∞ wicked game.

w i l l i a m . a r m s t r o n g . f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .

C’est un moment de partage incroyable parce qu’à mon sens, j’étais prête à tout lui donner ce soir. C’est surprenant mais William, je le vois d’une façon particulière. Il y a toujours eu ce petit truc entre nous depuis notre première rencontre mais je suppose que l’heure n’étaient pas encore arrivée. Sauf qu’aujourd’hui, l’heure et belle est bien arrivé. Je suis dans cette posture où il est impossible et inconcevable de faire machine-arrière. J’avais envie d’être tout à lui autant que j’avais envie qu’il soit tout à moi. Je voulais m’unir à lui et me sentir libre dans ses bras. Libre de profiter de ce moment et libre de passer du bon temps. Libre de me lier à lui d’une certaine façon car ce n’était pas ma première fois en tant que tel mais c’est bien notre première fois ensemble et contrairement à ce que l’on pense, une première fois avec quelqu’un peut être savouré, elle peut être remarquable et spectaculaire. Je veux que ça soit spectaculaire.
« T’es parfaite!  » Un sourire s’était alors dessiné sur mes lèvres. William ne cessait de me complimenter et je pouvais bien me rendre compte qu’il est le genre d’homme respectueux et attentionné. Lily a été folle de se comporter avec lui comme elle l’a fait. « C’est souvent l’effet que je fais aux hommes. » Plaisantais-je en réajustent ses propos passés où monsieur se vantait de faire de l’effet aux femmes.
Il me plaqua tout à coup contre le matelas en y collant mon dos. Cette action me fit sourire et me mit automatiquement en joie. Ses lèvres vinrent se mêler aux miennes afin que nos langues s’assemblent. Et à ce moment précis, je ressentais quelque chose de bien puissant malgré la douceur de William. Il était doux, c’est vrai mais il s’est très bien y faire. Et ça, c’est quelque chose de séduisant.
Je m’étais mise à frissonner lorsqu’il retira mon string et qu’il couvrit mon corps de baisé. Ses lèvres humides sur ma peau réveillaient tous mes sens. « Là, c’est toi qui est parfait! » Soupirais-je subitement entre deux respirations assez saccadés. C’était quelque chose… Quelque chose de sacrément enivrant. Mais ce n’était à rien à côté du moment où il déposa mes jambes sur ses épaules pour entrer en contact avec mes parties intimes à l’aide de sa langue dans un premier temps puis de son doigt et ensuite de son deuxième doigt. « Mmh... » Avais-je lâché à plusieurs reprise lorsque mon bassin s’éleva naturellement. Quelle sensation ! Je ne m’en lasserai visiblement jamais. C’est intensément bon ! Et ça, il peut clairement s’en rendre compte puisque mes parties intimes sont de plus en plus humides. Plus il accélérait le rythme de ses vas et viens et plus je gémissais de plaisir, plus je m’humidifiais. « Mon dieu… » Soupirais-je de plus belle avant de gémir encore plus fort. Il ne s’arrêtait pas, il allait toujours plus fort, toujours plus loin avec ses doigts, rendant ainsi la cadence encore plus importe.
Clairement, je jouissais, j’étais dans un état second. J’étais bien et je voulais rester figée sur cette agréable et excitante sensation. Oui, je suis émerveillée par le savoir-faire de cet homme. J’étais même impressionné. Et ceci me fessait sous-entendre que le meilleur restait encore à venir.
Il prit ensuite possession de ma lèvre inférieur à l’aide de ses dents avant de chuchoter : « J’en peux plus… tu me fais perdre la tête. » C’était plaisant à entendre, c’était plaisant d’être aussi complice que lui. Je me sentais comme la plus belle merveilleuse du monde à ses yeux et c’était une sensation dont je ne me lasserais pas. Quand un homme cherche à vous faire ressentir que vous êtes merveilleuses, c’est dans un sens une belle déclaration en soi et j’apprécie ça. Je suis heureuse de partager ce moment avec lui, vraiment. « Et toi tu me fais regretter de ne pas t’avoir embrassé plus tôt. » Chuchotais-je à mon tour en laissant mon regard s’additionner au sien. Oui, je le regardais avec douceur et même avec passion je crois. Oui, mon regard était passionnel. William m’avait déjà procuré une grande satisfaction. Comme quoi, les préliminaires c’est une chose importante.
J’avais alors posé mes deux mains sur son visage pour l’embrasser de nouveau. Je voulais à nouveau sentir ses lèvres contre les miennes et même plus que ça, je voulais que nos langues se mélanges avec brio. « J’ai envie de toi William Armstrong. » Lui murmurais-je entre deux baisés. J’avais envie qu’il prenne possession de mon corps, je n’en pouvais plus. Je pouvais même sentir son corps contre le mien, son sexe contre mon sexe. Oui, je sentais la longueur de celui-ci, je sentais même qu’il était fort et bien gros. Je sentais que William allait être convaincant parce qu’en réalité, il l’est déjà beaucoup. C’est pourquoi, mes mains glissèrent le long de son dos pour prendre possession de ses fesses une nouvelles fois afin de les malaxer, de les masser et de les faire légèrement avancer, permettant ainsi à son sexe de bouger légèrement sur le mien. Je pouvais bien sentir sa verge et c’était aussi agréable qu’amusant.
Mes jambes s’écartèrent plus encore par la suite afin que mes chevilles viennent ensuite se croiser au-dessus de son dos. J’étais bien prête. Oui, William pouvait à présent passer à l’action.

