Il eut le temps de plier six vêtements, pas mal du tout, avant que Zayne ne fasse irruption dans la chambre à toute volée comme s'il allait rater son avion. Andy se retourna, intrigué par toute cette agitation, et découvrit la face déconfite de l'homme, suivit d'un discours désillusionné : "Que... Tu devrai pas être sur le lit? Genre couché et en train de te caresser ou un truc dans le genre?'' Andy clignota des yeux trois fois, le regard globuleux, choqué par les propos du brun. Lui ? S'attoucher et s'exciter tout seul ? Certainement pas, il n'y avait que Zayne pour le chauffer pleinement, et sans sa présence, il ne se sentait pas capable de faire quoique ce soit. Il fallait aussi mettre cela sur le compte que Zayne avait largement plus d'expériences qu'Andy. Pour tout avouer, Andy ne l'avait fait récemment et qu'une seule fois, ou plutôt deux si on prend en compte que les deux fois ont été faites dans la même nuit. Alors oui, il manquait terriblement d'expérience, mais après tout, comment le blâmer ? Le pauvre enfant n'avait que 19 ans, et venait à peine de s'émanciper de chez lui. Il lui restait tant à découvrir.
"Écoute, t'es qu'un sale garnement et égoiste, t'a gagné, finalement je te laisse cette chambre et j'vais aller dormir dans l'autre d'à-côté.'' Si seulement il lui avait déclaré ceci plus tôt, Andy sauterait sur place d'avoir obtenu sa chambre. Mais maintenant, ça le fracassait. Il n'était pas très doué, et ne savait pas du tout comment s'y prendre avec Zayne alors il décida d'y aller au feeling, laissant parler son instinct. L'objectif était de ne pas quitter Zayne sur cette mauvaise note. Alors quitte à se montrer agressif, Andy avait bien l'intention de s'occuper avec cet homme séduisant durant toute la nuit.
-Non.. Attend !
Zayne fut à peine sorti de la chambre, qu'Andy abandonna le pantalon qu'il tenait dans ses mains pour rattraper le partant. C'était bien la première fois que Andy sacrifiait un vêtement pour quelqu'un. Il se précipita sur le brun, lui saisissant le poignet avec toute sa force, avant de le plaquer contre le mur qui se trouvait juste derrière Zayne. Ils étaient tout deux dans le couloir, et Andy en profita pour vite attraper le second poignet pour le maintenir à son tour contre le mur. Ainsi, il put narguer le gentil monsieur par un sourire aguicheur :
-Mais où comptes-tu aller comme ça ? Je ne t'ai pas donné la permission de me fuir...
(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Mar 5 Jan - 2:42
Zayne en avait plus qu'assez qu'il se fiche de sa tête. Déjà quand on dit a une personne qu'on serait dans la chambre, c'est au minimum parce qu'on allait se poser sur le lit ou autre. Non, là le mec avait vraiment l'impression de passer en second plan. Ce qui ne lui plaisait vraiment pas. Préférant au final, laisser le gamin a lui-même et même lui laisser cette chambre et ce grand lit. Pas question de rester avec un mec qui trouvait plus intéressant de plier des vêtements que de se mettre dans une position aguicheuse.Quittant la chambre, Zayne fut plutôt surprit de se voir bousculer contre le mur, et même retenu contre ce dernier. Le poignet emprisonner et retenu contre ce dernier.
''- Que...''
Mais où comptes-tu aller comme ça ? Je ne t'ai pas donné la permission de me fuir... Le fuir? Mais où allait-il chercher ce genre de chose? Zayne ne le fuyait pas, il partait car le gamin l'avait dégoûté une fois de plus. Et pire encore quand on lui captura le deuxième poignet. Là, le brun haussa un sourcil, redressant le menton avec son petit air supérieur.
''- Écoute gamin, des puceaux comme toi j'en ai vu des masses dans ma vie, et encore je pense qu'il savait un peu mieux comment se préparer pour une nuit torride.''
