je en posent mon regard dans le sien, au fond je voulais ce bébé avec elle, je ne voulais pas lui enlever sa vie alors qu'il est innocent lui, il a pas demander à être conçu, il n'a pas à payer de notre accident et je sais que si elle avorterai je m'en voudrais toute ma vie de ne pas avoir connu cet enfant.
My greatest fear was the mistake I made, I have hurt you I know but I will not let my ego stand my way. I will apology even if it takes me days to say am sorry.
Jamais elle n'aurait crût que les choses iraient si vite avec Nicholas. Tout avait commencé à Venise, quand elle s'était offerte à lui. Il aurait pût être n'importe quel homme de passage dans sa vie, et elle n'importe qu'elle femme, mais ça n'avait pas été le cas. Nicholas lui courrait après depuis bien longtemps, il avait été patient avec elle, et tout ce qu'il désirait d'elle c'était de la connaître tout en restant à ses côtés en tant que "petit ami". Paisley n'était pas une adepte de l'amour, elle n'y connaissait rien en sentiment, en temps normal, les hommes avaient tendance à défiler dans sa vie, s'enticher était loin de ses préoccupations. Elle était cette femme belle et séduisante, un peu séductrice qui aimait plaire et qui n'hésitait pas à user de ses charmes pour obtenir tout ce dont elle désirait. Les hommes lui offraient tout, jusqu'à ce que sa route croise celle d'Alexander et de Nicholas. Ils sont différents des autres, ses hommes la, elle les as aimés. Ils sont importants pour elle et Nicholas bien plus désormais. Elle devait faire un choix entre les deux, son choix se portait sur le mannequin, pour lequel son cœur s'emballait à sa simple présence. Elle s'était offerte à lui à Venise en guise d'officialisation de leur "amour naissant" et elle n'attendait que ça de continuer à le fréquenter, des jours et des jours entiers. Mais voilà qu'ils s'étaient précipités tout les deux.. Ce n'est pas l'histoire d'une coucherie mais de plusieurs.. Blottis dans les bras de l'un et de l'autre, ils ont passés leur séjour entier à s'embrasser, à se toucher comme un vrai petit couple, sans savoir que leur imprudence donnerait forme à un enfant bientôt.
Cet enfant la, il venait beaucoup trop vite, et elle n'était pas prête à l'assumer, comme Nicholas d'ailleurs. Ensemble pourtant, ils faut qu'ils discutent, qu'ils prennent des décisions. Devait-ils le garder ce bébé? Paisley n'en savait rien. C'était certainement la décision la plus importante de toute sa vie. Cet enfant, ce n'était pas une poupée. Un enfant, ça vous suit durant toute vôtre vie. Elle lui a confié que bientôt elle aurait droit à son premier rendez-vous prénatal, Nicholas accepta de l'accompagner, enfin, il s'était plutôt proposé de le faire, et le fait qu'il s'investit autant lui fait plaisir quelque part.«O-On verra au moment voulu.» qu'elle lui répondit, ce rendez-vous lui donnait par avance des hauts de cœur. Délicatement, le mannequin prit sa main dans la sienne, histoire de soutenir ses propos et de lui montrer que quoi qu'il arrive, et quoi qu'elle puisse décider, il serait la pour elle. Elle n'avait pas le cœur de le repousser, parce qu'une infime partie d'elle était amoureuse de ce garçon qui se tenait assis à ses côtés.«Arrête..Ca me fait tellement drôle de t'entendre dire "nous deux".» Physiquement pourtant elle était seule, le bébé n'était pas encore la, juste niché au fin fond de son utérus, à attendre patiemment d'évoluer durant les mois à venir.
