(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Ven 1 Jan - 19:13
Ménage à trois
En temps habituel, n'importe qui acceptait ce type d'arrangement. Mais ce Zayne ne semblait pas être n'importe qui, et encore moins être une de ces personnes lambdas qui ne juraient que par le fric : Écoute, mon petit, avant de donner quoi que ce soit, la prochaine fois assure-toi d'avoir prit l'engagement avant. Là, tu viens de me donner une jolie somme, que je ne vais pas te redonner, parce que je ne t'avais rien demandé, et rien accepter.Le bougre avait inévitablement raison, et visiblement il avait un certain sens des affaires. Mais Andy n'irait pas rechercher cet argent perdu, au contraire, malin comme il était, il fit appel à son talent de comédien pour simuler le fait qu'il maîtrisait la situation, et que tout était prévu. Ne jamais se montrer déstabilisé. Par réflexe, il dévia ses yeux furtivement sur la main qui venait d'empoigner son épaule, avant de regagner aussitôt le regard troublant de l'homme. Au plaisir, de te voir ranger tes choses là où ton espace personnel t'es réservé Traîne les dans le reste du chalet, et il se pourrait que tes biens ne disparaissent d'eux-même. Serait-ce des menaces ? Andy adopta un air renfrogné, les sourcils légèrement froncés, n'appréciant guère d'entendre de tels propos. Depuis quand quelqu'un s'autorisait-il à prendre le dessus sur la grandiose personne qu'il était ? Tout était insensé, et ça le révoltait au plus haut point. D'autant plus lorsqu'il sentit sa frêle épaule se presser sous la main puissante du grand et beau brun. Il se sentait comme une escalope de veau prêt à être cuite, et vraisemblablement, Zayne osait le regardait comme tel.
Finalement, son colocataire choisit de le relâcher pour probablement profiter de sa chambre : Et merci pour ce cadeau, et ainsi narguer le petit brun. Andy demeura sur place, et se contenta de détourner légèrement son visage. Il était temps de rentrer en action. Andy était déterminé à se battre pour cette chambre, et il comptait bien l'obtenir. Il tournoya sur lui-même pour observer le garçon disparaître dans SA chambre, et quant à lui, il se dirigea vers sa montagne de valises qui l'attendaient devant l'entrée. Il en saisit une, la plus légère, et se posta sans vergogne devant la porte de la chambre convoitée. Il toussota grossièrement comme un mec atteint de tuberculose en phase terminale afin de se faire remarquer. D'un sourire irritable, il pénétra à l'intérieur de son espace et déposa son sac sur le lit, qu'il ouvrit aussitôt pour farfouiller dedans et attraper son portefeuille : -Crois-moi, je voulais juste te donner un avant-goût de ce qu'il t'attend dés que tu m'auras céder cette chambre !
Andy y allait au culot, et ne laissait vraisemblablement pas le choix à Zayne dans sa phrase. En effet, il n'avait pas dit : " si tu me cèdes cette chambre " mais " dés que tu m'auras céder cette chambre", ce qui démontrait la grande confiance du brun à propos de ce débat. Il la voulait cette maudite chambre, et il l'aurait ! Ses adversaires finissaient toujours par plier sous ses exigences, alors ce n'était pas cet inconnu sorti de nulle part qui ferait exception à la règle.
-Je suis prêt à doubler, voire à tripler la somme que tu contiens dans ta poche pour cet espace qui m'appartient. Plus tu seras rapide à déguerpir d'ici, plus tu récolteras de gains. A toi de voir..
Proposa-t-il d'un air joueur, et négociateur, tout en empoignant quelques billets à l'intérieur du portefeuille qu'il vint agiter comme un éventail près de son visage, un fin sourire arrogant figé sur le visage. Il avait vu faire ce geste dans une série qui mettait en scène une nymphomane qui soudoyer les hommes avec du fric pour qu'ils acceptent de coucher avec elle. Et pour tout avouer, c'était amusant de se créer de l'air avec des billets, Andy pouvait inhaler le doux parfum de l'argent et cela lui procurait une allure des plus vicieuses. Il s'approcha ensuite du brun, et le défia sauvagement du regard maintenant qu'ils étaient à proximité :
-Allez.. Ne perdons pas de temps.. Parce que dans tous les cas, je dormirai ici.
