(#)Sujet: Re: + wicked game ; madison et william. | Mar 14 Juil - 15:16
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Sur le trajet, William et moi nous étions mis à parler de notre journée enfin du bout de temps où nous étions séparés puisqu’il a fini plus tôt que moi. C’était assez chouette parce qu’on pouvait utiliser notre jargons médicale et se comprendre. C’est l’avantage de travail ensemble dans le même programme. Même si techniquement, il est à un stade plus avancé que moi. Oui monsieur sera titulaire avant moi mais je le vis bien. « Et dire que t’as été ma voisine pendant plusieurs mois et que t’es jamais venu me rendre visite une seule fois! Je devrais être vexé. » Plaisanta le jeune homme en avançant vers son appartement. Un sourire apparût alors sur mon visage. C’était chouette d’être ici et je me demandais même si mes nouveaux locataires prenaient soin de mon appartement. Oui, je suis toujours propriétaire ! « Et toi monsieur le pleurnichard, tu es venu me rendre visite ? Non. Tu es simplement venue me voir dans le local à poubelle. Que c’est romantique… » Rétorquais-je en riant légèrement avant qu’il ne me fasse entrer chez lui. C’était la première fois que je mettais un pied là. C’était… agréable. L’appart d’un homme quoi. Et ma grande surprise, une jolie chienne nous sauta dessus. Naturellement, je me mis à sa hauteur pour la caresser. William en prend soin visiblement puisqu’elle est très propre. Il nous fit les présentations et forcément, je pris sa chienne dans mes bras. Je sentais le chien mouillée mais elle devait surement avoir l’habitude. Peu de temps après, William revint avec une chemise dans sa main. « Tiens, tu peux enfiler ça si tu veux… pendant que je fasse sécher tes vêtements… » Me dit-il. Je partis donc dans sa salle de bain pour retirer mes vêtements et mettre sa chemise. J’avais tout de même gardée mes sous-vêtements en dessous. De retour auprès de William, ce dernier me regarda d’une façon assez étrange. « Ça te va très bien cette chemise! Mieux qu'à moi même! Faut le faire! » Souriait le charmant docteur en me regardant. Un petit rire s’échappa alors et forcément, je repris la parole de manière amusée : « Sans vouloir paraître prétentieuse, même un sac poubelle m’irait. Bon ok, je suis un peu prétentieuse là. » William prit ensuite son ordinateur portable et me proposa de choisir une recette pour qu’on cuisine ensemble. Je me mis donc devant l’ordinateur. «Je vais nous préparer des mojitos, ça te dit? » Un grand sourire s’afficha sur mon visage ! Bien sûr que ça me disait. Les mojitos, c’est toute ma vie. « T’es un homme à marié toi ! » Souriais-je amusée en le regardant. Il était parfait sur ce coup ! Rien de mieux qu’un mojito… « Je les aime sucrée. » Souriais-je en regardant son écrant d’ordinateur. Compte tenu du temps, je m’étais arrêtée sur une recette bien particulière et qui nous remplira clairement l’estomac. « Que dis-tu de faire des lasagnes ? » Lui souriais-je alors en le regardant. Ce dernier approuva. En même temps, je ne lui laissais pas tellement le choix. Je voulais des lasagnes. Je me permis donc de sortir les plats nécessaires pour cuisiner ainsi que les ingrédients. « C’est bon, j’ai trouvé la sauce tomates ! » Lui souriais-je en refermant le placard. Ce dernier était à côté de moi, il terminait les mojitos tandis que je commençais à étaler la sauce tomates sur les pates que j’avais précisément étalé dans le plat. Mon regard se tourna discrètement vers lui, il était concentré et un petit sourire diabolique se dessina sur mon visage. Peu à peu, je m’avançais vers lui et par derrière, je lui mis de la sauce tomates sur les joues avec mes mains en prenant soin de descendre jusqu’à son cou. J’étais amusée et je sentais déjà que ma soirée serait agréable en sa compagnie. « Mmmh je ne sais pas ce que tu es le plus ? Sexy ou appétissant ? »
(#)Sujet: Re: + wicked game ; madison et william. | Jeu 16 Juil - 3:58
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« Ah bon? Tu crois? » dis-je en riant avec elle car bon, son commentaire était prétentieux exposant 1000 mais dans un autre côté, je pouvais bien lui donner raison là-dessus. Elle serait belle même dans un sac poubelle mais bon, un plan pour lui faire enfler la tête et disons que je la préférais proportionnelle à son petit corps. Je lui proposai alors de faire des mojitos et cette dernière déclara aussitôt avec joie que j’étais un homme à marier. « Lève tes standards pour te passer la bague au doigt ma chère! Parce que si tu veux marier tous les hommes qui te font des mojitos, tu vas avoir tous les barmans du coin dans la mire. ». Je lui fis un clin d’œil en ajoutant le nécessaire dans les verres. J’aimais bien ça avec elle, car j’avais l’impression que je pouvais bien dire n’importe quelle connerie qu’elle allait toujours embarquer dans mes blagues et c’était sincèrement plaisant. La jolie blonde me mentionna qu’elle les aimait bien sucrés. « Ils seront donc sucrés. » ajoutais-je alors en continuant à faire le tout.
