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 when we met for the first time (clydannah)

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(#)Sujet: when we met for the first time (clydannah)  |   Mar 29 Nov - 20:27
when we met for the first time
Clydannah
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Le temps passe mais les marques sur ton corps restent. Enfin, si on pouvait encore appeler ça un corps. Sous tes vêtements, tu ne ressemblais plus à rien. Heureusement, ton visage était encore en état, bien que tu ais une marque au coin de la lèvre qui semblait vouloir y rester. L'épreuve par laquelle tu étais passé il y a maintenant deux mois de cela t'avais littéralement détruit, aussi physiquement que mentalement. Ce que tu avais vécu te hantais. Il t'étais presque impossible de passer une nuit sans que tu ne te réveilles suite à un cauchemar, à tel point que tu passais parfois des nuits à ne pas dormir. Tu luttais, aussi fort que tu le pouvais pour ne pas avoir à revivre ça lors ces cauchemars. Mais parfois, tu tombais de fatigue, et voilà que tu te réveillais en sueur, la boule au ventre, la gorge serrée, les muscles totalement contractés. Parfois il t'arrivait de bouger pendant ton sommeil, de crier même. Tu n'en faisais qu'à ta tête, tu ne voulais pas prendre de cachets ne serait-ce que pour te permettre de te reposer un peu, de t'apaiser, te détendre, pour la simple et bonne raison que tu ne voulais tout simplement pas parler de ce qu'il t'était arrivé à quiconque. Et encore, heureusement que Savannah était parvenue à retrouver l'endroit où tu te trouvais grâce à l'application qu'elle avait installé sur vos téléphones respectifs car sans ça, tu ne serais surement plus de ce monde, puisque la dernière chose qu'elle avait manqué de te faire était de te brûler vif. Ah, tu te souvenais d'elle. Oh ça oui. Tu te souvenais de chaque trait de son visage. De la façon dont elle avait de te regarder. Sa démarche nonchalante. La façon de manger des m&ms, il t'arrivait même encore de l'entendre les croquer comme si elle se retrouvait dans la même pièce que toi. Sa voix raisonnait dans ta tête par moment, à tel point que tu étais à deux doigts de te taper la tête contre les murs pour la chasser de là. Ce qu'elle t'avait fait vivre avait été atroce. Et pourtant, tu en avais vécu des choses, mais jamais ainsi. La douleur, tu pensais la supporter, jusqu'à ce qu'elle enfonce ses doigts dans ta plaie béante. Qu'elle te fracasse la jambe avec cette batte de baseball en métal, ou qu'elle écrase les lanières en cuir du fouet dans ton dos. Aussitôt tu te revoyais te débattre, et tu serrais les dents, ressentant la douleur que tu avais pu éprouver ce jour-là. Tu t'en voulais de faire vivre un tel enfer à Savannah. Elle n'aurait jamais du subir tout ça. Et pourtant, contre ton gré, c'est ce qu'il se passait. Tu refusais de sortir. De plus, tu te retrouvais avec des béquilles, et toujours ce fichu plâtre à la jambe. C'était tellement désagréable et encombrant. Tu ne supportais pas ne pas pouvoir être libre, et devoir dépendre de quelqu'un, mais tu faisais en sorte de ne pas trop dépendre de ta petite amie. Déjà que tu te pensais être un poids pour elle, même si elle ne le disait pas, ce n'était pas évident pour elle de devoir vivre tout ça. Entre le fait que tu te sois fait poignardé et quelques temps plus tard te revoilà de nouveau à l'hôpital suite à une agression beaucoup plus importante. Tu commençais vraiment à croire que tu ne pouvais laisser entrer personne dans ta vie sans qu'elle en paye les frais.
Ainsi, ton seul passe-temps les derniers temps c'était de jongler entre tes séries, ainsi que tes balades quotidiennes dans le lotissement. En réalité, tu ne les faisais pas vraiment. Parce que tu n'avais pas envie de sortir. Heureusement que Savannah était là pour te mettre un coup de pied au derrière et t'accompagner dans tes petites balades, quitte à les faire le soir, après manger, histoire d'être sûre que tu ai fais tes quinze minutes de marche, car ce n'était pas en restant sur le canapé ou sur le lit que cela allait changer. Au contraire, il fallait que tu marches un peu, et ce pendant une quinzaine de minutes, en essayant de ne pas t'arrêter pour ne pas t'ankyloser l'autre jambe. D'ailleurs ce soir, en rentrant du boulot, bien qu'il soit presque dix neuf heures, Savannah te proposait de changer d'air en t'amenant au parc. Au début, tu refusais, n'ayant pas vraiment envie de te rendre dans un endroit où tu pourrais y rencontrer du monde, mais elle ne te laissait pas vraiment le choix, alors tu finis par accepter. C'est en voiture que vous vous y rendiez pour t'économiser, puis il faut dire que le parc n'était pas non plus à dix minutes de marche, mais plutôt à vingt minutes en voiture. Par chance, il n'y avait pas trop de monde, à part deux-trois joggeurs motivés. En même temps, avec un temps pareil, mais bon, toi, il fallait faire ta marche quotidienne. Tu commençais à être vraiment lassé des béquilles. T'avais mal aux mains, cela te faisais même des ampoules entre le pouce et l'index. C'était insupportable. Tu sais, on était pas obligé de venir ici, on aurait pu faire le tour du quartier, comme d'habitude, lançais-tu dans un premier temps. Ca a été ta journée sinon ? lui demandais-tu histoire de changer de sujet, et puis tout simplement parce que tu t'intéressais à ce que pouvait faire ta petite amie. Et surtout si ça allait à son boulot, car tu savais que parfois ce n'était pas facile de tout gérer. Et puis, tu n'avais pas spécialement envie de parler de toi, ou de ton état, qu'il soit physique ou mental.
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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Jeu 1 Déc - 18:10


❝when we met for the first time.❞
Clydannah.
-La vie est un combat, il faut savoir se battre, se relever au bon moment. Il faut vivre chaque jour comme le dernier car malheureusement rien n'est prévu dans la vie. La vie ne tient qu'à un fil, il ne faut jamais perdre espoir toujours garder la tête haute et se battre jusqu'au bout. Souriez la vie peut-être belle même dans les pires moments. -Encore une journée où je dois faire semblant d'aller bien. Cela fait maintenant deux mois que j'ai retrouvé Clyde à moitié mort dans cet entrepôt. Je fais croire que tout va bien pour lui, il a été complètement détruit et je n'ai pas le droit du laissais s'inquiéter pour moi. Depuis ce jour-là il n'est plus le même, il ne dort pas dors pratiquement plus, mange à peine, ne parle quasiment  pas et ne sort plus de chez nous . Je fais en sorte de lui rendre la vie plus belle, d'être là pour lui mais ai force je me demande si un jour je retrouverais le Clyde dont je suis tombée amoureuse. Il m'a toujours répété que je mérite mieux, qu'il n'est pas quelqu'un de bien, qu'il avait toujours des problèmes mais je lui ai toujours dit que je ne baisserais jamais les bras parce que je serais incapable de vivre sans lui, mais à force je me demande si je suis capable de l'aider à ce relevé. Je ne sais plus trop quoi faire avec lui et j'en ai mal. Très mal.