(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Sam 2 Jan - 4:41
Zayne entra dans sa chambre, question de pouvoir continuer de se détendre, la rencontre avec le gamin venait de le mettre un peu en colère. Il faut avouer qu'il n'aimait pas trop les gens qui ne la pêtaient, surtout pas quand il allait devoir partager le même espace vital. Au moins, ici, dans cette magnifique et grande chambre, on pourrait se calmer. Surtout qu'il avait les tempes qui tambourinaient fortement. Arrivée dans son antre, il se pinça l’arête du nez, respirant profondément pour se calmer. Il réussit à diminuer un peu sa pression, bien que cela ne fut que de courte durée quand il entendit tousser à la porte. Tiens, en plus, le gamin était remplit de microbe, que de joie. Se retournant, pour lui dire de partir, mais on entra sans même attendre la réponse. -Crois-moi, je voulais juste te donner un avant-goût de ce qu'il t'attend dés que tu m'auras céder cette chambre ! Céder quoi? Une chambre? On le fixa l'air de dire, mais de quoi tu parles, je n'ai rien a cédé moi. En plus, ce môme semblait avoir la grosse tête. Se croyant sûrement bien supérieure à la moyenne. Mais là, c'était supérieur en quoi? Parce qu'il avait eut une nanny pour lui changer les couches quand il était môme? Qu'est-ce que ce pré-pubère pouvait avoir fait de sa vie pour avoir les chevilles aussi enflés. -Je suis prêt à doubler, voire à tripler la somme que tu contiens dans ta poche pour cet espace qui m'appartient. Plus tu seras rapide à déguerpir d'ici, plus tu récolteras de gains. A toi de voir.. N'importe qui aurait accepté, surtout quand on n'avait aucun travail comme Zayne et encore moins de quoi se payer un petit restaurant. Malgré que non, là, ce n'était plus une question d'arrangement. Ce môme allait avoir besoin qu'on lui donne une leçon.
-Allez.. Ne perdons pas de temps.. Parce que dans tous les cas, je dormirai ici.Était-ce une invitation a partagé le même lit? Surtout à sa manière de faire voler les billets de droite à gauche, sauf qu'il avait un détail non négligeable, il était présomptueux de croire que Zayne était d'accord. Il attrapa la valise qu'on avait posé sur le lit et se dirigea vers une fenêtre qu'il ouvrit avant de jeter l'objet bien loin. Pratique, car le dit objet était des plus légers et il n'eut aucun mal à le jeter par la fenêtre. La valise pu ainsi tomber bien loin au milieu de cette neige blanche.
''- Écoute gamin, quand tu tentes de faire la cour et d'invité dans le lit d'un autre membre, ne le fait pas de la sorte. Je ne sais pas quel genre de gigolo tu as l'habitude de te payer pour assouvir tes pulsions de gamin boutonneux, mais sache qu'il m'en faut un peu plus. Je déteste ce genre de rentre dedans.''
Petit sourire en coin, bien ténébreux et mystérieux avant que la fenêtre ne soit refermer, après tout, il serait dommage de refroidir ainsi la chambre de Zayne et non pas celle d'Andy.
''- À ta place, j'irai aussi chercher ta valise avant qu'elle ne gèle ou se fasse enterrer.''
Le gamin avait bien démontré qu'il tenait à ces affaires, alors il allait sûrement être en colère qu'on ait jeté ainsi l'objet dehors.
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Sam 2 Jan - 5:30
Ménage à trois
[justify]La fenêtre s'ouvrit, le sac fut jeté dehors, et les lèvres d'Andy s'entrouvrirent de stupéfaction. Il ne réalisait pas l'action qui venait de se dérouler sous ses yeux médusés. Tout était allé si vite, et cet homme se permettait un geste si déplacé, suivit de paroles tout aussi frustrantes : Écoute gamin, quand tu tentes de faire la cour et d'invité dans le lit d'un autre membre, ne le fait pas de la sorte. Je ne sais pas quel genre de gigolo tu as l'habitude de te payer pour assouvir tes pulsions de gamin boutonneux, mais sache qu'il m'en faut un peu plus. Je déteste ce genre de rentre dedans. Andy fit cependant l'impasse sur les vilains propos de cette attaque tant Il n'en revenait pas et ne s'en remettrait pas de si tôt pour le lancé de sac. A partir du moment où Andy put discerner le son d'un poids qui se vautre dans la neige ; soit son sac, il prit conscience que ce son sonnait aussi celui de la guerre ! Oui, ce grand malade venait de déclarer ouvertement la guerre : À ta place, j'irai aussi chercher ta valise avant qu'elle ne gèle ou se fasse enterrer. Il osait en rajouter en plus, de quoi envenimer les tensions déjà volcaniques entre les deux.Tout ceci aurait pu se passer doucement et simplement mais visiblement, cet odieux individu en avait décidé autrement. Il était hors de question qu'un gars comme Andy se laisse impressionner par ce timbré qui tentait de lui tenir tête, en vain, puisque avoir jeté son sac ainsi fut similaire à balancer de l'essence sur du feu. Instinctivement, et de façon inédite, Andy rejoignit l'homme près de la fenêtre pour lui asséner une violente baffe. Il n'en venait que rarement aux mains, mais là, les mots lui manquaient pour exprimer son courroux, alors il décida de le manifester physiquement.