L'air était devenu sombre et glacial, et là, Zayne leva le pied pour écraser les orteils d'Andy. Ce dernier ne devrait pas tenter de le dominer par la force. La différence de leur carrure n'était peut-être pas si grande mais Zayne détestait qu'on tente de le dominer de la sorte. En plus, le gamin avait prit la chance de le pousser face à lui, ce qui n'avait rien pour impressionner l'ex-détenu qui en avait vu des biens plus baraquer que lui. Ainsi, on préféra usé de force physique, écrasant les petites orteils de la diva. Le talon bien appuyé sur les jointures et sans relâcher la pression. Non, son pied resta bien là où il était. Ce n'était pas un simple coup pour frapper, mais bien pour écraser les os de notre gamin. Zayne ne pouvait laisser passer une agression physique, surtout pas quand on venait en plus de lui dire qu'il tentait de fuir.
''- T'a encore bien des trucs à apprendre le gamin, et avant de dire que je te fuis, renseigne-toi, t'es juste en train de me donner la nausée. T'es juste un petit pathétique qui tente tant bien que mal de jouer les durs.''
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Mar 5 Jan - 3:07
Ménage à trois
Andy se chargeait de le tenir bien fermement contre le mur, même s'il ne pourrait pas rester indéfiniment ainsi. Heureusement, Zayne ne tenta pas de résister à son emprise, du moins physiquement. Écoute gamin, des puceaux comme toi j'en ai vu des masses dans ma vie, et encore je pense qu'il savait un peu mieux comment se préparer pour une nuit torride. Aïe, ça blessait l'ego de se faire souiller de cette façon, ce qui valut la visite de l'hésitation dans le regard d'Andy qui se dégonflait de sa confiance, en abaissant les yeux légèrement. Il s'humecta les lèvres sévèrement afin de contenir son poing qui ne demandait qu'à s'écraser sur la face du garçon, légèrement désappointé par une telle humiliation.
Alors que le jeune Bridgestone réussit à réunir des forces pour recréer son sourire arrogant, et affronter de nouveau le regard insolent de l'homme plaqué dos au mur, on assista à la décomposition du visage d'Andy. Petit à petit, on le percevait froncer les sourcils, puis contracter sa mâchoire, plisser ses yeux, et d'autres grimaces du genre. En effet, une vive douleur broyait ses orteils, un peu plus fort à chaque seconde, on prenait son pied en otage. Il tenta tant bien que mal de lutter contre cette souffrance déstabilisante, ne pas perdre le contrôle mais Andy supportait très mal la douleur, surtout à un endroit aussi sensible. Ses joues se teintèrent d'un léger rose, à cause du gémissement qu'il retenait au fond de sa gorge, tandis que son corps commença à trembloter. T'a encore bien des trucs à apprendre le gamin, et avant de dire que je te fuis, renseigne-toi, t'es juste en train de me donner la nausée. T'es juste un petit pathétique qui tente tant bien que mal de jouer les durs." La petite diva leva un bref regard brillant et agonisant vers Zayne suite à ses mots, pendant qu'il se concentrait pour ne pas plier, et garder les poignets de Zayne bien contre le mur, malgré cette tremblote persistante et de plus en plus puissante. Au final, des petits gémissements se manifestèrent, et Andy s'efforça de foudroyer le jeune homme du regard : -Retire.. Ton... Pied !
Ordonna-t-il d'une voix saccadée, mais menaçante. La jambe libre du garçon se redressa avec difficulté, pour venir déposer son genou contre l'entrejambe du monsieur. A côté de ça, Andy perdait toute maîtrise, il tremblait tellement de douleur que les mains qui entouraient les poignets de Zayne se vidaient de force, il ne retenait plus rien, et si Zayne le voulait, il pouvait maintenant se dégager d'Andy à tout moment et sans aucune difficulté. Cependant, en dépit de la douleur presque suffocante qui lui écrasait littéralement le pied, Andy libéra un poignet de l'ex-détenu pour lui agripper l'épaule, de façon à prendre appui et soulager un minimum sa souffrance, puis il put ainsi se permettre de presser de plus en plus les parties du jeune homme avec son genou : -Je.. ne le... répéterai pas...