Heureusement, cet enfant n'était pas encore visible et personne de l'extérieur ne pouvait se douter qu'elle attendait un enfant. Son ventre était encore bien plat, sa poitrine d'une taille correcte, elle était Paisley, la même avec laquelle il avait couché à Venise. A l'intérieur pourtant, c'était une autre affaire et son corps se préparait, lentement mais sûrement au mois à venir, à cette grossesse récente. Devait-elle le garder cet enfant? Tant de choses devront changer si c'était le cas. Déjà, il fallait qu'elle déménage. Alexander avait apprit sa grossesse, il s'était empressé de lui conseiller d'avorter, sachant la demoiselle tétanisée à l'idée de devenir mère. Et si elle venait à le garder, accepterait-il la présence du bébé de celui qu'il considére certainement comme son rival? Certainement pas. L'appartement était bien trop petit pour accueillir un enfant, et dieu sait que ça prend de la place. Alors, elle rêvait secrètement de vivre dans une belle maison, un endroit chaleureux, moderne avec un étage et de belles chambres ou elle pourra accueillir son enfant, qu'il ait son espace à lui, rien qu'à lui. L'espace en tout cas, il n'en manquerait pas en grandissant ici, dans le loft de Nicholas. L'endroit était appréciable, spacieux mais il était encore trop tôt pour qu'elle songe vivre ici, surtout après les récents événements. «je sais pas trop si c'est une bonne idée.. Puis, tu as oublié Mack. Je refuse de la laisser assumer seule l'appartement. Je dois en discuter avec elle si c'est ça.» qu'elle lui répondit en levant les yeux sur les siens pour lui parler de face à face.
Nicholas lui proposait de l'aide pour trouver un autre travail, mais encore une fois, elle refuserait. Elle était assez grande pour se chercher un travail convenable, elle commencerait certainement à fouiner dans les petites annonces dès le lendemain, en priant aussi fort que possible que le poste de professeur de piano dans l'école de musique se libère rapidement afin qu'elle puisse prétendre au poste.«T'en fais pas pour ça, je me débrouilles..Je fouinerais du côté des petites annonces, je vais bien finir par trouver quelque chose pour moi.» Même qu'elle avait déjà sa petite idée bien en tête. Au final, il parlait comme ci cet enfant il le garderait, il se projetait dans un avenir à mille à l'heure, un avenir si proche mais nécessaire pour que ce bébé puisse être épanoui. «Je supposes que.. ça veut dire qu'ont le gardes..non?» Ce n'était pas sûr, la question n'avait pas été posé clairement mais elle le serait et de suite.«Dis moi la vérité Nicholas.. Est-ce que tu veux qu'ont le gardes?» C'était fait. Impossible de faire marche arrière, il fallait qu'il lui répondes franchement pour l'aider à prendre sa décision finale. Une décision irrévocable qui bouleverserait dans tout les cas leurs deux vies respectives. Soit ils prennent la décision de le garder et devront assumer cet enfant jusqu'au bout, soit elle décide d'avorter et dans tout les cas, elle aurait bien du mal à se regarder dans un miroir en imaginant qu'elle ait mit un terme à une grossesse qui au final n'était que le résultat de ses sentiments récents pour Nicholas.
My greatest fear was the mistake I made, I have hurt you I know but I will not let my ego stand my way. I will apology even if it takes me days to say am sorry.
En tant normal je pensais vraiment qu'on aller prendre notre temps, qu'on aller apprendre à se connaître tous les deux tout en s'aiment comme des gens de notre âges , s'éclater à deux, vraiment profiter a fond de nous deux mais voila que la vie en avait décider autrement et nous avait mit un bébé sur notre chemin, le fruit de notre accident à Venise parce que oui ce bébé n'était pas voulu enfin pas tout suite en tout cas, bien sûr que à l'instant où elle sait offerte à moi durant ce voyage j'ai su tout suite que je voulais qu'elle fassent partie de mon présent et de mon futur et aujourd'hui c'est toujours le cas, je la veux dans ma vie et maintenant fallait qu'on partage notre avenir avec mini nous ou pas, parce que je sais pas si elle voulait réellement le garder ou bien avorter.
