(#)Sujet: Re: You don't have to be alone. I won't let you go ... | Dim 1 Nov - 23:55
April & Lukas
You don't have to be alone. I won't let you go ...
Laissant cours à mes pulsions de désirs, j’avais embrasser fougueusement April. Habilement je l’avais déposé sur le lit où je mon corps surplombait le sien. Son corps était l’objet de tous mes désirs et je voulais le lui montrer. Je faisais glisser mes mains et mes lèvres parcoururent son cou pour remonter à sa joue où je lui demandai son autorisation à continuer. Sa réponse n’était pas très explicite mais les gestes qu’elle joignit à ses mots l’étaient. Elle passa ses mains sur mon corps qui me faisait frémir de désir. Mon sexe se gorgea de sang et je me sentis à nouveau, pour la deuxième fois en l’espace d’un trop court instant, trop étroit dans mon pantalon. Mon cerveau s’était mit en veille laissant et à mon corps tout libre-arbitre. Je sentais April prendre les dessus sur moi en jouant avec ma langue et mes lèvres. Elle détacha le bouton de mon jean et ouvrir la braguette. Ensuite avec habilité une de ses mains glissa près de mon membre durci ce qui eu pour effet de me faire laisser échapper un petit gémissement de plaisir. Mon souffle ainsi que mon rythme cardiaque se mettait à s’accéléraient de plus en plus vite. Je me laissai aller aux bons-vouloirs de la jeune femme qui attisait de plus en plus mon envie grandissant de son corps.
April me repoussa alors que je tentai de l’embrasser, se levant elle aussi. Mon jean tomba à terre et je le laissai tel qu’il était, même je m’en désencombrai au plus vite pour qu’il ne me fasse pas tomber à terre d’un geste du pied. Mes mains parcoururent le dos d’April sous son t-shirt. Tout en me faisant reculer, j’embrassai la jeune femme au creux de son cou. Alors que je m’apprêtais à lui retenir son t-shirt elle prit mes mains et les déposa sur son postérieure que je ne me privai pas de prendre fermement en main la rapprochant de mon corps, lentement je les lui caressais. La jeune femme blonde m’embrassa et me recula brutalement vers la commande qui était derrière moi. Ce côté sauvage d’April ne faisait qu’accentuer mon désir pour elle. J’adorais la sentir avoir le contrôle sur moi, la sentir me posséder totalement et c’était avec joie que je me laissais à ses désirs à elle.
D’une voix aguicheuse elle me chauffa, bien que cela ne fût plus utile. Je n’avais qu’une hâte prendre possession de son corps à mon tour et lui montrer ma virilité et mon amour. J’obéis à ses ordres et baissai le regard sur tout son corps, trop vêtu à mon goût alors que je me trouvais moi-même dans un simple boxer. « Je te veux April, je veux te faire l’amour d’une façon si inoubliable que cela restera gravé en toi pour toujours … Je suis fou de toi, tu me rends fou de toi. » Celle-ci m’attira à elle en me tirant par l’élastique de mon boxer, son souffle glissant doucement sur mes lèvres. Alors que j’approchais ma tête pour l’embrasser, elle s’enfuie de moi pour se mettre à l’opposé de ma place, de l’autre côté du lit. Frustré et amusé à la fois je lâchai un sourire en la regardant me parler. Je voyais dans son sourire et dans ses yeux qu’elle s’amusait comme une petite folle à me torturer ainsi. Je m’adossai à l’armoire derrière moi en adoptant une posture dégagée, elle ne l’était qu’en apparence car intérieurement je mourrais d’envie de lui sauter dessus et de l’allonger sur le lit pour faire d’elle ma partenaire. « Peut-être devrais-je te retourner la question ? » Lui demandai-je en lui montrant mon torse parfaitement dessiné. Elle voulait jouer ? Je savais jouer également ! Je la vis tourner autour de la chambre telle une tigresse en cage. J’admirais ses courbes parfaitement dessinées et sa longue chevelure blonde qui glissaient le long de ses douces épaules. Je passai une main sur ma nuque et puis la fit passer dans mes cheveux pour enfin la glisser sur mon caleçon dont la forme bombé montrait sans toute l’ampleur de mon désir.