En sortant du travail je m'étais arrêté faire quelques courses, il n'avait plus rien à la maison. Une fois rentrée, Clyde était toujours dans la même position que ce matin, allongé dans le canapé entrain de regarder la télé pour l'instant je ne le force pas à sortir mais une fois par jour je lui donnais pas le choix de sortir faire un tour et ce soir-là nous allons pas seulement faire le tour du quartier non j'ai décidé de l'emmener dans un endroit spécial. Après qu'il sait habiller nous prenions la voiture, direction le parc. Arrivez-nous commencions à marcher, plonger dans le silence.- Tu sais, on n'était pas obligé de venir ici, on aurait pu faire le tour du quartier, comme d'habitude, lançait-il. -Ça a été ta journée sinon ? demandait-il en changeant directement de sujet. « Ça va, Jade m'aide beaucoup ces dernier jour sans elle je ne sais pas ce que je ferais. dis-je simplement. J'ai un très gros investisseur pour ma nouvelle collection j'espère que ça va marcher.» dis-je.« Mais, si je t'ai emmené ici ce n'est pas pour parler de moi Clyde. soufflais-je, il faut vraiment que je l'aide. Je sais que ce que tu as vécu est terrible mais tu ne peux pas penser cas toi, je suis la moi. dis-je en mettant mes mains dans les poches de ma veste. Tu ne me regarde même plus, ont se parle presque plus ..  je sais plus quoi faire pour t'aider Clyde j'ai besoin que tu me dises ce que tu attends de moi. »Il était temps qu'il sache tout ce que j'ai sur le cœur depuis ces deux dernier mois . «Je veux encore me disputer avec toi parce qu'on n'est jamais d'accord sur rien, je veux que tu me parles de tes doutes, je veux que tu me prennes la main pour m'emmener dans un endroit où nous serons que tous les deux, je veux sentir ta main dans mes cheveux, je veux discuter avec toi des heures et que tu me racontes tes histoires les plus drôles, je veux que tu te vexes parce que je te réponds mal, je veux que tu me fasses plein de bisous pour me consoler, je veux que tu te moques de moi parce que je suis trop maladroite, je veux te voir rire avec moi quand on se remémore des souvenirs heureux, je veux plonger mon regard dans le tien tout en t'entendant me dire que tu m'aimes, je veux te voir déçu parce qu'on n'est jamais d'accord, je veux t'entendre me chanter notre chanson, je veux que tu me réchauffes en me prenant dans tes bras, je veux me sentir aimer auprès de toi comme avant. Et je ne veux surtout pas que tous ces moments deviennent des souvenirs qui me hanteront, qui me feront mal... Je veux m'en souvenir avec le sourire tout en me disant que je pourrais encore les revivre avec toi. Je ne veux pas te perdre Clyde. dis-je les larmes aux yeux. Ne te laisse pas détruire, pense à moi je t'en supplie. » ajoutais-je en m'arrêtant de marcher.

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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Jeu 1 Déc - 21:36
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Même si tout porte à croire que tu es quelqu'un de fort, au fond, tu le sais que t'es faible. Ce qui t'es arrivé ne cesse de le confirmer. T'avais l'impression d'être une merde. C'était tellement honteux pour toi de t'être fait défoncer de la sorte par une fille. Et le pire dans tout ça, c'est qu'elle te hantait désormais, faisant de ta vie un véritable enfer. T'avais l'impression de la voir partout. Au détour d'une rue, derrière une vitrine, à travers ta fenêtre. Elle t'avait réduit à néant. Physiquement, tu ne ressemblais plus à rien. Ton corps était meurtri. Psychologiquement, n'en parlons pas. Le problème, c'est qu'en plus, tu n'arrivais plus à dormir, ou du moins, tu luttais de toutes tes forces pour ne pas avoir à subir ses cauchemars. Il t'arrivait de te réveiller, en sursaut, au beau milieu de la nuit, le corps rempli de sueur, au point d'en avoir trempé les draps. Alors tu te levais, prendre une douche, mais cela ne changeait rien. Tu te posais sur ce fichu canapé, pour éviter de réveiller Savannah, contrairement à toi, elle travaille le lendemain matin. Tu savais combien son travail lui coûtait beaucoup de temps, et d'énergie. Il fallait qu'elle gère tout à la fois, cela n'était pas évident. Et puis il y avait toi. Elle passait son temps à t'envoyer des messages pour prendre de tes nouvelles. Votre relation avait changé ces derniers temps. C'est comme si vous faisiez machine arrière, et que vous reveniez au temps où tu étais impassible. Tu n'y arrivais pas. Tu t'étais renfermé sur toi-même. C'est comme si tu avais retrouvé cette carapace que tu avais avant de te poser avec Savannah, qu'elle avait eu tant de mal à te retirer. Les sorties se faisaient rares. Outre ta marche quotidienne pour ne pas t'ankyloser, tu ne voulais plus sortir. Tu passais le plus clair de ton temps à l'appartement, sur ce même canapé, devant la télé, à regarder des émissions de skate. Dieu ce que ça te manquais ça aussi. Mais avec une jambe cassée, il t'était complètement impossible de faire quoi que ce soit, encore pire que lorsque tu t'étais fait poignarder l'abdomen. Tiens, tu recevais un message de ta petite amie t'annonçant qu'elle rentrait. Lorsqu'elle faisait son entrée dans l'appartement, elle te lançait que ce soir, tu n'allais pas faire le tour du quartier, mais qu'elle t'amenait au parc, histoire de te sortir un peu, et de faire changer d'air, et voir autre chose. Tu secouais négativement la tête, refusant dans un premier temps de sortir quelque part. Franchement, tu n'avais pas la tête à voir du monde. Tout ce que tu voulais c'était rester chez toi. Mais Savannah n'était pas de cet avis et ne te laissait pas le choix. Alors, tu finis par accepter, non pas par envie, mais parce que tu n'avais pas la tête à batailler. Ainsi tu baissais les bras, et te relevais avec difficultés du canapé, pour la suivre jusqu'à la voiture. Le trajet fut plus ou moins silencieux. Le silence, c'était un peu ce qui rythmé votre quotidien désormais. Déjà que tu n'étais pas de nature grand bavard, mais là, c'était pire que tout. Il t'arrivait de faire des efforts, ou d'essayer du moins. A croire que vivre ensembles n'était pas tombé au bon moment. C'est vrai, pile quand vous décidiez de vivre ensembles, quelques jours plus tard, tu te retrouvais enfermé dans cet entrepôt sur le point de mourir. Tout portait à croire que lorsque tout semblait aller pour le mieux entre vous, il y avait quelque chose pour tout ruiner. La fois où tu avais décidé de t'engager avec elle, voilà que tu te faisais poignarder, et maintenant que tu lui avais dis ces mots, qui à ton sens étaient vraiment important, tu te faisais kidnapper, et torturer par une fille à soif de vengeance. Malheureusement, ces journées à ne rien faire te permettaient de réfléchir. Et tu te demandais vraiment ce qu'elle faisait avec toi. A tes yeux, elle méritait beaucoup mieux qu'un type comme toi. Tu l'avais toujours pensé, même si tu avais essayé de t'en dissuader, tout portait à croire qu'elle méritait un homme qui saurait l'aimer convenablement, qui aurait une vie stable, avec un bon travail, une bonne situation, comme elle finalement. A ton sens, tu n'étais pas un homme pour elle, tu la tirais vers le bas, bien plus que tu ne parvenais à la tirer vers le haut. Tu l'entraînais avec toi dans tes problèmes. Parce qu'on sait tous que dans un couple, les problèmes de l'un deviennent les problèmes de l'autre. Tu ne savais plus quoi faire, tu te posais beaucoup trop de questions. Et si finalement vous deux c'était une erreur ? Tu ne voulais pas penser cela, mais pourtant, tu ne pouvais t'y résoudre. Parce que tu savais pertinemment que tu n'arriverais jamais à la rendre heureuse comme elle le méritait de l'être. Tu la détruisais à mesure que tu te détruisais toi-même. Elle ne vivait plus sans s'inquiéter pour toi, et cela pourrait sur du long terme avoir une réelle incidence sur sa vie, sur son travail, et ça tu ne le voulais pas. Tu ne voulais pas qu'elle s'inquiète continuellement pour toi. Au fond de toi, ça te faisais mal de réaliser certaines choses, c'est comme si on t'enfonçait un couteau dans la peau, et que l'on titillait la plaie, un peu comme lorsque ton agresseuse t'avais ré-ouvert ta plaie fraîchement cicatrisée. Tu essayais de ne rien laisser paraître, lui demandant comment c'était passé sa journée, histoire d'engager la conversation. Heureusement pour elle, elle avait son associée qui lui était d'une grande aide, elle t'annonçait par la même occasion une nouvelle qui semblait vraiment bonne pour elle. Et tu étais fier d'elle, même si tu ne laissais rien paraître. C'est génial ça, tu peux être fière de toi, déclarais-tu, lorsque soudainement, elle t'informait que si elle t'avait fait venir ici, ce n'était pas pour parler d'elle. C'est alors que tu la regardais, l'interrogeant du regard. Te demandant pourquoi elle te disait cela comme ça, aussi sérieusement. Et si finalement elle avait réfléchi sur votre relation actuelle, et si elle en avait assez de toi, assez de tout ça, qu'elle voulait passer à autre chose, réussir à avancer, sans avoir un poids qui l'en empêche ? Tu venais à te poser tout un tas de