(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO SIX– DEREK & THOMPSON. | Ven 8 Jan - 20:41
L'homme d'affaire n'était pas du genre à s'avouer vaincu facilement, ce n'est pas un simple jouet qui allait lui enlever tout crédit, bien au contraire, il allait plutôt en tirer profit. Montrer quel genre d'homme sexy il pouvait être. Certes, il en oublia son travail, comme à chaque fois. Son plaisir prenant le dessus sur les obligations. Venant à glisser cet objet indécent à lui, il pu ensuite jouer les bonniches et se montrer. Il était fier de son corps, adorait cette demi-nudité qui dévoilait tout du bas de son corps. Mais il était là, narguant son amant avec le plus grand des malices. Il vit bien ce dernier au proie des plaisirs qui le hantaient. « Oh tu veux jouer à ça ? Très bien ! » Jouer à? Voyons il était le plus sage des garnements, qui repoussa son pantalon du pieds tout en voyant Thompson foncé vers lui. Quel taureau, il voulait vraiment faire mordre la poussière à Derek qui affichait ses petits airs supérieurs. Ce dernier déchanta plutôt rapidement quand une main se posa sur son anatomie. Là, il tressailli de faiblesse, tournant un peu de l'oeil. On l'obligea a s'asseoir sur le fauteuil, les fesses bien posés sur ce dernier. Ce qui poussa bien au fond de lui le jouet.
''- AH!!! ''
Petit cri de plaisir et il eut le teint bien rouge, mais il le détourna, mine de son malaise plus que présent. « Vas-y, travaille, fais comme si je n’étais pas là ! » Plutôt difficile de l'ignorer, lui et cette main qui le touchait.
Pire encore, quand il sentit la gorge plongé sur sa verge. Là, il écarquilla les yeux de surprise.
Fin grognement, avant qu'il ne ferme les yeux dégustant avec plaisir, les sensations étaient bien plus que présente et il était là, frisonnant comme cela lui arrivait que trop peu. De plus en plus, il aimait ce qui était en train de se passer, c'était des plus érotique.
Le téléphone poussé vers lui avec l'ordre de travailler, le fit grimacer, non décidément, cette envie là était passé. Naquit plutôt chez lui un autre désir. Oui, ses doigts se promenèrent sur la vitre tactile de l'appareil. Il appuya à plusieurs reprises sur l'appareil, puis une fois sur le côté, comme s'il cherchait une application quelconque. Et là, un flash tomba sur Thompson, prenant en photo cette perversité.
''- Fallait pas me dire de travailler....hmmmm j'suis... ahhh plutôt... bon enn... ahhh photographe... ahhh... ''
Un petit sourire mesquin et amusé et là, il caressa les cheveux de Thompson, plus pour prendre appui que vraiment le guider dans l'acte. Les doigts sur la nuque, s'y promenant allégrement. Les sensations deviendront de plus en plus insoutenable et quand il sentit le tout ne pas pouvoir prendre son expansion complet, il baissa les yeux. Les doigts faisaient un étau, l'index bien appuyé à la base, coupant semble-t-il son petit tunnel.
Par contre, n'avait-il pas un repas en préparation? Et une petite odeur de brûler qui hantait le chalet?
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO SIX– DEREK & THOMPSON. | Ven 8 Jan - 20:52
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO SIX– DEREK & THOMPSON. | Ven 8 Jan - 22:47
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO SIX– DEREK & THOMPSON. | Ven 8 Jan - 23:12
Il s’était précipité vers la cuisine, délaissant le pauvre Derek qui put enfin relâcher la pression, même si ce ne fut pas dans les meilleures conditions. Mais c’était ça ou laisser le chalet brûler, et Thompson arriva à temps pour arrêter le feu sous la casserole et enlever celle-ci des fourneaux : vu son cul tout noir, il s’en était fallu de peu.
Désolé, il regarda la cuisine en chantier et se dit qu’il allait devoir tout recommencer… Un soupir agacé lui échappa et il tourna la tête vers son amant qui revenait, attrapant un linge pour s’essuyer sans aucune pudeur. Ils étaient bien trop intimes pour que Thompson pense même à s’en formaliser et il déposa la casserole dans l’évier, retenant une envie acerbe de répondre à son amant. Oui il n’était pas doué mais Derek le savait, et Thompson avait naïvement espéré que durant un temps, il mettrait de côté sa fierté d’homme riche pour l’aider à la cuisine, mais non ! Et voilà qu’ils se retrouvaient avec une casserole en moins et un repas qui n’allait jamais cuire s’ils continuaient ainsi.