(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Mar 5 Jan - 3:28
Voir ce beau visage être déformer par la douleur donnait davantage de plaisir à Zayne. Voilà comment il aimait ses proies. Au prise à une petite douleur, et à couiner de la sorte c'était encore bien meilleur. Zayne recommençait à se délecter intimement. Son égo lui se regonflait et il afficha un air bien victorieux. Il adorait voir la douleur, ça l'excitait comme jamais, voir qu'il causait du mal, il adorait vraiment. Se penchant même un peu davantage pour mieux écraser le pied. -Retire.. Ton... Pied ! Pourquoi ferait-il une telle chose? Surtout qu'Andy perdait ces forces. Il le sentait, d'ailleurs Zayne pouvait se dégager quand il le souhaitait, mais il ne le fera pas. Il aimait bien sentir ce corps s'affaiblir, cette voix presque suppliant. Soupirant de bien être, Zayne sentit même une belle pression venir à se faire contre son entre-jambe. Je.. ne le... répéterai pas... Quoi on la pressait? Ce n'était là qu'une douce caresse, qui revenait à donner envie à Zayne, rien de plus.
''- Sinon quoi? Qu'est-ce que tu aurais envie de me faire? Ô mon garçon, ne joue pas les fortes têtes. Je vois bien que tu souffre, pauvre petit chaton démuni.''
Le poignet libérer lui servit, on le glissa à la taille d'Andy, pour doucement commencer un lent frottement contre ce genou qui cherchait... à lui faire mal? Non, ne sentiez-vous pas la forme dure qui se dessinait contre votre chair. Qui cherchait plus ample contact. D'ailleurs, Zayne vous avait relâché le pied, car pour jouer des hanches, il avait besoin d'un meilleur appui, soit de bien mettre les deux pieds sur le sol.
''-Ça vois-tu, mon garçon, c'est le plaisir que tu viens de me donner, et que tu devrais enfin t'en occuper.''
La main lâcha le bassin pour remonter vers la main qui se tenait à lui, laquelle on dégagea de là.
''- Aller à genou, occupe-toi plutôt de ça, et prouve-moi que tu t'es pas aussi puceau que je commence à le croire. Rends-moi fier de toi.''
Une main sur l'épaule, et on tenta de faire pencher Andy à genou, aller mon petit ce disait Zayne, viens un peu me sucer. L'homme en avait envie, malgré les dangers qui le guettaient car là, il était plus qu'incertain qu'Andy soit assez blessé pour accepter de le faire, mais qui ne tente rien n'a rien, alors il préférait se voir frapper les parties que de voir sa chance passée.
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Mar 5 Jan - 4:23
Ménage à trois
Le genou tenant toujours en joue l'entrejambe étrangement endurci de l'homme, Andy était prêt à tout moment à tenter le diable si jamais il ne libérait pas son pied. Ses forces s'épuisaient considérablement, mais on aurait presque dit que Zayne appréciait le contact qui lui menaçait ses parties génitales à tout moment : "Sinon quoi? Qu'est-ce que tu aurais envie de me faire? Ô mon garçon, ne joue pas les fortes têtes. Je vois bien que tu souffre, pauvre petit chaton démuni". Une fois de plus, Zayne visait juste, le garçon souffrait le martyr, et même s'il était le meilleur comédien du monde, il ne pourrait pas dissiper cette atroce douleur. Cependant, le "chaton démuni" était de trop, Andy aurait pu s'en passer. Il se révoltait que les gens ne le voient que comme une petite fleur fragile, il était tant qu'il sorte les griffes.