∞ wicked game.

w i l l i a m . a r m s t r o n g . f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .

Elle m’avait bien fait rire lorsqu’elle m’avait dit que j’étais en train de la faire regretter de ne pas m’avoir embrassé plus tôt. Nous nous étions embrassés encore et encore. Je pensais bien que des deux côtés, nous étions prêts à passer aux choses sérieuses. Nos corps s’appelaient, nos sexes se cherchaient Madison m’avait dit qu’elle avait envie de moi et ça… c’était beaucoup trop plaisant à entendre. « Envie partagée » avais-je chuchoté à mon tour entre deux autres baisers. Je sentis ses jambes s’enrouler au-dessus de mon dos. Je voyais ça comme un « go » et ça me faisait bien plaisir.  « Un instant.. » Je me redressai quelque peu pour atteindre de mon bras le premier tiroir de ma table de nuit que j’ouvris pour en sortir un préservatif. J’avais fait l’erreur d’oublier avec Lily et ça nous avait bien fait peur, je ne voulais pas que ça se produise avec Madison en plus. J’étais un homme responsable quand même! J’ouvris rapidement l’emballage et me l’enfilai en un rien de temps. Je gardai mon sexe dans ma main pour pouvoir ainsi pénétrer bien doucement Madison. Non là l’envie de me vanter mais je savais que mon membre dépassait la moyenne niveau grosseur. Je l’avais bien vu dès la puberté à force de se tenir dans des vestiaires d’équipes sportives. C’est pourquoi je commençai à mouvoir le bassin bien doucement en Madison, je ne voulais pas lui faire mal ou sembler déplaisant. C’était étroit, c’était chaud… c’était bon et je frissonnais… je voulais voir ce plaisir grandir encore et encore.

J’avais enroulé mes doigts autour de ceux de la main droite à ma partenaire, légèrement au-dessus de sa tête. Je la regardai dans les yeux tandis que je venais en elle à un rythme constant bien assez lent pour qu’elle puisse parfaitement bien me sentir à l’intérieur d’elle, la moindre petite sensation. Après un bon moment ainsi, je lui volai un baiser avant de me positionner à genoux devant elle. Je relevai encore plus ses cuisses et mes mains se glissèrent sous ses fesses pour remonter un peu plus son bassin dans le but de pouvoir la pénétrer bien complètement. Madison poussa un petit gémissement qui me fit bien plaisir. Elle n’avait encore rien vu et j’avais bien l’intention de lui faire vivre un moment haut en émotion. Je lâchai ses fesses pour glisser mes mains jusqu’à hanches que j’agrippai quelque peu.  Bien positionné, je recommençai ainsi des va-et-vient en elle, plus rapide… je prenais de la vitesse, c’était d’ailleurs un peu plus dur, un peu plus sauvage. Nos respirations devenaient de plus en plus bruyante, plus saccadées et servaient de fond sonore de même que nos sexes qui entraient merveilleusement bien en contact. Le bassin de Madison était totalement réceptif au mien et s’harmonisait de manière bien naturelle. Je commençai à perdre le contrôle lorsqu’elle commença à gémir. Bon sang que c’était excitant. Je penchai mon corps vers l’avant, enroulant son corps qui me plaisait tant de mes bras en atteignant ses belles lèvres et les embrasser. Je laissai un râle de plaisir, presqu’un grognement s’échapper de ma gorge tellement le plaisir devenait incontrôlable. Les ongles de Madison s’enfoncèrent dans mes épaules et moi, je continuais à aller et venir en elle, sentant son souffle bien chaud dans mon cou.