L’attention de Madison se reporta sur l’ordinateur et après un petit instant, elle me proposa de faire des lasagnes. Je haussai les sourcils car au départ, je pensais plutôt qu’elle allait me proposer de faire un dessert mais bon, si c’était ce qu’elle voulait. « Mhm… ça tombe bien, je suis le pro des lasagnes! Je ne sais même pas si tes papilles sont prêtes à goûter à mon chef-d’œuvre.» Bon, j’exagérais un peu… un tout petit peu. Je ne pensais pas qu’on pouvait faire des miracles avec des lasagnes quoi! C’était l’une des choses les plus simples à faire. Je lâchai les verres pour commencer à faire bouillir l’eau afin de pouvoir éventuellement y mettre les pâtes. Madison fouilla dans le garde-manger, elle n’était pas gênée la petite! Une chance que je n’y cachais pas des choses louches!!!! En même temps, qui cachait des trucs louches dans un placard à bouffe? J’avais l’imagination beaucoup trop fertile!
Alors j’étais magnifiquement concentré à terminer nos mojitos, je fus interrompu en sentant des petites mains venir se poser sur mes joues et m’attaquer littéralement de truc froid et humide et… brrrr… j’avais de la sauce tomate partout sur le visage et dans le cou. Je me tournai vivement vers Madison en lui attrapant les poignets alors, la regardant faussement choqué. « Tu caches bien tes tendances diabolique dernière ta petite bouille d’ange! » Elle me répondit qu’elle ne savait pas trop si j’étais sexy ou appétissant comme ça. Je haussai les sourcils. « Tu peux dire ce que tu veux Campbell, je sais que je suis ton plat préféré. » Puis d’un coup, j’inversai les positions pour la tenir entre moi et le comptoir. Tenant toujours ses poignets dans mes mains, j’approchai mon visage du sien en soutenant bien sérieusement son regard. Mes yeux se faisaient aller-retour entre ses lèvres bien invitantes et son regard légèrement déstabilisant. Puis lorsque ma bouche frôla la sienne, je pris aussitôt son visage à deux mains pour frotter ma joue contre la sienne, lui rendant son attaque de sauce tomate. Elle en avait maintenant plein le visage et je me reculai en riant, bien fier de mon coup. « Maintenant, on ressemble les deux à des bouteilles de ketchup! Mais t’inquiètes, je suis certain qu’on est toujours aussi sexy! » dis-je en riant toujours. Je me rapprochai du comptoir pour lui tendre son verre. : « Allez, on fait la paix! » dis-je en l’approchant du sien pour « porter un semblant de toast »
(#)Sujet: Re: + wicked game ; madison et william. | Jeu 16 Juil - 4:51
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Qu’est-ce que je pouvais rire ce soir en sa compagnie… Il est dépourvu de lourdeur et pour le coup, je le trouve vraiment drôle. C’est surement ce qui fait son charme et ce qui me plait tant chez lui si on oublie que ses épaules parfaites existent et qu’il est soit disant le roi des lasagnes. Et ayant énormément de répondant, j’apprécie qu’il en ait aussi. Ça rend les choses comme qui dirait, plus attrayante… Alors qu’il préparait nos mojitos soigneusement, une idée des plus diabolique arriva jusqu’à mon cerveau. Et sans perdre une seule seconde, je m’étais dirigée vers lui, discrètement et armée de sauce tomate sur les mains. Puis, sans qu’il s’y attende, je recouvris son visage de cette substance avant de descendre jusqu’à son cou. Je m’étais mise à rire ensuite, j’étais fière de mon coup et heureuse qu’il se soit fait avoir. Ce dernier se retourna rapidement vers moi et attrapa mes poignets, ce qui me fit rire d’autant plus qu’il affichait un air faussement choqué sur le visage. « Tu caches bien tes tendances diabolique dernière ta petite bouille d’ange! » Je m’étais mise à rire de plus belle avant de faire mine d’être innocente. C’était assez distrayant pour dire vrai. Surtout que pour le coup, je venais de gagner une belle manche. « Tu peux dire ce que tu veux Campbell, je sais que je suis ton plat préféré.» Ajouta ce dernier après que je lui ais fait part de mon interrogation le concernant. C’était hilarant, franchement. « Prouves le. » Rétorquais-je amusée en affrontant son regard. C’était juste une partie de plaisir, très clairement et j’aimais beaucoup l’ambiance. Je me sentais à l’aise en sa présence et j’adorai ce qu’il y avait entre nous présentement. Sans que je m’y