Je me décollai de l’armoire afin de m’approcher d’April qui continuait de bouger. Je pris une distance un peu trop raisonnable avec elle et la suivit dans chacun de ses pas, tel le jeu du chat et de la souris. Nous avions longtemps joués à nous courir après et là c’était repartis pour un tour de manège de tout évidence. Avec une grande stratégie je forçai April à se déplacer vers le coin de la chambre où elle ne pourrait pas m’échapper. Coincée dans l’angle d’un mur je m’approchais d’elle dangereusement en la regardant droit dans les yeux. « Tu es coincée, tu es à moi maintenant. » Je la saisi par les hanches, la souleva de terre l’obligeant à lui faire passer ses jambes autour de ma taille. Je levai ma tête vers la sienne qui se trouvait un peu plus en hauteur et la poussa brutalement comme elle l’avait fait un peu plus tôt vers le mur. D’une main il retira le t-shirt d’April la mettant à égalité avec moi. Je lui souris avant de plonger mon visage au creux de sa poitrine que je couvris de baiser sans aucune retenue. Ma bouche glissa vers son sein gauche que je baisai également tendrement. Ma langue glissa sur son téton, avec lequel je jouai avec pendant un court instant, court mais assez long pour la voir son mamelon frémir de désir. Je remontai vers ses épaules que j’embrassai avant de remonter le long de son cou doucement afin de faire monter le plaisir en elle. Une fois arrivé près de son oreille et après lui avoir quelque peu mordillé le lobe, je lui chuchotais :
« A toi de me regarder et de me dire que tu me désires maintenant. »
Je ne lâchai pas du regard April créant une connexion de supériorité avec elle. Les rôles c’étaient inversés et je prenais le contrôle sur elle maintenant. Je sentais qu’elle me désirait tout autant que moi je voulais d’elle. J’approchais mon bassin de son entre-jambe, la collant un peu plus fermement au mur.
(#)Sujet: Re: You don't have to be alone. I won't let you go ... | Mer 4 Nov - 15:52
Il venait de réveiller mon instinct félin, que j'avais éveillé tout à l'heure, rien qu'en se laissant finalement aller alors qu'on regardait les photos. Je ne voulais pas faire les choses à moitié , je voulais au contraire attiser son avis, et me sentir désirable à ses yeux. Je voulais qu'il est envie de celle qui se trouvait devant lui et pas seulement celle du passé, qu'il me veuille intérieurement et extérieurement, et petit à petit un jeu enflammé commençait, c'était le jeu de séduction que je trouvais très plaisant, et sexy. Il faisait également tout pour me plaire, et je me disais alors qu'on pouvait réapprendre aussi à se connaitre de cette manière, connaitre chaque partie de son corps, chaque recoin, chaque parcelle, que je pourrais découvrir par le toucher, le toucher de mes mains, de mes lèvres, en le parsemant également de baisers, de différentes manières toutes plus intenses et sensuelles les une que les autres, dans un corps à corps endiablé, une danse passionnée et folle de nos deux corps cherchant l'harmonie, la fusion. Je voulais le posséder intérieurement et extérieurement. Je jouais de mes charmes, mettant mes atouts en valeur, je savais quoi lui faire, quoi lui dire, je voulais que son corps s'affole sous mes paroles et mes gestes, je voulais qu'il ressente l'envie jusqu'à ce que ses membres en tremble d'envie et de passion pour moi.
Je sentais qu'il s'offrait à moi, qu'il était comme un aimant qui s'accrochait à moi, qui se vouait à moi, et j'aimais ressentir cette emprise que je pouvais avoir lui, cela me mettait dans un état second. Ses mains prenant fermement mes fesses, me fis émettre un soupir de plaisir, j'aimais sentir cette force chez lui, cette force de me prendre entièrement, de me vouloir avec ferveur. C'était un peu plus sauvage et cela me plaisait énormément, tant que je me pinçais fortement la lèvre inférieure. Ce que je ressentais me fis devenir plus entreprenante et je le poussais plus brusquement contre le meuble. Je lui fis alors part de ma sensualité, de tout mon talent de séductrice dont je pouvais faire part afin de le retenir à moi l'espace de ce moment intime que je voulais partager avec lui et qu'il fasse de moi son seul désir brûlant. Je voulais le pousser à bout pour qu'il soit dans un état incontrôlable qu'il en perde le contrôle et l'esprit. Je lui demandais de me dire ces mots , ceux que je voulais entendre, ce que je voulais qu'il ressente au plus profond de lui même, de tout son être, et de tout son âme, je voulais qu'il le désire plus que tout, qu'il soit imprégnait de cela. Et quand il les prononça , cela me raisonnait comme une douce mélodie à mon oreille et éveilla mes sens, pénétrer mon être, et me faisait éprouver un désir ardant pour sa personne. Je le voulais proche de moi, je pouvais plus supporter une distance entre nous, je voulais le sentir tout contre moi, ses mains que je voulais à tout prix avoir également. Je me laissais aller vers lui pour me délecter de chacun de ses gestes envers moi qui m'enivrait.