-Mais tu es complètement barge l'ami ! Qu'est-ce qui cloche chez toi ?! Tu n'imagines pas le nombre de choses précieuses à l'intérieure de ce sac.. Il y a tous mes papiers.. ! Tout ceux qui prouvent que je suis bel et bien supérieur à toi et que je mérite par conséquent cette chambre !
Sur ces mots, il se percha furtivement à la fenêtre pour repérer où était le sac. Il balaya le paysage blanc du regard, et perçut un petit tas sombre au milieu de la poudre glacée. Il se précipita alors en dehors du chalet et ramassa son sac en quatrième vitesse, tapotant dessus pour retirer la neige infiltrée. Il posa son sac sur la table du séjour avec brutalité, furieux que ce voyou eut osé le faire courir après un objet comme un chien. Il n'en avait pas fini avec lui. Il pénétra dés lors à nouveau dans sa future chambre, et s'assit sur le lit, ignorant totalement le brun. Finalement, il décida de s'étaler sur le somptueux lit confortable, et s'amusa à faire l'étoile de mer en poussant des bruits de mécontentement. Puis, il repensa aux paroles du grand homme après qu'il ait stupidement dégagé son sac de la pièce :
-Et pour ta gouverne, ce n'était pas une invitation... Je ne me serais pas permis de te rentrer-dedans avant de m'assurer que tu es du même bord que moi, parce que figure-toi que je possède un minimum de décence moi. Et vu ton allure de gros dur, qui ne reste bien évidemment qu'une simple allure insignifiante, je serais étonné d'apprendre que tu préfères malgré tout les couilles aux boobs.
Jusqu'ici, il avait parlé en omettant volontairement de le regarder, toujours positionné en étoile de mer. Mais sur la suite des paroles, il tourna sa tête du côté droit afin d'apercevoir l'homme, et le nargua d'un sourire aussi narquois que sa voix :
-Mais je reste ouvert.. Tout est possible. APrès tout, jamais je me serais attendu à que tu fasses la grossière erreur de jarter mon sac... Alors... Qui sait ? Peut-être que c'est ton truc de sucer, et d'être fourré comme une dinde ?! Non ? Dis-moi tout petit Zayne...
A la base, il s'agissait juste de pure provocation. Andy ne se doutait aucunement qu'il touchait la vérité, il souhaitait juste l'énerver sachant que les insinuations homosexuels de ce type rendaient fous les hétéros.
(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Sam 2 Jan - 5:50
Le mot gamin boutonneux fut bien mal choisit, c'est princesse ou diva qu'il aurait dû choisir quant il sentit la baffe magistral qui viendra a se dessiné sur son visage. Laissant là, une marque de doigt et un fort pincement. Andy frappait vraiment comme une furie. -Mais tu es complètement barge l'ami ! Qu'est-ce qui cloche chez toi ?! Tu n'imagines pas le nombre de choses précieuses à l'intérieure de ce sac.. Il y a tous mes papiers.. ! Tout ceux qui prouvent que je suis bel et bien supérieur à toi et que je mérite par conséquent cette chambre !
''- Oh, désolé d'abîmer tes OH si grande lettre de noblesse.''
Et puis quoi encore, il se prenait pour le fils du président des États-Unis ou quoi? Remarquer que non, Andy n'avait pas le teint chocolat, mais plutôt bel et bien un beau visage tout blanc. On ne pourra pas en dire de même du visage de Zayme qui était toujours bien rouge.