attende, William inversa les positions, je m’étais retrouvée plaquée entre le comptoir et son corps. Son visage était en face du mien et mes poignets étaient toujours maintenus par ses mains. C’était un moment excitant et intense. J’avais envie de rire mais je me retenais, William me regardait dans le blanc des yeux et je ne pouvais pas encore lui rire au nez. Je voulais voir ses intentions. Et je ne fus pas déçue. En effet, ses lèvres frôlèrent les miennes un instant avant que son visage ne recouvre le mien de sauce tomate au bout du compte. Le salaud ! Il ne perd rien pour attendre. Il s’était d’ailleurs reculer pour me regarder en riant. Il ne perd vraiment rien pour attendre, parole de Madison Campbell. « Maintenant, on ressemble les deux à des bouteilles de ketchup! Mais t’inquiètes, je suis certain qu’on est toujours aussi sexy! » Dit-il en riant. Je m’étais alors mise à sourire en le regardant avant de faire mine de faire la tête. Il avança vers le comptoir et moi-même pour me tendre un mojito. « Allez, on fait la paix! » Affirma le jeune homme en approchant son mojito pour trinquer avec moi. « On fait une trêve temporaire, juste le temps de boire un peu ce que tu nous as préparé mais la guerre n’est pas terminé, sachez le docteur ! » Lui souriais-je alors avant que nos verres ne se percutent. « A ta victoire et à notre soirée !» Souriais-je amusée avant de porter le verre à ma bouche. Il est tellement bon, sucré comme je l’aime. William l’a réussi, clairement. Peu à peu, j’avais posé mon verre un peu plus loin sur le comptoir avant de lui prendre le sien des mains pour le mettre à côté du mien afin de pouvoir passer mes bras autour de son cou sans faire de dégâts. « Ton mojito est super, il est bien dosé, je l’aime. » Souriais-je en le regardant avant d’approcher mes lèvres jusqu’aux siennes pour engendrer un baisé simple au démarrage mais langoureux par la suite. Nos langues s’étaient en effet entremêlées cette fois-ci et je dois avouer qu’elles le fessaient parfaitement bien. « Mais tes lèvres manquent un peu de sucres... » Lui souriais-je en rompant ce baisé intense avant d'attraper son verre pour lui porter à la bouche et ainsi le faire boire. « Je pense que c'est mieux maintenant. » Souriais-je légèrement amusée en reposant son verre à côté du mien dans le but de pouvoir reprendre tranquillement possession de ses lèvres.
(#)Sujet: Re: + wicked game ; madison et william. | Lun 20 Juil - 2:13
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La paix me semblait une bonne option, surtout qu’on avait de quoi faire la trêve puisque j’avais finalement terminé nos verres. Il faut dire que je n’avais jamais cru qu’il serait aussi difficile que de faire à mange en compagnie de Madison. Elle était une bonne distraction. Il s’agissait là que d’une trêve temporaire, c’était bien que rien. La guerre n’était toutefois pas terminée. J’avais souris en secouant la tête. « Vous ne savez pas où vous vous aventurez mademoiselle Campbell. Je suis un adversaire de taille! » J’avais souris de plus belle lorsqu’elle avait annoncé ma victoire et notre belle soirée. « À tout ça… et à nos futures lasagnes aussi! » avais-je ajouté car bon, il ne fallait pas les oublier les petites.
Je pris une gorgée de mon verre qui était très bon. Madison me complimenta également à ce propos et j’étais bien heureux que ça lui plaise. J’avais toujours mon verre en main lorsque ma belle amie s’approcha de moi pour que je puisse profiter de ses lèvres à nouveau. Elle avait le don de me faire tourner la tête et en y mettant un plus de passion, elle me la faisait perdre totalement. Mes lèvres n’étaient pas assez sucées selon les dire de madame, ce fut la raison de l’arrêt de notre baiser. Pourtant, cette dernière prit mon propre verre pour me faire boire. J’avais bien ris de la situation quand même. « Bon voilà… tu m’as déjà fait manger et voilà que tu me fais boire. C’est quoi le prochain truc? Tu vas me laver peut-être? » dis-je en haussant les sourcils tout en affichant un petit sourire bien amusé. Ça pourrait être quand même plaisant d’aller sous l’eau avec elle… J’aurais bien pu essayer de terrer plus loin mes idées/fantasmes mais Madison n’aidait en rien alors qu’elle venait capturer mes lèvres à nouveau.