Il devait ressentir l'effet qu'il provoquait chez moi également, car il voulait faire comme moi et me faire languir, afin que je puisse aussi avoir de la frustration, que je ressente ce qu'est t'attendre que l'autre assouvisse mon envie la plus folle. Je dirais que c'est quelque chose qui se gagne ensemble, tu cèdes, je te suis, tu me fuis je t'attise. Lui émis je alors comme réflexion alors que je marchais en me déhanchant pour qu'il veuille suivre mes pas et marcher dans ces derniers. Je regardais son envie, je sentais que l'atmosphère ne cessait de se réchauffer, je me sentais vibrer par la passion et l'instinct sauvage qui s'éveillait en nous. Je plierais pas , j'attendais qu'il se joigne à moi, qu'il vienne me chercher et me saisir, me montrait que je faisais de lui un homme qui s'avait ce qu'il voulait, moi. Mon cœur ne fit qu'un tour attendant sa phrase, oui, j'étais entière ce soir dédiée à lui . Je sentais que mon cœur s'affolait après cette réplique et je ne savais pas si je saurais me contenir très longtemps. Il me soulevait , je me pinçais fortement la lèvre inférieure rien qu'à imaginer la suite des évènements. Mes jambes entouraient ses hanches, mon cœur se souleva quand il me poussa contre le mur, et je sentais des frétillements dans mon bas ventre du au faite qu'il m'excitait. Il ôta mon haut, d'une main ferme et décidée. J'adorais sentir ses mains sur mon corps, je m'en laissais pas. Ses baisers également, oui, ses caresses et ses baisers me mettait à l'amende. Je voulais juste qu'il continue, je voulais plus qu'il s'arrêter de m'embrasser, de me caresser, sous chaque partie de mon corps, je voulais il me comble tant le désir se faisait sentir.
Je veux sentir tes mains parcourir mon corps... Je veux te sentir au plus profond de moi... Je veux pouvoir t'entendre gémir sous le plaisir que je te procure, et en ressentir tout autant. Je veux tout entier... là.. tout de suite... maintenant...Lui soufflais je suavement du à l'excitation qui se faisant sentir à l'intérieur de mon être, je sentais cette envie avoir l'emprise sur moi et me consumer petit à petit. Je voulais le faire brûler de désir pour moi, sachant qu'il voulait entrer dans mon jeu sensuel, je sentais que l'atmosphère devait érotique et cela me plonger dans un état envieux des plus intenses. Je sentais son entre jambe dure contre la mienne, et cela mis le feu en moi, cela m'embrasait. Je dégrafais mon soutien gorge sans le retirer pour le faire languir. Je déposais ma poitrine contre son torse dénudé et je me frottais ainsi contre lui, mon haut de sous vêtement finissait alors sa course au sol et je continus bien contre lui afin de sentir sa peau contre la mienne, me faire ressentir un moment d'extase plein de sensualité. Je le caressais comme si notre vie en dépendait comme si c'était la seule et dernière fois que je pouvais ressentir le plaisir de le faire, je suivais chacune de ses courbes de ses hanches au haut de son dos, puis je venais dessiner chaque trait de ses abdominaux, avant de capturer ses lèvres passionnément. Je suçais doucement sa langue comme pour lui faire ressentir ce geste au niveau de son membre. Je passais ensuite ma main dans son caleçon je sentais qu'il désirait que je le touche à cet endroit après ce que je venais de faire, alors je faisais glisser mes doigts contre son intimité, m'amusant un peu avec, puis je finis des vas et viens avec ma main, la prenant fermement en main, j'intensifiais et accélérais mes mouvements au fur et à mesure, puis retirer mes mains de l'objet du désir, puis le regarda envieusement, pensant ma langue sur ma lèvre inférieure, sachant l'effet que j'avais pu lui faire. Je me cambrais doucement en arrière et me tenais avec mes mains à l'aide du mur, j'y déposais mon dos, puis fis aller légèrement mon bassin pour que nos deux intimité se frôlent , se cherchent en se frottant l'une contre l'autre. Je voulais qu'il se sente à l'étroit dans son caleçon, le rendre fou.
(#)Sujet: Re: You don't have to be alone. I won't let you go ... | Dim 8 Nov - 17:27
April & Lukas
You don't have to be alone. I won't let you go ...