∞ wicked game.

w i l l i a m . a r m s t r o n g . f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .

« Un instant !  » Dit-il en se penchant vers son tiroir pour attraper un préservatif.  Il avait bien raison même s’il ne risquait rien avec moi. Il l’ignore mais mes chances de concevoir sont très très faible aux dernières nouvelles. Je suis actuellement un traitement pour améliorer tout cela mais rien n’est gagné. Je suppose que j’en serais plus lors de mon rendez-vous chez le gynécologue.
William n’avait pas eu de mal à enfiler sa capote et il n’avait pas non plus eu de mal à passer à l’action. Il maintenait son sexe à l’aide de sa main afin de me pénétrer doucement en bougeant légèrement le bassin. C’était agréable, vraiment très agréable. Je frissonnais déjà lorsque je sentis sa verge s’insérer. Il commença avec un rythme constant puis au fur et mesure, il prit appuie sur ses genoux en soulevant un peu plus mon corps afin de poursuivre ses mouvements d’une façon beaucoup plus complète. Il venait réellement de prendre possession de mon corps et forcément, je m’étais mise à gémir de nouveau, montrant à William le plaisir qu’il me promulguait. Et lorsque le rythme devenu plus intense, mes gémissements fit de même. Je m’étais même mise à crier quelque peu durant ses vas et vient beaucoup plus rapide. William ne s’arrêtait pas et notre plaisir non plus. L’acte en lui-même devenait de plus en plus « violent » dans le sens où il me donnait toujours plus de satisfaction, toujours plus de plaisir. C’était excitant et aussi surtout très bon ! Je me sentais en parfaite harmonie avec William, sur la même longueur d’onde et épanouie grâce au plaisir qu’il me donnait. Qu’il est doué, mon dieu… Je fonds littéralement. Et puis il a ce regard, cette manière de me regarder et de montrer à quel point je suis désirable, à quel point il me trouve belle et finalement, à quel point je peux compter pour lui en ce moment. Je ne peux qu’être charmé par un tel homme.
Il se pencha en avant et enroula mon corps de ses bras avant de venir déposer ses douces lèvres contre les miennes. C’était merveilleux. Quant à moi, je continuais d’encourager ses vas et viens en l’aidant dans cette démarche. J’essayais de suivre son rythme au mieux et je pense bien y parvenir. Je ne cessais pas de gémir non, je continuais encore et encore. Laissant même mon souffle s’évaporer sur le cou du footballeur présent devant moi. Mes ongles s’étaient automatiquement plantée dans son dos, j’avais besoin d’un appuie à cause de la vitesse de ses mouvements. Oui, William allait de plus en plus vite et ne ralentissait pas. Il était lancé et je dois bien avouer que j’eus beaucoup de mal à retenir mes gémissements de plaisir « Ouiiiiiii……. » Hurlais-je pratiquement sur le moment. William me fessait un bien fou et tout l’immeuble devrait être prêt à l’entendre. Y compris mes locataires qui ne devaient pas être bien loin puisqu’ils vivent dans mon appartement.
Mes mains descendirent le long de son dos pendant que mes orteils se pliaient. Signe que j’étais en ce moment-même entrain de jouir. Je sentais d’ailleurs une nouvelle chaleur faire son apparition, surement que William atteint son seuil de satisfaction lui aussi.
Ma respiration étant toujours aussi saccadé, j’avais laissé mes yeux se fermer pour reprendre mon souffle. « C’était... woouh. » Lui dis-je dans un premier temps en continuant de savourer l’effet qui était encore bien présent en moi. « Tu étais woouh. » Terminais-je essoufflée mais souriante. C’était un moment que je n’oublierai surement pas. Ma première fois avec lui, avec William. Bon sang… C’était grandiose.

∞ wicked game.

w i l l i a m . a r m s t r o n g . f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .

Ça avait été totalement explosif. On s’était donné l’un à l’autre de manière puissante, de manière totalement incontrôlable. Ça avait été passionné, et incroyablement bon. J’avais fait jouir Madison haut et fort et après lui avoir fait atteindre l’orgasme, je m’étais permis de me laisser aller moi aussi et la rejoindre dans ce petit moment euphorique qu’on aimait tant ressentir. Mes muscles s’étaient contractés d’un coup avant de se relâcher. Mon cœur battait à toute allure et j’avais chaud mais ça avait valu totalement la peine. Je m’étais donné comme ne jamais dans le but de lui faire plaisir et je pensais bien avoir réussi. Je restai toujours en Madison, la regardant en souriant, je ne pouvais pas enlever ce petit visage de sur mes lèvres. Même après le sexe ainsi, elle était toujours aussi belle, surtout qu’elle avait les yeux bien brillants. Je passai ma main sur sa joue, enlevant une mèche de ses cheveux au passage. J’essayais de reprendre mon soufflant en même temps que mon amie.  « J’admire ta variété d’adjectif. » dis-je en riant.