Pendant que l'un courut à l'extérieur pour récupérer le sac, l'autre ira dans la salle de bain pour se passer de l'eau froide sur le visage, pas question de laisser sa joue enflée à cause du coup qu'il venait de se prendre. Lorsque le brun retourna dans sa chambre, un linge humide dans la main, il retomba sur Andy qui faisait l'étoile au beau milieu du lit. -Et pour ta gouverne, ce n'était pas une invitation... Je ne me serais pas permis de te rentrer-dedans avant de m'assurer que tu es du même bord que moi, parce que figure-toi que je possède un minimum de décence moi. Et vu ton allure de gros dur, qui ne reste bien évidemment qu'une simple allure insignifiante, je serais étonné d'apprendre que tu préfères malgré tout les couilles aux boobs.Des allures? C'est madame... euh la diva qui était en train de se donner en spectacle. Pas lui, il n'avait pas besoin de jouer la comédie ou bien de se montrer outragueux pour se croire supérieur. Il l'était, mais lui n'avait pas besoin de faire la guerre, car il savait qui des deux étaient meilleurs que l'autre.-Mais je reste ouvert.. Tout est possible. APrès tout, jamais je me serais attendu à que tu fasses la grossière erreur de jarter mon sac... Alors... Qui sait ? Peut-être que c'est ton truc de sucer, et d'être fourré comme une dinde ?! Là, Zayne comprit, quand on avait mentionné du même bord, alors c'était pour dire qu'il était gay, après tout, la dernière insinuation ne laissa guère la place au doute. Enfin ou pas, mais on allait peut-être s'amuser à le narguer un peu.
''- Oh, c'est tellement puéril, tu sais de nos jours, bien des couples même hétéro pratique la sodomie avec l'homme. Tu ne savais pas? Ce n'est plus aussi tabou qu'à une certaine époque, mais oh, mon prince, j'imagine que tes ô si grand et riche parent ne t'apprennent pas ce genre de détail. Par contre, je me demande encore pourquoi tu souhaites partager mon lit, c'est pas toi justement qui aime sucer des queues? Tu parles peut-être en connaissance de cause.Enfin, remarque, je me demande si vraiment tu serai pas trop borné pour ne pas accepter t'adonner à ce genre de pratique. Faudrait pas que monsieur grosse-tête soit du genre tapette.''
Zayne leva la main puis abaissa bien bas la main, pour faire le ''signe de la tapette''. Bon, certes Zayne était peut-être vraiment puéril de jouer à cela, mais que voulez-vous, ça ne tuait personne de rire un peu. En plus, quelque part, ça l'amusait sérieusement de voir toute les réactions qu'il causait chez le petit.
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Sam 2 Jan - 16:12
Ménage à trois
[justify]Oh, c'est tellement puéril, tu sais de nos jours, bien des couples même hétéro pratique la sodomie avec l'homme. Tu ne savais pas? Ce n'est plus aussi tabou qu'à une certaine époque, mais oh, mon prince, j'imagine que tes ô si grand et riche parent ne t'apprennent pas ce genre de détail. Par contre, je me demande encore pourquoi tu souhaites partager mon lit, c'est pas toi justement qui aime sucer des queues? Tu parles peut-être en connaissance de cause.Enfin, remarque, je me demande si vraiment tu serai pas trop borné pour ne pas accepter t'adonner à ce genre de pratique. Faudrait pas que monsieur grosse-tête soit du genre tapette. Telle fut la réponse qu'il écouta attentivement, non sans sourciller de temps à autre. Il pensait recevoir les éclairs d'un homme fier qui ne tolérait pas qu'on l'humilie ainsi, mais à la place, la réponse de son adversaire fut plutôt sereine, avec une touche de cynisme malgré tout. Il se redressa en tailleur sur le lit, et désira enfoncer le clou pour en savoir davantage :
-Tu sembles t'y connaître ma parole... T'adonnes-tu à ce genre de pratique cher Zayne ?!
Quémanda-t-il sur un timbre sombre, et un sourire tout aussi noir avant de glisser une main dans sa chevelure soyeuse. La réponse de Zayne intriguait Andy plus qu'il ne voulait en laisser paraître, mais il n'oubliait pas que le beau gosse l'avait attaqué plutôt explicitement, et ce fut pour cette raison qu'il ne tarda pas à enchaîner :
-Si tu veux tout savoir, non, chez nous, on évite tout ce type de sujets. Nous préférons nous intéresser à des discussions plus honorables. Alors certes, j'ignorais que des hommes hétéros avaient ce type de délires mais après tout, pourquoi pas ? Nous sommes en 2016, tout est possible, et plus rien ne me choque. Sinon, je tiens à féliciter ta merveilleuse imitation, mais pour info...