Son baiser était presqu’aussi parfait qu’elle. Je lui rendis bien et ça devenait de plus en plus chaud et non, le four n’avait rien à voir là-dedans. Après un bon moment à profiter de l’échange beaucoup plus délicieux que nos mojitos… et semblait-il qu’ils étaient délicieusement difficile à surpasser, je me décollai tout doucement d’elle pour croiser son regard. Le genre de regard qu’il était très facile de se perdre dedans. Un bleu encore plus impressionnant que toutes les mers. Ça donnait envie d’y plonger et de ne plus jamais en sortir. « T’es tellement belle… » chuchotais-je simplement en glissant mes mains sur ses hanches que je serai quelque peu. « Oh… et puis merde. » Je ne voulais plus me retenir c'est pourquoi je soulevai la jolie blonde pour la poser directement sur le comptoir de la cuisine. À côté des lasagnes que nous n’avions toujours pas mit au four parce que nous étions deux petits coquins totalement faibles. J’ouvris doucement les cuisses de Madison pour me glisser entre ces dernières, posant l’une de mes mains à l’arrière de sa cuisse droite pour la soulever doucement tandis que mon bras enroulait parfaitement sa taille pour la coller rapidement tout contre moi. Il était impossible de cacher l’effet qu’elle pouvait me faire, tout simplement impossible. Mes lèvres quittèrent un moment les siennes pour permettre à mon nez de frôler l’intérieur de son cou avant que mes lèvres ne se posent à nouveau à cet endroit.
(#)Sujet: Re: + wicked game ; madison et william. | Lun 20 Juil - 3:08
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L’ambiance était bien charmante. Rien de romantique mais disons que je me sentais en bonne compagnie et que William me mettait clairement à l’aise chez lui. C’est peut-être l’effet de la chemise. « Vous ne savez pas où vous vous aventurez mademoiselle Campbell. Je suis un adversaire de taille! » Lâcha William suite à mes propos, ce qui eut le don de me faire rire mais je n’avais pas répondu. Parfois, il vaut mieux se taire pour provoquer un effet de surprise un peu plus tard. « À tout ça… et à nos futures lasagnes aussi!» Répondis ce dernier avant de boire. Un sourire s’était alors affiché sur mon visage ensuite. Il en fallait parfois peu pour passer un bon moment. J’en étais ensuite venu à l’embrasser. J’en mourrai d’envie et clairement, mes lèvres étaient à chaque attirée par les siennes. Quand on y goute une fois, pourquoi s’en passer ? Seulement, pour l’embêter un peu, je lui avais dit qu’elle n’était pas assez sucré et j’avais donc porté son propre verre jusqu’à sa bouche pour remédier à la situation. « Bon voilà… tu m’as déjà fait manger et voilà que tu me fais boire. C’est quoi le prochain truc? Tu vas me laver peut-être? » Dit-il en haussant les sourcils, le sourire aux lèvres. Amusée, j’avais repris possession de ses lèvres pour engager un baisé langoureux où nos langues s’enroulèrent comme si elles en avaient toujours eu l’habitude. « Tu aimerais que je te lave docteur sexy ? » Lui murmurais-je amusée entre deux pauses respiratoires. J’étais dans l’un de ses moments où on se sent parfaitement bien. La chaleur grimpait de plus en plus entre nous. C’était un échange mutuel et je pense que l’un comme l’autre étions assez réceptifs. Au bout d’un moment, William se recula pour me regarder. Nos regards étaient ancrés l’un dans l’autre et seul un petit sourire s’était affiché sur mon visage. Il est tellement beau. Il a un regard si… prenant. « T’es tellement belle… » Chuchota le docteur en glissant ses mains sur mes hanches, veillant à les serrer quelque peu. J’appréciais son compliment. William est d’une douceur remarquable et j’aime énormément ça. « Merci. » Lui répondis-je en laissant le sourire présent sur mes lèvres. Ça me fessait du bien d’entendre ça car malgré ce qu’on pourrait penser, on ne me le dit pas souvent. Sans que je ne le voies venir, William me souleva pour me mettre complètement assise sur le comptoir. Il écarta mes cuisses pour se mettre entre et rapprocher son corps du mien. L’un de ses bras enroulait ma taille tandis que l’une de ses mains avait pris possession de ma cuisse. C’était impossible de refuser ce moment de complicité entre nous pour la simple et bonne raison que je ne le voulais pas. Je répondrai à mes envies ce soir, peu importe si cela est bon ou mauvais. Je ne veux plus me prendre la tête. Je désire William. Ses lèvres quittèrent ensuite les miennes pour que son nez puisse frôler mon cou un moment avant qu’il ne les ramène de nouveau. Laissant un petit sourire satisfait se dessiner sur mon visage. Peu à peu mes mains avaient enlevés son t-shirt pour qu’apparaissent ses épaules parfaites et son torse parfaitement bien tracé. J’adorai ce que je pouvais apercevoir, vraiment. Cela me mettait en joie. « Ouh ! Quel homme ! » Souriais-je pour le taquiner quelque peu. Mes jambes enroulaient sa taille tandis que mes bras étaient placés autour de son cou. Cette proximité me permettait de sentir le souffle de ce dernier sur le creux de mon cou. William me porta ensuite pour m’emmener dans sa chambre, certainement et je dois bien avouer que j’en étais parfaitement enchantée. « M’emmenez-vous dans votre bloc opératoire docteur ? » Lui demandais-je amusée en le regardant avant de l’embrasser intensément alors qu’il continuait de marcher.