questions. Et tu réalisais que c'était peut-être la fin. Qu'elle décidait de prendre les devants, et de rompre avec toi. En tout cas, tout portait à croire que cela ressemblait à une rupture. Elle reprenait alors la parole, et tu ne t'attendais surement pas à ce qu'elle te dise tout ça, qu'elle parle autant, et pourtant, tu pouvais sentir à l'intonation de sa voix, qu'elle avait mal, qu'elle avait besoin de vider son sac. Tu pouvais ressentir cette boule au fond de sa gorge à chaque mot qui sortait de sa bouche. Honteusement, tu n'osais pas la regarder, croiser son regard, tu t'en voulais, tu savais pertinemment que tout ceci était de ta faute. Et alors que tu t'attendais à ce qu'elle te claque dans la gueule une phrase du genre "je préfère qu'on en reste là". Elle te répondait au contraire qu'elle ne voulait pas que tout ce que vous aviez vécu fassent parti du passé. Elle ne voulait pas que tu deviennes son passé. Ca te faisais mal de la savoir ainsi. Parce que tu savais pertinemment que tout était de ta faute. J'ai l'impression que je ne t'apporte rien de bon Savannah. A chaque fois que tout semble allait si bien, il y a toujours quelque chose pour tout gâcher, et ce quelque chose c'est moi. Je finis toujours par tout gâcher, c'est comme ça, je ne sais pas comment je me démerde pour me foutre dans de telles situations mais pourtant, je le fais, je fonce droit dans le mur. Ta main venait frotter nerveusement ton visage, tandis que les larmes se déversaient sur son visage, te provoquant un pincement au coeur. Intérieurement, tu te sentais mal, t'avais l'impression que tu allais explosé d'une minute à l'autre. T'avais envie de crier, de hurler. Mais même ça, tu n'y arrivais pas. Crois moi que je n'en ai pas non plus envie Savannah. De la perdre bien sûr, pensais-tu, mais ça, elle l'avait bien compris que tu parlais de ça. Mais parfois, surtout ces derniers temps, je me dis que tu mérites mieux. Je peux rien faire là, je suis un incapable. Qu'est-ce que je t'apporte ces derniers temps, rien à part de l'inquiétude. Tu passes ton temps à t'inquiéter pour moi. Je n'ai pas envie que ça se passe ainsi. Je veux que tu puisses partir le matin, l'esprit tranquille. Qui tu te donnes à deux cent pour cent dans ton travail. Et non que tu penses à ce qu'il pourrait m'arriver. Tu as un bel avenir qui t'attends professionnellement parlant. Je suis sûr que tu feras une superbe styliste. Tu es douée, même s'il t'arrives de douter de toi par moment. Tes mains venaient attraper les siennes, l'attirant doucement vers toi. Ca te faisais mal de la voir ainsi, par ta faute. Tu avais l'impression de revivre vos débuts de relation chaotique où elle passait son temps à pleurer à cause de toi. J'aurai tellement préféré que ça se passe autrement, je suis désolé pour tout, soufflais-tu doucement, avant de venir poser tes lèvres sur son front, et de fermer les yeux un instant. Tu t'en voulais tellement pour tout ce que tu lui apportais de négatif. Au plus profond de toi, tu savais pertinemment que la meilleure solution serait d'en rester là, de la laisser partir avec un autre, quelqu'un de bien meilleur que toi, qui lui rendrait la vie plus simple, qui ferait d'elle une femme épanouie, mais tu avais du mal à te résoudre à une telle décision. Même si tout portait à croire que vous deux c'était voué à l'échec, tu avais du mal à la laisser partir, non, tu n'avais pas envie de la laisser partir, mais tu te sentais égoïste de lui infliger tout ça, et de l'empêcher de vivre une vie meilleure, du moins, c'est ce que toi tu pensais.
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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Dim 4 Déc - 15:15


❝when we met for the first time.❞
Clydannah.

Un sourire peut cacher une larme. Voilà mon rituel. Je me disais qu'avec le temps j'arriverais à passer au-dessus de tout ça, mais même encore deux mois après, je souris face au monde alors qu'à l'intérieur j'ai tout simplement envie d'exploser. C'est comme si tout recommençait, à chaque fois. Comme si mes larmes étaient devenues aussi habituelles que mon sourire. Et maintenant que je dis ça, c'est comme si je paraissais faible. Au fond, je crois que je le suis. Mais c'est plus fort que moi, plus fort que tout ce qui m'entoure et peut-être aussi plus fort que le temps qui passe. Est-ce que ce sera toujours comme ça ? Est-ce qu'à chaque fois que je le regarderais dans les yeux je sentirais mon cœur battre aussi fort ? Je ne sais pas. Je ne sais plus. Voilà ce qu'il en est je suis complètement perdu. Je l'aime tellement qu'à forcer je ne sais plus, si je dois rester ou partir. Depuis que je le connais, je ne l'ai jamais vu aussi mal et portant on en a vu des choses lui et moi. Est-ce qu'un jour tout va redevenir comme avant ? Je me suis toujours battu pour lui et je continuerai aussi longtemps que je le peux. L'amour s'est compliqué, mais il est encore plus quand l'un baisse les bras dans des situations difficiles.
En rentrant de mon bouleau et comme chaque jour nous allons nous balader, enfin faire le tour du quartier pour qu'il sort un peu. Mais ce soir j'avais besoin de lui dire ce que j'avais sur le cœur et je voulais l'emmener dans un lieu spécial pour nous. Le parc, là ou tout à commencer.Il n'était pas trop d'accord mais je ne lui donnais pas le choix. Arriver au parc nous commencions à marcher. Il me demandait comment c'était passer ma journée, je lui rétorquais alors que j'avais un très gros investisseur pour ma nouvelle collection. -C'est génial ça, tu peux être fière de toi. lâchait-il, mais je répliquais aussitôt que je ne l'avais pas emmené ici pour parler de moi, mais plutôt de nous. J'avais besoin de lui parler clairement qu'il sache que moi aussi je ne veux pas bien. -J'ai l'impression que je ne t'apporte rien de bon Savannah. Chaque fois que tout semblé allait si bien, il y a toujours quelque chose pour tout gâcher, et ce quelque chose c'est moi. Je finis toujours par tout gâcher, c'est comme ça, je ne sais pas comment je me démerde pour me foutre dans de telles situations mais pourtant, je le fais, je fonce droit dans le mur. dit-il en frottant son visage d'une main. Mes larmes avaient du mal à se retenir, je sens que je vais exploser.- Mais parfois, surtout ces derniers temps, je me dis que tu mérites mieux. Je peux rien faire là, je suis un incapable. Qu'est-ce que je t'apporte ces derniers temps, rien à part de l'inquiétude. Tu passes ton temps à t'inquiéter pour moi. Je n'ai pas envie que ça se passe ainsi. Je veux que tu puisses partir le matin, l'esprit tranquille. Qui tu te donnes à deux cents pour cent dans ton travail. Et non que tu penses à ce qu'il pourrait m'arriver. Tu as un bel avenir qui t'attend professionnellement parlant. Je suis sûr que tu feras une superbe styliste. Tu es douée, même s'il t'arrive se douter de toi par moments. rétorquait-il en venant attraper mes amis pour m'attirer vers lui.-J'aurai tellement préféré que ça se passe autrement, je suis désolé pour tout. soufflait-il doucement avant de déposer ses lèvres sur mon front. Tout d'un coup je sentis ces paroles comme pour me faire comprendre qu'il valait mieux que nous ça s'arrête, je le poussais légèrement pour qu'il ne tombe pas. « Non-Stop. dis-je en le regardant droit dans les yeux. Ne recommence pas avec ça, genre je mérite mieux que tu ne m'apporte rien, que tu es pas quelqu'un de bien pour moi parce que tu es trop sombre. soufflais-je énervé. Pitié fait le à quelqu'un d'autre ça mais pas à moi. Je le regardais quelques instants sans rien dire puis repris. Clyde, avec tout ce qu'il sait passer depuis que je te connais, je n'ai pas réussi. L'amour est plus fort. Le cercle vicieux que j'avais cru avoir quitté ne cesse en fait de recommencer. J'ai pourtant essayé de m'accrocher à autre chose et parfois à n'importe quoi, mais ce n'était pas suffisant. Alors oui, je cède une nouvelle fois. Oui peut-être qu'à cause de toi, je passe à côté de choses si énormes que je sais qu'un jour, je pourrais le regretterais. Mais pour l'instant, même si toi tu t'en fous, moi je t'aime au-delà de tout, putain Clyde mais réveilles-toi, j'ai tiré sur quelqu'un pour toi, d'ailleurs je pensée l'avoir tuée cette salope. lâchais-je sur les nerfs. Mes larmes coulent à flots, et j'avais du mal à le regarder parce que je n'aime pas quand il me voit ainsi. Qu'on soit fait ou pas l'un pour l'autre. Quand l'amour est là, on se donne l'un à l'autre. Est-ce que ça pourrait faire une différence si je te disais que personne au monde ne pourra jamais t'aimer autant que je t'aime ? dis-je plus calmement. Tu sais, tu passes ton temps à me sauver mais tu t'en rend pas compte et c'est pour ça que je suis toujours là parce que j'ai besoin de toi dans ma vie, avant de te rencontrer j'étais tombée sur des mecs bien plus pire que toi et puis un jour je t'ai rencontré, depuis que nos chemins se sont croisés, tu m'as redonné l'envie d'aimer... de t'aimer toi. répliquais-je en séchant mes larmes. Donc je t'en supplie Clyde arrêté de douter de nous et surtout je ne veux plus t'attendre dire ce genre de chose. ajoutais-je. 