Visiblement le regard noir de Thompson paya car Derek finit par abdiquer et proposa son aide, certes un peu à contrecoeur mais c’était déjà une petite victoire en soi. Alors Thompson prit une nouvelle casserole qu’il lui tendit :
« Tu la remplis d’eau et tu mets à chauffer. Ce soir on se contentera de pâtes, je n’ai pas le courage de tout recommencer. Heureusement que j’ai acheté des sucreries pour le dessert, ça compensera. »
Il laissa donc Derek se débrouiller pendant que lui-même tâchait de nettoyer l’horreur de la casserole brûlée avec le fromage fondu à l’intérieur qui avait pris. Heureusement le jouet s’était arrêté et il put se concentrer sur sa tâche, s’escrimant comme un beau diable contre la pauvre casserole. Lentement ses yeux revinrent souvent se poser sur Derek, et au bout d’un moment, il s’arrêta, posa sa main sur ses hanches et sourit en regardant le milliardaire :
« Tu fais la cuisine avec les fesses à l’air toi ? C’est… original. »
Un rire lui échappa, signe qu’il se détendait, alors qu’il reprenait :
« Cela dit j’approuve : tes fesses sont bien plus appétissantes que le plus fin des repas ! »
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO SIX– DEREK & THOMPSON. | Ven 8 Jan - 23:28
Derek n'avait aucunement envie de l'aider, pour la simple et bonne raison, qu'il n'avait pas envie et que quelque part, la-dessus, il avait toujours une sorte de prince. Il n'avait qu'à dire un : je veux manger ceci, ou un surprenez-moi pour avoir une assiette remplit d'un bon repas. Alors devoir s'y mettre était quelque chose que sa fierté de milliardaire maudit bien fortement.
L'homme demanda tout de même les instructions tout en allant se laver les mains. « Tu la remplis d’eau et tu mets à chauffer. Ce soir on se contentera de pâtes, je n’ai pas le courage de tout recommencer. Heureusement que j’ai acheté des sucreries pour le dessert, ça compensera. » Derek eut une de ces moues. Jamais encore on ne l'avait privé du repas qu'il avait désiré. Son petit cœur se serra, d'abord un orgasme plus que moyen et maintenant cela. Décidément Thompson ne le manquait pas. Allant sortir une casserole, la tournant un peu, question en se demandant, était-elle assez grande pour les pâtes? Et combien d'eau devait-il y mettre? Sûrement à la moitié, ce qu'il décida de faire. S'imaginant que Thompson allait le lui faire remarquer s'il n'en mettait pas assez. « Tu fais la cuisine avec les fesses à l’air toi ? C’est… original. » Il baissa les yeux vers le bas, pour remarquer qu'en-dessous de son pull, il n'avait rien remis sous la ceinture.« Cela dit j’approuve : tes fesses sont bien plus appétissantes que le plus fin des repas ! »
''- Pourquoi? Je devais mettre quelque chose? Je ne pensais pas que cela était obligatoire. C'est pour ne pas brûler le mini-moi? ''
Posant la casserole sur le feu, et la penaud, il se tourna vers Thompson.
''- C'est lequel des boutons pour allumer? Enfin, surtout pour le bon rond. Je ne voudrai pas me tromper.''
Question conne venant d'un homme dans la quarantaine, mais a voir son air, on voyait bien qu'il ne savait pas comment rallumer la cuisinière.
''- T'es sur qu'à la place tu ne veux pas que j'aille allumé un feu dans la cheminée? J'ai l'impression qu'ici je ne te sers à rien.''
Et surtout, il avait cette impression d'être un ''inculte'' qui ne savait même pas comment allumer un simple fourneau, ce qui était bien désagréable a ressentir. Dans son temps, les appareils n'avaient pas autant de bouton et tout n'était pas aussi numérique. En fait, il avait juste une roulette placer au carré, chacune désignant l'emplacement. Là, c'est des boutons et même le mec qui passe sa vie devant un ordinateur et un cellulaire ne savait pas faire fonctionner l'appareil.
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO SIX– DEREK & THOMPSON. | Sam 9 Jan - 11:47
Il éclata de rire en entendant Derek parler de son mini-moi : bon sang, on aurait dit un adolescent vaniteux et…. Et c’était terriblement adorable ! Encore plus que de le voir s’escrimer devant les fourneaux sans arriver à quoi que ce soit.