Zayne décida enfin à se libérer de l'emprise inutile, et affaiblie d'Andy pour venir palper doucement la taille du jeune homme agonisant. Andy put discerner quelques ondulations imprécises de la part de Zayne qui déclencha un infime plaisir chez le petit brun, malgré son immense souffrance. Une souffrance qui, pour son plus grand bonheur, ne tarda pas à s'arrêter aussitôt le frottement démarré. Comme si Zayne cherchait un meilleur équilibre afin de continuer ses intentions. Enfin, son pied put respirer de nouveau, et Andy expira violemment de soulagement. La mordante douleur s'envolait, mais lutter avait immanquablement épuisé son corps fébrile. Zayne se détacha de la main qui lui agrippait l'épaule avec une aisance sans pareille, avant que celui-ci ne le sollicite à s'agenouiller : "Aller à genou, occupe-toi plutôt de ça, et prouve-moi que tu t'es pas aussi puceau que je commence à le croire. Rends-moi fier de toi.'
Pour tout avouer, Andy se retrouvait face à un terrible dilemme. Rarement il ne fut autant tiraillé. D'un côté, la vengeance l'appelait à répliquer, et à lui enfoncer son genou jusqu'à le lui remonter les boules à 200 degrés, façon de parler bien entendu. Et de l'autre côté, il était, avec surprise, complètement tenté par cette proposition. Andy s'était déjà fait sucer, mais jamais lui-même ne l'avait fait, et il ne pensait pas accepter cela un jour. Surtout après un tel duel de domination entre Zayne et Andy, s'il s'agenouillait, il s'avouait vaincu, et se soumettait ouvertement. Que faire ? En tout cas, la main de Zayne posée sur l'épaule d'Andy aida ce dernier à se baisser. En réalité, il n'avait plus aucune force, et son pied lui faisait encore atrocement mal. Son genou se plia, et il chuta à genoux brutalement, dépourvu de toute force. Il tremblait comme une feuille, écartelé entre le désir de tester cette pratique mais de ce fait ; admettre une certaine infériorité, ce qui était totalement inconcevable, et entre le désir de se redresser et de malmener Zayne une nouvelle fois. Il avait beau être à genoux par manque de vitalité, cela ne signifiait rien en ce qui concernait sa décision.
Les yeux mouillés, il releva le visage vers Zayne, toujours debout contre ce mur, et soudainement, Andy vint attraper les genoux du jeune homme, et fit glisser ses mains sur le tissu de son pantalon, vers le haut, remontant ses cuisses lascivement. Ses mains jouèrent avec la bordure de son pantalon, avant de finalement l'agripper, entretenant l'espoir qui se lisait dans le regard de Zayne. Il ne pouvait pas lui offrir cette victoire maintenant, hors de question, Andy était trop noble, il avait un nom à tenir. Alors il se redressa sauvagement, comme remonté à bloc, faisant face à Zayne. Il le regarda longuement, débarrassé de toute honte maintenant qu'il se trouvait à nouveau à sa hauteur, et dans un élan de confiance, le jeune étudiant retira son peignoir pour le laisser glisser le long de ses jambes. Un sourire en coin apparut tandis qu'il attrapa férocement d'une poigne ferme le bon paquet de Zayne, toujours volumineux, alors qu'Andy frotta de plus en plus son corps nu contre les vêtements de Zayne : -N'inversons pas l'ordre du passage... Mets-toi à genoux... Et après, j'envisage de m'occuper de la tienne...
Andy semblait avoir perdu toute pudeur par rapport à précédemment sous la douche, Zayne l'avait plus que chauffé. Il relâcha son entrejambe pour venir saisir le cou du garçon, qu'il caressa sensuellement pour l'appâter; et l'inciter à descendre. Sa main serrait un peu plus la gorge du jeune homme qu'il voulait à genoux, comme pour faire pression. Il ordonna d'une voix assurée, et articulée : -A genoux j'ai dit.. !