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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Dim 4 Déc - 20:47
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Cette situation n'était évidente pour personne. Tu te laissais littéralement couler alors que Savannah essayait tant bien que mal de te sortir de là. Mais comment pouvait-elle réussir à te sortir la tête hors de l'eau si dans le fond, tu ne l'aidais pas, si au lieu de nager, tu baissais les bras ? Malheureusement, elle ne pouvait pas y arriver pour deux, mais c'était bien ça ton problème, quand plus rien allait, tu avais tendance à baisser les bras, pensant que quoi qu'il en soit, tu ne t'en sortirais pas. Pourtant, si tu étais ici aujourd'hui, ce n'était pas pour rien, c'était parce qu'encore une fois, Savannah était intervenue, n'hésitant pas une seule seconde à tirer sur cette fille qui s'était amusée à te charcuter pendant bien des heures dans cet entrepôt. Alors il est vrai que tu avais du mal à te souvenir de la fin car tu étais dans les vapes, encore une fois, à ce moment là, tu avais baissé les bras, laissant la fille être à deux doigts de te brûler vif. Tu savais combien tu avais de la chance d'avoir ce petit bout de femme dans ta vie, elle était ce rayon de soleil qui éclairait ton ciel grisâtre. Et pourtant, tu te demandais encore, si tu méritais vraiment qu'elle fasse partie de ta vie. Tu en avais assez de faire de sa vie un véritable enfer. Elle passait son temps à s'inquiéter pour toi au lieu de se préoccuper d'elle, et tu ne voulais pas qu'un jour cela lui porte tord par ta faute. Tu ne pouvais pas te permettre de l'entraîner dans cette spirale infernale, dans ce trou noir. Si toi tu n'y arrivais pas, il fallait qu'elle s'en sorte elle. D'ailleurs, tout en marchant dans le parc, cet endroit qui bien que tu sois silencieux te rappelais de jolies choses, elle se mit à prendre la parole, au début, tu pensais qu'elle allait débattre sur son travail, te raconter cette histoire avec cet investisseur, mais en réalité, elle avait besoin de vider son sac. Le problème avec toi, c'est que tu étais une huître, oui, drôle de comparaison, mais une huître, lorsqu'on lui déverse quelques gouttes de citron, cette dernière se referme à une telle vitesse qu'il en est difficile de la faire se ré-ouvrir si facilement. Et bien avec toi, c'était pareil finalement. Dès que quelque chose n'allait pas, ou qu'un problème survenait, tu te renfermais littéralement sur toi, et là, il était impossible d'obtenir quoi que ce soit de toi. Tout ce que tu savais faire, c'était être silencieux, rester dans ton coin. On avait beau essayer de te sortir les vers du nez, ça devenait très vite compliqué. Nombre de fois où Savannah te l'avais fait remarquer. Et tu savais que c'était ton principal défaut. Mais c'était plus fort que toi, et quoi qu'il arrive, tu ne réussissais pas à t'ouvrir. Elle avait mit tellement de temps à obtenir ta confiance, à ce que tu t'ouvres à elle. Mais là, c'était comme si on retournait des mois en arrière, et justement, c'est ce qui l'inquiétait, elle ne voulait pas que ça se passe comme ça, elle ne voulait pas tout perdre ce que vous aviez construit jusque là. Elle comprenait toutefois que tu puisses être mal, mais de là, la mettre de côté, tu pouvais bien voir sur son visage qu'elle en souffrait, aux larmes qui se déversaient le long de ses joues. Et encore une fois, tu t'en voulais, tu culpabilisais de lui infliger tout cela. Il y a des mois de cela, tu l'aurais repoussé, tu aurais dis stop à tout cela, mais le problème c'est que vous aviez passé plusieurs mois ensembles, plusieurs mois au court desquels tu t'étais d'avantage attaché à elle, bien plus que tu n'aurais pu l'imaginer, au point de lui dire ces mots que tu n'aurais jamais pensé dire un jour, parce que l'engagement te faisais peur, parce que tu avais peur qu'elle finisse par partir comme tous les autres, et tu savais pertinemment que si on t'enlevait Savannah, Dieu seul sait comment tu finirais. Surement mal, très mal même, car même si sur tes sentiments tu restais assez réservé, au plus profond de toi, tu savais que tu aimais vraiment cette fille, comme jamais tu n'as aimé une autre personne. Elle était ce sourire qui te faisais chavirer, ce rayon de soleil qui éclairait tes journées, ces mains qui t'aidaient à te relever, qu'importe les situations, cette épaule sur qui compter, dans le fond, tu savais qu'elle était tout ce dont tu avais besoin. Mais n'était-ce pas égoïste de la garder à tes côtés quand dans le fond, tu savais pertinemment qu'elle méritait mieux que toi ?
Ce que tu lui avais répondu ressemblait à quelque chose prêt à une rupture. Pourtant, tu n'en n'avais pas envie, et ce n'était pas le cas, disons que tu lui offrais la possibilité de prendre la fuite, de tout arrêter là, là où finalement tout avait commencé. Ca te fendais le coeur, parce que tu savais pertinemment que c'était tout ce dont tu ne voulais pas. Mais tu pensais avant tout à elle, avant de penser à toi, et tout ce que tu voulais, c'était qu'elle soit heureuse, et si elle était heureuse loin de toi, alors... Même si ça serait dur, tu étais prêt à la laisser partir. Inconsciemment, tu donnerais tout pour la retenir, mais la raison prenait le dessus sur les sentiments, parce que toi, tout ce que tu voulais, c'était le meilleur pour elle, et tu avais peur de ne pas être capable de lui apporter tout ça. Parfois, il t'arrivait même de te demander ce qu'elle pouvait bien foutre avec toi. Etait-ce vraiment de l'amour, ou avait-elle de l'empathie pour toi, pour autant subir sans jamais te laisser tomber ? Si c'était vraiment de l'amour comme elle pouvait te le dire et te le redire, alors, elle devrait être vraiment, vraiment amoureuse de toi pour laisser passer tant de choses. Dans le fond, ne dit-on pas que l'amour rend aveugle ? Peut être que c'était le cas ici. Quoi qu'il en soit, tu l'avais attiré vers toi, t'excusant pour tout, et déposant tes lèvres contre son front, les yeux clos. Quelque part, tu sentais les larmes monter. Parce que c'était un trop plein de tout ce qu'il avait pu se passer, et quoi que tu puisses dire, tu avais des sentiments, toi aussi tu ressentais des choses, tu étais humain, c'était normal de réagir comme ça. Mais tu avais bien trop de fierté pour laisser ses larmes fuir tes yeux. Alors tu les fermais fort, pour que cela passe, puis tu avalais ta salive, tentant au mieux de faire glisser cette boule qui s'était logée au fond de ta gorge, dû à la nervosité. Sauf qu'elle stoppait ce moment en se reculant légèrement de toi, afin que vos regards ne se croisent. Tu restais là, à la regarder, en essayant de déceler quelque chose dans son regard. C'est alors qu'une nouvelle fois, elle te suppliait d'arrêter de penser qu'elle méritait mieux. C'était quelque chose qu'elle ne supportait pas que tu puisses lui dire. Mais pourtant, c'était plus fort que toi. Elle reprit en parlant justement d'amour. Que si elle était toujours là, c'est parce qu'elle t'aimait vraiment, c'est alors qu'elle te rappelait qu'elle avait été capable de tirer sur quelqu'un pour toi, et elle comme toi saviez pertinemment ce qu'elle en courrait si on venait à l'apprendre. Par chance, deux mois c'étaient écoulés, et personne n'était venue toquer à votre porte pour une arrestation ou un quelconque interrogatoire, sans doute que la fille n'avait pas porté plainte, fort heureusement pour vous. Elle pleurait à chaude larmes, surement parce qu'elle en avait gros sur le coeur et qu'elle avait besoin de se lâcher une bonne fois pour toute, mais aussi parce qu'elle avait visiblement peur de te perdre, encore. Parce qu'à chaque fois d'une manière ou d'une autre, tu lui filais entre les doigts. Et maintenant que vous étiez ensembles, elle ne voulait pas que cela arrive de nouveau. Tu t'apprêtais à la prendre dans tes bras quand elle reprit la parole, plus calmement, t'adressant une phrase que tu n'aurais jamais entendu sortir de sa bouche un jour, et qui te réchauffais le coeur d'une certaine manière. Ces mots raisonnaient encore dans ta tête, elle venait clairement