(#)Sujet: Re: + wicked game ; madison et william. | Lun 20 Juil - 20:09
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Nous nous laissâmes totalement aller l’un à l’autre pour la simple et bonne raison que nous avions décidé de laisser nos désirs nous guider. Nous avions décidé de se laisser aller ensemble et je mentirais si je disais que ça ne me faisait pas plaisir. Madison était une femme remarquablement belle et il était difficile de rester lui rester indifférent. Je l’avais donc assise sur le comptoir dans le but de pouvoir l’embrasser et de pouvoir par le fait même, sentir son corps bien contre le mien. Au bout d’un moment, la jolie blonde décida de me retirer mon t-shirt et je levai les bras pour l’aider à m’en débarrasser. Sa remarque me fit rire. « C’est souvent l’effet que je fais aux femmes, oui. » dis-je en rigolant car bon, je disais complètement n’importe quoi. Ses jambes autour de ma taille, ses bras autour de mon cou, c’était plus fort que moi, je l’avais soulevé car j’avais une toute autre envie que de faire des lasagnes maintenant. Je portai Madison en l’embrassant toujours. « Bloc opératoire? Oui… je dois vous faire un petit examen pour voir si tout se porte bien Mademoiselle Campbell. C’est une consultation gratuite, vous avez beaucoup de chance! » Dis-je en souriant tout en la portant toujours jusqu’à ma chambre.
Nous continuâmes nos baisers et une fois à destination, je fermai la porte avec mon pied question qu’on ne se fasse pas déranger par la petite Kawa qui avait bien l’habitude de venir faire dodo avec moi dès que je me couchais dans le lit, là… c’était autre chose. Je posai Madison au sol, devant moi. Je ne pouvais cacher mon regard brulant d’envie pour elle. Elle avait éveillé quelque chose en moi et je désirais plus. Je plaquai à nouveau mes lèvres contre les siennes en détachant les boutons de ma propre chemise. Elle était bien belle avec, mais j’étais persuadé qu’elle serait encore plus sexy sans. Une fois les boutons détachés, je ne l’enlevai pas aussitôt, préférant me placé derrière elle, elle bougea ses cheveux sur le côté, me donnant accès à son cou tandis que mes mains se glissèrent contre ses hanches et que mon bassin venait se presser bien doucement contre ses fesses. Elle avait des formes qui donnait envie… elle avait un corps qui faisait rêver. Je me décidai finalement à faire glisser la chemise dans le but de lui retirer avec lenteur. Je pouvais bien sentir les frissons sur sa douce peau satiné, je voulais profiter du moment et mes lèvres glissèrent jusqu’à ses épaules maintenant dénudés tandis que la chemise tomba au sol. J’enroulai la taille de Madison de mon bras pour la tourner face à moi, un sourire sur le coin des lèvres, je vins poser ma main à sa joue pour l’embrasser à nouveau tout en la reculant jusqu’à mon lit. Dos contre le matelas, je me permis de me glisser par-dessus elle en venant déposer des baisers de son ventre jusque sur le dessus de sa poitrine encore cachée par son soutien-gorge. « Votre cœur bat vite, très vite… je vais devoir pousser l’examen plus loin. » chuchotais-je.