Tout s’était accéléré entre April et moi. Depuis le début, depuis qu’elle avait franchis le seuil de cette porte je me contrôler du mieux que je pouvais pour ne pas laisser mes pulsions et mon amour pour elle prendre le dessus. Cela avait été trop difficile et sans crier gare je lui avais sauté dessus, enflammant son corps de désir. Ma petite amie me faisait jouer et j’avais retourné le jeu contre elle. Maintenant que je la contrôlais en quelque sorte et qu’elle ne pouvait plus rien faire, j’allais l’enflammer comme jamais. Plaquée contre le mur, je lui avais enlevé son t-shirt, jouant avec ses seins en dessous de son soutien-gorge.
« Je veux sentir tes mains parcourir mon corps... Je veux te sentir au plus profond de moi... Je veux pouvoir t'entendre gémir sous le plaisir que je te procure, et en ressentir tout autant. Je veux tout entier... là... tout de suite... maintenant... »
Il ne fallait pas me dire plusieurs fois et sa phrase n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Je ne voulais profiter de son cœur, je voulais me lier à elle comme nous l’avions fait tant de fois. Mon excitation était de plus en plus forte. April me donnait l’autorisation en quelque sorte de lui faire l’amour. Mon cerveau s’était arrêté de réfléchir et je ne pensais plus au faite que c’était bien ou mal de coucher avec elle dans une telle circonstance. Son corps m’avait manqué et même si je l’aimais, j’étais aussi très en manque de sexe. Peut-être étais-je tout simplement très en manque car je savais déjà quel pied j’allais prendre avec cette fille. Elle n’était pas n’importe qui et elle ne faisait pas n’importe quoi. Je connaissais le moindre recoin de son corps, les endroits les plus érogènes. La jeune femme toujours dans mes bras et coincé entre mon corps et le mur, dégrafa son soutien gorge qui resta entre nos deux corps avant de tomber sur le sol. Nous nous embrassâmes à nouveau. Même si je dominais April en la coinçant contre moi, elle savait reprendre le contrôle. Elle s’amusa avec ma langue. Je frissonnai lorsque je sentis sa main aller à la rencontre de mon membre durci par l’excitation. Je fermai les yeux un instant, sentant mon visage se contracter légèrement alors que j’essayai de garder en moi toute cette intensité de plaisir qui me submergeait. Les va et viens que faisait April me rendait fou de désir. J’avais envie d’elle comme jamais. Nos deux corps se frottèrent l’un à l’autre.
Je me décollai du mur et jeta April sur le lit délicatement. Je la fis s’allonger avec une main qui glissa de ses cheveux à la frontière de sa petite culotte. Doucement avec des gestes très lents, je la lui retirai en regardant le visage de la jeune femme. Une fois complètement nue, je posai mes lèvres au creux de ses seins et la baisai tendrement en descendant petit à petit vers son intimité. Arrivé à cette hauteur je déposai des petits baisers sur celle-ci qui était chaud de désir. Ma langue se fraya un chemin afin de jouer avec son clitoris et arracher à April quelques bruits d’excitation. Il retira sa tête de l’entre-jambe de la jeune femme et alla la nicher au creux du cou d’April tout prêt de son oreille où il l’embrassa. Il fit glisser un doigt dans son vagin humide, commençant quelques vas et viens à l’intérieur. Le rouge colora le visage de celle que j’aimais tant et cela me ravissait de la voir prendre son pied. « Tu aimes ca ? » lui chuchotai-je doucement. Je lui mordillai l’oreille pendant que mon boxer se faisait retirer. Mon doigt se retira de son intimité et pendant un instant je regardai April dans les yeux comme pour y voir un signe d’approbation à ce que je m’apprêtais à faire.
Avec le plus de douceur possible j’entrai en elle. Je fus submergé d’un sentiment que je ne pouvais décrire, mais ce que je savais avec certitude c’était que j’étais heureux de me trouver en elle en ce moment-même. Je commençai à entreprendre de petits vas et viens ne voulant pas brusquer la jeune femme allongé sous moi bien que je sentais que son désir était plus vive que ce que je lui faisais. Je l’embrassai fougueusement, lui mordillant la lèvre inférieure au passage. Petit à petit mes mouvement de bassin devint plus rapprochés et plus fort. Je laissai échapper de temps à autres des gémissements. Je sentais mon orgasme monter, bien trop vite à mon goût … Je me contrôlais autant que je pouvais pour faire durer ce moment autant que possible mais cela était difficile. Je ne l’avais pas touché depuis un petit moment déjà. Je fermai les yeux, mon corps s’emballait dans ma poitrine. Je redressai rapidement April et la fit assoir sur moi où elle prendrait le contrôle du rythme.