Il fallait qu'on s'organise pour son rendez-vous prénatale qui avait lieu dans quelques jours enfin le 6 mars plus précisément, j'avais proposé à la jeune femme soit je venais la chercher chez elle ou mieux qu'elle dorme à la maison et je pense que ma deuxième proposition l'avais un peu mise mal à l'aise. Euh, oui oui, tu as raison, on a le temps de décider de cela. Dis-je en étant moi-même mal à l'aise justement de l'avoir mise dans cette situation et si elle ne voulait pas dormir à la maison je le comprends tout à fait, elle a besoin de temps et ça aussi je le comprends je ne veux surtout pas le brusquer encore une fois et surtout je serais patient avec elle, je l'attendais le temps qu'il faut parce que je sais qu'elle est encore fâchée contre moi pour mon comportement. Je peux bien te croire la dessus. Lui dis-je en lui affichant un petit sourire lorsqu'elle me confia que ça lui fait drôle quand on lui dit qu'ils étaient deux maintenant.
C'est clair que parler de notre avenir fessait peur à tous les deux, ça nous effraie beaucoup même, mais faut quand même envisager notre avenir si nous décidons de garder cet enfant, il fallait qu'on se trouve une nouvelle maison ou nous pourrons l'élever, elle devait aussi changer de boulot et moi, j'allais devoir limité mes déplacements pour mon boulot ce n'était pas un problème je pouvais très bien avoir des contrats sans pour autant obliger de voyager. Je lui avais proposé qu'on se cherche une maison tous les deux, mais je pense que s'était trop tôt pour elle et puis elle ne voulait pas laisser ma cousine assumer l'appartement toute seule. Elle peut venir vivre avec nous le temps qu'elle se trouve un appartement. Ajoutai-je en la regardent honnêtement, j'avais envie de vivre avec elle et puis je dois avouer ça me rassurer qu'elle ne vive plus avec ce Alex, oui bon ok, je suis un peut jaloux, je l'avoue. Par la suite, je lui avais proposé mon aide pour se trouver un boulot, mais elle avait refuser mon aide parce qu'elle aimerait le faire toute seule, ce que je comprends tout à fait elle veux son indépendance sur certaines choses de sa vie et une chose est sur ce n'est pas moi qui lui priverait de quoi, ce soit c'est normal qu'aille sa liberté, ses choix à elle. D'accord, mais n'hésite pas si tu as besoin d'aide pour tes annonces, je suis là. Dis-je lui en effleurent sa joue tendrement. Oh pardon. Dis-je en remarquant mon geste que j'ai eu envers son égard.
Sans me rendre vraiment compte, j'étais en train parlé de ce bébé comme si nous allons le garder alors que nous n'avons pas encore décidé si on aller le garder ou non et ça Paisley me le fit rapidement remarquer et me poser franchement la question est ce que je voulais vraiment qu'elle garde cet enfant. Écoute Paisley je vais pas te mentir, depuis que j'ai appris ta grossesse je n'ai pas arrêter de pensée à lui, j'ai du mal à fermer l'oeil de la nuit parce que je pose le pour et le contre pour ce bébé, et ce sentiments de culpabilité me revient sans cesse lorsque je pense à l'avortement. Dis-je en marquant une pause. Je me dis que si tu avortes, nous aurons tous les deux ce regret de lui avoir enlevé sa vie alors qu'il n'a pas demandé à être là et puis je me dis que s'il est la, c'est qui y a raison. Ajoutai-je par la suite en la regardent sincèrement dans les yeux.
My greatest fear was the mistake I made, I have hurt you I know but I will not let my ego stand my way. I will apology even if it takes me days to say am sorry.