Je me retirai d’elle et bien malheureusement. Il faut dire que me retrouver ainsi en elle était un vrai bonheur et j’osais espérer que ça puisse se reproduire entre nous. Je me redressai pour me débarrasser de mon caoutchouc et me replacer à ses côtés, sur le côté. Je glissai ma main sur son corps bien désirable et totalement à la vue. Est-ce qu’elle avait idée à quel point elle était magnifique. Je déposai un baiser sur son épaule, puis sur son sa joue… et sur ses lèvres. « Tu étais woouh aussi. » dis-je doucement en lui offrant mon beau sourire. J’étais couché sur le côté, la tête accotée dans la paume de ma main et redresser sur mon coude pour pouvoir bien la voir. Mon doigt traçait son chemin, du haut de sa poitrine, jusqu’à l’aréole de son sein gauche où je fis le tour bien doucement et descendre ensuite jusqu’à son ventre… où je frôlais sa cicatrice. Je fixai cette dernière un petit moment.  « Je me disais qu’une si belle fille ne méritait pas de souffrir. Que c’était impossible que je ne puisse plus revoir ton regard et ton beau sourire. » dis-je un peu perdu dans mes pensées. Je relevai la tête vers elle. « On ne se connaissait pas à ce moment… mais c’est moi qui s’est occupé de toi à l’hôpital. » Elle savait très bien de quoi je parlais, car je passai ma main où il y avait déjà eu autrefois, une balle, une balle qu’elle s’était envoyé elle-même, de manière volontaire, dans le ventre.
.

∞ wicked game.

w i l l i a m . a r m s t r o n g . f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .

J’’essayais de reprendre mon souffle progressivement mais ce n’était pas si facile. Quand on atteins l’orgasme, on est dans un état second très clairement. Néanmoins l’avoir devant moi, ce beau mal, ça m’aidait. Je le regardais autant qu’il me regardait. Je réussissais même à me perdre dans son sublime regard. Il me donnait l’agréable sensation d’être unique à ses yeux et ça clairement, ça n’a aucun prix. « J’admire ta variété d’adjectif. » Dit-il en passant sa main sur ma joue, le regard toujours posé sur le mien et le sexe toujours à l’intérieur du mien. A ces mots, je m’étais donc mise à sourire avant de lâcher un léger rire finalement.
Quelques instants plus tard, son préservatif fut retiré à l’instar de son sexe. Monsieur s’était installé à côté de moi sur son lit avant de déposer sa main sur mon corps. J’aimais la sentir contre moi, ça réussissait encore à me faire frissonner. « Tu étais woouh aussi. » Souriait William après m’avoir embrassé sur mon épaule puis sur ma joue et mes lèvres. Il y avait quelque chose d’indéniable entre nous, un lien exceptionnel. Et je pense que le refouler n’a été qu’une perte de temps. Je suis donc bien heureuse d’avoir osée laissé les choses se faire parce que j’ai passé un moment merveilleux avec lui. « Et tu n’as encore rien vue ! » Lui souriais-je alors avant de me tourner un plus vers lui et de poser ma main sur sa joue pour l’embrasser avec délicatesse. Tout comme lui, ma tête était redressée grâce à la paume de ma main. Je voulais pouvoir le regarder dans les yeux sans aucun problème.
Doucement, il fessait le tour de mon sein avec ses doigts, ce qui me fit doucement sourire. Il était plein de marque de tendresse et il sentait bon même s’il était encore tout en sueur. Son doigt avait terminé par descendre jusqu’à mon ventre et plus précisément jusqu’à ma cicatrice. J’avais essayé de mettre fin à mes jours dans un moment de paranoïa absolu dû à l’effet des amphétamines que je prenais. C’est une période de ma vie passé et à laquelle je ne veux plus penser je suppose. « « Je me disais qu’une si belle fille ne méritait pas de souffrir. Que c’était impossible que je ne puisse plus revoir ton regard et ton beau sourire. » Confia William alors qu’il semblait être perdu dans ses pensées. Je ne comprenais pas tellement… C’est pourquoi je le regardais de façon interrogatrice. « On ne se connaissait pas à ce moment… mais c’est moi qui s’est occupé de toi à l’hôpital. » Ajouta le jeune homme en redressant son regard vers le mien. Sa main passait à l’endroit même où je m’étais faite cette cicatrice. Je n’avais donc pas de mal à comprendre mais j’étais surprise car j’ignorai qu’il avait pris soin de moi. « Vraiment ? Je l’ignorai… » Lui dis-je doucement en le regardant, j’étais un peu gênée puisque cela signifie qu’il sait que je me suis moi-même tirée cette balle. « Je suppose que je dois te remercier pour avoir pris soin de moi. » Lui souriais-je légèrement avant de me redresser et d’avancer mon vissage vers le sien pour que mes lèvres rencontrent de nouveau les siennes. Je m’étais même mise à sourire contre ses dernières, j’étais bien en ce moment et j’avais même envie de le taquiner encore un peu.
Ainsi, j’avais descendu mes lèvres sur son cou afin d’y déposer de multiple baisé avant de finalement me retrouver une nouvelle fois à califourchon sur lui. « Les mains en l’air Cowboy ! » Lui dis-je de façon amusée en le regardant. Il était tellement beau, mon dieu ! J’avais envie de l’embrasser encore et c’est d’ailleurs ce que je fis. Seulement, j’en avais profité pour attraper un oreiller afin de lui donner un coup sur le visage. Je n’y avais pas été fort mais assez pour que ça soit amusant. Je cherchais les problèmes, je le sais mais après tout, je suis une femme provocatrice.