(#)Sujet: Re: + wicked game ; madison et william. | Lun 20 Juil - 22:19
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« Bloc opératoire? Oui… je dois vous faire un petit examen pour voir si tout se porte bien Mademoiselle Campbell. C’est une consultation gratuite, vous avez beaucoup de chance! » Avait souri William en me portant jusqu’à sa chambre. Amusée par ces propos, je m’étais bien entendu permise de répliquer entre deux baisers. « Ça tombe bien ça docteur ! Parce que je ne suis pas certaine d’être assurée pour ce genre d’examen !» Une fois posé sur le sol, mon regard tomba sur celui de William et un sourire s’afficha forcément sur mon visage. Il est beau et tellement beau que j’avais encore envie de l’embrasser. Je le regardais d’une manière dont je ne l’avais jamais regardé auparavant. Ce soir, il pouvait clairement voir l’attention que je lui portais. J’avais envie de le dévorer, j’avais envie qu’il me possède, j’avais envie d’être plus proche de lui que je ne l’ai jamais été. Sans plus attendre, ses lèvres se plaquèrent contre les miennes pendant qu’ils déboutonnaient lentement chaque bouton de sa chemise. Chaque bouton de la chemise que je portais. Je me laissais faire. Quelque part, j’appréciais qu’il pose ses mains sur moi et qu’il dirige les choses. J’aimais ressentir ce que j’aime tant dans ce genre de cas, j’aime ressentir qu’il est l’homme et qu’il sait ce qu’il a à faire. Contrairement au jour où je l’ai rencontré, William semble être devenu un homme avec le temps. Un vrai ? Ça reste encore à prouver ce soir mais j’ai bon espoir. Il se plaça derrière moi et naturellement, je pris ma chevelure pour la ressemblée sur l’un des côtés de mon cou afin de dégagée l’autre côté. Ceci permit à William de déposer de doux baiser à cet endroit et de me faire frissonner par la même occasion lorsque ses lèvres entrèrent en contact avec ma peau. Ses mains quant à elle descendirent le long de mon corps et son bassin se colla contre mon fessier. Je pouvais bien sentir son sexe à ce moment-là. Il paraissait dur et assez important mais je n’avais encore jamais fait sa rencontre alors je ne pouvais pas tellement affirmer la taille de ce dernier. Mais ce que je sais, c’est qu’il a l’air bien costaud et assez gros. C’est plutôt bon signe pour la suite des évènements. Peu à peu, il fit descendre ma chemise en veillant à embrasser mon cou et mes épaules par la suite. De nouveaux frissons parcoururent mon corps et je ne pus retenir le léger soupire qui sortit ensuite. Ce n’était pas n’importe soupire. Oh ça non. C’était un soupire de satisfaction. J’étais décontractée et bercée par la pluie qui tombait sur la fenêtre. Il attrapa ensuite ma taille pour me tourner vers lui en affichant un sourire au coin de ses lèvres avant de m’embrasser de nouveau en posant sa main sur ma joue. Je m’étais alors mise à sourire légèrement juste avant que le baiser ne devienne langoureux et qu’il nous entraine sur le lit. Il embrassa ensuite mon ventre avant de remonté jusqu’à ma poitrine, encore couverte par mon soutien-gorge. « Votre cœur bat vite, très vite… je vais devoir pousser l’examen plus loin. » Chuchota ce bel âtre. Amusée, je repris la parole aussitôt : « Très bien docteur mais permettez-moi de vous aider ! Il est important d’être à l’aise dans son bloc ! » Sans plus attendre, mes mains se dirigèrent jusqu’au bouton de son jean. En effet, je l’avais déboutonnée délicatement pendant que mes lèvres étaient entrées en collisions avec celles de Will une nouvelle fois. « Docteur, docteur. Ne soyez pas si pressé. » Souriais-je entre deux baisé, laissant l’accès à mon cou libre pour qu’il couvre ce dernier de baiser. J’allais surement avoir une marque rouge mais je m’en fichais, c’était tellement bon. C’est ensuite que mes mains avaient abaissé son jean jusqu’à ses genoux, laissant ses fesses rebondit de footballeur ressortir à travers son boxer. Mes mains se dirigèrent naturellement dessus afin de pouvoir les malaxer comme je pourrai malaxer une pâte volumineuse. « Mmh docteur Sexy, vous avez de beaux outils ! » Lui dis-je en glissant mes mains à l’intérieur de son boxer en affichant un sourire amusé sur mon visage.
(#)Sujet: Re: + wicked game ; madison et william. | Mar 21 Juil - 5:23
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Est-ce que j’aurais cru une seule seconde me retrouver dans cette situation un jour avec Madison Campbell? Pas le moindre du monde. Est-ce que j’étais heureux que ça se produise? Totalement. J’avais cette belle femme que pour moi, dans ma chambre… à moitié nue. Elle était si magnifique… il y avait tant à regarder, tant à toucher tant à embrasser. Je me sentais limite comme un petit garçon à Noël devant le sapin couvert de cadeau. Mais là... C’était encore mieux que de recevoir une voiture téléguidée ou bien un puzzle! J’étais maintenant au-dessus d’elle, à la parsemer de baiser tout en lui faisant la remarque comme quoi j’allais devoir pousser l’observation plus loin… car son cœur débattait un peu trop. En fait, j’en étais bien heureux… car ça voulait dire que c’était moi qui lui faisait cet effet et ça me rendait bien fier pour le coup. Cette dernière entra dans mon jeu, me disant qu’il fallait se mettre à l’aise dans le bloc. J’avais souris. « Ne te gêne surtout pas.» Ses mains s’étaient posée au bouton de mon pantalon tandis qu’elle m’embrassait toujours, je lui rendais ses baisers avec encore plus de passion, de désir. Elle m’informa de ne pas être si pressé. « Difficile. » avec elle sous moi ainsi, c’était très difficile d’avoir un certain contrôle.