(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Mar 5 Jan - 4:52
Zayne avait bien l'intention de le soumettre, car c'était cela que méritait le genre de garçon que pouvait être Andy. Il ne méritait pas davantage pas mieux. Ce n'était rien de plus qu'un gamin qui aimait de la jouer et ce genre de minus, il fallait les écraser dès la sortie de l'oeuf. Le fixant avec une arrogance et une supériorité plus que présente, Zayne comptait bien mener la danse de ce bal. Surtout que maintenant, plaisir retrouvé, grogne éloigné. Il oublia la petite péripétie de la chambre, noyant son regard de glace dans les yeux remplient de douleur. C'était si beau que cela lui en donnait des frissons dans la colonne. Là, il le désirait plus que jamais, Andy était enfin parfait. Soumis, alors il posa une main sur l'épaule pour lui monter où était le chemin, puis là, Zayne dû se mordre la lèvre. La vision qu'il reçu était sublime. C'était même des plus craquant à voir et le cœur dur du détenu fondit sous la chaleur qui remonta en lui. Excité plus que jamais, il s'apprêtait à descendre la fermeture de son pantalon et de guider notre hôte vers l'objet du désir. Outre, se fut mal préparer son coup, car malgré les doigts qui le caressaient, il semblerait qu'il n'aurait pas besoin de lui montrer quoi faire.
''- Oui.. là... tu es parfait... Vas-y doucement...''
Mais voilà qu'il écarquilla les yeux, Andy lui faisait de nouveau face. Saleté de gosse, il aurait dû le garder en bas, le maintenir avec une main ferme dans les cheveux, pestant contre lui-même, mais une colère qui se termina en couinement. La vision de cette nudité venait presque de le faire miauler. Ou était-ce cette main qui venait de lui agripper les parties qui l'avaient fait crié de stupéfaction. Faut dire, qu'il avait la graine vraiment chaude et sensible. Le moindre contact était un torrent de plaisir. N'inversons pas l'ordre du passage... Mets-toi à genoux... Et après, j'envisage de m'occuper de la tienne... Il pouvait toujours rêver, ce n'est pas une main sur le sexe qui allait faire plier la bête, qui retrouva un sourire de serpent, pas question de... de... oh la douce caresse contre son cou, sensible dû à ce plaisir donner, il remonta la tête, Tel un chaton qu'on caressait. Mais voilà que la main commença a faire pression. Zayne eut une grimace, ou plutôt son nez de redressa, une colère monta en lui. Il allait pas le laisser faire, même si la main commençait a pesé sur sa pompe d'adam.A genoux.. ! Le prenait-il pour un chien? À pouvoir lui aboyer des ordres? Non, Zayne n'allait pas se laisser faire, ou pas, car lentement, ses genoux se plièrent, le manque d'air peut-être, additionné au sang qui descendait vers le bas de son corps.
Une main posé contre le mur qu'il suivait du bout des doigts, il se retrouva là, mi à genoux par deux simples petits mots. Une fois en bas, il posa son autre main sur le poignet qui l'étranglait presque.Lui n'osait plus du tout levé les yeux vers le haut, car un plaisir immense le tiraillait et il était là, à combattre ses propres envies.
''- Lâche... c'est toi qui va me sucer... car si tu m'obliges, j'te jure que je te la mords. Et crois-moi, j'en ai mordu des plus grosses.''
Donc, ce n'était pas la première qu'on avait dû vouloir lui mettre dans la bouche, que voulez-vous, il avait un menton taillé pour bien sucer, ce beau V, ne trouvez pas que c'était des plus intéressant de se glisser à l'intérieur pour tester le tout. Sauf qu'il n'avait pas menacer à la légère, il risquait vraiment de mordre tout ce qui rentrerait dans sa bouche.