Désormais, les choses ne seraient plus jamais comme avant. Quoi qu'ils décident concernant cet enfant, leurs deux vies en seraient, dans tout les cas, chamboulées. Il y avait ce rendez-vous prénatal qui arrivait à grand pas et Nicholas qui souhaitait s'investir en bon père. Il lui proposait même de dormir ici histoire que ça soit beaucoup plus simple pour eux de se rendre au rendez-vous.Cela l'a mit mal à l'aise. Ils avaient le temps de réfléchir à tout ça,et à l'heure actuelle, elle ne se voyait pas dormir dans cette même demeure, Nicholas non loin d'elle. Le jeune homme l'avait profondément blessée, alors que la peur l'avait submergée, il avait préféré fuir sans même lui adresser un regard. Son cœur en avait prit un coup, un sacré coup. Fort heureusement, ce jour la, elle n'avait pas été seule, Mackenzie avait veillé sur elle, s'était assuré de faire taire ses plus grosses craintes. Elle avait été l'oreille attentive, l'amie qui donne de bons conseils, et sa présence lui avait fait énormément de bien. Aujourd'hui, Paisley se tenait la, aux côtés de Nicholas parce qu'elle avait prit le temps de réfléchir, prit le temps d'accepter la nouvelle. Depuis qu'elle se savait enceinte, elle passait le plus clair de son temps face au miroir à tenter de déceler la moindre rondeur. C'était comme ci cet enfant, elle le désirait secrètement quelque part, et puis, la réalité lui frappait en pleine face. Elle voyait ses publicités à la télévision sur différents produits pour bébé, elle voyait tous ses bébés dans les rues de Miami, accrochés comme de parfaits koalas à leurs mères, et elle se demandait Paisley, si un jour, son enfant serait comme ça avec elle. Elle qui, contrairement à Nicholas, n'avait aucun repère paternel ni maternel. Est-ce qu'elle serait une bonne mère un jour? Elle ne s'en était jamais posé la question, pensant que ce jour n'arriverait jamais. Aujourd'hui, elle devait faire face à l'évidence, celle qui commençait à grandir en elle.
Elle n'était plus seule maintenant. Ils étaient deux à partager un même corps. Entendre Nicholas lui rappelait cela la fit sourire nerveusement. Non, vraiment, elle n'imaginait pas une seule seconde qu'un petit embryon commençait à se développer en elle. C'était incroyable même mais pourtant vrai. Ce minuscule petit être viendrait chambouler tout son quotidien, sa façon de vivre même. Il fallait, dans un premier temps, qu'elle change de travail, elle ne pourrait pas continuer à servir des verres au Devil's, puis, il fallait également qu'elle déménage, l'appartement devenant d'un seul coup bien trop petit pour accueillir un bébé, mais elle ne ferait pas ça sans en avertir Mackenzie. Il y avait aussi Alexander, qui, ne s'était pas gêné de son côté pour l'abandonner en partant au Montana dès qu'il avait apprit qu'elle était enceinte de Nicholas. En bon adulte, Paisley se devait de prendre des décisions, les bonnes décisions et elle espérait sincèrement que son entourage accepterait ses dernières. «Entre nous, je ne penses pas que Mackenzie accepterait de venir vivre ici.. Tu la connais autant que moi.» Et à vrai dire, c'était plutôt normal. Qui aimerait vivre auprès de son cousin, de sa potentielle "petite amie" et de leur bébé? Bien que ça soit temporaire, Mackenzie était au courant du caractère de feu de son cousin et de son amie, et il est fort à parier qu'elle voudrait à tout prix éviter les malaises comme elle avait eut si bien le droit à l'hôpital, à l'annonce de la grande nouvelle.