Mes lèvres se pressaient à son cou, que j’embrassai à pleine bouche. Je pouvais sentir son parfum bien sucré, elle avait tout pour faire craquer un homme, littéralement. Je la laissai me débarrasser de mon pantalon. Du moins, jusqu’à mes genoux pour ensuite glisser ses mains dans mon boxer, au niveau de mes fesses qu’elle serra sans gêne. Je lâchai un petit rire à son commentaire. « Et tu n’as pas encore tout vu mon équipement! » Ok, c’était pervers… mais dans la situation dans laquelle nous nous trouvions, c’était pas du tout déplacé. Je lui volai un dernier baiser avant de me redresser dans le seul et unique but de pouvoir me départir de mon pantalon. Puis, à la place de reprendre ma position initiale, j’inversai ces dernières pour que Madison se retrouve au-dessus de moi. J’avais une vie tout à fait incroyable alors qu’elle se trouvait ainsi, à califourchon par-dessus moi. Dans cette position, elle pouvait bien sentir mon membre déjà prêt à tout, déjà bien heureux de la tournure des choses. Je glissai mes mains de ses hanches jusqu’à l’arrière de son dos pour ensuite me redresser afin de facilité l’accès à l’attache de son soutien-gorge que je me permis de détacher alors. La jolie blondinette m’aida en faisant glisser les bretelles de long de ses bas, soutenant mon regard d’une manière des plus sensuelles. Mon dieu! J’allais vraiment coucher avec cette fille moi? J’avais limite des étoiles dans les yeux, oui. Je ne perdis pas une seule seconde pour porter mes lèvres à ses seins que j’embrassai, mordillai quelque peu et suçotai. Elle avait une poitrine généreuse qui était bien plaisante à s’occuper. Je glissai en même temps mes mains jusqu’à ses fesses bien rebondies. Madison se mit à avoir la respiration beaucoup plus rapide, beaucoup plus courte. Elle me rendait dingue et ça m’encourageait à continuer.
(#)Sujet: Re: + wicked game ; madison et william. | Mar 21 Juil - 21:27
∞ wicked game.
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Ses fesses étaient parfaitement rebondi et très clairement, plus je les malaxais, plus j’avais envie de les toucher. Il me donnait de folle envie ce docteur ! J’ai envie de le sentir contre moi encore plus qu’en ce moment, j’ai envie de le toucher de partout, j’ai envie de sentir son odeur… J’ai envie de lui et de son corps d’apollon. William me rend toute heureuse en ce moment. Peut-être que ceci était dû à ce moment de complicité puisqu’il n’y avait rien de purement sexuel là-dedans, c’était un partage agréable entre deux personnes qui s’apprécie l’un l’autre. Nous sommes deux adultes, célibataires, on verra bien ce que ça donnerai mais une chose est sûre, ce soir, je vais profiter un maximum de sa présence et de son corps. Je veux le dévorer ! « Et tu n’as pas encore tout vu mon équipement! » Plaisantait le jeune homme suite à ma réflexion. Amusée, je m’étais mise à sourire en le regardant. « Non et j’ai hâte de faire sa connaissance. Je te dirai s’il est performant. » Ok, j’avais l’air aussi perverse que lui sur le moment mais nous sommes entre nous alors ce n’est pas bien grave. Ça ne change pas tellement de d’habitude, on plaisante ensemble et on prend les choses au second degré même si là, je meurs d’envie de rencontrer son équipement. Une fois le jean de William retiré, je m’étais retrouvée au-dessus de lui. Monsieur s’était arrangé pour inverser la position de chacun. C’était assez plaisant, j’aime quand ça bouge et j’aime clairement cette position. Oui, je suis à présent à califourchon sur le docteur et disons que je peux sentir à travers son boxer la dureté de son sexe. Je pouvais même le sentir légèrement bouger contre mon string. Je trouve ça très… excitant pour le coup. Je prenais même un malin plaisir à lui donner également envie en bougeant légèrement le bassin pour que nos deux sexe l’un contre l’autre à travers le léger tissus de nos survêtements. « Je vais bien m’occuper de vous ! » Lui souriais-je d’une manière assez sexy je dois bien l’admettre. D’ailleurs, mon regard devenu assez sensuel lorsqu’il dégrafa mon soutien-gorge en même temps que je pris soin de descendre mes bretelles. « Mmh... » Avais-je soupirée en laissant ma nuque vers l’arrière. Pourquoi cette réaction de plaisir intense ? Parce que William a embrassé mes seins avant de les mordiller et même de les suçoter. C’est mon point faible. C’est ce qui me rend heureuse, c’est ce qui me rend folle. Mon dieu, plus il continue et le désir me consume. J’étais chaude, bouillante, prête à être cueillie. Il posa en prime ses mains sur mes fesses et forcément ma respiration fut saccadé et plus courte. C’était incroyable. Je désirai William, là, tout de suite. Je le voulais. Peu à peu, je m’étais reculée pour me retrouver à genoux sur son matelas, la tête au niveau de son boxer. Sans plus attendre, je m’étais permise de le retirer avant de le regarder un peu plus dans les yeux et lui offrir un sourire gracieux. C’est ensuite que ma main prit possession de son sexe en effectuant des mouvements verticaux. Je voulais lui montrer que je pouvais être à l’écoute de ses désirs et lui faire du bien. Je voulais lui montrer que je savais ce que je fessais et que j’allais bien m’occuper de lui. C'est pourquoi, après ma main, ce fut autour de ma poitrine. J'avais en effet coincé son sexe entre mes deux seins avant de maintenir ses derniers pour qu'il puisse tout seul effectuer des mouvements verticaux. Mes lèvres s’installèrent ensuite quelques temps après sur son engin avant que ma bouche n’en prenne totalement possession. L’une de mes mains s’était sans le préméditer entremêler à l’une des siennes. C’était une façon pour moi de maintenant mon corps et d’intensifier mes mouvements buccaux. J’étais ensuite remonté sur son torse pour embrasser ce dernier et enrouler son téton à l’aide de ma langue.