Certes ils n’avaient pas la même expérience de vie : Thompson avait dû très tôt ne compter que sur lui-même et avait appris les bases élémentaires pour survivre. Cuisiner n’était pas son fort mais au moins, il savait allumer une cuisinière sans rester des heures planté devant les boutons, incapable de se décider. Ses trois mariages avaient été des épreuves de force relatives qui l’avaient souvent poussé à faire quelques compromis : la cuisine en faisait partie, particulièrement concernant son deuxième mariage. Son épouse était une féministe acharnée qui avait toujours refusé d’entrer dans la cuisine, prétextant que ce n’était pas là sa place. Thompson avait dû composer là aussi, par amour… Et voilà qu’il se retrouvait avec Derek, qui tentait de faire quelques efforts mais n’était visiblement pas du tout à sa place non plus…
Thompson secoua la tête en soupirant, lâchant la casserole qu’il nettoyait et s’essuyant les mains sur un linge, il s’approchant de son amant pour lui désigner la manœuvre à suivre.
« Là tu vois ? Tu appuies quelques secondes, et ensuite tu sélectionnes le fourneau que tu veux allumer. Puis… tiens regarde, comme ça…. Et là, tu sélectionnes la température… Ce n’est pas si difficile. »
Si sa main s’aventura sur les fesses de Derek au passage, ce fut purement fortuit… Ou peut-être pas, mais qui savait après tout ? Toujours est-il que Thompson vint déposer un baiser sur la joue de Derek, soudain câlin. « Va allumer ton feu, je m’occupe du reste. »
Même si ce serait sommaire, il allait tâcher de faire quelque chose de bon : il avait acheté quelques herbes aromatiques au marché, ainsi que des tomates… Il était bon pour faire une sauce tomate faite maison !
Mais quand Derek fit mine de s’éloigner, il attrapa son poignet et le ramena vers lui pour l’emprisonner un court instant dans ses bras, déposant un autre baiser sur ses lèvres sans s’appesantir.
« Désolé pour tout à l’heure, je t’ai abandonné un peu vite… C’était ça ou laisser la cuisine brûler mais je me rattraperai, promis. Tu ne m’en veux pas j’espère ? »
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO SIX– DEREK & THOMPSON. | Sam 9 Jan - 15:17
Derek commençait a avoir honte de lui, faire fonctionner un tel appareil ne devait pas être si compliquer. Il n'osait pas trop toucher sans savoir à quoi le tout servait, question de ne pas tout dérégler ou pire encore. Une seule tentative de feu était suffisante pour ce soir. Il dû mettre sa fierté de côté et demander à son Thompson comment faire. Cela était plus honteux, mais il ne pouvait que s'y résoudre. Son amant viendra dans la plus belle des grâces se glisser à ses côtés pour montrer comment faire. Derek tenta d'écouter, mais voilà, qu'une main très douce se glissa sur ses fesses, lui faisait fermer les yeux parce qu'une vague de frisson le gagna. « Là tu vois ? Tu appuies quelques secondes, et ensuite tu sélectionnes le fourneau que tu veux allumer. Puis… tiens regarde, comme ça…. Et là, tu sélectionnes la température… Ce n’est pas si difficile. » Appuyer où? Sur les boutons du four ou sur les fesse? Car là, le grand brun n'était plus bien certain. Une chance pour lui, un fin baisé se déposa sur sa joue le ramena à la réalité. « Va allumer ton feu, je m’occupe du reste. » Un soupire de bien être lui échappa, il n'allait pas être obliger de poursuivre cet apprentissage.
''- Merci... en plus, l'air commence à se refroidir.''
Mieux valait conserver la chaleur du lieu plutôt que de laisser la température chuter trop rapidement. Il fit rapidement demi-tour avant d'être retenu une dernière fois. Pour un câlin, mais aussi un doux baisé qui le fit rêver. Souriant il glissa aussi ses mains dans le dos de Thompson, qui semblait pourtant avoir une très grave déclaration a faire. « Désolé pour tout à l’heure, je t’ai abandonné un peu vite… C’était ça ou laisser la cuisine brûler mais je me rattraperai, promis. Tu ne m’en veux pas j’espère ? » Cette fois Derek était bien décidé a joué la comédie. Il prit donc un air triste, comme si on venait de le blesser.
''- Écoute... tu... je sais bien que tu as voulut bien faire, que tu n'avais pas trop le choix d'y aller. Mais tu ne t'es pas montré à la hauteur de mes envies. C'est presque le pire des orgasmes de toute ma vie.''
Sûrement pas le pire, en fait, il ne lui en voulait pas, jamais il ne pourrait se mettre à détester son amant, et pas pour une telle histoire.
''- Et si tu veux t'excuser c'est à ça que tu devrai le faire.''