Il se releva hors du lit, et s'avança vers le brun pour lui chuchoter près de son oreille :
-J'aime dominer... Dans tous les domaines.... Sans exception !
Il se recula d'un pas, un sourire des plus fiers aux lèvres, ayant bien fait attention d'insister sur le "sans exception", que ce grand fou comprenne qu'Andy ne se laissait aucunement faire. Sur ces mots, le brun se mordit la lèvre avant de faire un tour du chambre où il inspecta les commodes, et les armoires. Il ouvrit un tiroir, près de la porte, celui-ci serait parfait pour y mettre ses caleçons tiens. Andy était résolument déterminé à obtenir cette chambre, à tel point qu'il la considérait déjà comme acquis. Et pour que ce soit bien clair dans l'esprit de tout le monde, il déclara avec dureté, tout en se retournant vers lui. -Je dormirai ici, que tu le veuilles ou non ! Et si tu ne veux pas partager ce lit, pas de soucis, ta chambre t'attend à côté.
(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Sam 2 Jan - 17:28
La conversation prenait une tournure plutôt personnelle, discutant semble-t-il de leur orientation respective. Enfin, c'est ainsi que Zayne commençait a pressentir les choses. Était-ce une bonne idée de se lancer dans ce genre de discutions? Après tout, lui n'aimait pas trop nouer des liens avec d'autres personnes et il ne connaissait aucunement ce garçon.-Tu sembles t'y connaître ma parole... T'adonnes-tu à ce genre de pratique cher Zayne ?! Un sourire énigmatique naquit sur les lèvres du brun. Il n'avait jamais eut honte de son orientation sexuel, car très jeune il avait dû apprendre à la dure comment les hommes pouvaient le faire entre eux.-Si tu veux tout savoir, non, chez nous, on évite tout ce type de sujets. Nous préférons nous intéresser à des discussions plus honorables. Alors certes, j'ignorais que des hommes hétéros avaient ce type de délires mais après tout, pourquoi pas ? Nous sommes en 2016, tout est possible, et plus rien ne me choque. Sinon, je tiens à féliciter ta merveilleuse imitation, mais pour info... Oui laquelle? Zayne le fit s'approcher très prêt de lui et venir lui murmurer à l'oreille. -J'aime dominer... Dans tous les domaines.... Sans exception ! Était-ce la proximité du corps ou les paroles qui rendirent la peau du brun beaucoup plus moite. Il se sentait envahit d'une belle fièvre, la chaleur de son corps augmenta bien considérablement. Dû de nier que ce genre de parole le laissait de glace. Bien au contraire. Une vague d'excitation naquit en lui, tel un feu débordant. Là, ce lit qui se dessinait sous ses yeux, il s'y voyait déjà à genou, bien a quatre pattes et avec le pant... oh là, doucement, on se donna quelques gifles mentales, préférant ne pas s'imaginer ce genre de scène.
Au moins, le gamin ne sera pas rester prêt de lui, allant visiter la chambre. En fait, toute les affaires de Zayne était rangé que dans un seul petit et maigre tiroir. Ce qui le fit grincer des dents. -Je dormirai ici, que tu le veuilles ou non ! Et si tu ne veux pas partager ce lit, pas de soucis, ta chambre t'attend à côté.
''- T'a finit oui de fouillé dans mes affaires? Tes parents ne t'ont jamais élevé? ''
Zayne était beaucoup plus musclé, alors il n'eut aucun mal à venir attraper les poignets d'Andy pour lui maintenir les mains bien posées contre la commode.
''- Mon mignon, c'est toi qui va partagé, ma chambre, et sache que tu risques d'avoir le petit cul fourré comme une dinde comme tu l'as précisé tout à l'heure. Si mais tu restes, je ronfle et que je me lève très tôt. Mais si vraiment, t'a envie de dormir en cueillière dans mes bras supplime, je ne serai sûrement pas contre.''
Et comme andy avait chauffé le gros méchant, ce dernier se pencha un peu plus contre le fessier, venant se coller au dos du plus jeune des hommes.