(#)Sujet: Re: + wicked game ; madison et william. | Mer 22 Juil - 7:28
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Madison avait une poitrine des plus parfaites. Sa peau était douce, ses seins étaient bien ronds… une poitrine généreuse qui était tellement bonne à embrasser, à lécher. Mes baisers ne semblaient pas la laisser indifférente et moi, j’étais vraiment un homme comblé à l’avoir comme ça par-dessus moi… presque totalement nue. Puis, Madison prit les choses en mains pour me retirer mon boxer. Mon sexe était bien dressé et bien gonflé, bien prêt pour elle! Elle m’offrit un sourire, était-elle au courant à quel point elle était magnifique? Mon cœur fit un bon énorme dans ma poitrine lorsqu’elle commença à me toucher avec sa main, m’offrant des caresses bien satisfaisante. J’aurais pu largement me contenir de ça, c’est pourquoi ce fut le comble lorsqu’elle enroula mon membre de ses seins pour me masturber de la sorte. J’avais balancé la tête vers l’arrière en laissant un petit soupire de bien être s’échapper de ma bouche. Cette fille… elle savait s’y prendre et c’était bien la première fois qu’on me faisait un truc dans le genre. Ce fut ensuite le tour de sa bouche, j’avais vraiment le droit à la totale. J’avais redressé la tête, passant ma main dans ses cheveux pendant qu’elle enfonçait mon sexe entre ses lèvres. Puis, elle s’arrêta au bon moment car j’étais sur le point de lui dire de le faire. Je ne voulais pas que tout s’arrête dès maintenant… Je voulais pouvoir la posséder, je voulais me fondre en elle et lui faire l’amour, je voulais la faire jouir à son tour… lui faire atteindre le 7ième ciel et la combler comme elle le méritait.
« T’es parfaite! » Elle venait d’allumer quelque chose en moi qu’il était impossible d’éteindre. Je tournai Madison sur le dos, venant plaquer mes lèvres contre les siennes, cassant la barrière de ses dents afin que ma langue vienne à la rencontre de la sienne. J’entrepris de descendre sa petite culotte, Madison remonta ses jambes, pour me faciliter la tâche de lui retirer son dernier morceau de vêtement plus facilement. Mon visage descendit de plus en plus, pressant mes lèvres contre sa peau à quelques reprises. Lorsque je fus à l’endroit tant désiré, j’ouvris ses cuisses, venant placer ses jambes par-dessus mes épaules dans le but de me donner un accès parfait à son intimité où je m’empressai d’y enfoncer ma langue. Faisant pression sur son bouton de plaisir que je m’amusais à sucer, et où ma langue s’activait assez rapidement. Le bassin de Madison se soulevait tout naturellement et je pouvais entendre sa respiration devenir saccadé mais je n’avais pas terminé avec elle, loin de là même. Je déposai des baisers dans l’intérieur de ses cuisses avant de continuer mon manège à la partie la plus sensible de son corps, je me contentai pas uniquement de lui offrir du plaisir avec ma langue. Elle était bien humide, c’est pourquoi j’enfonçai au même moment un doigt en elle où je commençai de bons va-et-vient et lorsqu’elle s’y habitua, j’enfonçai deux doigts tout en accélérant le rythme de plus en plus. Le mélange de ma langue et de mes doigts eut l’effet que je recherchais : soit de lui soutirer de nombreux gémissements de plaisir. Elle jouissait et moi, ça me rendait bien fier et ça m’excitait au plus haut point. Je lâchai le tout d’un coup pour remonter vers moi et venir plaquer mes lèvres sur les siennes, prenant sa lèvre inférieure entre mes dents pour ensuite le chuchoter : « J’en peux plus… tu me fais perdre la tête. »