de t'affirmer qu'elle t'aimait comme jamais personne n'avait été capable de t'aimer auparavant, et tu le savais, tu le savais qu'elle avait raison, que c'était vrai. Tu savais aussi que personne ne serait un jour capable de t'aimer aussi fort qu'elle ne peut t'aimer, parce que tu le sentais. Savannah, elle ne t'avait jamais laissé, et pourtant, à de nombreuses reprises, elle aurait dû et pourtant, elle ne l'avait jamais fait. Là où elle est restée, d'autres auraient fui depuis bien longtemps, elle était bel et bien là la différence. Ecoutes, je ne doute pas de nous Savannah, et je n'ai jamais douté de toi, je sais pertinemment que c'est moi le problème. Tu sais, je sais que dans le fond, je devrais te laisser partir, parce que je reste persuadé, quoi que tu puisses me dire, que tu mérites mieux que moi, mais je crois qu'à l'heure actuelle, j'en serais incapable, avouais-tu en plongeant ton regard dans le sien, lui confiant quelque chose que tu n'avais pas pour habitude de lui dire. Je sais que ce que je te dis peut ressembler à une rupture, dis-tu dans un premier temps, avant de prendre l'une de ses mains avec l'une des tiennes, l'autre tenant les deux béquilles, pour mêler vos doigts ensembles. Mais je n'en ai pas envie, avouais-tu de nouveau, en toute sincérité. C'est juste que ces derniers temps, j'ai l'impression d'être réduire à néant, de ne rien pouvoir faire. Je peux pas marcher énormément, et quand je marche, j'ai ces foutues béquilles aux mains. J'ai l'impression d'être un fardeau, de dépendre de toi, et par moment, il m'arrive même de me dire que j'aurai mieux fait de crever tu vois... Parler de ce que tu ressentais vraiment n'était pas évident, d'autant plus que tu ne lui confiais pas toutes ces pensées négatives que tu avais pu avoir et que tu avais encore parfois. Mais quand je te regarde, je me dis qu'on a pas tous la chance d'avoir quelqu'un comme toi dans sa vie. Qui est là malgré tout, et qui reste qu'importe les épreuves à traverser. Même si tu penses que tu ne m'aides pas, ta simple présence m'est bénéfique, elle me rappelle chaque jour que tu es la raison pour laquelle je ne peux pas me laisser totalement aller. Je sais pertinemment que si tu n'étais pas là, je n'en serai pas là non plus. Tu m'apportes beaucoup Savannah, et même si on ne dirait pas comme ça, parce que je suis pas le plus expressif du monde, parce que je garde tout pour moi, et bien je donnerais tout pour te garder... Ce qu'elle t'avait dit avait été comme un électrochoc pour toi, cela t'avais fait réaliser combien elle t'aimait infiniment, et ainsi, elle te prouvait que quoi que tu puisses dire, elle resterait toujours sur cette position, celle de ne jamais te laisser tomber, et de tout faire pour te garder à ses côtés. Tu savais qu'elle t'aimait, mais tu avais toujours eu du mal à réaliser combien elle puisse t'aimer, et ce soir, elle te l'avait prouvé en te retentant, encore une fois.
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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Mar 13 Déc - 20:30


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Beaucoup de gens se demandent pourquoi je suis encore avec lui. Pourquoi je continue encore à m'accrocher à lui, pourquoi je persiste à vouloir une relation avec lui, mais beaucoup ignore à quel point je peux l'aimer.J'ai déjà essayé de me décrocher, de le laisser parce que je pourrai trouver mieux, être plus stable avec un autre. Mais les gens faut qu'il comprenne que, s'il y a une chose à laquelle tu tiens par-dessous tout, n'essaie pas de la retenir. Si elle revient elle sera à toi, pour toujours. Si elle ne revient pas, c'est que dès le départ elle n'était pas destinée est entrée dans ta vie. Malgré notre relation compliquée, nous sommes toujours revenu l'un vers l'autre alors pour moi ont fait pour être ensemble.Notre histoire en vaut la peine et je me battrai encore longtemps pour que ça marche. Après mon travail nous avions l'habitude de marchais dans le quartier, histoire que Clyde marche un peu et qu'il sort de cette villa. Mais ce soir-là j'avais besoin de vider mon sac et qu'il comprenne que je suis là malgré ce qu'il sait passer et que je serai toujours là alors nous montions dans ma voiture directe le parc. Arrivez-nous commencions à marcher en restant silencieux quelques instants, il me demandait par la suite si ma journée c'était bien passer, je lui rétorquais que oui mais que nous ne sommes pas venu ici pour parler de moi mais de nous.-Écoutes, je ne doute pas de nous Savannah, et je n'ai jamais douté de toi, je sais pertinemment que c'est moi le problème. Tu sais, je sais que dans le fond, je devrais te laisser partir, parce que je reste persuadé, quoi que tu puisses me dire, que tu mérites mieux que moi, mais je crois qu'à l'heure actuelle, j'en serais incapable. dit-il en plongeant son regard dans le mien.-Je sais que ce que je te dis peut ressembler à une rupture. continuait-il. Là il me fessait vraiment peur parce que oui ça ressemblait vachement à une rupture. Il avait pris l'une de mes mains dans la sienne pour mêler nos doigts ensemble.-Mais je n'en ai pas envie. Avouait-il. Je fermais les yeux soulager de l'entendre.-C'est juste que ces derniers temps, j'ai l'impression d'être réduit à néant, de ne rien pouvoir faire. Je peux pas marcher énormément, et quand je marche, j'ai ces foutues béquilles aux mains. J'ai l'impression d'être un fardeau, de dépendre de toi, et par moments, il m'arrive même de me dire que j'aurais mieux fait de crever tu vois... dit-il, je le regardais à nouveau et ses quelques mots me firent pleurer. -Mais quand je te regarde, je me dis qu'on n'a pas tous la chance d'avoir quelqu'un comme toi dans sa vie. Qui est là malgré tout, et qui reste qu'importent les épreuves à traverser. Même si tu penses que tu ne m'aides pas, ta simple présence m'est bénéfique, elle me rappelle chaque jour que tu es la raison pour laquelle je ne peux pas me laisser totalement aller. Je sais pertinemment que si tu n'étais pas là, je n'en serais pas là non plus. Tu m'apportes beaucoup Savannah, et même si on ne dirait pas comme ça, parce que je ne suis pas le plus expressif du monde, parce que je garde tout pour moi, eh bien je donnerais tout pour te garder. ajoutait-il sincèrement. « Ne redit plus jamais ce genre de connerie, tu m'as compris. dis-je simplement. Ne me dis plus jamais que c'aurait été mieux si tu aurais crevé ce jour-là, je ne suis pas d'accord Clyde j'aurai faits quoi moi sans toi ? je serais devenu quoi ? Est-ce que tu es conscient que je ne peux plus vivre sans toi.répliquais-je tristement. C'est normal que tu sois comme ça, tu t'es faits massacrés par une salope. Tu as besoin de temps pour t'en remettre et je suis là pour toi donc ne te souci pas de quoi que ce sois. dis-je en lâchant sa main pour la poser sur l'une de ses joues. Je ferais n'importe quoi pour toi, tu m'as compris . Je donnerais tout pour revoir ton beau sourire et ce rire qui me fait tant fondre mais j'ai compris il te faut du temps et j'attendrais parce que je t'aime et que je ne compte pas partir et tu sais pourquoi ... Parce qu'un jour au l'autre je compte bien porter ton nom. dis-je avec un sourire. Je compte bien ne jamais te laisser partir. Tu es coincé avec moi Van Acker. » ajoutais-je en l'embrassant langoureusement, mais en fessant attention de ne pas le faire tomber. Ça m'avait bien manqué. Il me répète sans cesse qu'il a de la chance de m'avoir mais lui il ne comprend pas que moi aussi je suis la plus chanceuse de l'avoir de ma vie. « J'ai quelque chose à te demander mais promets de réfléchir avant de me donner une réponse.» demandais-je



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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Mar 13 Déc - 23:01