∞ wicked game.

w i l l i a m . a r m s t r o n g . f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .

J’avais confié à Madison que je m’étais occupé d’elle alors qu’elle avait fait sa tentative de suicide. Ça me faisait encore tout étrange de penser à ça… car j’avais l’impression que c’était littéralement dans une autre vie tellement elle rayonnait maintenant, tellement elle ne semblait pas du tout être la même jeune femme d’il y a plus d’un an. C’était une chance qu’elle ait retrouvé le bon chemin. Comme je le pensais, elle ignorait cette information et me proposa alors de me remercier. « Je mérite pas de remerciement. J’ai fait mon travail. Même si techniquement… tu n’avais pas été à la base ma patiente. » J’avais demandé à changer de dossier avec un autre médecin car son cas m’avait tenu à cœur. « Finalement… je dis pas non à un merci. » dis-je alors qu’elle se retrouvait par-dessus moi pour m’embrasser.

Elle me demanda de mettre les mains en l’air et je m’accrochai à la tête du lit en souriant. Puis, sans que je me doute de quoi que ce soit, j’avais reçu un coup de coussin sur mon beau visage!!!!!  « Tu vas regretter. »  Je la pris par les hanches puis d’un coup, j’inversai les positions pour me retrouver par-dessus elle et l’attaquer à mon tour avec le coussin. J’ébouriffai sa belle chevelure blonde pour qu’elle en ait plein le visage avant de lui sourire de toutes mes dents en l’aidant à se dégager un peu et retrouver ainsi la vue. Je vins lui voler un baiser les lèvres puis un deuxième car il était bien difficile de ne pas faire autrement. Est-ce qu’elle avait idée à quel point elle embrassait bien? C’était un simple délice! Je me décollai d’elle finalement… après un bon échange encore bien chaud, bien langoureux. « Je ne sais pas pour toi… mais je meurs de faim et nous avons tout bonnement abandonné nos lasagnes! T'as déjà vu des lasagnes faire la gueule? Moi oui et c'est pas beau à voir. » Je fronçai les sourcils avant de rire et de me lever du lit le premier, un peu à contre cœur quand même.

Nous nous habillâmes… du moins, Madison remit ma chemise et moi, j’enfilai mon boxer et mon jeans et nous retournâmes à la cuisine pour faire à manger. Elle passa le restant de la soirée et de la nuit avec moi. Une belle compagnie et nous passâmes un autre bon moment d’intimité. Les voisins allaient en avoir marre de nous entendre car nous étions sérieusement tout sauf discret mas nous en avions rien à faire. On prenait notre pieds ensemble et c’était tout simplement top. Le lendemain matin, je m’occupai bien d’elle en lui offrant le petit déjeuner pour ensuite aller la reporter à sa voiture. J’en avais pas envie… mais on se promit de se revoir bientôt. Elle était toujours la bienvenue chez moi.

FIN DU`SUJET.
.