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Mer 6 Jan - 22:58
Ménage à trois
Sous la pression de plus en plus forte qu'il exerçait sur le cou du garçon, à la limite de l'étrangler, il comprit que Zayne battait de l'aile, et luttait en vain pour résister. Le regarder s'effondrer au fur et à mesure le long du mur ainsi lui créait une tornade de frissons jouissive. Il put sentir la pression artérielle du brun gonfler sous ses mains pendant que sa pomme d'adam vaciller, il se fit d'ailleurs un plaisir d'appuyer furtivement dessus avec sa paume. S'il continuait à serrer ainsi, Zayne n'allait pas tarder à se retrouver avec des marques sur sa tendre peau. Cependant, à un moment donné, le bras d'Andy devenait trop court et s'il souhaitait suivre le mouvement de Zayne, il devrait s'abaisser avec lui, ce qui était hors de question. Il était maître de la situation, pas question de lui laisser l'avantage et l'occasion de remonter en force. Il dût s'obliger à lâcher le sex symbol à ses pieds, mais peu importait puisqu'il était à présent plus ou moins à genoux, en tout cas à bonne hauteur pour lui réaliser son désir. Certes, il le soumettait de force, mais il se soumettait tout de même, et la fin justifiait les moyens lorsqu'on observait le visage vaincu du trentenaire. Sous les menaces vaseuses du brun, Andy émit un rire à gorge déployée avant de placer son index sur les lèvres de Zayne pour lui inculquer la valeur du silence : -Tais-toi ! Et ne tente rien de stupide.. Tu pourrais sérieusement le regretter... Vraiment !
Répondit-il en attrapant un élan de sérieux pour la finition de sa phrase. S'il avait implosé de rire, il ne plaisantait pas sur le fait de ne pas mordre son précieux. Il pourrait se transformer en monstre, et être terriblement mauvais, voire carrément méchant. Jamais on n'avait osé la lui mordre, et heureusement car Andy savait qu'il pourrait commettre l'irréparable si jamais cette action devait advenir, mieux valait ne pas courir le risque. Il se voyait devenir violent et monstrueux, déjà sans pitié à l'origine, tout serait intensifier fois mille. -Je ne te conseille vraiment pas en fait... Même si je peux comprendre que c'est rageant et humiliant de se faire dresser par un gamin ! Maintenant, la ferme, et suce !
Insista-t-il pour être sûr que Zayne ne serait pas assez stupide pour tenter le diable. Ce ne serait pas faute de l'avoir prévenu. Sur son dernier ordre, il approcha son sexe du visage de l'homme et plaça une main sur son crâne comme pour le diriger de force vers l'objectif. Peut-être agirait-il contre sa volonté, mais cet enfant s'en contrefichait du bien de son camarade, seul le sien comptait, bien qu'au fond, il appréciait ce Zayne.
(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO ONZE - ANDY, AURORE & ZAYNE. | Jeu 7 Jan - 1:45
Zayne avait du mal a respiré, les doigts sur sa gorge était de plus en plus serré, prêt a l'étouffé sur place. Non pas qu'il trouvait cela désagréable, très loin de là, c'était même une manière plus érotique de le faire se pencher. Plus, il se retrouvait avec les genoux sur le sol, plus son corps était parsemé de doux frissons. Au fond de lui, il adorait se faire soumettre de la sorte, même si jamais il n'oserait l'avouer. Se soumettant lentement, mais non sans tenter de repousser la main. Il n'était pas assez con pour se rendre si aisément. Même si son cœur avait des réactions de désir, son esprit n'était pas pour ce genre de pratique de soumission. Il serra les doigts autour du poignet, tentant de repousser la main, mais sans grande conviction. -Tais-toi ! Et ne tente rien de stupide.. Tu pourrais sérieusement le regretter... Vraiment ! Ah oui? Un regard vers le haut, mais ce n'était plus pour lancer des regards froids, non, les yeux étaient brillants d'une lueur des plus intenses. À croire que la menace venait plutôt de lui donner envie de tester. Jusqu'où irait Andy pour le ''punir''. Se mordant les lèvres, il tenta de réprimer ses envies, bien que là, tout devenait plus flou dans son esprit. Peut-être dû au manque d'oxygène. Je ne te conseille vraiment pas en fait... Même si je peux comprendre que c'est rageant et humiliant de se faire dresser par un gamin ! Maintenant, la ferme, et suce ! Rageant? Si seulement, il n'avait pas les boyaux comprimés par l'envie et le désir, peut-être pourrait-il être en colère. Sauf que ce sentiment n'était plus du tout ce qu'il avait en lui. Un gamin certes, mais qui enfin semblait démontré comment s'y prendre.