Il leva la main pour que son doigt pointe vers le bas. Après tout, si Thompson avait ''blessé'' quelqu'un ou quelque chose c'était surtout son mini-moi qui en avait pâti dans cette histoire. Alors prenant une petite moue enfantine, Derek demandait semble-t-il que Thompson s'excuse envers son sexe et non envers lui-même. La situation commençait à ne plus avoir rien de sérieuse, et on voyait bien que Derek avait ce gros sourire en coin qui démontrait qu'il blaguait.
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO SIX– DEREK & THOMPSON. | Sam 9 Jan - 16:34
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO SIX– DEREK & THOMPSON. | Sam 9 Jan - 17:38
Oui, Derek pouvait être un homme plutôt narcissique, non qu'il le soit de base, mais il lui arrivait bel et bien d'avoir ce sentiment de supériorité. En plus, il adorait plus que tout son corps, et cela n'était en rien surprenant qu'il parle de certaines parties comme de vraies entités. Certes, cela emmenait à d'amusante situation, et rare sont les fois où Derek se donnait trop en spectacle. Il le faisait juste assez pour que cela reste raisonnable et mignon.
« Et voilà ! Si nous parlions maintenant de mes fesses avec lesquelles tu t’es amusé sans jamais leur offrir le moindre plaisir, hum ? » Froncement de sourcil, il lui semblait qu'au contraire, il lui avait donné un petit plaisir inconnu et des plus pervers. Lui, ne se sentait coupable en rien, et ira même lui taper les fesses qui partaient vers la cuisine.
''- Je pense qu'elles se portent fort bien, et que le monsieur que tu ais, prend goût à cet objet en lui.''
« Je ne suis pas sûr pour ma part de me contenter d’excuses, crois-moi… »
''- Les actions ont toujours été la meilleure preuve de rédemption. Ne t'en fait pas, quand on t’enlèvera le jouet c'est pour le remplacer par ma personne qui te comblera comme il se doit.''
Riant, Derek ira vers la magnifique foyer, ou avant, il ira au minimum se mettre un boxeur, après tout, l'idée de se promener la quequette prêt du feu ne lui disait rien. Ainsi, il prit un beau vêtement très court et de couleur rouge. La couleur de leur passion, et au passage, il récupéra son téléphone. Ainsi, entre deux installations de bûche, il tentait de lire ses messages et d'y répondre. Tout en surveillant vers la cuisine pour voir s'il ne se faisait pas repérer.
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(#)Sujet: Re: CHALET NUMÉRO SIX– DEREK & THOMPSON. | Sam 9 Jan - 18:15
Entre le jouet et la possibilité d’avoir Derek, il n’y avait pas photo : le milliardaire avait pu venir alors que Thompson était toujours coincé à mi-chemin du plaisir depuis qu’il avait le jouet entre ses fesses, et cela commençait à l’agacer prodigieusement. Il n’avait jamais été très patient et cela commençait à se vérifier.
Il eut une moue dubitative… puis finit par acquiescer en faisant un clin d’œil à Derek :
« J’y prends goût mais cela ne suffira pas. »
Et quand le brun lui promit de remplacer le jouet par sa propre queue, il eut une petite bouffée de chaleur qui finit de l’exciter. Il avait sur les lèvres le goût de son sexe et entre les fesses la promesse d’une soirée bien mouvementée : rien de tel pour lui donner envie de sauter le repas !
Sauf qu’il mourrait de faim alors il se démena au-dessus des fourneaux, préparant une sauce tomate faite maison et faisant cuire les pâtes pendant que le brun s’occupait du feu. Il était d’ailleurs temps car il commençait à avoir un peu froid, et il dû même aller chercher un gilet pour se tenir davantage chaud près des fourneaux. Passant dans le salon pour se faire, il fronça les sourcils quand il vit Derek cacher quelque chose précipitamment dans sa poche.
« Qu’est-ce que tu fais ? » demanda-t-il, soupçonneux.
Il s’approcha et en sentant la chaleur du feu, il tendit les mains en frissonnant : « Tu as eu raison, la chaleur commençait à tomber, je suis frigorifié. »
C’était surtout parce qu’il était trop maigre et n’avait donc absolument rien pour se protéger contre le froid ambiant : Thompson était devenu beaucoup plus frileux depuis qu’il avait dû dormir dans la rue, et même s’il mangeait comme quatre, il n’arrivait toujours pas à atteindre un poids normal pour un homme de son âge et de sa taille. « Le repas est quasiment prêt. Tout est cuit, je n’ai plus qu’à mélanger. Tu pourras venir quand ? »