''- Je me ferai un plaisir de te garder tout contre mon torse, te bercer contre ce dernier, après bien sûr la partie de jambe en l'air que tu vas me prier d'obtenir. Toujours intéressé a resté dans cette chambre? Notre chambre?''
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Sam 2 Jan - 19:20
Ménage à trois
Le brun au regard céleste s'apprêtait à ouvrir le second tiroir de la commode, quand soudainement une voix, mais surtout deux mains vinrent saisir les poignets délicats du jeune homme. Une action plutôt inattendue, qu'Andy n'avait pas du tout vu venir. Zayne râla : "T'a finit oui de fouillé dans mes affaires? Tes parents ne t'ont jamais élevé?". Il était vrai que même si Andy faisait partie d'une noble famille, et que l'éducation était un point primordial, Andy n'était pas la créature la plus courtoise qui soit, au grand regret de ses parents. Enfant déjà, le garçon se révélait sournois, et espiègle, son père avait longtemps lutter contre ces viles défauts mais Andy en faisait qu'à sa tête, et s'était arrangé pour que ses parents l'acceptent ainsi. Ses poignets plaqués contre la commode, le bel homme stationné derrière lui, Andy se trouvait dans une position des plus intéressantes.. "Mon mignon, c'est toi qui va partagé, ma chambre, et sache que tu risques d'avoir le petit cul fourré comme une dinde comme tu l'as précisé tout à l'heure. Si mais tu restes, je ronfle et que je me lève très tôt. Mais si vraiment, t'a envie de dormir en cueillière dans mes bras supplime, je ne serai sûrement pas contre". Ces avances certes soudaines, mais terriblement alléchantes surprirent le jeune étudiant. Il ignorait tout à fait si Zayne était sérieux, ou s'il se foutait juste littéralement de sa gueule, ce qui ne l'étonnerait pas. Il devait se méfier, et quoi de mieux que de rentrer dans son jeu afin de déceler le vrai du faux. Mais curieusement, il perçut une étrange sincérité chez le trentenaire, et cela s'avérait incroyablement tentant : "Je me ferai un plaisir de te garder tout contre mon torse, te bercer contre ce dernier, après bien sûr la partie de jambe en l'air que tu vas me prier d'obtenir. Toujours intéressé a resté dans cette chambre? Notre chambre?". Si le plan de Zayne était d'apeurer le jeune homme en tenant des propos obscènes, tout en se frottant contre son dos, afin de le faire fuir.. C'était raté. En réalité, ça n'avait fait que raviver la détermination d'obtenir cette chambre. Quel fou refuserait une partie de jambe en l'air avec un mec aussi sexy que Zayne ? Il ne savait pas s'ils iraient réellement jusque là, mais il y avait déjà moyen de se chauffer un peu, et cette idée enchantait le coeur d'Andy. Ce dernier cala l'arrière de sa tête contre la puissante épaule de l'homme afin de répondre doucement :
-Plus intéressé que jamais ! L'idée me plaît vraiment.. Après, vas-tu t'y tenir ? Je demande à voir. Et... TU seras fourré comme une dinde. Il faut mériter d'entrer en moi, on n'y rentre pas comme dans un simple bistrot.
Sur cette réponse sifflante, il fit pression contre le corps derrière lui afin de tenter de se dégager de son emprise :
-Maintenant, que dirais-tu de me lâcher ? J'ai des affaires à ranger dans CETTE chambre...
(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Sam 2 Jan - 19:40
Maintenant, on ne parlait plus de simple attirance, on se chicanait pour savoir qui serait la petite dinde qui allait devoir écarter les cuisses. Décidément, ce réveillon du jour de l'An était fort prometteur. Le dîner allait être des plus alléchants, encore faut-il décider qui tiendra le couteau. Commençons surtout par faire chauffer notre dindon, ça serait un bon début.-Plus intéressé que jamais ! L'idée me plaît vraiment.. Après, vas-tu t'y tenir ? Je demande à voir. Et... TU seras fourré comme une dinde. Il faut mériter d'entrer en moi, on n'y rentre pas comme dans un simple bistrot. On dirait bien que notre ami n'allait pas vouloir s'offrir si aisément.
''- Un bistrot? Serais-tu Français? Car ce mot me semble fort étrange, ce serait-ce pas un café? Oh, je vois, ainsi faut-il te courtiser pour obtenir ta main? Dommage, mais je ne suis pas ce genre d'homme. Même que je déteste devoir courtiser mes dindons.''