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C'était dur de tout garder en toi. Toute cette douleur et cette souffrance. Te sentir aussi faible était un sentiment que tu détestais, et pourtant à l'heure actuelle c'est tout ce que tu n'étais, qu'un faible. C'est comme si ce mot ne cessait de raisonner dans ta tête comme une chanson que tu pourrais passer ta journée à fredonner. Tu n'avais aucun mental, tout ce que tu faisais, c'était te laisser aller, et Savannah l'avait bien senti. C'est pour cette raison qu'elle t'avais amené ici, ce n'était pas seulement pour changer de cadre ta balade quotidienne, c'était surtout pour te parler de tout ce qu'elle pouvait ressentir vis à vis de toute cette situation. En réalité, vous n'en n'aviez jamais vraiment reparlé, et puis, tu faisais tout pour fuir et éviter la discussion, d'une manière ou d'une autre, tu y étais toujours parvenu, jusqu'à ce soir. Malheureusement, là, tu n'avais aucun échappatoire, tu étais voué à avoir cette discussion. Il fallait bien t'y attendre. Tu savais bien qu'un jour tu finirais par y faire face, mais plus tard serait le mieux. Tout simplement parce que tu n'étais pas en état de parler, tu étais rempli d'idées noires que tu ne voulais pas partager avec Savannah qui était déjà bien assez mal comme ça. Mais voilà que tu n'étais pas capable de tenir ta langue, et que dans un excès de stupidité tu lui glissais que tu aurais mieux fait de mourir lorsque tu t'étais retrouvé dans cet entrepôt. A ton sens, cette fille aurait dû mettre fin à tes jours avant que Savannah n'ait pu rentrer à l'intérieur. Voilà pourquoi tu ne voulais pas lui parler, tu savais que tu serais maladroit, mais ces mots étaient sortis à une telle vitesse que tu n'avais pas eu les temps de les retenir. Tu t'en voulais, parce que tu voyais bien à l'expression de son visage que tu l'avais blessé. Il fallait aussi te mettre à sa place, et tu savais pertinemment que dans le cas contraire, si elle venait à te dire que tout ce qu'elle voulait c'était mourir, tu ne supporterais pas d'entendre ces mots sortir de sa bouche. Mais c'était ça ton problème, tu étais beaucoup trop sombre, et dans tes jours sombres, il fallait plutôt te laisser seulement ce n'est pas ce que Savannah voulait. Et cela pouvait se comprendre. Tu la comprenais malgré tout. Ainsi voyant les larmes couler sur ses joues, tu l'avais attiré vers toi, pour la simple et bonne raison que tu ne supportais pas de la voir dans cet état et encore moins à cause de toi. Et le pire dans tout ça, c'est que tu étais convaincu qu'elle ferait mieux de te laisser te démerder seul, et reprendre sa vie en main, aux côtés de quelqu'un de plus gai, de plus rayonnant. Mais c'était paradoxal, parce que tu savais que si elle te laissait vraiment, et qu'elle ne faisait pas machine arrière, alors tu te laisserais totalement couler. Il n'y avait pas de limites avec toi, c'était tout ou rien en réalité. Tu avais un problème avec le juste-milieu, à croire que tu ne connaissais pas cela. Cependant à la voir ainsi, tu t'étais armé de courage pour lui avouer que malgré tout, elle t'apportait beaucoup, même si ça ne se voyait pas forcément en ce moment vu que quoi qu'il arrive, tu croulais sous toutes tes émotions négatives. Seulement ce sur à quoi elle s'était arrêtée, c'était sur le fait que tu ai dis que de toutes les façons tu ne méritais que de crever et que ce jour là tu aurais dû y passer. Il était normal qu'elle se soit focalisée sur ses paroles. C'était maladroit, je n'aurai pas dû dire ça, repris-tu bien qu'au plus profond de toi tu le pensais, tu ne pouvais pas te permettre de le lui dire que malgré tout tu le pensais, alors tu tâchais seulement d'admettre ta maladresse, bien que tu ai été totalement stupide et maladroit de l'ouvrir de la sorte. Maladroitement à son tour, elle te rappelait combien tu t'étais fait défoncer par cette nana, comme si ce n'était pas déjà assez difficile pour toi, le fait que même ta petite amie te rappelle que tu t'étais fait niquer par une fille, c'était pas facile à avaler. C'était plutôt la honte pour toi. C'était aussi quelque chose qui te prenait la tête. Tu aurais aimé te venger, lui rendre la monnaie de sa pièce, mais bien que tu sois un enfoiré, ce n'était pas ton genre de t'en prendre à une fille de la sorte. Tu espérais seulement qu'un jour la roue tourne et qu'elle ait le revers de la médaille. C'est tout ce que cette ordure méritait. La main de ta petite amie vint alors séjourner sur ta joue pour ensuite reprendre la parole et t'assurer qu'elle ne te laisserait jamais. Qu'elle comprenait ce que tu pouvais vivre et qu'elle se montrerait aussi patiente qu'il le faudrait parce qu'elle t'aimait, et que c'est pour cette raison qu'elle ne te laisserait pas tomber. C'était fou ce qu'elle pouvait se montrer si compatissante et si douce avec toi. Et ça te rassurais d'entendre ces mots. Elle avait pourtant l'habitude de te le dire. Mais quelque part, tu avais besoin qu'elle te le rappelle. Inconsciemment, ça te faisais du bien de le savoir. Parce que même si tu n'étais pas évident à vivre, maladroitement tu l'aimais démesurément. Alors ton problème, c'est que tu n'étais pas du genre à le lui dire comme elle, avec autant de facilité. Mais tu le pensais, et tu lui avais déjà dit, seulement, tu ne lui rappelais pas tous les jours. Mais malgré tout ce qu'il puisse se passer, malgré tout ce que tu puisses lui dire, tu savais que rien de tout ce que tu pouvais ressentir pour elle ne changerait. Tu en avais l'entière conviction. Parce qu'elle était la première et la seule fille que tu avais aimé de la sorte. C'était quelque chose d'à la fois indescriptible et encré en toi, c'est pour ça que tu restais convaincu que malgré tous les obstacles que vous rencontrerez, jamais rien ne changerait. Et au contraire, c'est grâce à toutes ces épreuves que vous étiez devenus ce que vous êtes actuellement. Elle ajoutait qu'elle comptait bien un jour porter ton prénom, ces paroles te firent sourire, mais également peur, non pas parce que tu ne l'aimais pas, mais parce que tu ne te voyais pas marié maintenant, ni même un jour à l'heure actuelle, en réalité, tout ce que tu voyais pour toi, c'était des choses négatifs, et tu avais du mal à imaginer un jour pouvoir avoir une vie de couple stable au point d'en arriver au mariage. Parce que tu n'avais pas confiance en toi, et tu ne voulais pas prévoir à l'avenir alors que tu avais peur qu'un jour Savannah puisse en avoir assez de toi, puis se réveille un matin et décide de te quitter. Cela te travaillais souvent. Et même si tu essayais de faire tous les efforts du monde, tu avais l'impression que l'expression chasser le naturel il revient au galop était bien vraie avec toi. Ta main se posait alors sur sa main qui était toujours sur a joue, pour mêler vos doigts ensembles. Elle t'empêchait de répondre quoi que ce soit, surement par peur que tu puisses une nouvelle fois briser ses rêves avec tes conneries, et t'embrasser. C'était quelque chose d'intense, et ça faisait longtemps que vous ne vous étiez pas embrassés de la sorte. Ainsi tu lâchais sa main pour passer tes bras autour d'elle, et la serrer contre toi, tout en intensifiant ce baiser. Alors que vos lèvres se séparaient pour vous laisser reprendre votre souffle, ton front venait se coller au sien, et ainsi tu te perdais dans son regard. Tu n'avais rien envie de rajouter, parce que tu ne voulais pas être de nouveau maladroit ou lui faire du mal, tu en avais déjà fait assez rien que part ton attitude, et tes propos quelques minutes plus tôt. Mais soudain, elle brisait ce silence pour te demander quelque chose. Elle avait cet air si sérieux que tu commençais à te poser de sérieuses questions. Qu'est-ce que tu as à me demander ? l'interrogeais-tu intrigué. Tu n'avais pas besoin de lui promettre ceci, et puis, tout ce que tu voulais c'était savoir ce qu'elle avait à te demander. A ton sens pour qu'elle agisse ainsi, cela devait sans doute être important, dans le cas contraire, elle ne t'aurait pas demandé de réfléchir avant de lui donner une réponse. Que pouvait-elle bien te demander ? Je t'avouerais que tu me fais moyennement flipper quand même, repris-tu tout aussi sérieusement qu'elle, ayant comme une boule de formée au creux de ton estomac. Déjà qu'il te fallait pas grand chose pour te retourner en ce moment, mais alors là, tu étais carrément stressé, bien que tu essayais toutefois de paraître normal.  