Sa tête fut amené vers l'avant, où là, il couina faiblement, avant de poser les mains bien à plat sur le mur derrière Andy, et tel un affamé, il se rua vers l'objet qu'on tenta de l'obliger à rendre. Au final, il n'aura pas fallut de beaucoup plus pour que son envie et sa vraie nature ne soit révéler. Venant, avec une perversité hors norme glissé la langue le long de la colonne. Remontant pour mieux la faire redescendre le long de sa gorge.
Zayne sentit la fièvre monté et il eut soudain, envie de mieux s'y prendre. Démontré tout le talent qu'il avait pu apprendre. Redressant les yeux vers le haut, pour admirer Andy, là il commença les mouvements de va-et-viens avec la tête. On aurait pu croire qu'il allait être moins enclin, mais il semblerait que ce fut tout le contraire. Mais il avait aussi promis de mordre, donc il ne démentira pas ses propos. Sauf que cela n'avait rien de la forte morsure. Non, son souffle chaud était poussé le long de l'objet et à petit coup de dent on attaqua la chair. Lui faisait bien sûr ressentir une petite peur, mais Zayne était un petit requin, ne faisait que montrer les dents, les présenter sans jamais les plantés. Sa langue jouait le long de l'objet, caressant là où il lui arrivait de mordre un peu plus.
Son souffre était des plus présent et là, les yeux remplis de désir, il continua, la main sur sa nuque était des plus invitantes à poursuivre, même s'il sentait la pression plus que présente dans son pantalon. Refermant les cuisses, il tenta de cacher un peu ce plaisir personnel et interdit qui le gagnait.
Andy s'était attendu à davantage de résistance, mais en réalité, il avait fallu guider Zayne vers l'action désirée, et cela suffisait à qu'il se soumette. Dans tous les cas, le jeune Bridgestone était des plus ravis lorsqu'il sentit le visage de son partenaire approcher de l'objet en question. Il serra les dents, excité à l'idée que cette dernière se glisse dans la bouche du brun. Il ne restait que si peu de distance entre son entrejambe et les lèvres du garçon, encore un petit effort ...
Enfin ! La diva se plaqua un peu plus contre le mur pendant que des bras puissants s'appuyèrent contre le mur, Zayne avait besoin de support visiblement. Préservant la main sur le crâne du garçon, qui se glissa aussitôt vers sa nuque pour l'inciter à poursuivre, le plaisir qui s'accumulait dans le corps d'Andy faisait danser tous ces organes, jusqu'à la création d'un orgasme qui le fit gémir de satisfaction mêlé d'un sentiment de puissance, de domination et d'une réelle jouissance suite à ce que l'homme exécutait plus bas. Il le maintenait, fermement, contre l'objet émerveillé, quand soudainement il sentit une infime pression de lui, et ... Des dents ?!
Andy était sur le point de le repousser méchamment si jamais les dents lui perçaient trop la chair, mais finalement, il n'eut aucunement mal. Il le mordillait, gentiment, certainement en guise de provocations mais pas assez fort pour le punir. Tant qu'il ne franchissait pas une certaine limite, tout était au mieux dans le meilleur des mondes. Toutefois, sa main se serrait sur la nuque de l'homme de manière à ne pas lui faire oublier qu'Andy l'avait menacé précédemment si jamais il tentait le diable. Finalement, le jeune étudiant perdit tous ses moyens tant le plaisir était à son apogée, il cloua ses yeux, et relâcha son corps contre le mur, laissant Zayne continuait le travail tant qu'il le désirait