Le cou étiré car la tête était posé sur son épaule, Zayne ne pu s'empêcher de venir y déposer les dents. En plus, le corps faisait pression contre le sien, le chauffant encore davantage. -Maintenant, que dirais-tu de me lâcher ? J'ai des affaires à ranger dans CETTE chambre... Ranger? Oh non, Zayne avait bien d'autre pensée en tête. Il captura la chair, quelques instants, la mordillant avant de se redresser. Diable, manquerait plus qu'on crie au viol ou autre. La pensée qu'on l'accuse d'agression sexuel, le stoppa dans son élan de passion.
''- Je prend le milieu du lit, et comme je dis, si tu n'es pas content, je pourrais te servir d'oreiller, mais ne déplace pas mes affaires merci.''
On relâcha le gamin, histoire de pas outré sa jeune personne par des avances et du rentre-dedans masculin.
''- Sinon, tu connais la jeune fille qui se joint à nous? Elle ne va pas trouvé cela étrange que deux hommes partagent la même chambre?''
Zayne replaça ses vêtements, retrouvant sa petite froideur habituelle, tout en tentant de ne pas trop démontrer son petit problème au niveau du pantalon.
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Sam 2 Jan - 20:22
Ménage à trois
Au fond, Bridgestone possédait un coeur bohème et romantique en ce qui concernait ce type de relations. Et il avait réellement un petit faible pour la drague à la Parisienne, mais cela ne faisait pas de lui un soumis pour autant, non être romantique ne signifiait pas offrir son corps à son partenaire pour qu'il puisse en faire ce que bon lui semblait. Diriger, demeurait en toute circonstance le verbe préféré d'Andy. En réalité, il n'avait jamais laissé personne le dominer, mais peut-être qu'il aimerait ça... Peut-être qu'il loupait quelque chose de fabuleux à cause de sa fichue fierté de gamin compétitif : " Un bistrot? Serais-tu Français? Car ce mot me semble fort étrange, ce serait-ce pas un café? Oh, je vois, ainsi faut-il te courtiser pour obtenir ta main? Dommage, mais je ne suis pas ce genre d'homme. Même que je déteste devoir courtiser mes dindons." A la maison, on employait souvent ce mot et il oubliait que les américains ne connaissaient pas forcément. Sa mère était une styliste française, ce qui était bien pratique pour recevoir à bas prix des tissus et vêtements de luxe parisiens.
-Ma mère est française...
Chuchota-t-il dans un fin soupir. Et ce fut à cet instant précis qu'Andy ressentit un plaisir si surprenant qu'il en tremblota nerveusement. Délicieusement, des dents pressèrent sa chair, et bien qu'habituellement, il aurait repoussé la personne, là, il ne put rien faire car il ne voulait pas le repousser. Andy était un fanatique des surprises de ce type, il détestait tout ce qui était prévisible, et maintenant, lui aussi s'avérait atteint du même problème que Zayne dans le pantalon : "Je prend le milieu du lit, et comme je dis, si tu n'es pas content, je pourrais te servir d'oreiller, mais ne déplace pas mes affaires merci" . Le milieu du lit ? Peu importait, Andy ne prenait pas beaucoup de place et ne bougeait quasiment pas durant son sommeil tant il dormait bien. Heureusement, il le relâcha à tant avant de rendre fou le petit brun encore exalté de ce geste. Une fois que ce fut terminé, il eut la sensation d'avoir halluciné la scène. Peut-être que son fort désir envers Zayne lui brouillait l'esprit et l'emmenait à imaginer d'incroyables situations : "Sinon, tu connais la jeune fille qui se joint à nous? Elle ne va pas trouvé cela étrange que deux hommes partagent la même chambre?' Ce changement brutal de l'homme déstabilisa Andy qui afficha un froncement de sourcil. Oui, il avait probablement dû délirer la scène de la commode tout à l'heure, ou alors Zayne était le maître des émotions, pouvant passer de l'une à l'autre en une seconde, sans le moindre souci. -Prends la place que tu veux, je m'en contrefiche, tant que tu ne me balances pas hors du lit ou ne me frappe pas dans ton sommeil... Ah oui, parce que, je préfère te mettre en garde... Les personnes qui ont dormi avec moi pourront en témoigner.. Si jamais il te prend durant ton paisible dodo de me taper, ou de m'écraser, je vais te réveiller.... Et méchamment... Très méchamment !