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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Mar 20 Déc - 12:13


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Je ne voulais plus garder tout ça pour moi, il fallait que ça sorte qu'il comprenne que moi aussi je ne vais pas bien. Certes je n'ai pas vécu ce qu'il a eu mais parfois c'est pire de voir les gens qu'on aime se détruire à petit feu. Ça me fais énormément mal de le voir ainsi et je ne pouvais plus le laisser comme ça, c'est pourquoi ce soir j'avais décidé de l'emmener au parc. Ce lieu est mon endroit préféré parce que c'est ici que je l'ai vu pour la première fois et que j'ai su que je voulais être avec lui. Avant lui je ne croyais pas au coup de foudre pour moi on ne voyais ça que dans les films mais ce jour-là quand mon regard à croiser le sien, j'ai su tout de suite que je voulais être avec lui. Beaucoup de gens se demandent pourquoi je me bats tant pour lui alors qu'il en vaut peu être pas la peine, mais comment peut-on lâcher une personne qu'on a systématiquement dans la tête et qu'on aime plus que tout. Pour moi il est impossible que je lâche, c'est pour quoi je me battrais toujours pour lui. Alors oui je sais que ça ne sera pas facile, ce sera même très dur, il va falloir faire des efforts chaque jour mais je suis prête à les faire parce que je suis follement amoureuse de lui. Et je le veux chaque jour, près de moi, jusqu'à ce que lui ne veut plus de moi.Arriver au parc nous commencions à marcher l'un à côté de l'autre, tout d'abord il me demandait comment c'était passer ma journée, je lui répondis qu'elle était plutôt bien mais qu'on n'était pas venu pour ça mais pour parler de nous. Je lâchais tout ce que j'avais sur le cœur, j'en avais bien besoin et il fallait surtout qu'il comprenne que je serais toujours là pour lui. Il prit la parole à son tour en me rétorquant qu'il ne doute pas de moi et que je devrai le laisser mais qu'à l'heure actuelle il n'est pas capable de me laisser partir, de toute façon je n'en avais pas l'intention. Ensuite il m'annonçait que ça aurait été mieux qu'il crève, je le regardais dans les yeux, les larmes coulaient le long de mes joues, haï ça fait mal d'entendre ce genre de chose. Est-ce qu'il pense à moi lorsqu'il dit ce genre de bêtise. - C'était maladroit, je n'aurai pas dû dire ça. lâchait-il, mais dans le fond même s'il s'excuse je sais très bien qu'il le pense. Ça me fais mal se savoir qu'il pense à ça alors que je suis là pour lui.Mais c'est à mon tour d'avoir été maladroite avant lui rappelant qu'il c'était faits défoncer par une fille, je vis que je l'avais vexé mais ce n'était pas mon intention. Je détournais le regard légèrement en restant silencieuse, parfois je parle sans réfléchir. Ma main vint se poser sur sa joue, je le regardais à nouveau puis repris la parole pour le rassurer que j'avais je ne le laisserais, que je comprenais parfaitement ce qu'il pouvait vivre et que je serais patiente parce que je l'aime et que c'est pour ça que je ne le laisserais pas tomber. J'ajoutais que je ne pas compter le laisser parce que je compter bien porter son nom un jour ou l'autre, je vis très bien que mes paroles lui ont fais peur ce qui me fit légèrement rire. Sa main se posait sur la mienne qui était toujours sur sa joue, il mêler nos doigts ensemble. Sans qu'il puisse répondre je l'embrassais langoureusement, ça fessait bien longtemps qu'on n'avait pas eu un tel baiser. Il lâchait ma main pour passer ses bras autour de moi et me serrer contre lui tout en prolonge avec intense le baiser. Nous mettions fin pour reprendre notre souffle, son front vint se poser sur le mien pour plonger son regard dans le mien. Bien que nous soyons bien dans ce silence, je me détachais légèrement pour pouvoir lui demander quelque chose. -Qu'est-ce que tu as à me demander ? demandait-il intrigué. -Je t'avouerais que tu me fais moyennement flipper quand même. reprit-il sérieusement. Je le regardais en souriant. « Viens on va s’asseoir. dis-je en désignant le banc derrière nous. Une fois installer je repris. Ne flippe pas bébé.dis-je en riant. Je voulais t'en parler le soir où je t'avais demandé de vivre avec moi mais si je me souvins bien tu ma déconcentrer. dis-en riant. Comme j'ai pu te le dire, ma nouvelle collection va enfin voir le jour mais je ne fais pas que des vêtements pour femmes je me suis aussi mis pour les hommes et donc j'aurais besoin d'un mannequin. dis-je en prenant sa main. Et aussi d'un vendeur parce que mon assistante préférée rester dans à la galerie. Donc j'ai pensé à toi parce que contrairement à toi, moi je crois en toi Clyde. Alors avant de me dire que tu ne ressembles plus à rien que tu as des béquilles et tout ça, sache que tu es parfait pour ce que j'ai faits et que tu es la personne qu'il me faut. Et puis tu as le temps de te remettre vu que je n'ai pas encore signé et pour ce qui est de mon magasin ce n'est pas encore tout à fait terminer alors tu as le temps de réfléchir à mes deux propositions. lui dis-je en souriant. Je sais que ce n'est pas le travail que tu recherches, mais réfléchie bien Clyde. » 

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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Mar 20 Déc - 20:18
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De nature spontanée, il t'arrivait parfois de sortir des choses complètement irréfléchies, que tu pensais certes, mais qui pouvaient parfois blesser. Malheureusement, tu avais un peu de mal à contrôler tes paroles. Notamment lorsque ça te concernait. Tu avais tendance à être vraiment dur envers toi-même, au point de penser que tu aurais mieux fait de crever ce jour-là, plutôt que d'être sauvé. La prochaine fois, tu ferais mieux de réfléchir avant d'agir, ou de tourner ta langue sept fois dans ta bouche avant de dire une chose pareil à ta petite amie. Tu n'imaginais même pas l'impact que cela pouvait avoir sur elle. Avant de sortir une telle chose, tu aurais mieux fait de te mettre à sa place, et de te demander comment tu aurais réagi si elle t'avait sorti qu'elle aurait préféré mourir plutôt que vivre. Qu'est-ce que tu deviendrais sans elle ? Tu le sais pertinemment que tu serais anéanti, puis c'était une réaction tellement égoïste, et bien que tu ai reconnu ta maladresse, il n'en demeure pas moins que c'était quelque chose dont tu étais convaincu. Mais tu ne pouvais pas te permettre de rester face à elle, sans rien dire, c'est pourquoi, tu t'étais excusé, en prenant ses mains dans les tiennes, pour entremêler vos doigts et les serrer aussi fort que tu le pouvais. Tu t'en voulais tellement de lui faire vivre un véritable enfer, tu ne comprenais même pas comment elle puisse te dire, te répéter, et te rabâcher que tu la rendais heureuse. Même si tu savais qu'elle était honnête, de ton côté, tu avais tellement de mal à y croire. Comment pouvait-elle autant s'accrocher à quelqu'un comme toi. Tu ne valais rien, tu ne lui apportais rien de bon, tu passais ton temps à la repousser, alors que dans le fond, c'était tout ce que tu ne voulais pas. Parce que tu savais que si tu la perdais un jour, tu aurais beaucoup de mal à t'en remettre. Elle était toujours là pour toi, à te soutenir, t'épauler malgré tout. Elle aurait très bien pu partir à plusieurs reprises, mais non, malgré les larmes qui coulaient sur son si beau visage, elle restait là, à tes côtés, à t'aimer encore plus qu'elle ne pouvait déjà t'aimer. Tu te sentais tellement chanceux de l'avoir dans ta vie. Elle était sans doute la plus belle chose qui ait pu t'arriver. Ta vie c'était de la merde. Ton père tu le connaissais pas. Ta soeur, tu n'en n'étais pas plus proche que ça. Ta mère, tu la voyais de temps à autre, mais elle n'était au courant de rien de tout ce qui avait pu t'arriver, et puis, elle était tellement dépassée par ta vie, par ton comportement qu'elle ne savait plus quoi faire pour t'aider, alors non elle ne t'avait pas abandonné mais elle était au bout du rouleau. Et tu avais cette petite lueur d'espoir toujours présente, qui ne voulait que ton bien, qui ne