Si vraiment, elle acceptait de vivre auprès de Nicholas, pour le bien être de ce bébé, il fallait dans tout les cas qu'elle en parle à Mackenzie, c'était inévitable, pour ce qui était d'Alexander, lui aussi aurait le droit à sa petite discussion, moins formelle cela va de soit. L'affaire du logement presque réglée, il ne lui restait plus que le changement de travail. Nicholas lui proposait de l'aider, il parlait même de sa mère qui avait contact avec certaines personnes. Elle refusa catégoriquement. Elle était assez grande pour trouver seule, et si ce bébé devait la rendre plus indépendante et plus mature, alors elle commencerait son rôle en cherchant seule son futur emploi. Encore une fois, il voulait se montrer présent pour elle, trop présent, alors qu'il s'était mit à lui effleurer sa joue cette fois. Elle s'était mise à l'observer, les yeux dans les yeux, sans bouger un seul muscle, elle aimait secrètement ce contact, mais elle s'abstiendrait de le lui dire alors qu'il s'excusait de son geste et qu'elle observait sa main disparaître de contre sa joue.«C'est rien..» qu'elle murmurait à voix très basse en gardant un oeil sur le sol.
Elle était venue pour prendre une décision. Pour savoir exactement ce qu'ils feraient de cet enfant, elle avait bien déjà sa petite idée en tête, et voulait absolument savoir ce qu'il en serait de Nicholas, avait-il, prit une décision lui aussi? Le voulait-il cet enfant? Elle lui demanda clairement et aussitôt, il se confia. Au vu de ses paroles, il semblait vouloir le garder, et refuser la potentielle idée d'avortement, si cet enfant était la, ou du moins cet embryon, ce n'était pas pour rien, Nicholas était persuadé que ce n'était qu'un coup du destin, une façon de leur dire que leur histoire irait loin si ils se donnaient la chance de bien vouloir la continuer. «Donc, tu penses que ce serait préférable de le garder..» Elle en vint rapidement à la conclusion. Cette décision n'était pas à prendre à la légère, il ne s'agissait pas que d'une banale décision, c'est une décision qui chamboulerait à tout jamais leurs vies. C'était fou de se dire qu'elle voulait peut-être le garder cet enfant, et que Nicholas aussi alors que officiellement cela ne faisait que trois petites semaines qu'ils ont tout deux accepter de se donner une chance pour une relation autre qu'amicale, amoureuse. Trois semaines et dans huit mois, ils deviendraient parents si ils acceptaient la présence de ce bébé. «C'est pas une décision facile Nicholas je le sais très bien, et encore plus pour moi.. car ce bébé après tout, c'est en moi qu'il va grandir pendant les huit mois à venir..» Toutes, ou presque, les responsabilités lui tombaient sur les épaules, mais aussi fou que cela puisse paraître, elle se sentait, quelque part, prête à les assumer. «Et, entre nous, je penses que j'ai fais mon choix, moi aussi..» Son regard n'avait pas quitté une seule seconde ce sol, nerveusement ses doigts s'amusaient les uns contre les autres. Que Nicholas l'accepte ou non, elle garderait cet enfant finalement, parce qu'elle en avait envie, au plus profond de son cœur elle le désirait même si tout cela était trop tôt , que tout cela allait trop vite.«Je veux le garder Nicholas.. C'est fou, je sais bien que c'est fou et je ne te demande pas d'être présent pour nous en fait. Je comprendrais que de ton côté tu ne veuilles pas assumer quoi que ce soit, même si tu n'as cessé de me dire que tu le ferais, que tu l'assumerais..» Elle ne voulait pas priver cet enfant d'un père, ça c'était sûr.«Je dois être complètement folle en fait..» Elle riait bêtement en relevant les yeux. Si sa mère aurait été la, elle aurait été présente et lui aurait conseillé d'écouter son cœur avant l'avis des autres. Aujourd'hui, elle suivait ce conseil, elle écoutait son cœur, ce qu'il lui disait réellement. «Ouais.. Je veux le garder ce bébé.» Elle tournait finalement les yeux vers ceux de Nicholas pour lui faire comprendre qu'elle ne ferait pas machine arrière, et que, sa décision à elle, en tout cas était déjà toute prise. Cette grossesse ne l'enchantait pas spécialement, mais elle l'acceptait, pour l'instant, et c'était déjà un bon début, de la à dire que cet embryon, elle en était déjà amoureuse, et qu'elle l'aimait terriblement, c'était un peu trop tôt pour le penser, trop vite pour le dire.