L'avertit-t-il sur un sourire de véritable peste. Ce garçon n'avait aucune pitié, surtout quand on le réveillait au beau milieu de la nuit, il se montrait d'une humeur massacrante, à la limite du psychopathe. Ne jamais perturber le sommeil du jeune Bridgestone. Puis, il réfléchit à la question suivante, concernant la troisième colocataire toujours pas arrivée :
-Oh pauvre enfant... Tu te soucies du regard des autres maintenant ? Et puis, même si elle trouve ça étrange, qu'est-ce que tu veux qu'elle fasse sérieusement ?!
Riposta Andy, un brin sarcastique, tandis qu'il sortit de la chambre pour venir chercher le reste de ses affaires abandonnées devant l'entrée. Il prit la périlleuse décision de traîner deux valises en même temps, alors qu'il éprouvait déjà du mal avec une seule. Andy semblait trimbaler des lingots d'or dans ses valises. Il réussit cependant à atteindre la chambre, non sans énervement, et les posa contre le placard, épuisé. Il se plaça contre l'encadrement de la porte pour reprendre son souffle, et envoya un regard angélique à Zayne :
-Zayne... Soit un ange, et viens m'aider s'il te plaît. Il doit rester environs 5 sacs devant l'entrée.. J'aimerais engager tes deux gros bras..
(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Sam 2 Jan - 20:38
Zayne contrôlait parfaitement ses émotions, et ce n'est pas sa tension sexuelle qui allait le faire dévier, surtout quand il savait qu'en ce moment, il était sur la corde raide. Une seule plainte, et il se retrouverait a jamais derrière les barreaux. Alors, ne tentons pas le diable. Déjà qu'il en avait peut-être un peu trop fait. Bien que de plus en plus, il se doutait bien qu'Andy adorait les hommes. Mais il avait un caractère de diva qui pourrait lui coûter cher s'il ne faisait pas attention. Préférant changer de sujet, et de parler de leur troisième colocataire. Une jeune fille, et sûrement qu'avoir deux hommes qui semblaient prêt à se sauter l'un sur l'autre n'allait pas lui plaire. -Oh pauvre enfant... Tu te soucies du regard des autres maintenant ? Et puis, même si elle trouve ça étrange, qu'est-ce que tu veux qu'elle fasse sérieusement ?! Vraiment, le respect il ne connaissait pas? Enfin, il faut dire que Zayne avait prit l'habitude de ne pas trop montrer ses ébats en public. Normal, quand au moindre attouchement surprit, on pouvait se ramasser au trou, ou pire encore, être tabasser pour être gay. Car même, si bien des hommes en prison s'y adonnait, le sujet était toujours des plus tabous et mépriser.
''- Je respecte seulement les gens, et je pense qu'elle a le droit de ne pas avoir à.... endurer nos chamailleries masculines et purement puéril.''
Puéril en effet, mais au final, ils étaient tout deux arrivés à un accord, soit de partager la chambre. De toute manière, Zayne avait l'habitude de partager un habitat plus petit, et pour le lit, il connaissait. Même les plus grincheux des hommes. Laissant, notre ''ami'' chercher ses valises mais quand il revient c'est pour mieux être a semi-accroupis et plier en deux. -Zayne... Soit un ange, et viens m'aider s'il te plaît. Il doit rester environs 5 sacs devant l'entrée.. J'aimerais engager tes deux gros bras.. Un ange? Très peu pour lui, mais de toute manière, il n'avait pas d'autre chose à faire.
''- Décidément... je vais accepter mais seulement car je te veux en forme pour cette nuit, et oh... si jamais je te réveille, désolé, j'essayerai de pas trop te déranger en te prenant.''
Il lui envoya un baiser volant, avant même de lui faire un clin d'oeil et ira chercher les dites valises. Enfin, il voulut en prendre deux, mais elles étaient si lourdes, qu'il risquait soit de se blesser ou d'y laisser toute son énergie. Dans un soupire, il se résigna à faire plusieurs voyages pendant que notre diva reprenait son souffle. Seul problème, Zayne avait chaud maintenant. Le pull de laine n'était pas le meilleur des habits pour forcer et il se retrouva avec de la sueur sur la peau.
''- Non... mais... pourquoi t'a apporté autant de truc. Tu as peur de rester prisonnier des glaces pendant des mois ou quoi?''
Zayne en était a trois valises et il se frotta la nuque, il avait vraiment chaud.