voulait que ton bonheur, et qui faisait tout ce qu'elle pouvait pour y contribuer, mais ce qu'elle avait du mal à comprendre, c'est que ton bonheur se résumait à une seule personne : elle. Et la voir si mal par ta faute faisait naître en toi cette part de culpabilité que tu ressentais à chaque fois que tu la faisais pleurer. Mais tu ne savais tellement pas comment te comporter pour pouvoir bien agir. Tu essayais pourtant, mais personne n'était tombée amoureuse de toi comme pouvait l'être Savannah. Et de ton côté, tu n'avais jamais eu de relation, Savannah, c'était bel et bien ta première relation, tes premiers "je t'aime". Elle avait ravivé en toi cette flamme qui s'était rapidement éteinte lorsque tu étais jeune. Ce n'était pas évident d'essayer de construire quelque chose avec quelqu'un de totalement détruit. Car tu étais mentalement détruit, et ce depuis toujours finalement. Ce qui t'étais récemment arrivé n'était qu'un facteur de plus à ton mal-être. Sentant que ça commençait à lui peser, tu essayais d'apaiser les tensions pour que vous puissiez au moins passer une bonne soirée. C'est alors que vous décidiez de conclure cette discussion par un tendre et langoureux baiser au court duquel tu en avais profité pour la serrer si fort dans tes bras, respirant son odeur. Quand votre baiser touchait à sa fin, durant un court instant, le silence régnait, mais très vite, Savannah reprit la parole pour t'informer de sa situation actuelle au travail, mais surtout pour te faire deux propositions, qui a ton sens te semblait tellement insensées, pour la simple et bonne raison que tu étais loin d'avoir la carrure d'un mannequin. Tu étais complètement amoché, et encore, le mot était bien faible pour décrire ton état actuel, et puis en tant que vendeur, tu n'avais aucune notion dans le domaine de la vente, et en plus de ça, tu n'aimais pas les gens en général, tu étais très fermé, très froid, très solitaire. Je ne sais pas si je serai à la hauteur de tes espérances. Je suis loin d'avoir le physique d'un mannequin, et tu sais combien j'ai du mal avec les gens, commençais-tu dans un premier temps. Toujours à te dévaloriser. C'était du grand Van Acker tout ça. Je te promets d'y réfléchir sérieusement malgré tout, repris-tu en jouant nerveusement avec sa main qui se trouvait dans la tienne. Tu mérites vraiment tout ce qu'il t'arrives, et je suis fier que tu en sois arrivée là, conclus-tu avec une telle sincérité. Tu étendais ta jambe afin de te sentir plus à l'aise, car ce n'était pas évident tout ça. Merci pour tout ce que tu essais de faire pour moi, d'essayer de me tirer vers le haut alors que je m'en sens incapable. J'ai l'impression que je suis bon à rien, à part vendre de la drogue, je sais rien faire d'autre, et j'ai l'impression que je n'arriverais à rien faire d'autre de ma vie en réalité. J'ai fais des études plutôt courtes, j'ai aucuns diplômes, et finalement j'ai toujours été dans ce monde là, je me vois pas en sortir. Tu ne pouvais pas être plus sincère avec elle. Mais tu avais eu besoin que ça sorte. Parce que c'était ce que tu ressentais. Tu avais du mal à t'imaginer faire autre chose que ça. Tu savais que c'était mal, que tu risquais gros à chaque sortie en possession de ces substances illicites, mais malgré tout, tu ne te voyais pas travailler dans autre chose, comme si rien n'était fait pour toi, comme si tu n'étais capable de rien d'autre. Tu avais une vision tellement négative de toi, que tu avais du mal à imaginer que quelque chose de bien puisse t'arriver un jour. Et pourtant, tu étais quelqu'un d'intelligent, qui saurait quoi faire de ses dix doigts, tu n'y avais seulement jamais réfléchi puisque tu étais tombé très vite dans ce monde.
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(#)Sujet: Re: when we met for the first time (clydannah)  |   Mer 4 Jan - 21:44


❝when we met for the first time.❞
Clydannah.

Je l'ai toujours connu plus au moins sombre mais là cette phrase me fit un électrochoc. En disant ça il ne sait pas à quel point ça me blesse énormément, j'ai toujours été là pour lui dans les moments les plus durs je pensais vraiment qu'on était soudé lui et moi mais là il m'avait prouvé encore une fois qu'à ses yeux je n'étais pas aussi exceptionnelle qu'il le dit, parce que dans le fond s'il aurait préféré mourir, c'est qu'il n'est pas bien avec moi. Je pense qu'il ne comprend pas que sans lui je suis foutu. Il s'excusait dès cette maladresse sans vraiment le penser, parce que oui Clyde oublie parfois que je le connais mieux que personne et je sais quand il est sincère et quand il ne l'est pas. Depuis que tout va mal dans sa vie, son sourire est la chose qui me manque le plus. La première fois que mes yeux se sont posé sur lui, je n'ai vu que son magnifique sourire, il m'a rendu complètement dingue et c'est depuis ce sourire que je sais que je veux finir ma vie avec lui. Avant lui je ne pas penser que le coup de foutre pouvais exister. Ce n'est pas humain d'aimer un être comme je peux l'aimer. Donc oui ce genre de chose peut me toucher bien plus qu'il ne le pense. Même si lui il pense le contraire, je ne regretterai jamais qu'il soit dans ma vie, je me battrai toujours pour notre amour. J'étais mal, mais pas parce que je suis malheureuse avec lui, non bien au contraire mais parce que j'ai mal de le voir ainsi et que je suis incapable de l'aider. Je suis impuissante. En venant au parc, je voulais qu'il se rappelle de tout ce qu'on a vécu tous les deux et que malgré tout je suis encore là, toujours aussi folle de lui. Après avoir dit tout ce qu'on avait sur le coeur, nous nous embrassions langoureusement, ça fessait bien longtemps qu'on ne sait pas embrasser avec une telle passion, ça m'avait énormément manqué. Quand nous mettions fin au baiser, je le regardais sérieusement en lui disant qu'il fallait que je lui demandais quelque chose. Pour moi cette proposition était une opportunité pour lui.- Je ne sais pas si je serai à la hauteur de tes espérances. Je suis loin d'avoir le physique d'un mannequin, et tu sais combien j'ai du mal avec les gens. dit-il dans un premier temps.- Je te promets d'y réfléchir sérieusement malgré tout. dit-il en ajourant avec ma main qui se trouver toujours dans la sienne.- Tu mérites vraiment tout ce qu'il t'arrive, et je suis fier que tu en sois arrivée là. reprit-il sincèrement.-Merci pour tout ce que tu essaies de faire pour moi, d'essayer de me tirer vers le haut alors que je m'en sens incapable. J'ai l'impression que je suis bon à rien, à part vendre de la drogue, je ne sais rien faire d'autre, et j'ai l'impression que je n'arriverais à rien faire d'autre de ma vie en réalité. J'ai faits des études plutôt courtes, je n'ai aucun diplôme, et finalement j'ai toujours été dans ce monde-là, je me vois pas en sortir. ajoutait-il.« Si je te l'ai proposé Clyde c'est que je sais ce que je fais. lui dis-je, il avait toujours cette mauvaise habitude de se rabaisser il commençait à m'énerver, si seulement il se voyait comme moi je le vois il serait bien surpris. Clyde, réfléchie. Avoir un poste comme ça c'est une opportunité en or et en plus de ça tu n'auras pas beaucoup de monde autour de toi vu que la styliste c'est moi et pour ce qui est de tenir le magasin j'en suis sur que tu pourrais arriver. dis-je sincèrement. Je serais toujours là pour toi Clyde et tu le sais mais je n'en peux plus de te voir te détruire comme ça, tu trouves que c'est une vie de vendre de la drogue. Laisse-moi t'aider à t'en sortir. Je sais que ça sera difficile mais tu es quelqu'un de fort même si tu dis le contraire, je crois en toi. dis-je en lâchant sa main pour pouvoir prendre son visage entre mes mains. Je t'ai presque perdu deux fois Clyde et je ne veux plus que ça recommence ... il faut que tu sortes de cette merde une bonne fois pour toutes parce que je ne vois pas ma vie sans toi. dis-je avant de déposer mes lèvres sur les siennes pour l'embrasser tendrement.Ne m'abandonne pas, laisse-moi t'aider je t'en prie. » dis-je contre ses lèvres. 







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